Inclure l’adultère dans la domination féminine

Rappelons avant toute chose que « cocu » c’est lorsque l’on ne le sait pas et que l’on n’est pas d’accord.

Je différencie dans cet article « l’adultère » (SANS la présence du mari) du candaulisme ou cuckold où en règle générale le mari est présent.

Le fantasme de l’adultère dans la domination féminine est très masculin. Il faut toutefois bien comprendre les risques que cela représente, quelques conseils pour que les choses se passent bien.

PAS DE SURPRISE

C’est une porte à ouvrir ensemble qui fait découvrir tous les avantages du statut de dominante à la femme. En effet, les femmes peuvent avoir une sexualité débridée très physique et beaucoup de plaisir. Pour les hommes, le plaisir lui est cérébral. La pratique de l’adultère met certains soumis dans un état de profonde soumission à l’égard de leurs Maîtresse. Ainsi, via la jalousie et l’excitation partagée, les liens et l’amour au sein du couple peuvent en être encore renforcés.

ENTRETENIR LA RELATION DE COUPLE

Une Maîtresse, en tant que Femme libérée, a le droit d’avoir d’autres partenaires sexuels. En le faisant, ce doit aussi être dans l’optique de renforcer la relation avec son soumis.

Avec ou sans cage de chasteté, [u:7q4hcx5u]le « cocu soumis » doit tout savoir.[/u:7q4hcx5u] Sur ce sujet, la Maîtresse ne doit pas avoir de secret pour son mari et ne doit avoir aucune relation cachée pour que le plaisir soit mutuel même s’il peut être douloureux pour l’homme.

Quelques exemples de domination adultère partagée sans la présence du mari lors de l’acte :

- Ce soir je vais avec mon amant, je te raconterai tout. (Et le faire)
- Regarde les dessous que j’ai acheté, tu crois que mon amant va les aimer ?
- Je te mets ta cage de chasteté parce que demain, je vais voir mon amant, il est hors de question que tu te masturbe en mon absence.

Quelques exemples de domination adultère partagée avec le mari hors de la pièce

- Ce soir tu restes dans la chambre d’amis, mon amant vient me voir.
- Tu attendras dans le salon et prépareras le champagne pendant qu’on baise

Cette forme de domination adultère est donc d’une totale transparence.

Au retour, madame se doit de raconter, voir même de se faire embrasser le chaton dans un « esprit de partage ». Certaines femmes vont même jusqu’à faire des selfies, pas obligatoirement pornographiques avec pour but d’entretenir la complicité du couple.

ATTENTION AUX SENTIMENTS DES FEMMES

Il est préférable d’avoir plusieurs amants pour la sexualité et pour rabaisser plus le mari, que d’avoir une relation régulière avec le même amant, ce qui chez une femme engendre nécessairement des sentiments forts. C’est un risque important, et les femmes pratiquant ou voulant pratiquer l’adultère en domination doivent en être conscientes, et pratiquer celui ci sans qu’il n’y ait aucune confusion dans leur esprit.

HONNETETE / FRANCHISE

La femme dominante pratiquant l’adultère dans sa domination ne devrait jamais mentir et savoir qu’elle peut avoir toutes les libertés sauf celle d’être infidèle en amour envers un homme qui s’est totalement donné à elle. Les soumis « dit cocus » peuvent réellement être heureux ainsi dès lors que tout est clair et fusionnel.

Inclure l’adultère dans la domination féminine est un exercice périlleux exigeant de la réflexion pour que la vie de couple soit durable.

UN MESSAGE POUR LES SOUMIS

Si vous désirez ardemment que votre femme franchisse ce cap, ne l’oubliez jamais vous jouez un peu avec le feu. Surtout, apprenez à gérer votre jalousie et soyez adorables plutôt qu’exécrables pour ne pas lui donner envie de changer d’homme.

COMMENT DEMARRER CE TYPE DE RELATION ?

La règle d’or est d’en parler en toute franchise bien avant. Il est même possible d’en jouer sans passer à l’acte, un peu comme pour essayer.

Exemple, madame se fait belle avec l’aide de son mari pour les bas ou les chaussures puis va simplement faire les soldes en disant à son mari : imagine que.... A son retour, ils font l’amour et elle brode / invente une histoire. La phrase qui peut mettre le feu aux poudres de l’excitation de son mari est : lèche bien là où il a mis son sexe.

Le premier test peut être dans un club libertin, en se faisant simplement draguer après avoir allumé un peu.

Ensuite et toujours dans un club libertin, madame allant faire un tour dans un coin câlin avec le mari qui regarde ou reste au bar.

Les mots clés pour résumer les règles sont : complicité, franchise, honnêteté et surtout dialogue.
il y a 6 ans

Bonjour TSM,

Au début de notre relation D/s, en 2006-2007 mon soumis et moi avons écrits tous nos fantasmes et toutes nos envies sur un carnet. Il ne fallait rien oublier et faire tomber le moindre tabou. C'était la meilleure façon de vivre une relation intense comme nous l’espérions, comme nous en rêvions.
Sur ce carnet, il y avait 2 colonnes. La colonne envie et la colonne fantasme. Dans la colonne envie, 3 sous colonnes: un peu, moyen, forte envie. Idem pour la colonne fantasme avec ses 3 sous colonnes.

C'est la qu'on voit que parfois nous avons les mêmes envies mais pas avec la même intensité ou priorité. Ou pire, que parfois nous n'avons pas les mêmes attentes. Mais il était convenu dès le départ qu'en cas de litige, JE trancherais.

L'objectif pour moi était de savoir ce que mon soumis avait en tête et ce qu'il était prêt a vivre ou pas. Je pouvais aussi orienter ma domination sur des points qui l'excitait fortement et ainsi savoir comment et quand le frustrer. Une sorte de piège bien malgré lui. Je pouvais également connaitre ses limites et savoir lesquelles j'allais pouvoir franchir et celles qu'il fallait garder a l'état de fantasme.
Mais le but était avant tout de ne rien nous cacher et de tout nous avouer afin de garder la plus grande complicité possible dans notre couple et donc, notre future relation Dominante / soumis qui s'orientait vers de la Gynarchie pure et dur.

Si nous sommes d'accord que certains fantasmes ne sont pas faits pour être vécus, d'autre peuvent l’être si on sait y faire ET SURTOUT si c'est bien préparé et accepté par les 2.

Dans les fantasmes de mon soumis, dans la colonne forte envie, il y avait le souhait d’être cocu (Comme beaucoup de soumis, visiblement).
Je dois dire que je n'étais pas très "chaude" à l'idée d'avoir un amant. J'en avais peur pour plusieurs raisons.
D'abord, coucher avec un autre....impensable pour moi a cet époque la. Ensuite, ça voulait dire que notre relation a 2 passait inévitablement a 3 (minimum) et qu'il faut trouver le bon partenaire. Enfin, j'avais un peur incroyable que des sentiments se mêlent à tout ça (C'est bête, mais il faut y penser).

Dans mes fantasmes, c'était de garder mon soumis en cage de chasteté sur des longues, très longues périodes. Dans nos jeux de couple avant l'instauration de notre vie D/s, il la portait au plus sur 4-5 jours. Je voulais aller vers 3-4 semaines.
Il a reconnu que ça pouvait être tenté mais que ça serait dur à vivre. Mais comme Je choisis en cas de "litiges", il aura droit à ces 3-4 semaines de cage.


Petit à petit, notre relation D/s s'est mise en place sur 3 ans. J''ai profité de ma position de dominante pour le garder "au chaud" pour 4 semaines dès le début et très régulièrement. J'ai rapidement vue a quel point la chasteté longue durée avait des effets incroyables sur mon soumis. Je pouvais tout lui demander sans résistance, sans réticences. Mais il y avait un effet "négatif" persistant chez lui. Plus je le gardais longtemps en cage de chasteté, plus mon soumis demandait a être "cocu".

Au bout d'un an de notre relation D/s, en 2008, j'ai ordonné a mon soumis de m'écrire SA VISION DU SOUMIS CHASTE.
Quelle ne fut pas ma surprise de lire qu'il est prêt a être cocu et qu'il me laisse libre de choisir ce que je veux faire et comme je veux le faire. Il ne demande aucune explication, aucun justificatif et que si je choisis, il suit.
C'était de trop pour moi, je ne concevais pas ça, comme ça. Pourtant, bizarrement, l’idée a germé petit a petit dans ma tête. Et un jour....Fin 2009.

Mon soumis est en cage de chasteté depuis bientôt 4 semaines déjà. Généralement, sa libération est proche car mes envies deviennent de plus en plus fortes. Ce jour la, partie sur une journée shopping dès le matin, je me pose a un bar pour un petit café. je remarque un homme vraiment classe qui me regarde discrètement depuis quelques minutes. J'ai pris les devants et je suis allée le voir. On a discutés pendant 2h30 autour de quelques verres non alcoolisés. Puis il m'a offert un petit resto et ça s'est fini a l’hôtel en plein après-midi.
Mon soumis était cocu. Pourtant, de retour le soir a la maison, n'ayant plus d'envies particulière grâce a cet homme, j'ai gardé mon soumis en cage pour 3 semaines supplémentaires. Une grande première pour lui. Je n'ai pas réussie à lui avouer que je l'avais fait cocu car pour le coup, il était vraiment cocu. J'avais peur de sa réaction alors que c'était son envie.
Au terme de 7 semaines de chasteté, je l'ai libéré et notre relation a été une des plus fortes que j'ai jamais eue. Je venais de comprendre que de le rendre cocu m'a fortement excitée et que je n'allais pas résister très longtemps pour recommencer.
Pourtant, il n'en savait rien et il a poursuivi a me demander de le faire cocu. Je le laissais encore dans son ignorance la plus totale car je n'avais pas réussie a assumer l'avoir trompé. CAR OUI, LE MOT JUSTE, C'EST ASSUMER.
Il était reparti en cage de chasteté pour une longue période et je m'approchais du 3eme mois afin de créer le manque en moi et ainsi justifier mon adultère. Comme pour dire "C'est parce que tu es en cage que je dois te tromper".
Et ça n'a pas loupé. Un nouvel après-midi, autre partenaire, je trompais a nouveau mon mari. Calmée, je le gardais en cage et donc je repartais vers un autre partenaire: cercle vicieux d'une envie partagé dans notre couple que je vivais seule a ses dépend.
Pourtant, un soir, il entame sa 23eme semaine de cage de chasteté. Record totalement battu sans qu'il ne dise quoi que ce soit. Ça fait bientôt 1 an qu'il est cocu sans le savoir. Bêtement, il continu de réclamer son cocufiage, n'en sachant rien ou ne voulant pas l’admettre. Mais ce soir la, j'étais énervée et il savait qu'il fallait qu'il cesse de demander à être cocu. C’était un ordre que je lui avais donné depuis un bon moment déjà. Sans doute car je n'assumais pas que ce soit le cas.
Donc je l'ai puni. Attaché, pieds et poings, je l'ai fouetté sévèrement. Je me défoulais sur son dos, ses fesses, ses cuisses. A mi chemin de sa punition, j'ai craquée et je lui ai tout balancé en pleure. Je me souviens parfaitement de l'instant tant ça m'a marquée, m'a choquée.
"J'en ai marre que tu réclame a être cocu. J'en peux plus. Tu m'énerve a réclamer que je te fasse cocu. C'est tellement ridicule. Ça fait 1 an que je te trompe et tu ne te doute de rien. tu es minable dans ta petite cage de chasteté. Pourquoi crois-tu que je te garde dedans si longtemps si ce n'est pour te faire cocu ? Tu es ridicule à espérer être cocu comme une petite merde. Ça y est, tu es content, tu as ce que tu voulais? " J'étais en larmes quand je lui ai balancé ça froidement tout en frappant son dos de toutes mes forces ou presque. Et lui, lui......il a éjaculé parterre....sans un mot, sans se toucher.
J'ai lâchée le fouet de stupeur, comme incrédule devant ce que je venais de voir. Je me suis assise, profitant de la chaise à proximité. J'étais toujours derrière son dos. 5 a 10 minutes sans un mot ou je regardais sa flaque de sperme a terre à sécher mes larmes. J'ai rompue le silence.
"Ça t'excite tant que ça d’être vraiment cocu?
- (il a juste hoché la tête pour dire oui)
Tu ne m'en veux pas que je te trompe depuis tout ce temps?
- (Il a fait non de la tête, mais je lui ai ordonné de parler) Non Maîtresse tant que vous prenez votre plaisir à le faire"

Le vouvoiement entre nous ne doit être utilisé que dans nos moments solennels et il le sait. Pour qu'il l'emploi c'est qu'il se sent dans sa vie de soumis a mon égard. Je comprenais donc qu'il était très sincère.
Sans qu'il demande qui, ou et quand, il m'a juste confirmé être heureux d’être cocu. Ça, je l'ai remarqué à la flaque entre ses jambes écartées. Je craignais le pire alors que je lui ai offert son plus gros fantasme.
Ce soir la, nous avons fait l'amour a 4-5 reprises comme un jeune couple qui se découvre. Notre plaisir a rarement été si fort, si intense. Une fois repu de plaisir, j'ai remis mon soumis en cage de chasteté pour au moins 6 mois.
Il m'a demandé si j'allais le faire cocu a nouveau. Je lui ai répondu "oui, plus que jamais". Il a juste dit "Merci Maîtresse". On a finis par mettre les choses au point sur cette facette de notre relation et j'ai eue la confirmation que dorénavant, sexuellement, je ne lui appartiens plus et que je suis LIBRE de faire ce que je veux AVEC son accord sans qu'il sache si c'est le cas ou pas.
Depuis, mon soumis est totalement cocu. JAMAIS je ne lui dit quoi que ce soit. Il ne connait pas mes partenaires, ni quand je vais le faire cocu. Et il n'a pas intérêt à le demander.
Ce n'est que lorsque nous avons un moment intime que je lui accorde, qu'il apprend, parfois, que j'en ai profité un maximum pour bien le rendre cocu. Parfois, je lui accorde des détails, parfois, il ne sait rien d'autre que le simple faite que oui, j'ai couché avec d'autres partenaires. En 2012, avant l'arrivée de Pow parmi nous, il a porté sa cage de chasteté du nouvel an jusqu'a la rentrée scolaire. 8 mois ou il n'aura pas le moindre détail mais en a t'il besoin? OUI IL A ÉTÉ COCU. Et c'est tout ce qui compte. Les 4 mois suivant, je ne me suis dévouée qu'a lui, mon mari, mon soumis. Aucun amant comme pour le récompenser de sa patience, de son dévouement passionné et indéfectible. Il est heureux ainsi et moi, je n’imagine plus me passer de mes relations extraconjugales.

Dans notre situation, nous avons convenus qu'il ne saura jamais rien si je n'en ai pas envie. Il est cocu et c'est tout ce qu'il doit savoir.

[b:3ejw5j4j][u:3ejw5j4j]Le piège à éviter pour moi est immense. [/u:3ejw5j4j][/b:3ejw5j4j]

Je dois garder la flamme dans notre relation en permanence. Il est heureux d’être cocu et m'offre le droit de faire ce que je veux. Il est facile d'en abuser et C'EST LA, LE RISQUE. Dans une telle relation si "extrême", je dois sans cesse montrer a mon soumis que je suis avant tout a SON ÉCOUTE. Je dois montrer qu'il passe avant mes partenaires sexuels. Nous savons et l'avons établi qu'au moindre doute d'un coté ou de l'autre, il faudra tout stopper. NOTRE COUPLE PASSE AVANT TOUT.

Je ne cache plus m'amuser comme une folle de rendre mon soumis heureux d’être un "presque" parfait cocu. Il ne connait pas la moitié de mes relations extraconjugales et il ne le saurait sans doute jamais. Il ne le demande pas d'ailleurs, il n'a pas intérêt. Nous aimons vivre ainsi et nous savons a quel point notre relation est assez forte pour vivre si dangereusement. Le reste n'est que plaisir.

En petit cadeau, je vous livre une soirée que j'ai faite vivre a mon soumis.

Un soir, j'ai imposé a mon cocu de se mettre nu. Il était, bien entendu, en cage de chasteté depuis au moins 5 semaines. J'ai l'ai attaché fermement a une chaise, nu, juste sa cage de chasteté bien visible car ses jambes étaient écartés. Un loup sur les yeux, puis un bandeau, puis plusieurs tours de scotch spécial afin qu'il ne puisse pas voir quoi que ce soit. On n’est jamais trop prudent. Pour finir un gros bâillon boule, plus un bandeau et enfin un tour de scotch la aussi, je ne voulais pas l'entendre.
Je sentais son excitation grandir petit à petit. Quand j'ai fais entrer mes partenaires, j'ai présenté "mon mari, mon soumis et LE cocu". Il assistera a une relation que j'ai prévue avec plusieurs partenaires, devant lui, sans qu’il ne les voit ni avant, ni après. Il n'aura eu que le son de nos ébats pour agrémenter son excitation. D'ailleurs, il ne saura pas le nombre de partenaires. Il sait juste que j'en avais plusieurs. Et comme pour finir d'achever son extrême excitation de la situation, il a du attendre 1 semaine avant que je ne le libère de sa cage de chasteté pour....se branler et retour en cage. Je me suis trouvé généreuse ce jour la.

Voila ma contribution à cet épineux dossier.

Je vais "demander" a mon soumis d'écrire un post a son tour avec SON POINT DE VUE "sans censure"
il y a 6 ans

Bonjour,

Comme Maîtresse l’a écrit, au début de note relation D/s, nous avons tout mit a plat. Notre couple était a un tournant et nous n’étions pas loin de nous séparés. Nous voulions trouver une solution pérenne et stable pour continuer à garder la flamme entre nous car notre souci n’était pas l’entente entre nous, mais le sexe. Nous avions l’impression d’être devenus des colocataires mariés, se laissant guider par le rythme de la vie. Métro, boulot, dodo, no sexe.
Ce soir la, il fallait tout nous dire sans rien se cacher. Le carnet a été une très bonne idée. On y a tout posé sans tabous. Puis notre relation D/s a commencé avec l’idée claire et nette que Maîtresse domine et que j’obéisse sans discuter. Elle devait prendre toutes les décisions de la maison et je devais obéir. Ce coté « chien » m’excitait beaucoup et j’étais prêt a la suivre sur tout et partout.
Bon, il y a des cotés pénible a être soumis. Comme vivre en cage de chasteté. Par périodes de 3 -4 voir rarement 5 semaines, je souffrais en silence. Mais ça a aussi éveillé un de mes fantasmes les plus fous. Sans que je ne me l’explique, ni que je le comprenne, je voulais être cocu. Alors, j’écris bien être cocu et non candauliste. Je savais faire la différence entre les deux et je l’ai pleinement expliqué à ma Maîtresse. Maîtresse m’a demandé de l’écrire et de m’expliquer ce que j’entendais par cocu. J’ai sentis qu’il y avait un décalage entre ce que je pensais, ce que je voulais et ce qu’elle se sentait capable de vivre.
Pourtant, une période plus longue de chasteté aurait du me mettre la puce a l’oreille. 7 très longues semaines ponctuées par un câlin protégé avec Maîtresse. Mais naïvement, rien. Je n’ai rien vu de différent à part cet allongement du port de la cage de chasteté. Je demandais toujours le droit d’être cocu ou plutôt, de mon point de vu, je lui laissais entendre qu’elle avait tort de ne pas le faire. Je lui laissais la voie libre.
La période suivant e a été horrible car interminable. Je pensais que Maîtresse me punissait de lui proposer de me faire cocu mais je ne réussissais pas à me résigner de ne plus le lui proposer.
J’ai compté toutes les semaines à partir de la 7eme car je sentais un poids dans mon maintien en cage. J’étais dans un état de manque permanent et si envahissant. Mon esprit n’espérait plus qu’une libération pour exploser. L’état de manque est passé de l’état physique à l’état mental. Sa présence seule m’excitait. Plus les semaines s’additionnaient, plus j’en étais fou raide dingue amoureux.
Au soir de la fin de ma 23eme semaine d’encagement, Maîtresse, lassée par mes demandes incessantes et grandissantes m’a puni. De cette punition, je n’en garde étrangement aucun souvenir. Pourtant, elle m’a sévèrement fouetté, mais mon cerveau tournait si fort que, je ne sais par quel miracle, je contrôlais la douleur. Évidemment que je réagissais malgré tout. Elle frappait de toutes ses forces ou presque. Les traces sur mon corps ont mis 3 semaines a totalement disparaitre. C’est dire ce que j’ai reçu. Mais le moment le plus incroyable est son aveu. Lorsqu’elle m’annonce que ca fait déjà longtemps que je suis cocu, mon esprit ne pensait qu’a Maîtresse prenant du plaisir avec ses amants. Un moment rare d’abandon du corps et de l’esprit ou j’ai vaguement senti le corps réagir.
Quand je suis revenu à moi, j’ai remarqué que j’avais éjaculé. Pourtant, Maîtresse m’avais attaché les poignets et les chevilles. J’étais debout les bras écartés.
Dès lors, plus rien ne peut troubler notre relation. Maîtresse craignait la réaction du mari, elle a eu l’approbation du soumis, du cocu. Pourtant, Maîtresse avait déjà eue tous ces élément en main, mais comme si elle refusait de l’accepter, elle ne l’a pas lu dans le sens la.
Je lui laisse gérer ses relations extraconjugales comme bon lui semble. Je ne demande rien. Je revendique lui appartenir et être dépendant de sa volonté. En revanche, Maîtresse ne m’appartiens pas. Elle reste libre de ses choix, de ses envies, de ses désirs.
Depuis, Maîtresse a fortement allongé mes périodes de chasteté mais moi, je souffre en silence. Je ne demande rien. Je sais que je suis cocu, mais c’est tout.
Je ne sais pas avec qui, ni depuis combien de temps, ni comment, ni ou. Bref, je ne sais rien…..rien d’autre que ce qu’elle veut bien me dire, et c’est déjà beaucoup.
Le reste n’est que confiance envers ma Maîtresse, ma femme. Car je sais qu’elle ne m’abandonne pas. Qu’elle ne m’oublie pas. Et la confiance est la base de notre relation D/s.
Le cadeau de Maîtresse :
Ce soir la, Maîtresse m’ordonne de me déshabiller. Je ne mets pas longtemps pour obéir car généralement, c’est pour me libérer de la cage. Je pensais que ca faisait 4 semaines, mais Maîtresse a indiqué 5 semaines. J’étais donc impatient quand elle m’a attaché sur une chaise, les jambes largement écartés. Je me suis dis qu’elle allait m’exciter à fond. Elle me bande fortement les yeux et me bâillonne tout aussi sérieusement et la, j’ai commencé à douter. Pourquoi m’exciter si je ne peux rien dire ? Pourquoi m’exciter si je ne peux rien voir ? Encore que pour ce point, je peux l’imaginer. Mais le bâillon, empêche les réactions sources d’excitations supplémentaires. Bref, ça ne collait pas.
Quel ne fut pas ma surprise quand j’ai commencé à entendre du bruit dans la pièce. Puis Maîtresse m’a « présenté » comme étant son mari, sous soumis, son cocu. Et la, ça a commencé par des bruit de sussions, de baiser, de respiration forte. Mes sens se sont mis en alerte car je comprenais que je vivais quelque chose d’incroyable. J’étais un spectateur auditif de mon cocufiage en direct. Mon esprit a vraiment tourné a fond. J’étais heureux d’entendre le plaisir de Maîtresse et heureux qu’elle m’offre ce partage incroyable. Mais surtout heureux de savoir que j’étais bel et bien cocu car je ne veux pas savoir avec qui elle m’a fait cocu ni avec combien elle a prit son plaisir. Ce moment n’appartient qu’à ma Maîtresse et à mes oreilles.
Mon histoire avec Maîtresse ne reprend qu’une semaine après, lorsque Maîtresse m’a accordé une relation intime avec elle.
Ainsi fonctionne notre couple, notre relation D/s, Notre vie en Gynarchie.
il y a 6 ans

Adultère, cocufiage, fessée et fouet, défonce de cul, tout à fait d'accord, mais cage de chasteté pendant des semaines, très peu pour moi.
il y a 6 ans

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