Mon retour

Bonjour a toutes et a tous,

En visite en Bretagne, J'ai succombé, j'ai craquée. Après 3 jours et une longue discussion avec Maîtresse, j'ai repris mon collier de femme soumise. Cette fois, je reconnais que ça m'a fortement manqué et que c'était une bêtise d'avoir arrêté. Mais surtout, cette coupure a entrainé un gros changement.

Erwan n'est plus un dominant. Il a reprit sa place de soumis sous les ordres de sa femme. Et lors de notre "petite" cérémonie de pause de mon collier, Erwan m'a été présenté dans ses "nouveaux" habits. Féminisé de la tété aux pieds, en cage de chasteté qu'il porte depuis déjà très longtemps (Maîtresse m'a dit qu'il la porte depuis fin Mai) et un collier de soumis pour lui aussi.

Je ne serais donc plus la soumise d'Erwan. Il n'en est pas question. Je ne peux pas me soumettre a quelqu"un qui est plus soumis que moi.
Je suis l'exclusive soumise de Maîtresse Patricia même si non, je ne suis pas lesbienne ou même bi. Être sous l’autorité de Maîtresse est un confort car je sais a qui je me donne. Maîtresse m'a autorisée a dormir avec elle, dans son lit. Mais calmez vous Messieurs, Non, nous n'avons rien faits. Je portais.....une couche. Dans cette maison, les couches ont décidément une place privilégiée. Bizarrement, ça m'avait manqué ça aussi.

Voila une nouvelle vie qui s'ouvre a moi, a nouveau soumise et heureuse de l’être après 2 mois de repos. Reste maintenant a connaitre la suite car, Maîtresse est hautement plus sadique que ne pouvait l’être Erwan quand il était mon Maître. Tellement plus sadique que cet après-midi nous allons a la piscine et que je vais devoir porter une couche de bain.

Pow est belle et bien de retour.
il y a 5 ans

Bonjour Pow
La problématique du BDSM, (si cela en est une ???), est que lorsque l'on y a goûté et pris plaisir, il est difficile de s'en passer. Au pire, on fait une pause mais l'arrêter totalement est rare. Ton retour ne me surprend pas du tout et cela n'était pas une bêtise d'avoir arrêté, cela correspondait à un besoin précis à un moment précis.

Que ta Maîtresse soit hautement plus sadique que ne pouvait l’être Erwan ne m'étonne pas non plus, les femmes entre elles peuvent être très perverses.

J'aimerai revenir sur un point de ton post. Tu indiques ne pas être lesbienne puis, tu précises avec des mots forts qu'il ne s'est rien passé lorsque vous avez dormis ensemble. Si je n'en doute pas un instant, le fait que tu ais appuyé fortement sur ce sujet semble exposer un blocage sur les rapports entre femmes.

Ce n'est pas parque une femme fait un câlin avec une femme qu'elle est lesbienne. Si un jour ta Maîtresse t'entreprend, laisse-toi porter, ne te bloque pas. Si les femmes entre elles peuvent être très perverses, elles peuvent également être bien plus douées que les hommes pour les conduire au plaisir. Il n'y a pas de honte à avoir du plaisir, il n'y a pas de honte à avoir si un jour elle "te croque" et te fait voir les étoiles.

Bises à toi et bon retour parmi les ""camés"" du BDSM.
il y a 5 ans

Merci a vous Monsieur TSM,

Ce retour est a la fois symbolique et a la fois émotionnel. Être sous la domination d'une personne m'a fortement manqué. Mais l’être sous l'autorité unique de Maîtresse est comme repartir de zéro.

Je redécouvre la soumission a travers les ordres de Maîtresse hautement plus sadique que ne pouvait l’être Erwan et pourtant....

Comme par exemple hier.
Déjà, j'ai due aller a la piscine avec une couche de bain. Une horreur et une honte maximale. Dès mon retour sous collier, elle m'a remise des couches (Ça ne m'a vraiment pas manqué) et sous prétexte de canicule, elle m'a faite boire 2 grand verres d'eau par heure. Inutile de préciser que j'ai vite réappris a utiliser mes couches.
Hier donc, direction la piscine. Le matin, petit déjeuné a 9h, un grand bol de café, un grand verre de jus de fruits puis toutes les heures, mes 2 grands verres d'eau. au repas du midi, Maîtresse m'a fait boire 3 grand verres d'eau pendant un repas léger. Puis après repas, l'heure du change avec une couche épaisse et 3 inserts dans la couche. Par dessus, cette culotte blanche, neutre dite, culotte de bain. Une fois debout, on ne voyait que ce volume imposant. J'avais honte avant d'y aller. Nous sommes restés a la piscine de 14h à 19h. Intitule de dire que j'ai fais sensations durant ces 5h. Personne ne m'a rien dit mais les regards parlent souvent plus que les mots. J'ai vite repris mes réflexes d’être vues avec des protections.

Le soir, de retour a la maison, Maîtresse m'a informée de son souhait de me faire porter des couches sur des longues périodes comme l'avait fait mon ancien Maître. J'ai donc due rapidement informé ma...mère de mon retour en soumission et donc en couches. (Elle n'en a pas été surprise elle non plus).
Je sais déjà que je vais devoir passer mes 2 prochaines semaines en couches jours et nuits....Un retour aux sources comme ont dit.

Le coté sadique de Maîtresse s'est surtout exprimé quand elle m'a ordonné de me munir d'un gode ceinture et de.....sodomiser Erwan qu'elle avait mit en position d’accueil. J'avais beau lui dire que c’était mon ancien Maître et que je ne pouvais pas, mais elle m'a raconté toute leur vie avant ma venue. Tout ce que je ne savais pas, ce que je ne connaissais pas. J'ai appris hier soir que j'ai été la soumise d'un soumis. que je me suis donnée a quelqu'un qui a moins de droit dans son couple que je n'en ai eue avec eux.
Je m'en suis retrouvée un brin choquée car je n'ai rien vue en 5 ans. Ils ont parfaitement bien caché leur jeu, leur vie. Et de cette stupeur est venue un brin de colère sommes toute mesurée bien entendue. Et c'est la que j'ai réalisée que je passais ma déception en sodomisant mon partenaire de soumission que Maîtresse appel le semi esclave.
une fois passé l'acte, Maîtresse m'a tout expliqué. C'est elle qui a autorisé Erwan a me prendre comme soumise mais c'est elle aussi qui validait tout depuis le départ. Elle donnait ses consignes et il les appliquaient.
Si Erwan prenait des initiatives, il pouvait en être puni et c'est ce qui explique que parfois, je le trouvais en mauvaise posture. Naïvement, je pensais juste qu'ils jouaient ensembles, comme ils me l'ont toujours expliqué car je savais qu'Erwan avait été soumis avant de m'avoir pour soumise. Mais il n'en est rien, il a toujours été soumis même en ma présence.
Maîtresse a donc fixé les rôles et places de chacun. Maîtresse commande tout naturellement et je lui suis soumise. Mais, Erwan est sous moi. Maîtresse me donne tous droits sur mon "ancien" Maître comme pour bien me faire comprendre a quel point il n'est pas un simple soumis. J'ai refusé ce point, ne m'en sentant pas capable. Mais la encore, Maîtresse a mit le doigts sur ce que j'ai refusée de voir durant les 5 ans.
- Comme par exemple, un jour ou Maître a porté sa cage de chasteté et ou j'avais la clé. Il n'a demandé a être libéré que 7 jours plus tard....loin d'une pratique d'un dominant et pour cause, c’était un ordre de Maîtresse.
- Lors d'une journée au bord de mer ou Maître portait 3 couches avec 3 inserts par couches que j'ai due lui mettre et un banal short blanc ne cachant rien....rien d'un dominant.
- Maître qui est attaché dans le grenier et qui est fouetté, par Maîtresse et alors que je les surprends, elle me fait participer....rien d'un dominant.
- Elle a finie sa démonstration par des ordres que j'ai reçue et qu'elle ne pouvait pas connaitre a moins de les avoir donné elle même.
Je n'ai pas réussis a leur en vouloir car ils m'ont toujours bien considérée et bien orientée. Mais j'avoue que je me suis sentie perdue.

Maîtresse m'a fortement rassurée en me disant que rien ne sera globalement différent d'avant si ce n'est que j'ai tous droits sur le semi esclave et comme pour marquer le coup, Maîtresse m'a offert le double de la clé de la cage de chasteté d’Erwan. Elle me laisse libre de le libérer si je souhaite un moment intime avec lui comme j'ai pu en vivre pendant les 5 ans. Mais si j'use de ce droit, je vais devoir gérer son retour en cage et sa "rébellion" qui suivra sur les 5 à 7 jours suivants. en gros, je vais devoir être sévère avec celui que je pensais être mon Maître durant ces 5 ans. Je dois reconnaitre que gérer cet...homme n'est pas pour me déplaire. Au moins, je pourrais lui montrer ce que j'ai retenue de ma soumission sous "ses ordres". en attendant, je porte la clé autour du cou, comme Maîtresse.

Pour finir, Monsieur TSM, Maîtresse m'a expliquée qu'elle n'a pas de souhait particulier en terme de moments intimes entre nous. elle a ses amants et ça suffit a son bonheur. Mais si je le demande, elle me laissera venir sans soucis. Ceci dit, je suis a des années lumières de vouloir le faire et surtout, je ne serais plus locataire en Bretagne, juste invitée de temps en temps, donc une soumise moins active que ces 2 dernières années. C'est d'ailleurs ce qui explique que je reporte des couches activement et qu'il est probable de je doive en porter jours et nuits même une fois de retour chez moi.
affaire a suivre.
il y a 5 ans

Si je peux me permettre d’entrer dans votre conversation, je comprends Pow pour avoir vécu la même chose. A mes débuts dans le monde coquin et BDSM, j’étais comme Pow. L’idée qu’une femme me touche ou que je la touche me gênait beaucoup. J’annonçais aussi ne pas être lesbienne et lesbienne je ne le suis toujours pas. Mon Maître m’a appris à me laisser aller par surprise. J’étais attachée les yeux bandés, nous jouions pluralité, c’était bon de me laisser porter. Une personne que je pensais un homme m’a bouffé la choune, c’était bien mieux que mon mari et Maître qui est excellent aussi ! J’ai su après avoir joui que c’était une femme.

J’en ai pleuré, j’avais honte. Il s’est entêté à me dire que j’avais joui et que j’avais un blocage sur l’idée que l’on puisse penser que je sois lesbienne. Il n’avait pas tord. C’est de mon image que j’avais peur. La deuxième fois qu’il m’a fait le coup, j’étais aussi attachée mais je voyais tout. Une soumise a été chargée de me faire jouir faute de quoi, elle serait fouettée. Comme c’était pour la bonne cause, le fouet du Maître était énorme, je me suis interdit de me bloquer. La fille m’a eue plusieurs fois de suite. Depuis cette fois, je ne suis plus fermée, je n’ai plus peur de ma propre image, je ne fuis plus et j’y prends même beaucoup de plaisir même si je préfère toujours les hommes.

Je confirme ce que dit TSM, Si les femmes entre elles peuvent être très perverses, elles sont plus douées que les hommes pour les faire jouir.

Je ne suis toujours pas lesbienne, je suis juste devenue bisexuelle ce qui n’a aucun rapport.
il y a 5 ans

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