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Notre témoignage
Notre relation a évolué avec le temps pour devenir de plus en plus BDSM dans le sens humiliations au pluriel.
Au départ c’était un jeu coquin, nous nous en amusions. Avant d’aller en club, je plaisantais en lui disant « je sors mon cocu ce soir » ou des choses comme ça. Cocu il ne l’était pas, nous étions totalement d’accord.
Il a commencé à chercher et télécharger des vidéos de trucs qui l’excitaient, de trucs de plus en plus humiliants. Son but était de me donner des idées. Et puis un jour, il a dit en rigolant que j’étais une maîtresse en formation à un couple avec qui nous avions joué. Ce soir là il avait un peu trop bu, il disait n’importe quoi au point d’en devenir humiliant. Autant dire que j’étais furieuse.
J’ai du conduire pour rentrer alors que j’ai horreur de conduire la nuit. En arrivant à la maison, je lui ai fait mettre sa cage de chasteté. A ce moment là, ce n’était plus du jeu j’avais envie de le dominer, de lui faire mal, de lui faire payer ses humiliations. La cravache qui n’avait servi qu’à nos petits délires est devenu punitive, j’ai eu honte de moi le lendemain en voyant ses fesses.
Mon mari ne m’en voulait pas, il disait qu’il l’avait mérité et s’excusait de toutes les bêtises qu’il avait pu dire. Ces dérapages, ses propos en public et la cravachée excessive, ont ouvert la porte à ma retenue.
J’ai alors commencé à le dominer plus durement, et à aimer ça. Ce n’était plus un jeu et sans m’en rendre compte, je continuais à lui faire payer ses affronts en public. Il n’avait pourtant dérapé qu’une fois, mais ma colère déplacée et excessive m’avait changée. Je devenais de plus en plus dure, trop dure, à faire du n’importe quoi.
Pour moi, il n’avait pas à s’en plaindre, c’est lui qui avait voulu jouer cuckold, c’est lui qui avait acheté la cage de chasteté, et c’est encore lui qui cherchait des vidéos de cocufiage hard, extrêmes et humiliants.
Un jour il a pété un câble et m’a dit que j’allais trop loin. Qu’il était d’accord pour que j’ai des amants quand on sortait et m’a rappelée qu’on avait dit « jamais l’un sans l’autre ». A ce moment là, j’avais commencé à sortir sans lui, je lui avais envoyé un selfie avec un mec me baisant en levrette.
La dispute a été terrible, et pour me venger, je lui ai retiré sa cage de chasteté et nous ne sommes plus sortis. J’arrêtais le libertinage.
On a fait un pause d’un an pour sauver notre couple.
Un matin je l’ai trouvé en train de se masturber devant l’ordinateur, il regardait une vidéo cuckold. On s’est encore disputés et puis nous avons fini par nous calmer, redéfinir nos envies, nos règles. On a recommencé le cuckold, je suis encore plus dure qu’avant avec les mots mais je ne sors plus sans qu’il le sache.
On en joue mais il sait toujours tout.

Pourquoi je vous raconte ça aujourd’hui alors qu’on est sur le site depuis longtemps ? Parce que je viens de le trouver devant l’ordinateur en train de se masturber. Il n’a pas pu finir, je lui ai imposé de mettre sa cage de chasteté et ce soir on ira dans un club libertin. Cela fait trop longtemps que nous n’avons pas joué, que je n’ai pas martyrisé mon enfoiré de mari que j’aime comme une folle.

Voilà, je vous ai raconté notre histoire pour partager avec vous nos expériences. Il ne faut jamais s’arrêter de parler, de se dire les choses. Ne jamais croire que l’autre sait, a compris que... Le dialogue permet de faire beaucoup de choses pour se rendre heureux mutuellement.