Les effets hallucinatoires de la fessée

« Les effets hallucinatoires de la fessée ont une interaction sur l’excitation des nerfs du siège sur la libido ». Pas toujours monsieur Richard von Krafft-Ebbing !
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Si la fessée est érotique est le prélude à d’autres activités dites de rapprochement des corps, elle agit effectivement sur la libido. Si elle est donnée dans le cadre d’une forme de discipline, indirectement elle contribue au bien être et à l’épanouissement. En ce cas, il m’arrive d’être bien mouillée une fois que mon fessier est bien rouge. Mais quand la fessée est donnée à tord et à travers, elle ne flatte en rien ma libido, bien au contraire.

J’avais fait une faute sur la liste des courses rédigée sur un support aimanté posé sur le frigidaire. Ce simple méfait sauta aux yeux de Monsieur qui, s’en offusqua. il manquait un accent à « herbe a chat ». Ce crime de lèse la majesté orthographe allait me valoir une fessée. Pendant qu’il se débarrassait avant d’aller prendre sa douche, rien que d’y penser ma libido gambergeait, mon cerveaux naviguait entre petite crainte et excitation. L’attente fut la cause d’une petite trace d’humidité au fond de ma culotte. Une fois douché et changé, il m’interpella et me mit au coin comme une gamine pour me faire la morale. Le a sans accent est le a du verbe avoir. « L’herbe ne pouvait avoir le chat ». Il convenait donc de mettre un accent sur le à de « herbe à chat ».

A la suite de cette explication orthographique, il me parla de la honte qui aurait été la sienne si il avait invité quelqu’un à prendre un verre, et que le dit invité, voit cela. Invitée à me coucher sur ses genoux, la culotte me fut baissée avec un élan différent des autres fois. Au lieu de prendre le plaisir de déculotter son séant préféré avec délicatesse, il arracha presque ma culotte et se mit à me tanner les fesses comme un brutus. En tant que fautive, cette fessée acceptée sans discussion commença, outre la douleur, à nettement moins me plaire. Il brisa le charme de cette séance de discipline domestique en se plaignant du cumul de ses tracas au travail et des désagréables surprises qu’il avait quand il rentrait à la maison. De toute évidence, il passait ses nerfs sur mon fessier.

Mon fessier n’est pas un défouloir. Monsieur Richard von Krafft-Ebbing, vous auriez du l’indiquer en 1886 lors de votre étude des perversions sexuelles intitulée Psychopathia Sexualis ! ! !

Un fessier ne peut être un défouloir. Il peut être le siège de convoitises, le transmetteur d’émotions sympathiques analysées par le cerveau ou des effets d’une punition mais en aucun cas, il ne peut servir à apaiser vos nerfs.
il y a 5 ans

[i:34hmgwkz]Un fessier ne peut être un défouloir. Il peut être le siège de convoitises, le transmetteur d’émotions sympathiques analysées par le cerveau ou des effets d’une punition mais en aucun cas, il ne peut servir à apaiser vos nerfs.[/i:34hmgwkz]

Au contraire un(e) vrai soumis(e) doit être heureux(se) d'offrir ses fesses à son ou sa maître(sse) pour qu'il ou elle se soulage de sa tension. Et plus la correction aura été sévère et injuste plus le maître ou la Maîtresse appréciera le sacrifice et le cadeau de son ou sa soumis(e). Et puis qu'est-ce que c'est que cette soumise qui décide ce qui est juste ou non? Tu mériterai une bonne correction pour t'apprendre à rester à ta place...
il y a 5 ans

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