Une première soirée de domination virtuelle

Vous étiez parti en voyage d’affaire pour une vingtaine de jours. Et, vous aviez décidé que ce soir là, nous ferions une petite séance sur le tchat de Fessestivites.
Je me connecte donc à 21h, entre dans le salon privé que vous avez créé et attends sagement votre venue. Je me suis installée sur mon canapé que j’ai déplié, posée l’ordinateur sur la table, connectée ma cam et j’ai attrapé mon livre pour vous attendre.

Quand vous vous êtes connecté, j’étais tranquillement allongée sur le ventre, en petite nuisette, plongée dans mon livre. Votre voix me sort de ma torpeur et je relève la tête en refermant d’un coup sec mon livre. Je me rapproche de l’ordinateur et nous commençons à discuter.

Après 10 minutes de discussion sur tout et rien, vous me demandez de vous montrer que votre soumise est bien à disposition. La nuisette étant quasiment transparente, je n’ai rien besoin de faire concernant ma poitrine. Je me lève, relève la nuisette et vous pouvez constater, que je suis bien disponible. Vous me dîtes que je suis une « bonne petite ». Cette expression me fait grogner et vous vous en servez pour lancer le jeu. Vous me dîtes que, puisque je grogne, je peux très bien passer en mode chienne. Mais que pour commencer, je vais d’abord poser les pinces à seins. Le temps que je cherche dans ma boite magique, vous rajoutez qu’il vaut mieux pour moi que, j’ai tous les jouets nécessaire à vos envies. Je l’espère aussi.

Je sors donc les pinces et les posent doucement, comme vous le souhaitez. Celles-ci ne sont pas méchantes et réglables, je pourrais donc les garder, tout le temps de la séance. Je m’attends à ce que vous me demandiez de me dénuder, mais vous trouvez le spectacle très agréable ainsi. Vous me demandez si, j’ai reçu votre colis. Je vous réponds que oui et vous me demandez de l’ouvrir. Dedans, se trouve une gamelle, la queue de chat little et le diadème de chatte de chez ABCplaisir.

Je vous remercie et vous m’ordonnez de mettre le diadème et la queue. Quand je commence à mettre la queue, vous m’arrêtez et me demandez de la mettre en étant dos à vous et bien entendu, totalement exposée. J’obéis en laissant tout de même un grondement m’échapper. Je me remets face à la webcam, à quatre pattes, appuyée sur les coudes.

Puis, vous posez la question fatidique. « As-tu dîné et si oui, quoi ? ». Je vous réponds que oui et une soupe. Votre réaction est celle prévue, votre voix tonne dans mon appartement. Tout en grondant que, la soupe lyophilisée, c’est bien une fois de temps en temps quand je ne suis pas chez moi, elle n’est pas tolérable autrement. Vu que vous n’êtes pas présent, vous m’ordonnez de noter ceci dans mon carnet de punition et tout de suite. Je me lève et reviens avec le carnet. Je me retiens de vous dire que, un chat ne sait pas écrire. Une fois que c’est chose faite, vous m’ordonnez de resserrer les pinces.

Ensuite, vous m’ordonnez de m’installer confortablement et de manière à ce que, vous me voyez entièrement. Une fois que, ma position vous convient, vous ordonnez d’écarter les cuisses et de commencer à me masturber. Je deviens rouge pivoine et un gémissement m’échappe. Cependant, j’obéis. Mes gestes sont d’abord hésitants, prudents. Moi qui ne suis déjà pas à l’aise pour faire ce genre de chose toute seule….

Vous finissez par m’interrompre et me demandez de modifier ma position, de manière à ce que vous ne voyiez que mon visage. Vous me demandez de prendre le magic wand et d’imaginer que c’est vous qui prenait possession de moi. Quand je recommence à plonger dans le plaisir, je ferme les yeux et vous me demandez de les rouvrir. Vous ne souhaitez pas que nous perdions le contact visuel. Dans mon bas ventre, les papillons commencent doucement à décoller. Ma main de disponible, tord la couverture et mon regard se perd dans le vôtre. Les papillons commencent à tout dévaster sur leur passage, mes nerfs se contractent les uns après les autres. Ma respiration se fait de plus en plus hachée, perdue dans le désir. Ce n’est plus du s a n g dans mes veines, mais du désir, chaud brûlant, carbonisant tout sur son passage. Par habitude et parce que je vous ai en visuel, mon corps part à la recherche de la chaleur du vôtre. Malgré le fait, qu’il ne la trouve pas, mon corps se cambre. Et quand, vous me donnez la permission de partir, mon s a n g s’embrase et les papillons explosent en une gigantesque tornade. Celle-ci entraîne le relâchement de mes nerfs d’un coup sec.

J’ai l’impression d’être composée de milliards de petits morceaux, qui sont en train de se recoller, en même temps que ma respiration retrouve sa régularité. Je vous remercie les yeux emplis de désir et vous dit que je vous aime et que vous me manquez. Qu’il est temps que vous rentriez.
Vous me souriez et me demandez de retirer doucement les pinces et le diadème. Par contre, vous souhaitez que je dorme avec la queue et sur mon canapé, comme « toute bonne chatte qui se respecte ». J’avoue que je n’ai pas la f o r c e de rejoindre ma chambre de toute manière.

Nous quittons le tchat de fessestivites, cependant, nous nous retrouvons ailleurs. Vous me dîtes que, nous allons rester connectés, le temps que je m’endorme et que vous alliez vous coucher. J’éteins donc la lumière du plafonnier, me roule en boule dans la couverture et m’endors sous votre regard bienveillant.

Merci Maître, pour cette délicieuse soirée.
il y a 5 ans

très belle histoire et agréable a lire :D
il y a 5 ans

Merci beaucoup pour ce petit message
il y a 5 ans

Un petit témoignage fort sympathique qui me donne envie de faire vivre la même chose à ma Soumise!
il y a 5 ans

Publicité en cours de chargement