Esclave d'un couple .... et par n'importe quel couple !

Histoire imaginaire

Deux hommes, une femme …. Un bi, un homo et une femme mais quelle femme …. Une évolution inattendue !

Moi, homme de 36 ans, pacsé depuis 5 ans avec un homme, lui, homme de 46 ans, pacsé depuis 7 ans. Sans doute notre seul point commun. Elle, 38 ans, divorcée.

Si j’ai toujours été bi, lui a toujours été attiré par des hommes. Souhaitant construire une relation à deux avec un homme ou une femme, je pensais que ce serait lui. Des hauts, beaucoup de bas dans notre relation, mais la fidélité et des valeurs communes constituait le socle d’une relation. Des fantasmes inavoués allaient toutefois mettre un frein à notre équilibre qui était en réalité précaire.

J’ai commencé à surfer sur Internet, discuté et échangé. Mes désirs de soumission revenaient, de plus en plus fort, l’impossibilité de lui avouer provoquait une forte frustration. Culpabilité de vouloir vivre des fantasmes non partagés. Des jours, des mois et même des années s’écoulèrent. Etais-je fidèle ? Etais-je sincère dans ma relation ? Notre couple battait de l’aile et je décidais de lui avouer ce fantasme.

Surpris, il me dit que nous n’étions peut-être plus sur la même longueur d’onde et que c’était mieux de se séparer. Je décidais de partir un an à l’étranger pour faire le point sur moi-même, sur ma vie, sur notre couple. Nous nous appelions régulièrement et un jour il me dit que beaucoup de choses avaient changé, qu’il lui serait impossible de revenir en couple avec moi. Un mois avant mon retour il m’annonça qu’il était en couple avec … une femme, qu’elle me connaissait puisque c’était mon ex compagne avec qui je suis resté deux ans. Stupéfaction de ma part. C’est avec elle que j’ai fait mes premiers pas dans le SM. Nous avions perdu le contact. J’allais rentrer en France dans un mois, mon ex en couple avec mon ex. Le mois s’écoulait, le jours du retour arriva.

Ils vinrent tous les deux me chercher à l’aéroport pour m’emmener dans un endroit inattendu. Ils semblaient tendres et complices l’un envers l’autre. Dès que je l’ai vue, je me sentais soumis comme je l’avais été pendant nos 2 années ensemble, quand je l’ai vu, je senti que son regard sur moi avait changé.

Lui au volant, elle assise sur le siège passager et moi derrière. Ils s’embrassèrent comme si je n’existais pas puis il démarra. Je commençais à prononcé quelques mots, mais elle m’arrêta aussitôt. Je me tus. Silence, j’étais confus. Il s’arrêta à la gare et sans me regarder il m’annonça qu’il avait fait les démarches pour rompre le pacs car il allait se marier avec mon ex compagne. J’étais stupéfait. Pourquoi venir me chercher si c’était pour me rejeter ainsi ? Elle ajouta : « J’ai avoué à Dimitri tes petits secrets, ton goût pour la soumission ». Lui :  «Tu cachais bien ton jeu ». Moi ; « Et toi, tu es en couple ave... ». Elle ne me laisse pas finir ta phrase et dit :  « On ne va pas revenir sur le passé et mets toi bien dans ta petit tête que Dimitri sait exactement ce qui me fait plaisir, ce que j’aime et qu’il fait l’amour comme un Dieu contrairement à toi. Enfin bref, nous avons quelque chose à te proposer ». Moi ; « Oui » Elle : « Nous aimerions que tu sois notre esclave ». Lui ; «Un esclave obéissant ». Elle : « Si tu acceptes, ce que tu possèdes nous appartient, tu ne seras plus rien, tu auras juste le respect qu’un Maître a envers son esclave ». Je revis le jour où elle brisa la cane sur mes fesses, je connaissais parfaitement son sadisme et sa perversité. Lui ;  « Pendant tes années j’ai cru que nous étions fait pour être ensemble alors que maintenant, grâce à Leila, je découvre une sexualité et sais que mes excès d’autoritarisme avec toi cachait une volonté de te soumettre ».
Surpris, choqué, j’avais l’impression que mon désir d’être l’esclave d’un couple allait se réaliser, mais jamais je n’avais imaginé ni fantasmé un tel scénario.
Ma réponse : « Je veux bien être votre esclave ».
Leur réponse : « Parfait ». Ils s’embrassèrent tendrement devant moi et me demandèrent ce que je ressentais.
Aucune réponse de ma part.
Eux : « Ta souffrance psychologique et ta souffrance physique fera partie de notre plaisir, tu peux encore descendre de la voiture, nous oublier ».
Moi : « Merci de m’offrir cette chance, je veux être votre esclave ».
Il démarra la voiture, puis s’arrêta devant un sex-shop.
Elle à lui : « C’est ici que j’ai acheté sa première cage »
Lui en riant ; « Ce n’est pas à moi que tu en ferais porter une ».
Ils m’ordonnèrent de les suivre. Une fois rentré, je vis pas mal de curieux, de couples, de personnes qui étaient là comme dans un musée qui abritait des objets propres à la plaisanterie. Elle s’approcha du vendeur pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille, ce qui le fit rire, lui se dirigea vers le rayon fouet. Il revint, un paddle et un fouet à la main, le vendeur alla chercher une cage de chasteté et un gode ceinture. Tout le monde regardait discrètement la situation. Mon malaise et mon excitation grandissaient. Les gens commençaient à identifier les rôle de chacun. Un homme me dit « Tu es courageux d’être soumis à un couple ». Gifle de sa maîtresse : « Demande l’autorisation avant de parler même à un vulgaire esclave. Rire et consternation dans la boutique. Nous repartimes, avec cette cage de chasteté, le fouet et le paddle et le gode ceinture. Arrivé dans l’appartement qui fut le chez nous mais qui allait devenir le chez eux, j’allais prendre une douche. Ils vinrent tous les deux. Epilation intégrale à la cire. Souffrance et douleur. Elle m’ordonna de me mettre à quatre patte, puis commença avec son doigt à me faire un massage de la prostate. Quelques minutes suffirent pour que du sperme coule de mon sexe en semi-érection. Ils se mirent à rire tous les deux. Ils me sodomisèrent ensuite, à tour de rôle, puis elle me plaça la cage de chasteté. Ils me demandèrent de sortir préparer le repas, nu encagé pendant qu’ils allaient s’adonner à quelques plaisirs charnelles. Une fois terminé, ils crièrent mon prénom et m’ordonnèrent de tout nettoyé. Ils dinèrent tous les deux et me donnèrent leurs restes.
Lui à elle : « Nous avons oublié quelque chose »
Elle : « Pas grave, un autre jour ».
Ils allèrent se coucher dans ce qui fus notre chambre commune, un matelas m’attendais dans la cave.
Le lendemain, je voulus sortir mais dans la nuit, l’un des deux était descendu fermer la porte à clef. J’attendais patiemment mais une envie pressante vin à bout de moi. Je ne pus me contenir et urina nu, accroupi dans un coin. Ils arrivèrent à ce moment là. Je tendais de me fondre en excuse, mais il alla chercher le fouet. Elle me donna 10 coups, lui 10. Ils m’annoncèrent que nous allions passer la soirée dans un club libertin SM que nous fréquentions.
La journée passa, je compris que mon rôle était de faire les corvées, que je devrais vivre nu et qu’ils passeraient leur temps à s’embrasser comme deux tourtereaux.
Alors que j’étais en train de passer la serpillère, il vint me voir, toucha la cage de chasteté et se mit à rire. Elle voyant le spectacle de loin vint à notre rencontre, le prit dans ses bras et lui demanda de ne pas être trop dur, que la soirée serait rude.
La journée s’écoula, je pris mes marques rapidement, cette nouvelle situation me convenait, ces humiliations et cette souffrance me procurait un plaisir non encore ressenti jusqu’à ce jour.
La soirée arriva, puis nous allâmes dans ce club vers 23H. Je n’y avais pas mis les pieds depuis des années, les patrons avaient changé. Une fois rentrée, le patron salua mes Maîtres et leur dit « Nous vous attendions ». Ils m’ordonnèrent de me mettre nu, puis le patron m’emmena, me mis en laisse et me fis faire le tour du lieu à 4 pattes. Beaucoup de rire et de moquerie à mon égard, de stupeur aussi. Je vis de nombreux couples, d’hommes seul, beaucoup de couples vanilles. Certains se caressaient, d’autres regardaient. Beaucoup regardait mon sexe encagé. J’avais le regard fuyant et ne pouvait fixer personne du regard. Un sentiment de honte vint lorsqu’en je croisai un couple d’ami que je n’avais pas vu, un couple vanille et voyeur. Lui ; « toi, là ? » Elle : « Regarde la cage ». Mes Maitres qui me regardais de loin s’approchèrent et leur dirent que j’étais maintenant à leur service et leur esclave. Ils se mirent à rire de bon choeur tous les 5, et de mon côté je perdis toute pudeur.
Le patron : « Il va être à vous dans quelques instants ». Je m’attendais au pire. Il me fit mettre debout puis m’attacha à la crois de Saint-André. Mes Maîtres s’installèrent dans des fauteuils et commencèrent à discuter avec le couple d’ami.
Soudain la musique s’arrêté : Le patron prit le micro : « Bonsoir à vous toutes et à vous tous et bienvenue au Divin Marquis. Laissez votre pudeur et le maître de mot de la soirée est, comme toujours, plaisir et douleur et plaisir dans la douleur. Alors il s’agit d’une soirée un peu particulière pour une personne ce soir. Situation peu banale, il a accepté d’être l’esclave d’un couple, un homme, une femme, ses deux ex. Applaudissement dans l’assistance. Alors ce soir, à leur demande, faites vous plaisir, faites de leur esclave votre souffre-douleur. Vous voyez ce fouet dans ma main, prenez-le et faites souffrir leur esclave ». Applaudissement la salle.
Mes Maître vinrent vers moi, me caressèrent le dos et me dirent que lorsqu’ils me caresseront le dos la douleur sera tel, que je ne supporterais plus le passage de leur main sur mon corps. Le patron vint leur remettre le fouet, ils me donnèrent chacun une dizaine de coups comme pour me préparer à cette séance de flagellation mémorable. Ils donnèrent ensuite cet instrument de torture à ce couple d’ami. Un ami qui se révéla aussi sadique que mes Maîtres, une amie aussi perverses que mon ex.
La soirée passa ainsi, je reçus le fouet pendant deux bonnes heures, avec quelques moments de répit. Pendant ce temps quand je retournai la tête je voyais mes Maitres se caresser. J’implorais leur pitié, aucune pitié de leur part. La séance terminée, ils me montrèrent la photo du résultat. Résultat à la hauteur de la souffrance subie, de nombreuses morsures. Ensortant, le couple d’ami me dit qu’ils avaient une autre image de moi à présent et qu’ils me verraient comme un esclave.
Je rentrai difficilement à la maison, en rentrant, ils me firent mettre à nu. Dimitri prit le paddle et m’infligea une dizaine de coups sur mes fesses déjà endolori. Ils me firent asseoir sur une chaise, position insoutenable, m’attachèrent mains dans le dos et firent l’amour sous mes yeux en me jetant de temps à autre des regards. Lui : « Magnifique ta queue encagée », elle : «Surtout inutile et inutilisable ». Ils jouirent tous les deux, ensemble, me libérent pour que je nettoie et refasse le lit puis m’emmenèrent à la cave, en laisse où je passai une nouvelle nuit. Ils s’embrassèrent devant moi et fermèrent la porte derrière eux.
il y a 5 ans

Merci pour cette histoire , j'ai eu un plaisir à lire et en plus une érection , Cordialement .
il y a 5 ans

Bravo et merci pour cette histoire
il y a 1 an

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