• 0

Existe-t-il des dominatrices pratiquant les arts martiaux ? C'est mon fantasme les femmes qui savent se défendre

• 0

Oui, il existe bel et bien des femmes dominatrices pratiquant des sports dit de combat.

Un peu d’histoire car cela ne date pas d’aujourd’hui !

A Rome, les patriciennes des plus illustres familles (les Lapides, les Métellus, les Fabiens) ne craignaient pas de prendre le casque et la tunique des gladiateurs et de descendre dans l’arène des munus (4). Il fut un temps où la femme romaine venait demander des leçons aux rudiaires (maître d’armes) : elle supportait la pression de la visière du casque, s’essoufflait à porter l’armure tout en s’escrimant au poteau sous les commandements du professeur. Juvénal (5) attaque vertement cette virilisation par l’escrime : « voyez avec quelle ardeur elles portent les coups … le but contre lequel elles s’escriment, le bouclier au bras, est criblé de coups d’épées dans toutes les règles de l’art ».

Rome eut donc ses gladiatrices (ou gladiateures) qui, selon Juvénal, « s’efforçaient à porter des coups, sous les yeux d’un lanistae (maître d’armes) ». Il écrivait d’ailleurs, à propos de ces patriciennes éhontées qui combattaient dans les cirques romains : ferrum est quod amant ! Sous l’empereur Sévère, un combat opposant des femmes fut organisé et attira une multitude de spectateurs.

Aujourd'hui il y a un peu plus de 200 000 femmes licenciées dans les arts martiaux.

Quel pourcentage est dominatrice ? Il est impossible de donner une réponse, ce qui est sur, c’est que sûr 200 000 femmes, certaines doivent s’adonner au BDSM.

• 0

Cela a toujours été mon fantasme que de rencontrer et jouer avec une femme musclée sachant se battre pour vivre une domination musclée.

• 0

J’ai eu le plaisir d’en rencontrer une mais, désolé pour votre fantasme de soumission, son trip était différent.

C’était une jolie femme, pas grande et assez mince. En clair, pas le genre de femme dont on se méfie et que l’on peut imaginer pouvoir maîtriser...... En bien il ne fallait pas, c’était être ultra dangereux.

L’histoire (réelle) de notre rencontre

J’ai été contacté pour un gang bang BDSM où je devais entraver très sévèrement la femme qui serait livrée en pâture à des mâles en rut. L’organisateur m’avait prévenu que cette femme était TRES particulière. Comme toujours dans ces cas là, je veux avoir un contact téléphonique avec la dame, histoire que nous accordions nos violons et surtout, que je connaisse ses interdits.

OH PUTAIN CON ! Elle pratiquait le krav maga (combat de rue extrême où tous les coups sont permis). Son délire / fantasme était de se retrouver sévèrement entravée et, effectivement, que des mâles en rut la baisent sauvagement. Elle m’avait prévenu et fixé ses règles :

- Je me laisserai attacher sans me défendre ou vous n’aurez plus de dents, de couilles ni de nez. (Merci....)
- Je ne mordrai pas.
- Une fois attachée, je ne me laisserai pas faire, les mecs devront lutter pour me baiser.

Ainsi fut organisé son gang bang « « de rue » » dans un club libertin. Je peux vous affirmer que malgré son mètre 60 environ, je n’aurai vraiment pas aimé me battre avec elle.
Après son gang bang, je lui ai proposé une séances de fouet en lui disant qu’elle pouvait se défendre. OUPS ! Heureusement que j’étais prévenu. Même les poignets liés au dessus de sa tête, pour fouetter la tigresse j’ai pris de sérieux risques. Ses pieds volaient de partout et elle ne semblait pas ressentir la douleur.

Elle m’a expliqué ensuite, autour d’un verre, qu’elle pratiquait le krav maga à haut niveau ce qui impliquait de savoir gérer la douleur pour ne pas s’écrouler, après un coup de poing ou de pied.

Cela a été mon unique rencontre avec une femme pratiquant du sport de combat.