Centre de réalisation des fantasmes
MESSAGE DU WEBMASTER de Fessestivites
Un grand merci à Ecrivaillon pour ce texte mais également pour sa proposition.
[b:1bh59esx]Ecrivaillon VOUS propose :[/b:1bh59esx]
1°) De lire ce texte
2°) D’écrire vous aussi un chapitre comme un « témoignage » que vous pourriez publier à la suite sur notre forum ici.
Ecrivaillon a déjà préparé la fin de l’histoire mais vous donne la possibilité avant de la publier d’y ajouter de petits chapitres que vous appelleriez « témoignage de …. ».
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A noter pour les timides :[/b:1bh59esx]
Comme tout est fictif, n’hésitez pas à laisser courir votre imagination.
Tous les thèmes sont possibles ABDL, libertinage, fétichisme, BDSM, fessée, sexe, homosexualité, autres……
Bonne lecture et à vos claviers.
[size=150:1bh59esx]Centre de réalisation des fantasmes[/size:1bh59esx]
Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure.
La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion.
Pour en savoir plus cliquez ICI
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Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante.
A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à notre technologie, vous fera vivre tout ce que vous aurez programmé. Un bouton de sortie d’urgence est évidement à votre disposition.
Les sessions peuvent être plus ou moins longues, une grille tarifaire est à votre disposition à côté de l’ordinateur.
Exemples de réalisation de fantasmes : BDSM / libertinage / gang bang / urolagnie / ABDL / travestissement / sexe / ….. et tout ce que vous avez envie de vivre même les fantasmes inavouables.
Attention : une séance commencée et intégralement due.
Incompatibilités médicales : problème cardiaque / claustrophobie / problème respiratoire.
Il est fortement conseillé de réserver à l’avance votre cabine.
Une remise est accordée aux membres du réseau de rencontre Fessestivites.com
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Un mois plus tard, devant le succès de cette formule, la société gérant le Centre de réalisation des fantasmes investissait à coups de million pour agrandir son centre et proposer 30 cabines. Lors d’une enquête demandée par le préfet, la première surprise des policiers venus espionner, fut de constater que de très nombreuses femmes revenaient régulièrement et mettaient en péril l’équilibre financier de leur ménage. Un public de tout âge, des jeunes aux personnes âgées se succédait dans les fabuleuses cabines du Centre de réalisation des fantasmes. Les policiers et les journalistes firent des sondages, la seule réponse qu’ils ont pu obtenir est : « c’est magique » ou « c’est extraordinaire » sans plus de commentaire la chose touchant semble t-il la pudeur.
Convoqué par le préfet, le patron de la société refusa de dévoiler la technologie utilisée mais accepta bien volontiers d’ouvrir ses portes à la police en dehors des heures d’ouverture et de les laisser fouiner librement. Pour la technologie, le préfet ne put obtenir comme information que son dispositif permet de mettre les personnes dans l’ambiance qu’ils désirent et de vivre psychologiquement leurs envies les plus folles avec un ressenti physique identique à la réalité. Il expliqua par exemple qu’un masochiste pouvait avoir mentalement les sensations d’une séance hard chez une très cruelle dominatrice, sans pour autant avoir la moindre marque sur le corps. Le patron de la société se permit même de proposer au préfet de tester une de ses machines gratuitement en ajoutant qu’il allait pouvoir s’éclater en toute discrétion en oubliant ses fonctions. Comme l’on peut s’en douter, le dit préfet ne goutta pas son humour….
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[b:1bh59esx]Témoignage d’un homme de 42 ans[/b:1bh59esx]
Père de famille, chef d’entreprise et sportif, mon physique ne se prête en rien à de la féminisation, mais j’ai toujours aimé la lingerie féminine. La voir et la toucher m’excite, il m’est même arrivé secrètement d’en porter le temps d’un moment de plaisir solitaire en l’absence de ma femme. Je ne suis pas gay, ni même réellement bi, mes expériences se limitent à quelques jeux de touche pipi dans mon adolescence. Mon fantasme récurant a très souvent porté sur la féminisation forcée et des rapports sexuels forcés avec des hommes qui se serviraient de moi. Ce fantasme restera pour moi un fantasme, si un mec me tripote je le démonte et jamais on ne me verra avec des fringues de nana.
Le Centre de réalisation des fantasmes m’a permis de tester pour voir mon fantasme en situation quasi réelle. Lorsque je me suis enfermé dans le scaphandre en me traitant de malade mental, je ne m’attendais pas à vivre ce que j’allais vivre. Lorsque la partie gonflable a commencé à recouvrir la totalité de mon corps hormis la tête pour le bloquer totalement, une très sérieuse crainte m’a envahi. La musique douce d’un autre monde diffusée dans le scaphandre m’a permis de me décontracter un peu pendant que le dispositif bloquant la tête se plaquait doucement contre mes oreilles.
Très rapidement je me suis senti « femelle ». J’étais dans un hôtel, des femmes me forçaient à passer des bas et un porte-jarretelles puis un bustier particulier ouvert sur les seins. La particularité de ce bustier était qu’il se serrait dans le dos comme un corset. Elles m’ont ensuite passé une robe de soubrette, après réflexion, aussi impensable que cela puisse paraître j’ai aimé, je n’avais pas honte, au contraire, je me suis senti belle. Ces femmes m’ont entravé les bras dans le dos avant de me forcer à m’asseoir pour me maquiller en me traitant de grosse salope.
Pendant cette première partie, il ne met jamais venu à l’idée de me révolter, j’étais bien, l’excitation me submergeait totalement. Je suis incapable de dire si je bandais, mes bras et mes mains ne pouvaient pas bouger, seuls mes doigts pouvaient le faire pour appuyer sur les boutons d’arrêt qu’il faut enfoncer deux fois avec les deux index pour arrêter le processus.
Perché sur des chaussures à talon, conduit, ou conduite par les femmes dans l’hôtel, croiser des clients et clientes ne me gênait pas, je me sentais belle et désirable. Elles m’ont introduite dans un petit salon où des hommes jouaient aux cartes en annonçant « elle est à vous pour deux heures ». Les joueurs ont abandonné leurs cartes et se sont approchés de moi, leurs mains sont devenues baladeuses et me rendaient folle. Ils m’ont forcée à m’agenouiller, à sucer leurs sexes, aussi surprenant que cela puisse paraître, je faisais cela avec passion en y éprouvant du plaisir. Je crois qu’à partir du moment où le scaphandre s’est refermé sur moi, j’ai perdu le contrôle de mon cerveau car je n’avais plus la volonté de résister à rien.
Forcée de m’agenouiller sur un canapé avec la tête par-dessus le dossier, j’ai continué de sucer des bites pendant que l’un d’eux s’est placé derrière moi. Quand son gland a commencé à fouiller mes fesses, un sursaut de virilité m’a poussée à résister mais entre leurs mains, je n’ai rien pu faire pour lui résister. Au début j’ai eu mal quand il m’a forcée mais cela n’a pas duré. Très rapidement le tigre est devenu tigresse puis chienne en chaleur. Je sais que ce que je viens de dire est totalement illogique mais c’est vraiment ce que j’ai vécu, ou du moins ressenti. Que dire si ce n’est que c’était divinement bon ?
Dans tous les sens possibles et imaginables, ils m’ont prise malgré mes suppliques car au bout d’un moment j’étais épuisée mais il n’en avait que faire, j’étais à eux pour deux heures. Quand l’un d’entre eux s’est masturbé devant mon visage en m’ordonnant d’ouvrir la bouche, mon subconscient me criait « non », mais ma bouche s’est ouverte. Pendant qu’un homme me défonçait le cul, celui qui se branlait devant moi a soudain enfoncé sa bite dans ma bouche pour y déverser sa semence. Un haut-le-coeur m’est venu mais le sperme avait un goût de miel. Je l’ai bu en le suçant son sexe pour aller en chercher les dernières gouttes comme si ma vie en dépendait. Devant ma boulimie de sperme, ils m’ont traitée de sac à foutre, cela ne m’a pas gênée, j’aimais ça. Ils m’ont abandonnée quasiment nue couchée sur la moquette sans plus de considération. Je planais, j’étais bien, heureuse et comblée. Les femmes sont venues me chercher et le scaphandre s’est ouvert.
[b:1bh59esx]Questions posées lors du témoignage 100% anonyme et de l’interview écrite faite dans le box via l’ordinateur immédiatement après la séance.
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- Avez-vous remarqué que vous êtes passée du masculin au féminin lors de votre témoignage ?
- Non, je dois encore être dans votre scaphandre diabolique.
- Après cette expérience, avez-vous envie de concrétiser ce fantasme ?
- Non, c’est hors de question, par contre, mon regard sur les travestis ou transsexuelles sera différent.
- En parlerez-vous à votre épouse ?
- Hors de question, j’ai une image de chef de famille à respecter.
Anonyme
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[b:1bh59esx]
Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille[/b:1bh59esx]
Le fantasme du rapport musclé me suit depuis mon adolescence. A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites économies faites pendant trois mois, car si mon mari le sait…..
Quand j’étais assise sur la chaise devant l’ordinateur permettant de programmer ses folies, j’ai cliqué ci et là en orientant la chose selon mes fantasmes. Seule et face à moi-même j’étais aussi gênée qu’excitée. A la question sur « où pourrait se dérouler votre fantasme» j’ai répondu au stade de foot, d’autres questions ont suivi, j’y ai répondu avec franchise et une grosse part de délire érotiques.
Je mouillais déjà quand je suis entrée dans le scaphandre tant j’étais excitée. Cela m’a fait tout drôle quand mon corps a été recouvert par la combinaison gonflable hormis la tête. une musique douce et relaxante m’a permis de me décontracter un peu pendant que se plaquait le dispositif sur mes oreilles en me bloquant la tête.
Soudain, je me suis retrouvée au stage, le match de mon fils âgé de 8 ans commençait. Le petit dernier de mon amie ayant disparu, nous nous sommes mises à le chercher, chacune de son côté. Je me suis aventurée sans aucune crainte dans le vestiaire des hommes en leur demandant s’ils avaient vu un enfant quand ils ont décidé de refermer la porte puis de la bloquer avec une armoire à casier. J’ai pris peur, je les ai suppliés mais en vain, ils s’amusaient à me pousser vers l’un ou vers l’autre quand soudain, l’un d’eux m’attrapée à bras le corps. Mes coups de pieds n’ont servi qu’à une chose, leur permettre d’attraper mes jambes. Adossée contre celui qui m’avait attrapée, les jambes maintenues écartées quand l’un d’entre eux a plaqué sa main entre mes cuisses j’ai compris que j’allais y passer. « On ne va pas te faire de mal », disaient-il, « juste te baiser et te faire jouir par tous les trous » qu’elle horreur !
En un rien de temps ils m’ont mise nue et portée sur une table de massage pour jouer avec « mes tétines » comme ils disaient en fouillant mon sexe sans plus de précaution. Au fur et à mesure, leurs attouchements très savants comme s’ils me connaissaient intimement, m’ont perturbée, j’ai arrêté de me débattre. Les jambes maintenues en V avec les fesses au bord de la table, je n’ai rien pu faire pour éviter mon rapport musclé. Le plus grand, beau comme un dieu a mouillé mon vagin avec de la salive et m’a prise tout de suite. Quand son sexe s’est enfoncé en moi, je l’ai maudis quelques instants avant de sombrer dans les sensations diaboliques d’une possession virile. Avec les seins pincés, malmenés et sous ses coups de butoir, ma volonté s’est envolée, toute honte bue, j’ai pris en bouche le sexe qu’un des sportifs a présenté à ma bouche en me tenant la tête. Ils étaient six à se relayer en moi pour me propulser dans le monde « sexe » et m’arracher des cris de plaisir.
Ils se sont attaqués ensuite à mon petit trou n’ayant connu que quelques amants dans ma prime jeunesse, mon mari trouvant ça sale. Ce fut titanesque, la possession infernale me propulsa au septième ciel en un rien de temps. J’avais besoin de bites, de partout, ils ne me forçaient plus, je voulais du sexe. C’était pour moi une forme d’exutoire aux sensations trop fortes, j’éprouvais le besoin de m’accrocher aux sexes que je suçais pendant qu’ils me défonçaient.
Comme dans les films que je regarde parfois sur Fessestivites, l’un d’eux s’est étendu sur le dos, les autres m’ont forcée à m’empaler sur lui, et là, un autre s’est mis en position derrière moi, j’allais connaître la double pénétration si redoutée, si fantasmée aussi. Quand il m’a prise par derrière pendant que l’autre s’agitait en moi, une forme de douleur était là, mais c'est le plaisir qui dominait quand soudain un orgasme torrentueux m’a dévastée. J’étais en transe, l’extase mystique me submergeait, mon corps tout entier était pris de spasmes nerveux lorsqu’ils m’ont déposée sur un banc.
Ils éjaculaient sur moi et me recouvraient le corps de leur semence généreuse quand le scaphandre c’est ouvert.
[b:1bh59esx]Questions posées lors du témoignage 100% anonyme et de l’interview écrite faite dans le box via l’ordinateur immédiatement après la séance.[/b:1bh59esx]
- Après cette expérience, avez-vous envie de vous approcher de ce fantasme dans un gang bang par exemple ?
- Non, ce n’est pas possible, mon mari est trop jaloux, lui en parler pourrait être un désastre pour notre couple.
- Avez-vous envie de revenir vivre d’autres fantasmes ?
- J’ai bien peur que votre centre soit déjà une drogue pour moi.
Anonyme
[b:1bh59esx]Témoignage d’un homme de 53 ans[/b:1bh59esx]
Le BDSM et la soumission m’ont toujours fait fantasmer malgré mon métier que je ne vous dévoilerai pas. Mon trip est le facesitting forcé, imposé par une Maîtresse qui me donnerait son champagne à boire. Mes seules expériences en la matière se limitent à mes relations sexuelles vanilles avec ma femme qui a eu beaucoup de mal à accepter que j’aime la lécher après qu’elle ait fait pipi. Le Centre de réalisation des fantasmes m’a offert la possibilité de vivre mes fantasmes au-delà de ce que j’imaginais.
Trop d’abondance ne nuisant pas, j’ai indiqué mes fantasmes à l’ordinateur en précisant qu’il y aurait pendant la séance trois Maîtresses pour me dominer. Sur ce coup là, j’ai franchement surévalué mes capacités même si pour me faire peur, il faut se lever de bonne heure ! Une fois installé dans la machine, j’ai éprouvé les mêmes sensations que les témoignages précédents, mais étant prévenu, j’avais hâte que cela commence.
Sans savoir pourquoi ni comment, je me suis réveillé nu, couché dans un cachot avec des fers de bagnard aux pieds et aux mains. Une chaîne les reliant entre eux, mes mouvements étaient très limités. A ce moment là, j’ai vraiment cru que des Talibans m’avaient enlevé. Avec ce type d’entraves, me défendre était impossible, cela me rendait fou de rage et d’inquiétude. Trois femmes bardées de cuir sont entrées avec accroché à leur taille, un fouet digne des grands films SM. J’ai aussitôt essayé de parlementer avec elles, en guise de réponse, les trois coups de fouet que j’ai reçu laissèrent comme des traits de feu sur mon corps et me firent hurler de douleur. Elles m’ont obligé à marcher à quatre pattes comme un chien dans les couloirs froids au sol bétonné pour me conduire, j’en étais convaincu, à la salle de supplices.
Lorsqu’elles ont poussé une porte en vieux chêne, un magnifique donjon m’est apparu, ses équipements dignes d’une salle de l’inquisition m’ont vraiment fait peur. Elles m’ont obligé à m’étendre sur le dos dans une sorte de caisson mobile. Quand elles ont refermé le couvercle en attrapant mon sexe et mes couilles qu’elles ont bloqués à l’extérieur avec une chaîne, j’étais convaincu qu’elles voulaient m’émasculer, autant dire que je n’étais pas fier. La haut du caisson non fermé me permettait de les voir s’agiter. Une main a saisi ce qui fait de moi un homme pour commencer à s’en amuser pendant qu’une des femmes enjamba ma tête, offrant une vue imprenable sur son entrecuisse. Elle s’accroupit au-dessus de mon visage sans aucune gêne ni pudeur pour bloquer ma tête en position bien droite.
« Si tu me mords, on t’émascule conard » me dit-elle en m’ordonnant de lui lécher les doigts. Elle les retira pour se caresser l’entrejambe avant de me les redonner à lécher. A ce moment là seulement, mon cerveau a repris conscience que j’étais dans le scaphandre du Centre de réalisation des fantasmes. Ces doigts eurent soudain plus de saveur….
Deux petites pinces à la mâchoire sévère furent posées sur le bout sensible de mes seins, munie d'une ficelle tendue avec force, elles m’arrachèrent un cri de douleur déclenchant les rires des Maîtresses. « Chochotte, tu ne vas pas commencer à crier alors que nous ne faisons que commencer, prend ton temps ». Me dit celle m’offrant une vue imprenable sur sa féminité recouvert d’un fin voile de tissu noir. Elle s’agenouilla en plein pour poser son sexe sur mon visage en m’ordonnant d’humer les parfums de sa culotte. Ne nez entre ses fesses, j’avais un peu de mal à respirer mais motiva ma respiration en tirant sur mes tétons avec ses horribles pinces. Ses doigts, s’insinuent sous son string fermant la porte de sa plus profonde intimité qu’elle posa sur ma bouche en m’ordonnant de lécher. Dans la frénésie du moment, j’en oubliais les pinces pour déguster les lèvres intimes de cette Maîtresse fascinante et venimeuse à la fois.
Elles poussèrent le caisson mobile dans le donjon pour me conduire sous une chaise percée.
La seconde Maîtresse retira son string avant d’enjamber la chaise. Ses jambes divines chatoyaient sous l'effet magique de la lumière réfléchie par les crispations de ses muscles oblongs, conduisant irrémédiablement mon regard à la délicieuse partie de l’anatomie féminine. L’ordre d’ouvrir la bouche tomba comme un couperet, je m’exécutais aussitôt pour recevoir le divin champagne d’une femme quand le flot arriva soudain sur mon visage. Elle ajusta son « tir » pour me remplir la bouche. D’un seul coup, mes tétons me firent un mal de chien et mes couilles s’écrasèrent sur le caisson, avale cria l’une d’elle. Pour faire cesser les abominables douleurs je fis ce qu’elles attendaient de moi, mais trop vite. Je me suis étouffé, j’ai toussé comme un asthmatique en crise.
A peine remis, elle finit son pipi et moi de le boire avec une attention très particulière, le pied de l’une d’elle étant toujours sur mes couilles. Sa seconde prit un entonnoir muni d’un tuyau qu’elle plaça dans ma bouche. Le cône plaqué contre son sexe, elle s’abandonna elle aussi, du tube jaillit son champagne beaucoup plus salé. La langue contre le trou du tuyau, j’essayais de doser l’arrivé de l’urine pour ne pas m’étouffer. La source s’étant tarie, elles firent rouler le caisson pour y poser une sorte de tabouret avec en son centre une cuvette fixée par de gros ressort. Quand la Maîtresse à l’entonnoir y prit place, la cuvette descendit aussitôt, son sexe encore mouillé se posa son mon visage. Accompagné d’une traction sur mes tétons, l’ordre de nettoyer ne tarda pas m’obligeant à laper pendant que ses doigts rejoignant la commissure des grandes lèvres, suivirent le sillon de chair tendre, pour parvenir son clitoris qu’elle caressa avec frénésie. Les humeurs liquoreuses ne tardèrent point à alimenter mes papilles gustatives gourmandes pendant de longues et délicieuses minutes.
La troisième Maîtresse au visage fermé et d’une grande dureté vint ensuite poser son seant sur mon visage sans aucun meuble pour la soutenir. Si rien ne vaut un peu de transpiration, la légère moiteur d’une journée, pour que ce parfum féminin intime vous monte à la tête et vous embrase, mais là, une odeur entêtante envahit mes narines. La cruelle dégrafa son body pendant qu’une autre martyrisait avec plaisir mes bijoux de famille comme pour me rappeler ma mission. Assise sur mon visage le dos tourné à mes pieds, je voyais entre ses cuisses fuselées ses yeux fermés, elle se mordait la lèvre inférieur comme pour savourer l’agréable sensation de libération d’une vessie trop pleine. Elle m’inonda totalement le visage et la bouche sans s’arrêter pendant qu’on laminait mes précieuses et m’arrachait les tétons. Je bus tant que je pus en essayant d’éviter la noyade. Cruella puissance deux se frotta ensuite sur mon visage afin que mon appendice nasal visite ses orifices. Elle s’amusa même pendant un instant à empaler son anus sur mon nez, la tête bloquée, il m’était totalement impossible d’y échapper.
Libéré du caisson, je fus ramené à mon cahot mais cette fois en étant conduit en laisse comme un chien. Le scaphandre s’ouvrit lorsqu’elles me poussèrent sur le dallage froid.
[b:1bh59esx]Questions posées lors du témoignage 100% anonyme et de l’interview écrite faite dans le box via l’ordinateur immédiatement après la séance.[/b:1bh59esx]
- Après cette expérience, avez-vous envie de vous approcher de Maîtresses pour revivre ce fantasme ?
- Je ne sais pas répondre pour l’instant, disons qu’avec ma femme, une partie du voyage que je viens de vivre ici me comblerait de bonheur. Je vais essayer de revenir à la charge sur nos libidos défaillantes pour lui proposer d’ajouter du piment dans nos pratiques.
- Avez-vous envie de revenir vivre d’autres fantasmes ?
- J’’en ai bien peur.
Anonyme
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RAPPEL DU WEBMASTER : vous pouvez poster vos "témoignages" sur le forum ici cela devrait donner une sacrée suite à rebondissement.[/b:1bh59esx]
il y a 11 ans
il y a 11 ans
Témoignage de CoquAine 33 ans
Enfermée dans la machine, je me suis retrouvée nue étendue sur la table d’un salon de massage. Une douzaine d’homme silencieux était autour de moi, simple observateur mon nouveau copain assis sur une chaise me souriait. Les regards brûlants de tous les hommes qui me contemplaient sans vergogne pendant me mettaient mal à l’aise. D’autres me massaient avec de huiles chaudes et parfumées, leurs doigts n’épargnaient aucune partie de mon anatomie, même les plus intimes. Au fil du temps je me suis détendue et abandonnée en écartant les jambes pour livrer mon chaton à leurs doigts si doux qu’ils me faisaient chavirer. Quand quatre mains entreprirent de masser mon sexe et mon clitoris, les voyeurs se sont approchés pour me lécher et bisouiller mon corps tout entier. Mon copain s’est approché pour prendre mes mains dans les siennes avec douceur et m’embrasser. A ce moment là, les mains s’occupant de mon sexe se firent plus hardis et fouillèrent mes orifices très réceptifs. On souleva mes jambes avec douceur pour les écarter, un homme monta sur la table pour me prendre avec précaution. Son sexe m’a semblé long, gros fort tant il me dilatait. Quand il allait trop loin en moi cela m’arrachait des gémissements plaintifs étouffés par les baiser de plus en plus fougueux de mon copain. Alors que les mouvements en moi commençaient à me faire monter, un gode vibrant s’enfonça dans mon anus. En même temps qu’il allait et venait, les vibrations sont devenues très fortes et j’ai jouis une première fois en m’accrochant aux mains de mon copain. Je me suis retrouvée à quatre pattes sur la table, un homme m’a sodomisée devant tout le monde, je ne pouvais rien arrêter, rien empêcher, rien interdire car mon corps ne m’appartenait plus, il appartenait à plaisir. Plaisir en avait pris possession. Des mains massaient mon sexe et mes seins pendant que l’homme me sodomisait avec vigueur, leur seul but, mon plaisir. Mon copain ne lâchait pas mes mains, il ne les tenait pas, il m’accompagnait. L’homme à la carrure d’athlète m’a soulevée comme un rien pour me plaquer contre lui et me faire glisser lentement sur son pénis de bonne taille. Empalée et maintenue par ses bras musclés pendant que d’autres soutenaient mes pieds, un autre homme m’a pénétrée par derrière. Les deux sexes en moi bougeaient en même temps, j’hurlais mon plaisir qui ne s’arrêtait jamais. Ils m’ont ensuite couchée sur la table en laissant mes jambes dans le vide. L’un après l’autre, les hommes sont venus me posséder pendant qu’en face de moi, mon copain se caressait. Je voulais attraper son sexe et le sucer mais je n’y arrivais pas, je me revois en train de tirer la langue pour lui faire comprendre que j’avais envie de lui, que je le voulais dans ma bouche mais il se refusait à moi en me souriant. Quand le dernier m’a prise par derrière, mon copain s’est enfin approché de moi pour m’offrir son sexe dur comme de la pierre. Je pouvais enfin pu lui donner tout l’amour que j’ai pour lui. Les hommes m’ont attrapée et soulevée pour m’offrir à lui. Maintenue en l’air avec les jambes écartées mon intimité tout entière lui était offerte. Il m’a prise à son tour, j’aurai aimé le serrer dans mes bras mais c’était impossible. Pendant qu’il me faisait l’amour, ses yeux me faisaient l’amour, on nous regardait faire l’amour, je jouissais, je jouissais encore et encore quand la machine s’est arrêtée.
il y a 11 ans
il y a 11 ans
il y a 11 ans
je me suis retrouvée à quatre pattes dans une ambiance feutrée d'un donjon équipée de chaînes, une croix st André, un fauteuil en cuir noir, un carcan, des bougies un peu partout, accompagné d'une musique celtes,
Habillée d'un corset bien serré, de bas et des hauts talons, un homme vêtu d'habits noir avance vers moi,me met un collier avec une laisse et m'accompagne dans un endroit bien précis de la salle, devant le fauteuil , il s'assied me tend ses pieds que je déchausse délicatement et que je lèche avec passion,
J'essaie de voir ce qu'il y a autour de moi dans ma position, j’aperçois au fond de la salle deux silhouettes de femmes,
Il me relève, me rassure et me confie à ces Maîtresses bien décidées à me faire souffrir,
La première dominatrice me prend par la laisse, m’amène sur la croix, me lies les mains et les chevilles en me caressant les fesses puis le sexe que je sens humide sous ses mains,
J'entends claquer un fouet que tiens dans la main de la deuxième dominatrice,
le son de cet instrument de supplices me fait encore plus mouiller,
je reçois plusieurs coups bien portés , je me tord de douleur et de plaisir mélangés
je commence a perdre pied, quand elles me détachent et m'allonge sur le sol,
L'une d elle écarte les cuisses s'amuse avec mon sexe avec martinet, pinces, cire chaude, vibro, tandis que l'autre s'assoie sur mon visage , je lèche son sexe parfumé, bien épilé alors qu elle me malaxe les seins , me les pince , les tord, le tire dans tout les sens,
je travaille avec ma langue jusqu'à ce qu elle jouisse, puis elle se retire et laisse la place a son amie
je fais la même chose jusqu'à la jouissance,
Le regard de cet homme m'excite, il arrive me demande de me mettre à genou devant lui,
il baisse son pantalon et là je me régale, je prends son sexe à deux mains le dirige vers ma bouche,
je m’applique je veux lui donner du plaisir, d'une main il me tient par la laisse de l autre il me caresse les cheveux, me les tire parfois,
je passe ma langue sur toute sa partie intime , je me sens petite chienne à ses pieds ,je le suce jusqu'à la jouissance,
il déverse sa semence sur les seins et me demande de me masser jusqu'à ce que je jouisse a mon tour ,ce que je fais avec passion !
Le temps est écoulé la machine s est arrêtée je me réveille en pleine jouissance, une sensation d'avoir vraiment vécu cet agréable moment
il y a 11 ans
Je suis venu pour tester cette machine dont tout le monde parle.
J'ai donc programmée la machine, pour un fantasme que je sais ne pouvoir jamais réaliser.
Le scaphandre c'est refermée sur moi et la métamorphose c'est opérée, me voilà femme, doté d'une belle poitrine, je ne puis me retenir de les caresser, ils sont gros et ferme, sous le contact de mes doigts, les mamelons se durcissent et se redresse fièrement, j'aime ce contact sur mes seins, quelle drôle d'impression de dire mes seins, mes mains, se font plus hardi, elles explorent mon nouveau corps, descendent sur les hanches, remontent sur les seins, une sensation nouvelle se fait dans mon entre-jambe, pas cette impression connu, de mon sexe d'homme qui se dresse, mais un picotement intérieur, qui remonte jusque dans mes entrailles, ma main droite, descend, rencontre que du vide, et une petite toison, taillé court.
Mes doigts, trouve la faille, et s'insinuent en celle-ci, un tout d'abord, puis deux, tout doucement, les voilà qui parcourent cet endroit très privé, titillant doucement le clitoris, qui enfle de plaisir, je mouille et une chaleur intense remonte dans mon ventre, ma compagne arrive, une magnifique métisse réunionnaise, à la chevelure rousse, son joli visage couvert de tâche de rousseur, se penche sur moi, pour m'embrasser voluptueusement, je lui réponds avec autant de passion, mes mains l’enlace, et la force doucement à se coucher à mes cotés, mes mains parcourent maintenant son joli corps bronzé, s'attardant sur ses petits seins, remontant dans son dos le long de ses épaules, redescendant, le long de la colonne vertébrale, suivant ses magnifiques formes.
Ma langue, suce son mamelon droit qui se dresse à son contact, mes dents, se resserrent doucement sur lui, puis ma langue reprend son vas et vient, de son coté, elle a entreprit elle aussi mes seins, puis sa main gauche descend vers ma petite caverne, déjà toute mouillée, ses doigts y entrent et continuent ce que j'avais commencé, titillant mon clitoris, puis, un de ses doigts bien lubrifié, commence doucement à taquiner ma rosette, tournant doucement autour du petit trou, revenant se lubrifier et repartant, avant de tout doucement le forcer, je me cambre un peu, pour refuser cet intrus, mais rien ni fait et je doigt pénètre doucement, tournant délicatement en moi, m'apportant des sensations jusqu'ici inconnu de moi, tout en me caressant, la voilà qui se glisse doucement entre mes jambes, ses doigts agiles, caressant tout à tour, mes cuisse, mon sexe, mon anus, se lubrifiant ainsi de temps à autre, sa bouche se plaque sur mon sexe et sa langue chaude et agile y entre, ressort, y rentre a nouveau, la chaleur de mon ventre augmente, sa pression se fait plus précise, pendant que ces doigts lime mon anus, qui a cédé à ses caresses, mon bassin, commence à suivre des mouvements de vagues, montant et descendant au grès des pénétrations et de la chaleur montant de mon ventre, je commence à haleter, de petit râles sortent de ma gorge, l'impression de chaleur et de plus en plus forte, mon bassin monte et descendant de plus en plus vite, je sens une vague comme un tsunami, me submerger, je râle, essaye de me débattre, mais elle me tient bien, me maîtrise et continu son travail de sape, en quelques instant, elle a réussi à me faire avoir plusieurs orgasmes, comme jamais je n'en connaîtrais d'autre.
Voilà, le programme est terminé, le scaphandre s'ouvre et je me retrouve là, tout pantelât, exténuer par un orgasme, qui brûle encore mes entrailles, pourtant, je suis redevenu un homme.
il y a 11 ans
MaîtreDémon, un Maître incontesté dans le monde du SM, c’était offert une séance avec comme fantasme celui d’être richissime et d’avoir un harem de pony-girl. Confortablement installé dans sa cabine, il se voyait assis sur un trône avec deux soumises à ses pieds ravies de lui faire une gâterie. En guise de divertissement, une soumise entraînait des pony-girls pour lui dans l’immense salon de son palais. Alors qu’il annonçait aux filles : « ne perdez pas une goûte de mon précieux nectar ou vous serez fouettées » il y eu des éclairs dans son palais. Tente secondes plus tard, il se retrouva dans les fantasmes d’humiliation et régression d’un homme aspirant à l’ABDL forcé. Il se vit en couche, vêtu comme un bébé entre deux de ses soumises qui le forçaient à marcher à quatre pattes au milieu du club SM où il va une fois par mois. L’homme enfermé six cabines plus loin ayant cliqué sur « incontinence » comme les logiciels mélangeaient tout, une couche pisseuse et merdeuse pendaient entre ses jambes. Les clients du club s’amusaient à l’humilier, à le traiter de merdeux sans qu’il ne puisse fuir, se battre ou même parler, explosant par la même sa réputation de Maître.
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L’ABDL enfermé à six cabines de MaîtreDémon subit de plein fouet et sur les fesses le bug des programmes du Centre de Réalisation des Fantasmes. Solidement entravé sur un banc à fessée il reçut soixante coup de canne anglaise données par un homme particulièrement cruel. Pour un client absolument pas maso et 100 % hétérosexuel, cette aventure fut particulièrement traumatisante.
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Dans la cabine numéro un, le grand GG, un ancien boxeur au visage ravagé par des années de combat. Son fantasme était de vivre une nuit de folie avec les stars du X devenues gloutonnes et amoureuses de lui. Au moment du bug informatique, il était étendu sur un immense lit rond, trois femmes lui dévoraient les couilles et le gland pendant qu’au dessus de son visage, deux blondes pulpeuses s’embrassait à pleine bouche en confiant leurs opulentes poitrines à ses grosses paluches. Trente secondes plus tard et après des éclairs et de drôles de bruits, il se retrouva enchaîné sur un pilori en train de tailler une pipe à un mec pendant que des gays le sodomisaient à tour de rôle. A cet instant précis, son fantasme fut d’être libre pour exploser la gueule des gays en train de lui toucher le cul et de le défoncer.
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La mère de famille, âgée de 55 ans et venue simplement vivre un moment de plaisir imaginaire avec un étalon beau comme un dieu se retrouva bardée de cuir dans un club SM en train de faire marcher MaîtreDémon, en tenue de bébé adulte avec sa couche-culotte merdeuse.
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Papyfesseur 100% hétéro, fantasmant sur le fessier des étudiantes du lycée proche de chez lui, tannait les fesses d’une magnifique étudiante pas tout à fait majeur étendue fesses nues sur ses genoux pour cause de mauvais résultat au bac blanc. Le bug informatique le propulsa dans un club gay. La virilité de Papyfesseur revenue, il sodomisait le grand GG pendant qu’un soumis gay lui léchait les couilles. Son érection disparue aussitôt !
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Comme tout en chacun, les Maîtresses ont elles aussi des fantasmes. Leur statut ne leur permettant pas de les avouer, Maîtresse Cruella avait pris ce jour là une cabine. Pour qu’on ne la reconnaisse pas, elle portait une perruque et des lunettes de soleil qu’elle retira une fois enfermé dans son box. Son fantasme portait sur le sexe hard, avec deux beaux apollons qui la conduiraient au septième ciel. Au moment du bug informatique, ces beaux apollons s’apprêtaient à la prendre ensembles quand elle se retrouva équipée d’un plug queue de chien en train de laper dans une gamelle comme chienne avec un de ses soumis pissant dans la dite gamelle pendant qu’il la fouettait. Elle essaya désespérément d’appuyer sur le bouton d’urgence mais en vain, le soumis s’en donnait à cœur joie sur son corps déjà bien zébré.
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Sur ses écrans de contrôle, le patron de la société s’aperçut que quelque chose n’allait pas. Il s’acharna sur les claviers de ses ordinateurs en vain pendant quelques minutes. Devant l’absence de réponse de ces PC, il prit la décision d’aller visiter une cabine. La carte magnétique refusa de fonctionner et de lui ouvrir la porte. Prenant ses jambes à son cou, il remonta quatre à quatre les trois étages pour aller chercher la clé de sécurité.
Pendant ce temps précieux, les personnes enfermées dans les scaphandres vivaient le martyr, la honte et le déshonneur total en essayant en appuyant en vain sur le bouton d’urgence. Quand enfin le patron de la société pu entrer dans une des cabines insonorisées, les hurlements qu’il entendit lui glacèrent le sang. Il remonta une seconde fois le plus vite qu’il pu pour débrancher son serveur et les ordinateurs, seule solution pour arrêter ses programmes. Les serrures électromagnétiques des scaphandres s’ouvrirent toutes ensembles, libérant leurs prisonniers trop heureux de sortir indemne physiquement de ce piège diabolique.
Une fois habillés et remis de leurs émotions, une forme de rage collective s’en suivit. Six clients bien décidés à en découdre avec le patron de la boite se retrouvèrent dans le hall et c’est là que les choses se sont encore envenimée ! ! ! !
Les personnes se reconnurent comme étant les tortionnaires les uns des autres. Papyfesseur pris une droite du grand GG, l’ancien boxeur qui le prit pour une des gays qui l’avait sodomisé. Une seconde droite le propulsa à travers la vitrine. Le pauvre papy innocent gisant sur le trottoir ne bougeait plus quand GG s’apprêta à l’achever. Par chance, Maîtresse Cruella intervint pour lui rappeler que c’était du virtuel et que ce vieillard ne pouvait pas lui avoir fait du mal puisqu’il était lui aussi dans une cabine. Le patron redescendu de son bureau se retrouva face à cinq personnes bien décidées à le massacrer. Deux agents de police entrèrent à ce moment là ce qui lui évita de se faire lapider, mais les promesses de vengeance quant à elles furent dès plus virulentes.
A défaut de pouvoir taper sur le patron du Centre de réalisation des fantasmes GG entreprit de détruire les machines sous le regard inquiet des policiers municipaux ne pouvant l’arrêter avec de simples matraques. Le temps qu’ils appellent du renfort et des secours, le patron du Centre de réalisation des fantasmes pris ses jambes à son cou pour fuir les lieux Maîtresse Cruella et MaîtreDémon faisant cause commune pour le prendre à parti dans l’arrière boutique où il put s’enfermer avant de s’enfuir par la porte de secours.
Le Centre de réalisation des fantasmes fut partiellement détruit et fermé par la préfecture pour une enquête administrative. Le patron y revint la nuit suivante récupérer les disques durs afin de comprendre le bug et de ne pas laisser son invention en libre accès.
Ce qu’il y vit lui fit très peur car de toutes évidences, les menaces de morts pouvaient très bien être mise à exécution avec ce qu’avaient vécu les personnes. Ayant suffisamment ramassé d’argent en un an, il prit l’avion vers un paradis fiscal où il s’installa une machine à fantasme pour lui tout seul. Par prudence il y ajouta un dispositif manuel de sécurité……..
Et vous, aimeriez-vous essayer sa machine à réaliser les fantasmes ?
Ecrivaillon
il y a 11 ans
il y a 11 ans
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