La fessée dans votre couple?

Bonsoir,

Je souhaiterais savoir si, il y a d'autres couples comme nous qui pratique la fessée en H24. Si tel est le cas, quels sont vos modes de fonctionnement?

Merci d'avance
il y a 4 ans

Bonjour à toutes et à tous,
Nous pratiquons la fessée en H24, et, quand il n'est pas possible de la donner immédiatement pour diverses raisons, (famille / lieux / soucis divers / ...) la faute est notée dans un carnet de punitions.
il y a 4 ans

Nous n'avons pas réellement de règles établies hormis pour les mots vulgaires que je ne supporte pas. Elle a fini par apprendre à ne plus en dire... sauf quand elle cherche en me regardant droit dans les yeux.
il y a 4 ans

J'ai vécu ça fut un temps, finalement ce n'était pas mal....
il y a 4 ans

Avec une Little, elle n'est pas quotidienne mais presque !
il y a 4 ans

La fessée chez nous, elle est là en H24. C'est à dire qu'elle peut tomber à tout moment (sauf présence famille ou autre).
Sinon, il y a toujours le petit carnet, qui sert au punition mais aussi à noter les idées de jeu, que l'on ne peut pas appliquer au moment ou l'on y pense :D
il y a 3 ans

Cela fait mal? J'ai toujours associé dans mon esprit la fessé à la violence. Mais peut-être que je suis un loin de la réalité, j'avoue avoir du mal la dessus par peur. Mais je voudrai savoir, qu'est-ce qui vous attire, dans la fessée ? Si un débutant arriverait comment le guiderez vous, ou comment commencer ?
il y a 3 ans

Pourquoi aimer la fessée ?
Il y a plein de raisons possibles, chacun a les siennes. Quelques pistes de réflexion : pour l’adrénaline, l’endomorphine, l’érotisme, le plaisir dans la douleur, le besoin de se sentir cadré / guidé, l’autorité rassurante, le plaisir aussi de jouer avec les interdits.

Des exemples BRUTS pour imager mes propos :

Certains aiment la boxe. Ils se donnent des coups à l’entraînement, ils se font mal, et après vont boire un verre. Au rugby, parfois ils se fracassent et après s’être démontés, ils vont faire la troisième mi-temps en étant très soudés.
Ca c’est pour le sport et l’adrénaline.

En amour, certains aiment qu’on leur pince les tétons, cela fait mal mais c’est bon. Certains aiment la douceur sous la couette, d’autres l’amour vache, sauvage.
Ca c’est pour l’endomorphine du plaisir dans la douleur et l’érotisme d'une fessée déculottée.

Pour le travail, il y a des patrons qui ne seront jamais salariés, et des salariés qui ne veulent pas être patrons. Tout le monde peut être « patron », et pourtant, il y a des salariés.
Ca c’est pour le besoin de se sentir cadré / guidé, l’autorité rassurante. (OK c’est brut mais pas tout à fait faux)

La pornographie c’est l’érotisme des autres, et inversement en fonction des goûts.

En fessée, certaines personnes sont apaisées après avoir été fessées, certaines personnes en jouissent. Vu de l’extérieur, c’est de la violence, vu de l’intérieur, c’est du plaisir / des besoins satisfaits.

Ceci est une réponse BRUTE, très imagée par des exemples tout aussi bruts, la question mérite un développement bien plus long, disons que je suis allé à l’essentiel.
il y a 3 ans

Pour moi la fessée, fait partie intégrante de ma vie.
Tout a commencé quand j'avais 14ans. J'étais encore au lycée c 'était ma derniére année,aprés je partais en apprentissage en patisserie.
2ans avant , nous avions une prof principal qui parfois nous disez en cours, ( silence,il y a des fessées qui se perdent ici ). Rien que de l'entendre dire cette phrase me donner la boule au ventre. Arrivé en 4éme, à chaque fois que je la croisais, je penser à la fessée. Un jour, j'ai pris mon courage à deux mains, je lui ai écrit une lettre avec tout se que je pensais de la fessée.
Un aprés-midi fin des cours, je suis aller l'attendre devant sa voiture, avec une certaine peur.Elle arriva, fut surprise de me voir, je lui est simplement dit ( je vous est écrit une lettre,) et je suis partis rouge de honte, pendant un mois pas de réponse, d'ailleurs ,j'évitez de la croisée.Alors que je ne m'attendez plus à avoir une réponse, elle m interpella à la sortie des cours, j'étais comme pétrifié de la voir devant moi.
Elle m'a beaucoup parlé, grâce à elle j ai enfin adoré la fessée, est fur à mesure que les années passaient je devenez un accro de la fessée, mais aussi de pouvoir la donner . J'ai adoré la recevoir, mais maintenant encore plus la donnée. Je ne sais pas comment expliquer cette amour pour la fessée, Seul les vrais adeptes de cette pratique peuvent comprendre ce que l'on ressent. J'ai eu de la chance de pouvoir pratiquer en couple, même si maintenant je suis à nouveaux célibataire
il y a 3 ans

Ok, dsl pour mes questions, j'avoue réfléchir sur ce point. Mais la peur de faire mal, me retiens.
il y a 3 ans

Oui, je reçois la fessée en punition de mes désobéissances, de mes comportements inappropriés, mais aussi quand ma compagne constate un relâchement sur les questions d'hygiène corporelle ou de propreté ou pour d'autre motif l'obligeant à me punir. Peut-être faut-il, avant d'aller plus loin, vous donner une idée de qui nous sommes afin que soit claire la position que j'occupe en écrivant ce commentaire : ma compagne a un peu plus de 50 ans et moi un peu plus de 60. Nous nous connaissons et nous nous rencontrons depuis plusieurs années et nous envisageons de finir notre vie ensemble.
Nous avons commencé à converser à partir de mon blog (josiplegall35.blogspot.com (http://josiplegall35.blogspot.com)) où se publiaient des récits ou des témoignages de fessées punitives données par une main féminine à des hommes ou des femmes. C'est en recevant un courriel de mon actuelle compagne qui prétendait pouvoir et vouloir me donner la fessée comme mon profil l'y invitait, que nous avons fait connaissance. C'est autour de cette question que se sont déroulées nos premières rencontres préparées avec quelques échanges téléphoniques. J'ai effectivement reçu, de sa main, la fessée déculottée, en punition des bêtises que je provoquais volontairement. A l'époque, nous n'habitions pas ensemble, les fessées étaient donc circonscrites à nos moments de rencontre et elles étaient loin d'être aussi rigoureuses que maintenant. Cette relation durant, elle est peu à peu devenue filiale, avec au début un côté "jeu de rôle" assumé : elle, la maman et moi le garçon qu'elle punissait quand il l'avait mérité. Puis s'est rajouté une composante adulte qui prend maintenant une grande place et le jeu de rôle n'est plus de mise. Nous avons basculé dans la vie réelle. C'est maintenant ma compagne. Nous habitons ensemble. Vous comprendrez donc que la probabilité de fessée est quotidienne, parfois plusieurs fois par jour, et elle se concrétise souvent. C'est la responsabilité qu'elle a accepté et qu'elle assume.
En effet, il est maintenant clair entre nous qu'elle a la charge de veiller à mon éducation et de la parfaire, donc de sanctionner tous les écarts que je commets. Nous en avons tous deux convenu explicitement au début de notre relation et nous ne sommes jamais revenus sur ce principe, nous le considérons comme intangible. Ce caractère éducatif s'est renforcé au fil des mois. Il prend maintenant toute la place. Quand elle juge que j'en ai besoin, suite à une bêtise, une imprudence, une désobéissance ou un comportement inadéquat, ma compagne me donne la fessée déculottée sans que mon autorisation ou mon avis ne soient ni nécessaires ni pris en compte. C'est elle seule qui en décide. Et je n'ai d'autre choix que de l'accepter, sachant que, quand elle me baisse la culotte et qu'elle me fesse, c'est pour mon bien, autant pour sanctionner mon comportement délictueux que pour m'inciter à ne plus recommencer. Je ne crois pas, jusqu'à aujourd'hui, qu'elle m'ait donné injustement une fessée, une que je n'avais pas méritée, même si je ne suis pas toujours d'accord quand elle décide de me la donner, mais ma compagne ne prend jamais en compte mes réticences. C'est normal puisqu'il s'agit de punition. C'est donc à chaque fois elle qui a raison.
Les fessées qu'elle me donne, sont assez sévères pour me faire réfléchir à la raison qui m'a valu une punition et je me promets, intérieurement, bien souvent de ne plus recommencer afin d'éviter la prochaine… même s'il m'est difficile, dans la durée, de tenir cette promesse. Le souvenir de la cuisson d'une fessée s'estompe, comme le reste même si elle a été très vive, alors que l'attrait d'outrepasser l'interdit, de tester son autorité sans être pris, reste toujours présent. La main de ma compagne suffit pourtant, sur le moment, à me faire regretter la bêtise qui m'a conduit à plat ventre sur ses genoux ou courbé sous son bras, la culotte descendue à la hauteur de mes genoux. Elle sait provoquer une fournaise qui laisse mes fesses toutes rouges et endolories à la limite du supportable, frontière qu'elle franchit sans que je n'y puisse rien. Parfois, quand c'est nécessaire, en cas de récidive par exemple ou quand je l'ai poussée à bout, elle n'hésite pas à utiliser le martinet, la règle plate en bois, la baguette ou le dos de sa brosse à cheveux. Il arrive que les fessées soient suffisamment rigoureuses pour laisser des marques persistantes sur mes fesses durant plusieurs heures. Plusieurs fois, elle a eu recours aux orties et j'en ai ressenti la démangeaison plus de vingt-quatre heures durant. Souvent, elle me met ensuite au coin pendant de longues minutes, à exhiber mes fesses nues portant encore les traces de ma récente correction. Heureusement, jusqu'à maintenant, il n'y a eu qu'elle pour les contempler.
Il m'arrive fréquemment de recevoir la fessée en dehors du domicile conjugal, en extérieur. Ma compagne estime que les fessées les plus efficaces sont celles qui sont données aussitôt qu'un écart est commis, au plus proche possible de celui-ci, qu'on soit à notre domicile ou dans un lieu public. Elle n'hésite donc pas à me déculotter sur un chemin ou sur le bord de la route, tout en prenant des précautions pour ne pas risquer de tomber sous le coup de la loi, ce qui en restreint notablement le périmètre d'application "et c'est bien dommage", dit-elle. Il est cependant arrivé que des voitures soient passées à ce moment-là et que leurs passagers aient pu assister, quoique furtivement, à l'une de mes punitions. Le coup de klaxon de l'une d'elle, en voyant mes fesses nues déjà copieusement rougies, me l'a confirmé. Quand il s'est agi de piétons, ils étaient, heureusement, suffisamment loin pour ne pas être des témoins directs, mais cependant suffisamment près pour se rendre compte qu'une fessée déculottée était en cours. Ma compagne m'a promis que, si les circonstances l'exigeaient et le permettaient, elle me déculotterait et me fesserait en présence directe de témoins, juste sous leurs yeux. J'ai la chance que ce ne soit pas encore arrivé, mais je sais qu'elle tiendra sa promesse si la situation le nécessite et le rend possible. J'appréhende fortement le moment ou, en présence d'autres personnes, elle me baissera la culotte. Cela finira bien, hélas, par arriver.
J'ai appris à accepter ces fessées comme un mal nécessaire, mais justifié et indispensable. Je sais que c'est moi qui les provoque, par mon comportement coupable et mes négligences. Elles me maintiennent dans le droit chemin, surtout quand elles sont très sévères et c'est souvent le cas. C'est ma compagne qui décide quand elles doivent cesser. Je vous assure que j'en attends la fin bien avant que celle-ci n'arrive et je dois habituellement patienter jusqu'à ce que mes fesses soient bien rouges et bien brûlantes. Je dois prendre sur moi pour laisser la correction aller à son terme, y compris quand je pense ne pas pouvoir supporter le prochain contact de sa main ou d'un instrument punitif avec mes fesses. L'autorité dont dispose ma compagne sur moi est suffisamment installée pour m'ôter toute tentation de faire appel à notre différence physique. Elle m'évite de chercher à quitter la position disciplinaire dans laquelle ma compagne m'a placé, laissant mes fesses à sa disposition. Je ne peux cependant pas réfréner mes battements de jambes ou mes tortillements sur ses genoux ou sous son coude. Cela ne l'empêche nullement de me corriger de façon appropriée.
Les fessées que me donne ma compagne sont, en effet, de véritables punitions, douloureuses et vexantes, la culotte baissée aidant. A ces moments-là, je n'ai plus aucune prérogative dont disposent habituellement les personnes de mon âge . Ma pudeur d'adulte n'a plus cours, me baisser la culotte pour me fesser est alors bien plus prioritaire que toute autre considération quel que soit le lieu dans lequel ça se déroule, tout en restant dans les limites posées par la loi. Et je ne dispose plus de mon libre arbitre, c'est elle qui décide ce qui est bien pour moi et en particulier quand et où je dois être puni et comment. Comme je ne sais pas toujours agir comme une grande personne, il convient alors d'utiliser une méthode qui a fait ses preuves et qui crée le souvenir de la punition et permet de garder à l'esprit le lien entre la punition reçue et l'écart commis : la fessée déculottée. Puisque, souvent, je ne sais pas me comporter avec raison en réfléchissant au préalable à ce qui est permis ou pas à ce qui est pertinent ou pas, ma compagne fait entrer ces règles dans ma tête en me rougissant les fesses.
Je dois avouer que c'est assez efficace. Après avoir été déculotté et reçu une sérieuse fessée et avoir été mis au coin pour y méditer, je n'ai aucune envie de recommencer de sitôt la même bêtise, sachant que la fessée que je recevrais alors, serait mémorable, bien plus sévère que la première. Mais il est difficile d'être toujours raisonnable, responsable et de toujours maîtriser son comportement, de ne pas s'accorder des petits compromis quotidiens, sans compter les libertés que je me donne sur les questions d'hygiène corporelle ou de propreté. Je dois réfréner des tendances "naturelles", ma compagne s'y est attelée : dépasser les limites de vitesse quand je conduis, mettre mes doigts dans mon nez, répondre quand elle me gronde, être insolent, désobéir… sans compter les tâches que je fais sur mes vêtements et je ne vous raconte pas tout. Ma compagne s'y emploie, inlassablement, sans renoncer même quand je récidive. Ce sont, pour moi, des repères clairement identifiables qui ne me laissent pas de doute sur l'écart que je viens de commettre et sur sa gravité.
Ma compagne dispose alors d'une méthode imparable pour souligner et me mettre en évidence l'un de mes écarts sans avoir besoin ni de négocier avec moi, ni de tendre la relation quand elle n'est pas d'accord avec l'un de mes comportements. Elle peut en décider seule, selon ses propres critères qui ont force de loi. C'est ainsi que se répartissent les rôles. Après m'avoir donné une bonne fessée et m'avoir mis au coin, elle sait que je vais accepter son point de vue sans discuter plus avant. C'est en général la voie de la raison et je m'empresse de l'adopter. Il n'y a plus, sur ces sujets de discussion possible, mais une obéissance immédiate de ma part, ce qui facilite grandement notre cohabitation. Je n'ai plus d'autre choix que d'obtempérer et elle sait que son point de vue l'emportera dès qu'elle choisira de me punir. Cela supprime bien des sujets de tensions inhérents à une vie partagée entre adultes.
Je ne sais pas si notre cas est singulier, je ne sais pas si d'autres personnes vivent des situations équivalentes à la mienne ou plutôt à la nôtre, ma compagne et moi. Par curiosité, j'aimerai bien le savoir. Sommes-nous les seuls à avoir mis en place ce type de relation et à en bénéficier tous les deux ? D'autres personnes sont-elles en capacité de témoigner de l'usage de la fessée pour punir un adulte ?
Recevoir la fessée déculottée, en punition de mes écarts, fait maintenant partie intégrante de notre relation, cela constitue une part importante de notre vie. C'est un fantasme qui s'est transformé en réalité et s'est réalisé au-delà de mes espérances, et j'en ai remis une bonne partie de la maîtrise entre les mains de ma compagne. Elle, comme moi trouvons cela naturel et nécessaire. J'en ai besoin et je compte sur elle pour assurer cette tâche que nous prenons tous deux très au sérieux. Je ne souhaite rien modifier de ce que je vis actuellement dans la relation avec ma compagne, y compris quand elle me punit.
il y a 2 ans

La fessée est pour nous un moyen de me remettre dans le droit chemin, mais en version raisonnable. Je reste malgré tout une adulte, avec ses envies et ses plaisirs. Nous avons un moment pour cela qui est le jeudi soir chez nous. On récapitule les bêtises de la semaine et on sanctionne.
il y a 2 ans

Si, je pouvais avoir la fessée dans mon couple, je pense que ce serait en version raisonnable ou pour m'aider sur des choses qui nous tiennent à coeur tous les deux. Je ne voudrais pas que cela deviennent simplement une punition, j'aime la fessée aussi pour son côté fun, spontané et jeu
il y a 2 ans

Personnellement, je ne vois pas la fessée en version punitive, mais juste un douloureux plaisir. Donc, si un jour il doit y avoir la fessée dans mon couple, ce sera pour le plaisir et le jeu.
il y a 2 ans

Pour nous, la fessée et le BDSM sont H24. Mais après, je ne me balade pas avec un martinet à la main en permanence. Mais il y a des règles établies qui se doivent d'être respectées et qui sont adaptées à notre mode de vie, notre vie de famille.
il y a 2 ans

La fessée n'est pas primordiale, mais elle sert à sanctionner certains comportements mais pas dans la vie de tous les jours.
Cela reste plus du plaisir que de la punition pour nous
il y a 2 ans

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