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Ecrivez une histoire érotique sur la fessée que vous avez reçue ou donnée (minimum 1 demi page word) avec comme thème Le confinement

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[u:ehclmuxn][b:ehclmuxn]Dans le titre le mot confinement doit apparaître.[/b:ehclmuxn][/u:ehclmuxn] Exemple, il m’a donnée une fessée pendant le confinement. Ou Fessée pendant le confinement, ou ....

L’histoire doit être postée ICI
il y a 3 ans

LE CONFINEMENT CHEZ MAMAN
Postée par Olivier34


Armelle et moi sommes mariés depuis deux ans et nous habitons dans le XIXème arrondissement de Paris. Lorsque l’annonce du confinement a été faite, nous avons été pris de panique. Nos entreprises respectives nous avaient mis au chômage partiel, sans possibilité de télétravail, et nous vivons dans un tout petit studio de 23 m2. C’est suffisant quand on travaille puisqu’on est toute la journée dehors et le week-end on sort beaucoup mais là, qu’allions nous faire à longueur de journée dans une surface aussi restreinte ?

Il fallait à tout prix que nous trouvions un lieu avec davantage d’espace, mais où ? Les parents d’Armelle ont pris leur retraite au Portugal et ils vivent dans un petit appartement de l’Algarve, il n’y avait donc aucune possibilité de ce côté-là. Il nous est vite apparu que la seule solution, c’était d’aller chez mes parents qui ont une maison avec un grand jardin en Sologne. Evidemment, cela ne nous enchantait pas vraiment ni l’un ni l’autre. Il faut dire que nos relations avec eux n’étaient pas au beau fixe. Ce n’est pas qu’ils soient méchants, non, mais ils ont toujours été très autoritaires et ils m’ont élevé avec une grande sévérité. Quand je leur ai présenté Armelle, il y a deux ans et demi, ce n’est pas qu’ils l’aient mal accueillie, on ne peut pas dire ça, mais leur style un peu raide, un peu cassant, l’a beaucoup impressionnée et elle n’a jamais été à l’aise avec eux. Néanmoins, c’est elle qui m’a poussé à leur demander car moi, j’étais encore plus réticent. Finalement, je me suis décidé à leur téléphoner. J’ai eu ma mère au bout du fil et je lui ai expliqué la situation. Après un long silence, elle me dit qu’elle allait en parler avec mon père et qu’elle nous rappellerait. Une demi-heure plus tard, elle rappelle :

- Ecoute, Olivier, j’en ai discuté avec Papa et il est d’accord. Mais ce n’est pas sans conditions. Chez vous, vous faites ce que vous voulez. Mais chez nous, c’est nous qui fixons les règles et il faudra que vous les respectiez. Lorsque les enfants reviennent vivre sous le toit de leurs parents, il n’est pas question qu’ils jouent les adultes indépendants. Ils doivent se soumettre à la discipline familiale.

Je lui assurai que tout allait bien se passer et je raccrochai. Le lendemain, nous faisions nos valises et nous prenions le train pour La Ferté Saint-Aubin. Les deux premiers jours ne se passèrent pas trop mal. Armelle et moi déployâmes beaucoup d’efforts pour satisfaire aux attentes de mes parents. C’est le troisième jour que les choses se gâtèrent. En préparant le petit-déjeuner, j’avais sorti le pain du congélateur et mal refermé la porte. Lorsque ma mère s’en aperçut, elle me le reprocha vivement. Je me confondis en excuses. Un peu plus tard, j’eus droit à une autre scène parce que j’avais laissé allumée la lumière de la salle de bains. Mais le clou, ce fut lorsqu’elle s’aperçut qu’ayant débranché son téléphone portable de la prise où il était en charge pour brancher le grille-pain, j’avais omis de le rebrancher. Elle entra dans une colère noire et, comme j’avais tenté de me disculper d’une façon qu’elle jugea insolente, elle me donna une claque. Armelle qui était à côté de moi, très choquée, émit une protestation :

- Non, belle-maman, vous n’avez pas le droit …

Elle n’eut pas le temps d’en dire plus. Ma mère la gifla à son tour, à toute volée, par deux fois. Et tandis qu’Armelle, interloquée, se frottait la joue, elle l’empoigna sans ménagement dans la direction du canapé.

- Tu t’imagines que chez moi tu vas décider de quoi j’ai le droit et de quoi je n’ai pas le droit ? Eh bien, je vais te le montrer, moi !

Elle s’assit et bascula Armelle en travers de ses genoux. Sans difficulté, évidemment. Armelle n’est pas très grande, elle est toute mince, presque fluette, et elle ne fait pas le poids à côté de maman qui est une forte femme. Elle retroussa la robe d’Armelle et, rageusement, lui baissa la culotte, découvrant ses petites fesses rondes et pommelées. Sans préavis, sa main s’abattit sur le derrière de ma jeune épouse. Ce fut bientôt un déluge de claques. Le bruit clair de la fessée résonna dans toute la maison, éveillant l’attention de mon père qui était à l’étage et qui descendit l’escalier. Il s’approcha du canapé et assista à la fin de la fessée. Lorsque ma mère s’arrêta, le joli petit cul d’Armelle était rouge vif et elle pleurait à chaudes larmes. Maman la releva et la regardant bien en face lui dit :

- Alors, j’ai le droit de te corriger ou je n’ai pas le droit ? Dis-moi ce que tu en penses maintenant ?

Armelle, les joues empourprées et la voix entrecoupée de sanglots, lui répondit :

- Oui, belle-maman, vous avez le droit de me corriger. Je suis désolée pour ce que je vous ai dit. Je vous demande pardon.

- C’est bon. J’espère que cela te servira de leçon.

Puis, se tournant vers mon père, elle lui dit :

- Dis-donc, Georges, tu devrais t’occuper de ton fils. C’est à cause de lui que tout cela est arrivé. Je pense que lui aussi a besoin d’une bonne raclée.

Et elle lui raconta la succession de bêtises que j’avais faites ce matin. Mon père acquiesça, s’empara d’une chaise, s’y assit et me fit signe de le rejoindre. J’obtempérai évidemment.

- Déculotte-toi, m’ordonna-t-il, et en vitesse !

Je ne me le fis pas dire deux fois. On ne résiste pas à un homme comme mon père. Je baissai mon jean, puis mon slip, sous les yeux de maman et d’Armelle, tout honteux. Papa me courba en travers de ses cuisses, leva très haut le bras et abattit sa large paume sur mes fesses nues. Il les claqua de toute sa force, longuement, méthodiquement. La brûlure était intolérable. Je gigotais sur ses genoux, ne pouvant retenir des gémissements, et je devinais le regard effaré d’Armelle. Fessé publiquement à 24 ans, jamais je n’avais subi une telle humiliation. La correction dura longtemps, je ne sais combien de temps, cela me parut une éternité. Lorsque cela s’arrêta, j’avais le cul en feu et je pleurais comme un mioche. Mon père me releva et m’intima l’ordre d’aller demander pardon à ma mère pour ma conduite. Après quoi, seulement, il m’autorisa à me reculotter.

- Nous avons encore plusieurs semaines à passer ensemble, dit ma mère, alors, je préférerais que nous ne soyons pas obligés, Georges et moi, de sévir trop souvent. Mais si c’est nécessaire, nous n’hésiterons pas à recommencer. Alors, tâchez de faire attention. Et maintenant, filez dans votre chambre. Je ne veux plus vous entendre jusqu’au déjeuner.

Armelle et moi, nous nous le tînmes pour dit et nous regagnâmes notre chambre, la tête basse et les fesses brûlantes. Peut-être aurions-nous mieux fait de rester à deux dans notre petit studio parisien. L’avenir nous le dira.
il y a 3 ans

Fessée de confinement : Cela ne faisait pas parti du programme
Postée par Malicia


Depuis le début du confinement, tous se passait bien entre nous. On pourrait croire que ce serait « dangereux ». Mais non, après tout un Maître ne vit pas la cravache à la main, 24heures sur 24. En tout, cas pas le mien. Suite à une discussion avec des amis de Fessestivites, nous avons décidés d’organiser un apéro-Skype.

L’heure arrive, je connecte l’ordinateur et lance Skype. Tout est prêt. Verres servis, de quoi grignoter et l’appel arrive. Je réponds à l’appel Skype et tout se mets en place.

Les discussions commencent, on parle de tout et de rien. Du confinement, du travail de chacun et des inconvénients. Bien entendu, les taquineries fusent de tout les côtés et dans tous les sens. Le soutien fonctionne bien entre les hommes, par contre entre les filles, nous avons un peu de mal. C’est un peu du chacun pour soi, tant que cela n’implique rien de bien méchant.

Je suis d’humeur joueuse, très joueuse. Autant dire que, je n’ai pas la langue dans ma poche et que je n’hésite pas à remettre à leur place ces Messieurs, qui trouvent la blague moyennement drôle. Soumise ne veut pas dire soupe.

Je ralentis mon rythme de taquinerie car, je sens que mon Maître commence à se tendre. Je joue avec les limites et je le sais. Je vais lui chercher un pastis et un sirop pour moi. Les discussions reprennent puis, suite à un mot de travers, je donne un coup de doigt à mon Maître. Il me regarde avec un grand sourire, me demande de me relever et s’installe dans le milieu du canapé.

Euuh, il y a un bug là !!! Enfin, c’est ce que je me suis dit. Jusqu’à ce qu’il me demande de me mettre à sa droite. Je proteste pour la forme et obéît. Il me déculotte et me bascule sur ses genoux. Et voilà, comment on passe d’un apéro-skype à un apéro-spectacle. Ce n’était pas dans le planning ça !

Je proteste en disant que ce n’est pas juste, qu’il n’y a que moi qui en reçois. Mais bon, autant parler à un mur. Maître me redresse et je me rhabille. Je retrouve ma place sur le canapé et les discussions reprennent.

Au bout d’un moment, l’appel de l’estomac se fait sentir et nous décidons de couper la conversation pour manger.

En préparant la table, je me suis rendue compte que cette fessée avait été la première de ce confinement.

PS: Je publie juste pour le plaisir de partager et rien d'autre. Bon confinement et restez chez vous!
il y a 3 ans

Skipe = fessée pendant le confinement
Postée par LienSm


Désolé, je ne savais pas quoi mettre comme titre avec le mot confinement. Ci-dessous notre participation à votre jeu.

Pendant le confinement, le soir on fait des apéros en webcam avec les amis ou avec la famille. J’étais trop contente que ma copine ait réussi à faire marcher sa webcam et qu’elle puisse enfin se joindre à nous. Mon dad trouve que je suis exubérante quand je suis avec mon amie que je vais appeler Flo pour ne pas dévoiler son vrai prénom.

On se racontait nos petits malheurs de confinés en faisant de l’humour. Enfin, surtout Flo et moi car l’autre couple d’ami est plus réservé. Quand dad m’a demandée de me calmer, je n’ai pas pris au sérieux se demande. Je lui ai répondu qu’on pouvait au moins délirer en étant confinés. Il m’a répondu qu’un peu c’était bien, mais un peu. Flo a continué de dire des bêtises avec des sous-entendus laissant à penser que j’allais prendre une fessée quand on aurait coupé. Je lui ai répondu « même pas en rêve ». Pendant ce tchat qui était très agréable, j’ai zappé le repas que j’avais mis au minimum. Et quand je suis allé chercher des chips, je n’ai même pas regardé où en était ma cocotte. J’étais trop pressée de retrouver Flo. Si bien que vers 21h, un léger parfum de brûlé a alerté mon dad. A ce moment là, j’étais vraiment en plein délire, je lui ai coupé la parole et j’ai ignoré ce qu’il me disait. Il s’est levé d’un bond. Il est parti à la cuisine et s’est mis à râler. Je l’entendais râler mais je n’ai pas attention à ce qu’il disait. Quand il est revenu, j’ai compris à son visage qu’il était au bord de l’explosion. En ce moment, il est un peu plus tendu que d’habitude, mais là, à ses yeux, j’ai vraiment senti que cela n’allait pas. Et pour cause, ma bouffe avait cramé.

Quand on a eu coupé le tchat, il m’a attrapée par l’oreille et mise au coin mains sur la tête sans desserrer les dents. Il m’a dit que j’avais été insupportable, que je n’avais pas arrêté de couper la parole des gens et la sienne, en plus d’avoir cramé le repas. Le contenu de ma cocotte devait faire au moins deux ou trois repas car on a presque plus de provision et il s’en est rappelé puisque je lui avais dit quand je me suis lancée en cuisine.

Quand je l’ai vu aller dans la chambre, j’ai commencé à avoir un peu peur. Quand il en est sorti avec la canne, j’ai eu beaucoup peur. Je lui ai dit non pas ça s’il te plait et il m’a répondu que la fessée à la main faisait trop de bruit pour les voisins, et qu’en plus, je méritais la canne. Dad m’a conduite au canapé et m’a faite me pencher dessus le dossier. Il m’a demandé de laisser les mains posées sur les coussins quoi qu’il arrive, sinon il doublerait ma punition. Il a relevé ma jupe, baissé ma culotte et a commencer à me fesser à la canne.

Pour calculer le nombre de coups mérités, il m’a faite épeler tous les mots associés à ses reproches avec un coup par lettre. Cramer le repas fait 13 lettres. Couper la parole fait 14 lettres. Etre irrespectueuse fait 18 lettres. Gâcher la nourriture fait 18 lettres.

Si vous voulez savoir combien j’ai pris de coup de canne, faites l’addition. Ca fait beaucoup trop pour mon fessier.

Voilà, mes confidences pour votre jeu. Désolé je ne suis pas douée pour écrire, je vous ai juste raconté ce qu’il m’est arrivée il y a 3 jours. Dad a trouvé bien de me faire participer, il dit que c’est pédagogique.....
il y a 3 ans

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