La fessée mode d’emploi d’une stratégie punitive efficace
Il faut avant tout établir une logique d’autorité.
Le rapport d’autorité doit passer par l’acceptation de l’un à recevoir les punitions décidées par l’autre et, par l’autre, du droit et du devoir de corriger le premier quand il l’a mérité, la fessée doit être le mode de sanction indiscutable et indiscuté. Il faut que cela soit définitif et non pas le temps d’une soirée, sans quoi, la fessée devient un jeu et n’a plus sa logique punitive et pédagogique sur le comportement.
La fessée déculotté
Elle doit être administrée la culotte baissée et sa sévérité doit être proportionnelle à la faute qui l’a engendrée. Des fesses abondamment rougies, portant quelques marques dans les cas les plus graves, devront être la résultante d’une correction aboutie.
Le coin, un aboutissement naturel
La mise au coin ou au piquet conclura de façon adéquate l’administration d’une fessée. Elle permettra au puni de prendre le temps de réfléchir aux conséquences de ses actes, ce qui n'est pas toujours possible durant le temps d'administration de la fessée elle-même. La douleur ressentie mobilisant souvent toute l'énergie de celui à qui elle est infligée. L'humilité que requière la position alors imposée par la correctrice, est un signe supplémentaire de la contrition que doit marquer celui ou celle qui vient d'être fessé. Il va de soi que la durée de la mise en pénitence sera décidée par la personne ayant administré la fessée. Le silence et l'immobilité seront requis.
En public
La personne détenant l’autorité déterminera, de son propre chef, les conditions : la rigueur, le moment et surtout le lieu …, ce qui peut signifier administrer une fessée en présence de témoins. Dans ces situations, l’avis du récipiendaire doit être ignoré. Il est rare que la perspective d’une fessée punitive devant du monde entraîne l’enthousiasme à court terme de son futur destinataire. La présence de personnes ne saurait, en aucun cas être un motif suffisant pour différer une punition. Pourquoi ? Parce que quand une correction est méritée, il est important, pour quelle porte ses fruits, qu’elle soit administrée au plus près de l’écart qui l’a motivée.
Exposer, à tous ceux qui sont présents, ses fesses nues portant les marques du récent châtiment, alors que l'activité normale reprend ses droits, est un complément utile à la fessée. La mise au piquet s’avère donc nécessaire qu’il y ait du monde ou pas.
Déléguer la fessée
Nous entrons là dans un autre monde, la fessée devient alors encore plus humiliante. Elle doit être donnée en présence de la personne détentrice de l’autorité afin d’éliminer un quiproquo. Déléguer à un homme la fessée d’un autre homme, a un effet si puissant pour la masculinité, que le puni s’en souviendra toujours. Cela renforcera donc son attention...
Pour les femmes, c’est légèrement moins humiliant que pour les hommes, cela leur rappelle la fermeté maternelle. Cela reste malgré tout une épreuve que d’être fessée par quelqu’un d’autre.
La position
Si initialement, la fessée doit être donnée fesses nues dans la position couchée sur les genoux, il peut s’avérer utile de la donner debout. La personne punie se penche alors en avant, pour se retrouver cerclé par le bras qui maintiendra la punie.
Les cris et pleurs
Les cris, les pleurs, les supplications et les promesses d’amendement seront autant de signes de l’efficacité de la fessée. Les gesticulations désordonnées des jambes seront inévitables, surtout en cas de fessées sévères. Elles ne devront, toutefois, pas gêner l’administration de la punition, sauf à être considérées comme une désobéissance qu'il serait alors nécessaire de sanctionner.
Les jambes et chevilles croisées
Cela permet musculairement pour le puni de diminuer partiellement la douleur d’une fessée punitive. Cela doit immédiatement être sanctionné par une réorientation des claques sur les cuisses ce qui est, rapidement, efficace.
Les gestes de protection
Il ne sera pas toléré que le puni fasse obstacle à sa correction, que ce soit en interposant sa main ou ses jambes, ou en tentant de s’échapper. Toute tentative allant dans ce sens devra être sanctionnée par une autre fessée, encore plus rigoureuse que la première.
L’usage de matériel
Il peut être nécessaire d’en renforcer l’effectivité de la fessée par l’utilisation d’instruments punitifs : martinet, règle, ceinture, orties … en veillant, toutefois, à ne pas blesser le puni. L’usage de canne, trique ou autres instruments rigides peut être dangereux pour les doigts et la colonne vertébrale. Il convient d’être vigilant ou de prévoir une protection pour le dos. Pour éviter que des doigts soient brisés par une canne ou un paddle en bois, entraver les mains sur le devant est une sage précaution.
Le carnet de punition
Les aléas de la vie imposent parfois un éloignement. La personne détentrice de l’autorité peut noter les motifs de punition, ou en déléguer l’écriture. En ce cas, le petit carnet de punition doit être en permanence dans le sac à main du récipiendaire des punitions. Il va de soit qu’un contrôle du dit carnet est obligatoire et qu’un manquement serait très sévèrement sanctionné.
il y a 4 ans
il y a 4 ans
il y a 4 ans
La rebelle de service !
il y a 3 ans
il y a 3 ans
Même si je suis rarement sage ;) Lady Faby pourra le confirmer !, je n'aime pas du tout les fessées punitives et d'éducation qui me sont infligées chaque fin de journée (28 coups de fouet), mais je me soumets à la volonté de ma Key Holder qui exige cette pratique. Elle a probablement ses raisons ! de plus ma peau marquant très peu, cela l'exaspère... J'espère en tout cas que cela aura un effet bénéfique sur mon caractère et ma volonté, car je ressens une lutte intérieure très profonde régulièrement et pourtant je souhaite vraiment faire au mieux pour éradiquer mon comportement non digne d'un véritable soumis.
Respectueusement votre,
naya
il y a 3 ans
Pour ma part, les caresses que naya reçoit chaque soir sur ses lobes fessiers, sont juste là à titre de disciplinage, pour rendre son caractère un peu plus avenant. Il ne s'agit nullement de punition.
Lorsqu'il dépasse les bornes je préfère amplement le mordre, ce qui m'apaise et m'apporte une satisfaction telle que parfois même je le fais sans raison apparente. Enfin, si je ne sais pas pour quelles raisons je le fais, je suis sûre qu'il a bien dû commettre une faute et donc qu'il sait lui pourquoi il y a droit.
Sinon, lorsque la faute commise n'est pas trop grave comme l'oubli du vouvoiement par exemple, le châtiment peut être une petite tape soit avec la main ou un quelconque instrument qu'elle rencontre sur son passage, mais elle est en général quasi immédiate.
Pour les fautes plus graves ou différées c'est le plus souvent la morsure.
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il y a 3 ans
Lorsque vous dites que vous ne savez pas pourquoi vous lui donnez sa punition du soir, mais que lui doit en connaitre les raisons, vous pourriez peut-être l'inviter à chercher dans sa mémoire ses fautes de la journée et à les confesser. Il est possible qu'il vous en dévoile qui mériteraient vos morsures, puisque c'est une de vos pratiques punitives.
Mes respects Madame.
il y a 3 ans
Ses fessées quotidiennes du soir, ne sont pas des punitions à proprement parler, mais un juste passage quotidien obligé pour mater son caractère et le rendre plus malléable.
naya étant un taureau comme je l'ai déjà dit, avec 30 ans de pure domination machiste derrière lui, il est évident qu'il a le caractère qui va avec et que pour le faire devenir un agneau bien à ma botte il me faut chaque jour lui en montrer le chemin, d'où le disciplinage du soir.
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il y a 3 ans
Je suis absolument d'accord avec vous, je n'ai rien contre une petite fessée de recentrage mais s'il n'y a que ça, ce n'est pas amusant du tout. Le plaisir dans le fessée il ne faudrait quand même pas l'oublier.
Mon chéri sait vraiment bien différencier les deux s'il n'y avait que de réelles punitives, cela n'aurait pas duré longtemps entre nous.
il y a 3 ans
Les punitives pour moi sont pas plaisante et pour les deux personnes certes une fessée de recadrage au bon moment ok .
Mais je préfère la fessée plaisir un bon délire rien de mieux ont s'éclatent à deux un bon lâcher prise n'est il pas mieux que t'avoir les fesses en feux.
Chacun à son point de vue mais pour ma part si je n'avais que des punitives cela ferait belle lurette que j aurais arrêtée on la chance d'explorer un vaste monde autant en profiter avec plaisir.
Bonne journée. 😁
il y a 2 ans
Et pourtant, rien de tel, surtout avec un adulte récalcitrant, qu'une bonne fessée pour le recadrer, permettant ainsi de résoudre bon nombre de problèmes rencontrés quotidiennement, même si, l'âge avançant, on est censé ne plus en avoir besoin, ce qui est, bien sûr, une illusion. Ce n'est, évidemment, pas une question d'âge, mais plutôt de capacité à s'autodiscipliner et les adultes sont très inégaux face à cette nécessité sociale. Certains, plus nombreux qu'une première approche le laisserait penser, ont grand besoin d'être cadrés et fermement tenus en main par une autre personne, figure d'autorité. Certains ne l'acceptent pas, pour leur plus grand dommage. Cela donne souvent des adultes inadaptés à une relation sociale apaisée avec les autres. Beaucoup cherchent la bonne personne qui pourrait construire et leur imposer les repères nécessaires et les limites à ne pas franchir. Qui d'autre qu'une personne avec qui la confiance est totale et l'autorité certaine pour le faire ? Deux caractéristiques que peuvent cumuler une compagne ou un compagnon, un parent plus ou moins proche, un ou une amie, voire même une voisine ou un voisin. Comment le faire avec plus de pertinence qu'avec une bonne fessée déculottée au moment où elle est méritée ? Le message est alors on ne peut plus clair.
C'est ce qui m'arrive depuis quelques années, pour mon plus grand bénéfice, mais jamais pour mon plus grand plaisir. Il faut rappeler à tout le monde qu'une réelle fessée, quand on la reçoit, ça ne fait pas du bien si elle est donnée avec la vigueur nécessaire, même quand ce n'est que la main nue qui officie. Le fessier ne peut alors pas retrouver sa couleur d'origine avant plusieurs minutes. Il arrive qu'on en ressente la démangeaison pendant de longs moments, ce qui est souvent nécessaire afin que le souvenir de la punition et de ce qui l'a provoquée ne s'estompe pas trop vite. C'est l'effet recherché. A long terme, les bénéfices sont patents. Une fessée méritée, administrée au bon moment, oblige indubitablement celui qui a besoin de cette aide pour prendre conscience du comportement inadapté qu'il vient d'avoir, à le modifier, étant certain d'en recevoir, qu'il soit d'accord ou non, une autre correction, tout aussi cuisante voire plus, à la première récidive.
La prise de conscience, sans échappatoire possible, du constat fait par son entourage de ne pas être assez mûr pour se discipliner soi-même malgré son âge, obligeant une autre personne à s'en charger ; la honte de sentir sa culotte glisser le long de ses cuisses, faisant fi de sa pudeur d'adulte, renforcée quand c'est dans un lieu public ou en présence de témoins ; la cuisson ressentie sur les fesses dès le début de la fessée et qui ne fera que se renforcer durant toute la correction ; et naturellement l'introspection forcée lors d'une longue mise au coin pendant que la vie continue dans son dos, donnant l'impression d'y être oublié… autant de facteurs qui invitent à prendre de nouvelles et fermes résolutions afin d'éviter une nouvelle et cuisante déconvenue. Bien sûr il faut de nombreuses fessées pour y arriver, mais remettre, autant de fois qu'il le faudra, l'ouvrage sur le métier, c'est ce qu'a accepté la personne qui a endossé la responsabilité de l'éducation d'un adulte. Modifier des comportements est, en effet, lent, difficile et laborieux quand on a affaire à un adulte. Il faut réussir à déconstruire les mauvaises habitudes qui ont été prises, parfois depuis des nombreuses années avant d'imaginer les remplacer par de bien meilleures attitudes. Cela ne se fait pas avec une seule fessée, si rigoureuse qu'elle soit. Mais quand il n'y a pas d'autre solution…
Je suis persuadé que bon nombre de personnes, sans doute pas toutes évidemment, approuverait le recours à une sérieuse fessée pour discipliner un adulte dont le comportement laisse régulièrement à désirer. Il y a probablement infiniment plus de personnes qui y sont favorables que celles qui accepteraient d'en convenir publiquement. L'air du temps n'est plus à approuver ouvertement le recours à la fessée, ni pour les enfants ni pour les adultes, quoiqu'on en pense réellement. Beaucoup, en leur for intérieur, ne trouveraient rien à dire s'ils devaient assister à l'une de ces punitions. Pour peu que le contexte soit ouvert à cette solution, ils prodigueraient certainement des encouragements à celui qui sévit afin que perdurent ces punitions bien utiles et se garderaient bien d'émettre la moindre protestation. Au-delà de ceux qui ont déjà franchi le pas, quelques-uns n'hésiteraient sans doute pas à y recourir avec l'un de leur proche si la situation les invitait à passer à l'action. D'autres, enfin, accepteraient, sans grande réticence, de remettre, entre les mains d'une personne de confiance, la charge de les discipliner quand ils le méritent. Ils auraient l'espoir que la rigueur qui leur serait ainsi imposée, règlerait nombre de problèmes dont, souvent, ils n'arrivent pas à se dépêtrer, mettant fin aux compromis que bien des adultes font avec eux-mêmes pour se permettre des comportements révélant leur petite capacité à assumer leurs responsabilités sociales et sociétales. La sécurité qu'ils en ressentiraient alors, constituerait certainement un profond soulagement l'emportant aisément sur les inconvénients qu'ils pourraient trouver à recevoir, quand d'autres le jugent pertinent, la fessée déculottée.
Pour illustrer ces propos, je prends le risque, relatif il est vrai compte tenu de l'anonymat de règle sur ce forum, de dévoiler ma situation. Je vais vous brosser, dans les quelques lignes qui suivent, le tableau de ce que nous vivons ma compagne et moi, en vous assurant que ce que j'écris est le reflet exact de la réalité. Croyez-moi ou non, ce sera votre choix, mais je suis prêt à en discuter sur ce forum ou si vous préférez, par courriel, dans un espace plus privé (legall.josip35@laposte.net), pour essayer de vous convaincre de la véracité des propos et de ses énormes avantages. Je ne vois pas comment, sur internet, le faire à coup sûr, à moins que ma compagne ne décide un jour de me punir en votre présence, ce que je ne souhaite, bien évidemment, pas. Mais nous ne serions alors plus en virtuel… et cela serait une autre histoire.
Oui, je reçois la fessée en punition de mes désobéissances, de mes comportements inappropriés, mais aussi quand ma compagne constate un relâchement sur les questions d'hygiène corporelle ou de propreté ou pour d'autre motif l'obligeant à me punir. Peut-être faut-il, avant d'aller plus loin, vous donner une idée de qui nous sommes afin que soit claire la position que j'occupe en écrivant ce commentaire : ma compagne a un peu plus de 50 ans et moi un peu plus de 60. Nous nous connaissons et nous nous rencontrons depuis plusieurs années et nous envisageons de finir notre vie ensemble.
Nous avons commencé à converser à partir de mon blog (josiplegall35.blogspot.com (http://josiplegall35.blogspot.com)) où se publiaient des récits ou des témoignages de fessées punitives données par une main féminine à des hommes ou des femmes. C'est en recevant un courriel de mon actuelle compagne qui prétendait pouvoir et vouloir me donner la fessée comme mon profil l'y invitait, que nous avons fait connaissance. C'est autour de cette question que se sont déroulées nos premières rencontres préparées avec quelques échanges téléphoniques. J'ai effectivement reçu, de sa main, la fessée déculottée, en punition des bêtises que je provoquais volontairement. A l'époque, nous n'habitions pas ensemble, les fessées étaient donc circonscrites à nos moments de rencontre et elles étaient loin d'être aussi rigoureuses que maintenant. Cette relation durant, elle est peu à peu devenue filiale, avec au début un côté "jeu de rôle" assumé : elle, la maman et moi le garçon qu'elle punissait quand il l'avait mérité. Puis s'est rajouté une composante adulte qui prend maintenant une grande place et le jeu de rôle n'est plus de mise. Nous avons basculé dans la vie réelle. C'est maintenant ma compagne. Nous habitons ensemble. Vous comprendrez donc que la probabilité de fessée est quotidienne, parfois plusieurs fois par jour, et elle se concrétise souvent. C'est la responsabilité qu'elle a accepté et qu'elle assume.
En effet, il est maintenant clair entre nous qu'elle a la charge de veiller à mon éducation et de la parfaire, donc de sanctionner tous les écarts que je commets. Nous en avons tous deux convenu explicitement au début de notre relation et nous ne sommes jamais revenus sur ce principe, nous le considérons comme intangible. Ce caractère éducatif s'est renforcé au fil des mois. Il prend maintenant toute la place. Quand elle juge que j'en ai besoin, suite à une bêtise, une imprudence, une désobéissance ou un comportement inadéquat, ma compagne me donne la fessée déculottée sans que mon autorisation ou mon avis ne soient ni nécessaires ni pris en compte. C'est elle seule qui en décide. Et je n'ai d'autre choix que de l'accepter, sachant que, quand elle me baisse la culotte et qu'elle me fesse, c'est pour mon bien, autant pour sanctionner mon comportement délictueux que pour m'inciter à ne plus recommencer. Je ne crois pas, jusqu'à aujourd'hui, qu'elle m'ait donné injustement une fessée, une que je n'avais pas méritée, même si je ne suis pas toujours d'accord quand elle décide de me la donner, mais ma compagne ne prend jamais en compte mes réticences. C'est normal puisqu'il s'agit de punition. C'est donc à chaque fois elle qui a raison.
Les fessées qu'elle me donne, sont assez sévères pour me faire réfléchir à la raison qui m'a valu une punition et je me promets, intérieurement, bien souvent de ne plus recommencer afin d'éviter la prochaine… même s'il m'est difficile, dans la durée, de tenir cette promesse. Le souvenir de la cuisson d'une fessée s'estompe, comme le reste même si elle a été très vive, alors que l'attrait d'outrepasser l'interdit, de tester son autorité sans être pris, reste toujours présent. La main de ma compagne suffit pourtant, sur le moment, à me faire regretter la bêtise qui m'a conduit à plat ventre sur ses genoux ou courbé sous son bras, la culotte descendue à la hauteur de mes genoux. Elle sait provoquer une fournaise qui laisse mes fesses toutes rouges et endolories à la limite du supportable, frontière qu'elle franchit sans que je n'y puisse rien. Parfois, quand c'est nécessaire, en cas de récidive par exemple ou quand je l'ai poussée à bout, elle n'hésite pas à utiliser le martinet, la règle plate en bois, la baguette ou le dos de sa brosse à cheveux. Il arrive que les fessées soient suffisamment rigoureuses pour laisser des marques persistantes sur mes fesses durant plusieurs heures. Plusieurs fois, elle a eu recours aux orties et j'en ai ressenti la démangeaison plus de vingt-quatre heures durant. Souvent, elle me met ensuite au coin pendant de longues minutes, à exhiber mes fesses nues portant encore les traces de ma récente correction. Heureusement, jusqu'à maintenant, il n'y a eu qu'elle pour les contempler.
Il m'arrive fréquemment de recevoir la fessée en dehors du domicile conjugal, en extérieur. Ma compagne estime que les fessées les plus efficaces sont celles qui sont données aussitôt qu'un écart est commis, au plus proche possible de celui-ci, qu'on soit à notre domicile ou dans un lieu public. Elle n'hésite donc pas à me déculotter sur un chemin ou sur le bord de la route, tout en prenant des précautions pour ne pas risquer de tomber sous le coup de la loi, ce qui en restreint notablement le périmètre d'application "et c'est bien dommage", dit-elle. Il est cependant arrivé que des voitures soient passées à ce moment-là et que leurs passagers aient pu assister, quoique furtivement, à l'une de mes punitions. Le coup de klaxon de l'une d'elle, en voyant mes fesses nues déjà copieusement rougies, me l'a confirmé. Quand il s'est agi de piétons, ils étaient, heureusement, suffisamment loin pour ne pas être des témoins directs, mais cependant suffisamment près pour se rendre compte qu'une fessée déculottée était en cours. Ma compagne m'a promis que, si les circonstances l'exigeaient et le permettaient, elle me déculotterait et me fesserait en présence directe de témoins, juste sous leurs yeux. J'ai la chance que ce ne soit pas encore arrivé, mais je sais qu'elle tiendra sa promesse si la situation le nécessite et le rend possible. J'appréhende fortement le moment ou, en présence d'autres personnes, elle me baissera la culotte. Cela finira bien, hélas, par arriver.
J'ai appris à accepter ces fessées comme un mal nécessaire, mais justifié et indispensable. Je sais que c'est moi qui les provoque, par mon comportement coupable et mes négligences. Elles me maintiennent dans le droit chemin, surtout quand elles sont très sévères et c'est souvent le cas. C'est ma compagne qui décide quand elles doivent cesser. Je vous assure que j'en attends la fin bien avant que celle-ci n'arrive et je dois habituellement patienter jusqu'à ce que mes fesses soient bien rouges et bien brûlantes. Je dois prendre sur moi pour laisser la correction aller à son terme, y compris quand je pense ne pas pouvoir supporter le prochain contact de sa main ou d'un instrument punitif avec mes fesses. L'autorité dont dispose ma compagne sur moi est suffisamment installée pour m'ôter toute tentation de faire appel à notre différence physique. Elle m'évite de chercher à quitter la position disciplinaire dans laquelle ma compagne m'a placé, laissant mes fesses à sa disposition. Je ne peux cependant pas réfréner mes battements de jambes ou mes tortillements sur ses genoux ou sous son coude. Cela ne l'empêche nullement de me corriger de façon appropriée.
Les fessées que me donne ma compagne sont, en effet, de véritables punitions, douloureuses et vexantes, la culotte baissée aidant. A ces moments-là, je n'ai plus aucune prérogative dont disposent habituellement les personnes de mon âge . Ma pudeur d'adulte n'a plus cours, me baisser la culotte pour me fesser est alors bien plus prioritaire que toute autre considération quel que soit le lieu dans lequel ça se déroule, tout en restant dans les limites posées par la loi. Et je ne dispose plus de mon libre arbitre, c'est elle qui décide ce qui est bien pour moi et en particulier quand et où je dois être puni et comment. Comme je ne sais pas toujours agir comme une grande personne, il convient alors d'utiliser une méthode qui a fait ses preuves et qui crée le souvenir de la punition et permet de garder à l'esprit le lien entre la punition reçue et l'écart commis : la fessée déculottée. Puisque, souvent, je ne sais pas me comporter avec raison en réfléchissant au préalable à ce qui est permis ou pas à ce qui est pertinent ou pas, ma compagne fait entrer ces règles dans ma tête en me rougissant les fesses.
Je dois avouer que c'est assez efficace. Après avoir été déculotté et reçu une sérieuse fessée et avoir été mis au coin pour y méditer, je n'ai aucune envie de recommencer de sitôt la même bêtise, sachant que la fessée que je recevrais alors, serait mémorable, bien plus sévère que la première. Mais il est difficile d'être toujours raisonnable, responsable et de toujours maîtriser son comportement, de ne pas s'accorder des petits compromis quotidiens, sans compter les libertés que je me donne sur les questions d'hygiène corporelle ou de propreté. Je dois réfréner des tendances "naturelles", ma compagne s'y est attelée : dépasser les limites de vitesse quand je conduis, mettre mes doigts dans mon nez, répondre quand elle me gronde, être insolent, désobéir… sans compter les tâches que je fais sur mes vêtements et je ne vous raconte pas tout. Ma compagne s'y emploie, inlassablement, sans renoncer même quand je récidive. Ce sont, pour moi, des repères clairement identifiables qui ne me laissent pas de doute sur l'écart que je viens de commettre et sur sa gravité.
Ma compagne dispose alors d'une méthode imparable pour souligner et me mettre en évidence l'un de mes écarts sans avoir besoin ni de négocier avec moi, ni de tendre la relation quand elle n'est pas d'accord avec l'un de mes comportements. Elle peut en décider seule, selon ses propres critères qui ont force de loi. C'est ainsi que se répartissent les rôles. Après m'avoir donné une bonne fessée et m'avoir mis au coin, elle sait que je vais accepter son point de vue sans discuter plus avant. C'est en général la voie de la raison et je m'empresse de l'adopter. Il n'y a plus, sur ces sujets de discussion possible, mais une obéissance immédiate de ma part, ce qui facilite grandement notre cohabitation. Je n'ai plus d'autre choix que d'obtempérer et elle sait que son point de vue l'emportera dès qu'elle choisira de me punir. Cela supprime bien des sujets de tensions inhérents à une vie partagée entre adultes.
Je ne sais pas si notre cas est singulier, je ne sais pas si d'autres personnes vivent des situations équivalentes à la mienne ou plutôt à la nôtre, ma compagne et moi. Par curiosité, j'aimerai bien le savoir. Sommes-nous les seuls à avoir mis en place ce type de relation et à en bénéficier tous les deux ? D'autres personnes sont-elles en capacité de témoigner de l'usage de la fessée pour punir un adulte ?
Recevoir la fessée déculottée, en punition de mes écarts, fait maintenant partie intégrante de notre relation, cela constitue une part importante de notre vie. C'est un fantasme qui s'est transformé en réalité et s'est réalisé au-delà de mes espérances, et j'en ai remis une bonne partie de la maîtrise entre les mains de ma compagne. Elle, comme moi trouvons cela naturel et nécessaire. J'en ai besoin et je compte sur elle pour assurer cette tâche que nous prenons tous deux très au sérieux. Je ne souhaite rien modifier de ce que je vis actuellement dans la relation avec ma compagne, y compris quand elle me punit.
JLG
il y a 2 ans
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