Le contrat de travail de Malicia était un piège

Une histoire érotique à rebondissements

En 2018, devant la croissance de la boutique ABCplaisir, j’ai décidé d’embaucher. Oui mais embaucher pour un sexshop, ce n’est pas si évident que ça. En plus, je cherchais une femme pour avoir des avis féminins sur mes produits. Cela ne pouvait que m’aider à faire les descriptifs.

Après avoir reçu des quantités de CV de personnes ne lisant quasiment pas l’annonce, j’ai commencé les rendez-vous. Certaines des filles sont venues, juste pour dire à « Paule qui emploi pas grand monde » qu’elles avaient fait une recherche.... (Pole emploi, je sais, mais j’aime bien détourner les mots)

Une grande femme, grande aussi par la taille, s’est présentée à son rendez-vous. Lors de la discussion j’ai pu constater qu’elle n’était pas farouche et avait un caractère bien trempé. Le genre de fille qui ne se laisse pas marcher sur les petons. (Hummm, j’adore, elle ne sont que plus amusant à dresser. Humour mais pas faux).

Elle venait de quitter un monde essentiellement d’homme, voilà pourquoi discuter avec des clients masculins ne l’inquiétait pas. Lors de l’entretien, j’ai trouvé une faille qui me fit penser que j’avais trouvé LA vendeuse.

La faille était simple : un impérieux besoin d’argent pour faire face à ses obligations. A cela se rajoutait, qu’elle m’avait glissé que si elle ne connaissait pas vraiment le BDSM, le monde de la fessée ne lui était pas étranger. Derrière ma tête de malade mental sadique, elle n’a pas pu voir la bulle de légende qui est apparue avec le mot « proie ».

Comme toujours quand on drague, il faut faire de l’anti vente. En clair, faire celui qui n’est pas plus intéressé que ça, tout en faisant briller le produit qu’elle ne pourrait peut-être pas avoir. (Non je ne suis pas pervers, je suis commercial MDR)

Le piège était bien caché dans le contrat de travail original que j’avais rédigé pour la faire bander, pardon, mouiller. Outre les clauses basiques, j’avais inséré 25 pages de la convention collective. Celles de tous les avantages de l’employé(e) pour commencer, puis après, les renvois vers des articles de loi, ce qui est indigeste à lire, pour ne pas dire soporifique.

Et au milieu de ces clauses soporifiques, j’avais glissé des clauses peu orthodoxes du style : « l’employée s’engage à tester les sextoys et accessoires de la boutique pour pouvoir en faire une description honnête et juste». Et ça, comme c’était dans les petites lignes indigestes, elle l’a zappé comme les précédentes. Elle a aussi zappé le passage sur les accessoires de contraintes LOL !

En la regardant lire son contrat de travail en sautant les passages, et pour cause, il était presque aussi épais qu’un annuaire, ... je me suis dit « laissez venir à moi la petite fille ».

Le piège signé, pardon, le contrat, je lui ai fait visiter la boutique, enfin, l’entrepôt car ABCplaisir fait 95% de vente en ligne. J’ai bien vu en lui présentant des produits, que certains ne la laissaient pas de marbre.

Une période d’essai, c’est dans les deux sens, sauf que les finances de la belle étaient au plus mal. Donc..... elle était comme prise dans un « entonnoir » (terme commercial) si bien que lorsqu’elle m’a demandé si elle pouvait avoir une petite avance, ma réponse fut la suivante :

- Mademoiselle, j’hésite grandement à vous donner cette avance sur salaire.

- Mais pourquoi monsieur ?

- Parce que vous faites beaucoup d’erreurs ! Mes clients n’apprécient pas de recevoir des accessoires autres que ceux qu’ils ont acheté. Le dernier en date a reçu une cage de chasteté, alors qu’il avait commandé un martinet pour donner de sérieuses fessées à sa soumise.

- Je suis désolée monsieur, j’ai encore beaucoup de mal avec vos références et l’ordinateur !

- D’ailleurs j’hésite à vous garder !

Et là j’ai vu ses yeux se mouiller ! Hummm j’allais pouvoir passer à l’étape suivante !

- Puisque l’accessoire était destiné à donner la fessée, j’ai bien envie de vous en donner une. Cela pourrait effacer votre erreur !

- Vous plaisantez ?

- Non, mais ce serait un moyen pour vous d’expier votre faute et de repartir avec votre avance sur salaire !

J’ai bien vu que la belle était en perdition. La tête penchée en avant, ses jolis yeux scrutant le carrelage, si elle ne m’avait pas envoyé « paître » c’est qu’elle était sur le point d’accepter. Je savais que répondre « oui monsieur » serait au-dessus de ses f o r c e s. Par contre, se laisser faire lui serait plus facile.

Je me suis donc levé, je lui ai pris la main pour la faire se lever et prendre sa place sur la chaise. Dans l’état de désespoir où elle était, la coucher sur mes genoux n’a posé aucun problème. Les premières claques données sur son fessier, le furent par dessus sa jupe sage. Elles n’étaient pas très appuyées, le geste humiliant valait déjà pour elle une sérieuse punition. C’est lorsque j’ai remonté sa jupe que la belle a commencé à crier.

- Ce n’était qu’une mise en fesses, je vais maintenant vous donner la fessée que vous méritez ! Ne vous avisez pas de résister où vous allez le regretter !

La suite des claques de cette fessée fut un peu plus appuyée. Je prenais un malin plaisir à voir son séant s’agiter et ses jolies jambes se relever. La belle couinait mais ne se rebellait pas. En même temps que je claquais de bon coeur, je lui ai indiqué que puisqu’elle acceptait sa fessée punitive dignement, elle aurait son avance sur salaire et que je renouvellerai sa période d’essai. L’entendre dire « merci monsieur » ne pouvait que m’encourage à poursuivre !

Lorsque je fis une pause syndicale de fesseur, elle voulu se relever !

- Non mais des fois, qui vous a autoriser à bouger ? (Dit avec un ton colérique)

Ni une ni deux, j’ai attrapé le haut de sa culotte que j’ai tiré sur ses cuisses. La belle a essayé de réagir mais trop tard, ma giroflée à cinq branches, surnommée paddle par celles qui y ont goûté en mode punitif, venait de s’abattre sur ses fesses déjà bien rouges. Elle poussa un cri, voulu mettre sa main en protection. La « mimime » manucurée fut happée, remontée dans son dos pour en faire une clé de bras. Cela laissa le champ libre à mes envies de discuter avec ses formes délicieuses.

A partir de là, j’ai usé de mon expérience de fesseur pour alterner le chaud et le froid comme l’on dit, afin de jouer sur la sensation douleur-plaisir : claquer assez fort pour que cela pique, mais pas trop, puis, alterner et jouer avec le sens des claques. Si bien que, prise dans la tourmente des contradictions psychologiques, la belle finit par baisser la garde et à se laisser aller. J’ai su qu’elle luttait avec elle-même en voyant s’humidifier son chaton, alors même qu’elle essayait de retirer son bras bloqué.

Toutes les bonnes choses ont hélas une fin ! Je dus me résoudre à arrêter de la fesser, son épiderme devenant rouge écarlate.

- Allez, au coin avec les mains sur la tête pendant que je fais votre chèque d’avance sur salaire !

Cet ordre clair était accompagné de ma main serré sur son bras, pour la guider vers l’angle de mon bureau. En sentant sa résistance, je lui ai demandé combien elle voulait d’avance, ce qui coupa net ses réfutations de se retrouver au coin comme une gamine.

Mon dieu qu’elle était belle comme ça, avec sa culotte sur ses chevilles, mains sur la tête. Sa jupe coincée dans la ceinture, elle m’offrait un délicieux paysage. Je n’ai jamais été aussi long pour rédiger un chèque et un reçu !

- Bien, j’ai donc décidé de prolonger votre période d’essai. Ce que j’apprécie beaucoup chez vous, c’est votre courage. Vous avez accepté cette fessée punitive avec les honneurs liés à une femme de caractère qui s’assume. Je vous en félicite !

Après avoir remonté sa culotte, la belle a signé le reçu et pris son chèque en me remerciant ! Je jubilais !

Juste avant qu’elle ne quitte mon bureau, je lui ai donné une boite contenant un magic wand massager.

- Vous partirez avec ça ce soir, votre mission est de l’essayer pour me dire ce que vous pensez de ce sextoys.

Devant son regard gêné, j’ai immédiatement ajouté qu’elle pouvait l’essayer de suite si elle le voulait. Comme par hasard, elle a décliné et préféré l’essayer chez elle.

[color=#FF0000:2el0bipv][b:2el0bipv]TROIS PRECISIONS UTILES

1°) Cette histoire est totalement bidon. Malicia est ma femme, elle n’a pas été embauchée par ABCplaisir. Notre histoire dans le monde de la fessée et du BDSM, n’a pas du tout commencé comme ça.

2°) Si un employeur s’aventurait à faire un tel plan à Malicia, il y a de grandes chances qu’il prenne sa chaise et le bureau sur la tête, avant d’y laisser quelques dents !

3°) Malicia est testeuses de sextoys, pour moi ! Et comme je ne peux pas les remettre en vente, elle me ruine ! C’est cher une femme dans un sexshop !
[/b:2el0bipv][/color:2el0bipv]
QUESTIONS

Est-ce que j’arrête là cette histoire ou est-ce que vous me donnez des idées perverses pour que je la continue ?
il y a 3 ans

Le piège en fait, c'est nous^^, après il doit boire pour nous oublier. Je serai pas étonné, si sous son lit, il y a pas de poupées à notre effigie avec des aiguilles. lol
[ la vengeance sera terrible ]

Non, on sait que vous avez une complicité, réciproque, et que tu es une personne qui a du coeur, et que tu es là pour les gens.
il y a 3 ans

Je viens seulement de découvrir cette histoire fort savoureuse et plaisante à lire !
Personne n'a souhaité vous la faire continuer, que c'est triste !
il y a 5 mois

Je découvre ce récit.
Mais vous êtes un sadique mon cher et tendre! lol
Et de toute façon, cela n'aurait pas marché, je lis TOUTES les petites lignes d'un contrat ! C'est la première chose que mon père m'a appris. On ne signe rien sans avoir TOUT lu !

Et puis, je ne vous coûte pas cher en sextoy moi, c'est pas vrai!!!!!

Et je confirme, notre rencontre ne s'est pas du tout passé comme cela et que le seul contrat qu'il y a entre nous est un contrat de mariage rire
il y a 5 mois

TSM, merci pour cette histoire dont l'idée est très originale et sympathique. Aux trois précisions finales, vous auriez pu rajouter que Malicia est une pro du maniement de l'ordinateur donc aucun risque d'erreur de sa part dans une commande.
il y a 5 mois

Punaise quelle horreur ce contrat !?
En auto école on nous interdit de tester le fonctionnement des airbags et de faire des journées portes ouvertes.
Ça coûte trop cher en carrosserie apparemment ?!🤔

Dommage qu'elle n'ait pas pu tester le rayon ABDL de la boutique.
Une couche cadenassée dans un body à pressions pour venir bosser ça doit être sympa !🤣🤣
il y a 5 mois

Ceci étant en lisant le titre, j'avais cru que c'était MALICIA qui avait piégé le contrat de votre recrue.
Ça aussi ça aurait pu être possible...😅😅😅
il y a 5 mois

J'ai bien cru que cette histoire était vraie. Jusqu'au moment où j'ai lu à la fin qu'elle était bidon. C'est dommage car je trouve que Malicia était bien dans son rôle, pas vous ?
il y a 5 mois

Rien n'empêche le couple diabolique d'embaucher quelqu'une et de lui faire signer ce contrat.
Avec la clause des couches cadenassées en petites lignes en plein milieu du pavé.😈
il y a 5 mois

Bonjour, Juste un petit rappel, certainement inutile puisque tout le mondes sais. Une clause contraire aux droits du travail, aux droits de l'homme, à la dignité humaine, au droits du commerce, etc, en fait contraire à l'arsenal législatif national ou européen est considéré comme nul, même si oui les deux partenaires étaient en accord avec ces dispositions. Cordiales salutations a tous Héedoné
il y a 5 mois

Personnellement je me serais méfié si ledit contrat aurait été rédigé en lettre gothique ancienne ou tout autres caractères ancien, sur un papier parchemin, écrits à la plume et qu'il aurait fallu signer avec une goutte de son propre sang...
Mais bon, je dis ça je dis rien 😀
il y a 5 mois

les contrats qu'on me propose sont toujours en gothique et signés de mon sang ^^
il y a 5 mois

Punaise Paline !?
J'espère que tu n'en signes pas toutes les semaines des contrats...😳
il y a 5 mois

non juste une fois, un grand gars rouge avec des cornes ^^
il y a 5 mois

@Paline : courage, celui-là est dur en affaires 😜
il y a 5 mois

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