Centre de redressement pour jeunes filles
Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
[b:19kgxnrb]Résumé : les mésaventures d’une jeune fille dans un centre particulier faisant appel à la fessée, l’humiliation, les couches, les punitions mais avec un directeur inhumain qui est un violeur et dresseur de femme soumise pour une organisation secrète.
Attention c’est assez hard comme histoire érotique [/b:19kgxnrb]
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Devant la croissance édifiante de la délinquance des jeunes filles, la justice à créé un centre de redressement pour jeune filles majeures qui sort complètement de la déclaration universelle des droits de l’homme adoptée le 10 décembre 1948 par les 58 Etats.
Le but de ce centre est aussi d’éviter aux jeunes filles la prison et, grâce aux rumeurs extérieures, de dissuader les adolescentes.
Le jour de ses 18 ans, Laurie est partie de chez ses parents pour aller vivre « sa vie » avec un mec pourri qui la balade en jouant avec ses sentiments. Cela fait trois fois qu’elle se fait piéger à voler pour lui dans des magasins mais la dernière fut celle de trop. Pour essayer de fuir, elle a essayé d’assommer le vigile qui lui tournait le dos dans son bureau avec le ventilateur avant de prendre ses jambes à son cou dans le magasin. La pauvre mamie marchant avec une canne se trouvant sur son chemin fut littéralement projetée dans un caddy. Voyant qu’elle ne s’arrêtait pas pour s’excuser et l’aider à se relever, avec sa corpulence de rugbyman Tony furieux d’un tel manque de respect l’a attrapée et conduite par les cheveux jusqu’à la personne âgée étalée sur le sol. La suite est simple, police, pompier et direction le commissariat.
Le vigile étant grièvement blessé au cou et la mamie dans un piètre état, Laurie est conduite devant le juge du nouveau tribunal de proximité. Et là, au lieu de jouer profil bas, la rebelle insulte le juge et donne des coups de pieds à l’agent essayant de la modérer. Dégoûté, l’avocat commis d’office plaide par principe et sans grande conviction.
- Mademoiselle, vous êtes une récidiviste dangereuse, devant vos agissements, votre attitude aussi honteuse qu’irrespectueuse je vous condamne à six mois de centre de redressement à cause de votre jeune âge, mais vous mériteriez cinq ans de prison. Votre incarcération est immédiate. Affaire suivante ! Déclare le juge.
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A son arrivée au centre de redressement des jeunes filles, Laurie est conduite au bureau des entrées où on lui demande de se dévêtir pour y être auscultée par le médecin. Se mettre nue devant deux gardiens n’est pas du goût de la jeune rebelle prête à se battre. En ces lieux, les lois sont bien différentes de l’extérieur et on apprécie de pouvoir rentrer dans le vif du sujet du côté des gardiens. Deux monumentales gifles plus tard dont une lui est rendue par le mur, Laurie en larme est attrapée par les cheveux, ses vêtements sont quasiment arrachés. Le médecin l’ausculte, lui fait une prise de sang servant également pour le test HIV, lui pose quelques questions avant de valider son entrée sans évidement mentionner les marques sur son visage. Sans même lui demander sa taille, l’habilleuse dans la salle suivante lui donne un soutien gorge, une culotte type écolière, une jupe courte puis un tee-shirt et des ballerines usagées en guise de chaussures.
Conduite nue dans les couloirs jusqu’à une cellule d’isolement, Laurie rumine sa rage mais n’en mène pas large. L’ennuie ne l’aide pas à se calmer, elle est convaincue d’être assez maligne pour pouvoir s’évader. Lorsque l’on vient la chercher six heures plus tard, c’est pour la conduire à la douche avec les autres détenues. La pièce froide et vétuste n’a pas de douche ni de porte, les murs sont carrelés il y a des trous dans le sol pour l’écoulement de l’eau. Laurie se déshabille et comme les autres filles pose ses vêtements sur un banc de béton. Une d’entre elles, passe avec un seau contenant des morceaux de savon cubique, comme les autres filles elle en prend un sans trop comprendre ce qu’il l’attend. Un gardien arrive avec un long tuyau qu’il branche au mur en hurlant : « en position ». Les filles se mettent face au mur, Laurie fait comme elles, ici on n’a pas le droit de parler. Le gardien ouvre l’eau et les arrose copieusement, coupe l’eau, crie « tournez-vous » et recommence en s’amusant à diriger le puissant jet sur leur visage ou ce qui fait d’elles des femmes.
- On se savonne ! Hurle le gardien. Et n’oubliez pas vos chattes, ici les filles sont propres.
Le rinçage se fait au jet avec une particularité qui n’est pas du goût de Laurie. Elles doivent se mettre en ligne et se pencher en avant pour montrer leur cul. Laurie refuse en criant qu’elles ne sont pas des bêtes, en guise de discutions, le gardien rince les fesses des filles sans s’occuper de la rebelle. Plaquée contre un mur par le cou, Laurie voit les filles passer une après l’autre dans un immense séchoir, se rhabiller et quitter la salle en rand comme des écolières.
- Alors comme ça tu veux jouer les rebelles ? Lui dit le gardien la maintenant toujours pas le cou. Alors c’est très bien, on va s’amuser.
Attrapée manu militari, elle est entraînée dans une salle où se trouve une énorme croix horizontale positionnée à un mètre du sol. Portée et entravée bras et jambes en croix, même morte de peur, Laurie les insulte. Insensible à ses insultes, ils finissent de refermer les bracelets de ses membres puis prennent du recul. L’un d’eux prend le tuyau accroché au mur, ouvre l’eau et le dirige directement sur son intimité. Le froid comme la puissance du jet la font hurler. Elle se débat mais ne peut échapper au puissant jet lui donnant l’impression que son sexe brûle. Le vice des gardiens ici est sans limite, l’un d’eux s’approche d’elle avec une énorme seringue munie d’un embout de la taille d’un pouce.
- On va te laver le cul en profondeur salope, la prochaine fois qu’on te demandera de monter tes fesses, tu le feras sans discuter ! Lui dit le gardien en insérant la canule de la seringue sans plus de précaution dans son trou du cul.
Laurie hurle de douleur et de rage autant que de honte, quand le gardien commence à lui remplir les intestins pendant que deux autres s’amusent avec ses tétons qu’ils appellent des « mamelles ». Elle les traite « d’enculés » en se débattant, puis, quand ils écrasent ses « mamelles » comme des fous entre leurs doigts, les supplie entre deux cris d’agonie. Le lavement se reproduit trois fois, l’eau injectée dans son colon gicle entre ses jambes. Se faire dessus comme ça, la couvre de honte, le désespoir remplace la rage, l’envie de mourir pour ne plus vivre ça la submerge.
Comble de l’ignominie, quand ils libèrent la loque humaine qu’elle est devenue, ils lui posent une couche en lui indiquant que c’est pour qu’elle ne laisse pas des traces dans les couloirs. Brisée, Laurie de répond pas, elle s’habille et les suit dans les couloirs. Dans ses yeux brouillés par les larmes, les murs et les portes défilent sans qu’elle n’y prête attention. A l’entrée du réfectoire silencieux, tous les regards se portent vers elle. Quand le gardien la pousse vers le service, elle rétorque qu’elle n’a pas faim.
- On s’en tape que tu ais faim ou pas, prend un plateau et à manger et va t’asseoir où tu vas morfler.
Mortifiée, assise devant son plateau entre deux autres détenues, Laurie sent que cela coule entre ses fesses, son colon restitue les restes du lavement. Ce n’est plus que de l’eau mais elle ne peut le savoir et pleure toutes les larmes de son corps. Les filles ne disent rien, seuls leurs yeux compatissants l’accompagnent dans son désespoir. Les premiers jours ici, sont un véritable enfer, la pauvre n’en est qu’à ses débuts.
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Le coucher des filles est un moment très particulier au centre, apprécié par certain détesté par les détenus. En quittant le réfectoire, les filles sont conduites en rand dans d’immenses chambres collectives. Le passage par les toilettes sans porte ni mur de séparation est obligatoire, la pudeur est mise à mal, il faut un peu de temps pour parvenir à faire ses besoins. Brisée Laurie baisse sa couche finalement pas très salle et s’assoie machinalement mais rien ne vient, elle est bloquée. Elle est autorisée à jeter sa couche avant de rejoindre le rand de celles qui ont fait et attendent que les autres fassent. La tête basse comme des condamnées, les filles se mettent en route, Laurie est affectée à la chambre six.
Sous le regard des gardiens, elles se dévêtissent pour enfiler une chemise de nuit en coton gris avant de se mettre debout aux pieds de leur lit. Un gardien distribue des couches à celles qui en veulent puis ordonnent de se coucher. En guise de télévision et d’internet, les gardiens leur passent une chaîne soudée au lit autour du cou, les entraver comme des bêtes leur permet d’éviter des bagarres sanglantes et les amours saphiques. Outre la sécurité, ce dispositif permet surtout de limiter le personnel pénitentiaire la nuit et d’augmenter la capacité d’accueil au moindre frais.
Laurie n’a pas de chance
Laurie n’a pas de chance, elle est très jolie, son corps bien proportionné a toujours attiré les regards et en ces lieux ce n’est pas un cadeau. Elle est mince, svelte, son corps n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse peu accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau est tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées. Son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs, pétillants d’intelligence bordée de magnifiques cheveux châtains-blonds, ondulant jusqu’aux épaules s’envolant à chaque mouvement de tête. Sa poitrine presque volumineuse avec ses seins bien ronds suscite toutes les convoitises.
Le matin, après les toilettes collectives et la douche toujours aussi cruelle, les gardiens l’isolent du groupe en lui indiquant qu’elle va être transférée pour son dossier. Une lueur d’espoir anime Laurie qui se laisse mettre les fers aux pieds comme les bagnards puis les menottes dans le dos. Conduite à travers un dédale de portes et de couloirs à travers l’établissement, Laurie est conduite au directeur prévenu de l’arrivée d’une poupée saine son test HIV étant négatif. Dès son entrée dans le bureau, le directeur posant sur elle un regard de prédateur Laurie a un pressentiment très négatif et elle ne se trompe pas. Une fois seule avec lui, il s’approche d’elle avec un taiser à la main en lui expliquant que cet appareil permet de remplacer les armes des policiers. Le sien est réglable dans l’intensité, de la simple décharge de rappel, il peut délivrer une puissance telle qu’un bœuf s’écroule d’une simple décharge.
Il l’a guide délicatement en t’attrapant par les cheveux dans une salle qui lui glace le sang lorsqu’elle y pénètre. Le lit, le canapé, le bar, les chaînes et crochets dans le sol avec de grandes armoires contre le mur du fond lui font très peur. Elle refuse d’avancer mais avec les fers aux pieds et les mains menottées dans le dos, il est difficile de résister à la puissance d’un homme décidé. Conduite au centre de la pièce manu militari, le directeur passe un crochet dans ses menottes et l’abandonne un instant pour aller chercher une télécommande. Face à sa proie, avec un sourire carnassier posé sur les lèvres, il appuie sur le bouton de la télécommande. Le crochet fixé aux menottes dans son dos remonte lentement vers le plafond obligeant Laurie à se pencher en avant. Le directeur dès plus sadique se nourrie de la peur qu’il lit sur le visage de cette magnifique poupée rebelle qu’il va dresser à sa manière.
La télécommande jetée sur le canapé, le directeur s’approche d’elle pour entreprendre de lui malaxer les seins. Entravée dans la position où elle est, hormis râler et insulter elle ne peut rien faire pour fuir les horribles attouchements annonciateur d’idées encore bien plus sadiques et perverses. Laurie a compris et ne peut accepter ce qu’il va lui arriver, la rage la pousse à essayer de mordre mais, rusé et habitué aux rebelles, le directeur esquive le coup de dents qui lui était destiné. Le teaser à la main, il s’approche d’elle et malgré ses « non » désespérés lui délivre une décharge si forte qu’elle bondit et hurle sa douleur.
- Il n’est qu’en position un, je te laisse imaginer en position dix sur ta chatte…. Lui indique le directeur avec un sourire sadique comme s’il espérait qu’elle se rebelle encore.
Le teaser en main, il entreprend de flatter ses fesses exposées en lui ordonnant de ne pas bouger si non….. Ce contact la rend folle de rage puis de désespoir quand la main vicelarde entreprend de passer devant pour plonger entre ses cuisses et tripoter sa féminité qu’elle essaie de protéger en serrant les cuisses. Laurie pleure et supplie maintenant et desserre même les cuisses quand il pose son teaser sur sa joue trempée de larmes.
- Ne pleure pas, dans un moment si tu es bien sage, tu vas connaître des jouissances si folles et intenses que tu rêveras de revenir me voir. Voyons voir les trésors que tu caches sous ces horribles vêtements. Murmure le directeur à son oreille entre entreprenant de baisser sa culotte qu’il fait glisser jusqu’à ses pieds.
Quand sa main se pose sous sa jupe sur sa croupe offerte Laurie frémit de la tête aux pieds et plus encore quand un doigt malin s’insinue lentement dans sa raie des fesses pour venir tâter puis prendre son petit orifice interdit en lui arrachant un gémissement de douleur.
- Là tu es trop serrée, j’ai programme adapté pour toi, ne t’inquiète pas.
Le doigt fouineur s’arrache de l’étroit passage pour venir maintenant explorer sa plus tendre intimité qu’il trouve déjà bien ouvert pour une fille de 18 ans. Il l’abandonne un instant pour aller chercher des ciseaux de couturière, à son approche elle claque des dents de peur, l’angoisse serre sa gorge à l’étouffer lorsqu’il se met à découper ses vêtements. Intégralement nue, hormis sa culotte tombée sur les fers qu’elle porte toujours aux pieds, il savoure des yeux son corps, un pur chef d’œuvre de la mère nature. Il passe derrière elle et se plaque contre ses fesses comme s’il allait la prendre en malaxant ses seins généreux d’une rare fermeté pour ce volume. Entre elle et son violeur, le pantalon et le slip du directeur ne sont qu’un maigre rempart de protection, sur lequel elle n’a aucune confiance.
Il l’abandonne un instant pour aller ouvrir les grandes armoires, leur contenu affole encore Laurie, il ressemble à la fois à celui un sex-shop et celui d’une véritable salle de supplice. Il y choisit des pinces à sein reliées par une chaînette puis un gros martinet fait de longues et épaisses lanières de cuir noir.
- Une fille est bien meilleure quand elle a un peu souffert avant ! Lui indique le directeur en s’agenouillant sous sa poitrine pour poser les pinces sur les délicats ergots roses et fragiles.
La morsure immédiate des pinces la fait gémir et pire encore lorsqu’il entreprend de lester la chaînette avec un poids de 300 grammes. Les lanières du martinet ne tardent pas à s’abattre sur son magnifique fessier offert à sa gourmandise. Laurie crie alors que les coups ne sont pas réellement portés.
- Ne crie pas tout de suite, tu as tout ton temps. Clame haut et fort le directeur en abattant un coup nettement plus appuyé la faisant ruer de douleur, ruade innocente se répercutant aussitôt sur le poids accroché à la chaînette de ses pinces à sein. Cruel dilemme n’est-ce pas ma belle que de souffrir sans bouger pour ne pas augmenter ses souffrances……
La valse des lanières tantôt sur ses cuisses, tantôt sur son dos, tantôt sur ses fesses génère un lot de douleurs telles qu’elle en arrive à espérer qu’il la viole rapidement pour que cela se termine. Son corps commence à rougir de partout, son beau visage n’est plus beau, il est trempé de larmes avec des signes de contractions musculaires dues à la souffrance endurée.
- Allez, on arrête pour cette fois, veux-tu que je te retire les pinces à sein ?
Laurie répond « oui » et rajoute même « s’il vous plait » et là, dans un pur sadisme il lui demande s’il doit les retirer rapidement ou doucement. Etant inculte en SM et en pinces à sein, elle répond « rapidement » sans savoir qu’au plus c’est rapide au plus c’est douloureux. Elle se met à hurler quand l’afflux sanguin se fait rapidement dans ses tétons écrasés reprenant leur forme initiale. Tu aurais du me répondre : « c’est vous qui décidez Monsieur » cela aurait été moins douloureux.
D’un naturel posé, organisé et soigneux, le directeur retire son pantalon qu’il plie et pose sur le canapé avant de retirer son slip rangé avec les mêmes précautions avant de s’approcher de Laurie dont le cœur bât la chamade. Le sexe bandé fouille entre ses fesses pour le plaisir de générer la peur de la sodomie de la jeune pucelle du cul avant de venir s’enfoncer d’un seul coup dans sa vallée intime sèche ce qui lui arrache un cri de bête que l’on égorge. Tenue par la taille en entravée, elle ne peut que subir l’outrage de ce sexe turgescent décidé à se servir de la bête qui lui est offerte. Forcée de subir, elle n’a qu’une hâte que cela se termine, mais d’un âge mur, le directeur sait prendre son temps. Les mouvements sont réguliers alternés de coups de rein parfois très profonds qui la font crier et s’essouffler. Comme il serait trop dangereux pour une première de se déverser dans sa bouche, il se retire pour éjaculer sur son dos en lui disant « qu’elle est une bonne salope qui ira loin ».
Brisée et dégoûtée, la vie dans le centre lui semble soudain bien plus douce Laurie espère maintenant pouvoir rejoindre les détenues pour fuir ce lieu maudis mais le directeur a d’autres intentions, la rendre folle. Au lieu de la libérer, il prépare du matériel et déroule une rallonge électrique avant de poser un pot sur son dos en lui indiquant qu’elle sera punie si elle le fait tomber. Il lui passe une ceinture et une corde pour attirer son corps vers l’arrière et une autre corde pour attire son corps vers l’avant. Les cordes attachées dans les crochets fixés au sol, elle ne peut ni avancer ni reculer ni même se mettre sur la pointe des pieds pour fuir l’horrible machination qu’il a prévu pour ravager son cerveau. Il prépare ensuite un machine à baiser sophistiquée, équipée de deux tiges sur lesquelles il fixe deux godes. Un tout petit pour l’anus de la pucelle du cul, un plus gros pour son sexe déjà bien accueillant. Laurie est horrifiée en voyant cela, son calvaire n’est donc pas fini.
D’un vice tel qu’il est toujours parvenu à faire craquer ses victimes, il ajoute un espèce de gros micro sur pied importé des Etats-Unis, c’est une pièce rare d’une très grande puissance. Avant de faire ses « réglages » il prend deux gros suppositoires de glycérine qu’il enfonce dans ses orifices avant d’y mettre le gel de gingembre de sa fabrication personnelle. Ultra dosé, ce gel chauffe rapidement les parois vaginales et anales, si bien que pour apaiser le feu couvant en elle, ses victimes sont comme assoiffée de sexe.
L’introduction des godes ne se fait pas sans jérémiades, surtout pour la petite rosette étoilée monstrueusement contractée, pour le moment… La machine callées et les godes en place, il lui reste à installer le gros micro vibrant qui vient prendre appuis sur le clitoris caché au fond de son écrin. Il n’est que dix heures, comme il a le temps, il programme sa machine à baiser pour une évolution progressive de la vitesse et met en route le gros vibro sur une vitesse lente, si ce n’est pas suffisant il viendra la régler plus tard.
Lorsque ses machines diaboliques sont mises en marche, le premier réflexe de Laurie est de hurler, elle hurle de peur pour l’instant mais il sait que dans un moment, la mélodie sera tout autre, surtout quand sa mixture de gingembre commencera à faire effet, ce qui ne devrait pas tarder.
- A tout à l’heure ma belle, amuse-toi bien et n’hésite pas à « chanter » ton plaisir, j’adore travailler avec cette douce mélodie.
Laurie ne peut que subir les mouvements alternés des deux godes forçant ses orifices puis les vibrations sur son clitoris sous les yeux amusés du directeur assis à son bureau dans la pièce à côté. Par la porte ouverte, il a le délicieux spectacle que lui offre sa magnifique victime.
- Comment peut-on avoir du plaisir quand on est torturée ? Vous êtes un malade. Crie Laurie en le voyant quitter les lieux.
Moins de deux minutes plus tard, le gingembre commence à faire son effet et à chauffer l’intimité agitée, si bien que lorsque la machine à baiser fait des pauses, elle en est à espérer qu’elle redémarre pour apaiser le feu couvant en elle. Le gros vibro sur son clitoris est diabolique, en d’autre temps elle apprécierait d’en avoir un chez elle, mais là, comment goûter ces agréables sensations à leur juste valeur ? Au bout d’un moment, la machine à baiser accélère, les gros suppositoires à la glycérine fondant progressivement, la lubrification est telle que les godes glissent en elle sans efforts pour les tendres parois. La machine à baiser accélère encore, les mouvements inversés du gode anal et du gode vaginal comment à méchamment chahuter son intimité et son clitoris à réagir.
Du plus profond de ses reins et de ses tripes, elle sent bien que quelque chose de sourd, de bon, de bizarre monte en elle. Elle ne peut concevoir de jouir, non ce n’est pas possible, pas ça pense t-elle, pas comme ça, c’est ignoble. La machine à baiser accélère encore, elle essaye de se mettre un peu sur la pointe des pieds pour diminuer les vibrations sur son clitoris mais c’est bien pire. Quand le micro l’effleure la vibration est telle qu’elle en a les lèvres intimes qui se mettent à trembler.
Il arrive doucement avec vice, elle le sent mais au plus elle essaie de lui résister, au plus il monte en elle. Sa tête devient chaude, sa respiration s’accélère, au bruit de la machine se joignent les clapotements d’une chatte chahutée trempée de plaisir. Laurie ne veut pas lui faire le plaisir de jouir, elle se mord la lèvre, son visage crispé affiche la lute sauvage se déroulant en elle jusqu’au moment ou elle est ravagée malgré elle par une jouissance diabolique. Diabolique car la machine à baiser ne s’arrête pas tout comme le gros vibro sur son clitoris.
Lorsqu’il l’entend crier, le directeur ferme les yeux pour mieux apprécier la sublime mélodie d’une femme terrassée par la jouissance. D’autres vagues orgasmiques aussi puissantes que des tsunamis ravagent la résistance de Laurie, elle n’est plus qu’un corps agité de spasmes aussi incontrôlables que diaboliques.
Tellement ravagée mentalement et physiquement, quand il vient libérer son intimité et la baiser à nouveau, Laurie ne réagit plus, son corps ne lui appartient plus, il appartient au plaisir charnel qu’elle ne contrôle plus. Pour la seconde fois il lui éjacule sur le dos avant de la décrocher pour l’étendre sur le sol. Par précaution, il ajoute des menottes à un des crochets pour qu’elle ne puisse s’enfuir puis lui pose un casque intégral de moto sur la tête.
Ce casque a été modifié, à l’intérieur pendant le temps du repas et de la sieste du directeur, il va diffuser en boucle une musique douce avec des paroles indiquant : « je suis la soumise sexuelle du directeur, je l’aime, je suis la chienne du directeur, je l’aime, le directeur est mon Maître, je l’aime». Littéralement épuisée à peine recouverte d’une couverture, Laurie s’endort avec un lavage de cerveau en guise de rêve de vie.
A suivre
il y a 11 ans
il y a 11 ans
Pauvre Laurie ,
il y a 11 ans
Compte anonymisé
il y a 11 ans
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