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Les séparations, sont des blessures, elles laissent toujours des cicatrices dans l'âme.
Une âme charitable m’a écoutée, consolée, aidée à revivre.
Il y a eu une première rencontre, une petite fessée, pas vraiment méritée.
La pandémie fait qu’il faut dormir les uns chez les autres. Étant en totale confiance avec La Grenobloise, j’ai accepté de passer un week-end entier chez elle.
Elle a su me convaincre de m'abandonner à une femme. Moi, soumise à une femme, quelle idée ? Étant bi, je me suis dis, après tout pourquoi pas, cela me fera du bien, ce n’est qu’un week-end.
Parfois libre, parfois attachée à sa merci, j’ai commencé par perdre la tête avant de retrouver mes sensations, le plaisir, le plaisir de vivre à 100%. En sa compagnie, le mal-être devenait bien-être, même en mangeant une simple pizza. Une sensation de plénitude m’envahissait.

Arrivée le vendredi soir, je ne suis repartie que le lundi matin de bonne heure, tant j’étais bien, heureuse, épanouie.
Toute la journée, j’ai repensé à elle, sa recherche de soumise en CDI. Une proposition alléchante très perturbante. Cela signifiait pour moi changer de vie, de sexualité. La remise en question totale.
A 39 ans, c’est ce que j’ai décidé de faire. J’ai choisi le bonheur. Depuis que je suis avec elle je revis et de toutes évidences, les hommes ne m'intéressent plus.

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Histoire touchante, voilà l' orchidée sauvage domestiquée qui bien entourée va s' épanouir sous la contrainte de sa tutrice maintenant qu' elle a trouvé le terreau favorable..... J' espère que vous nous partagerez les doux bouleversements intimes que votre audacieux choix promet
Bonheur à vous deux