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Paradoxe, quand tu nous tiens...

Une idée qui me vient en tête : au bout d'une semaine ou deux en cage (ou ceinture) de chasteté, il faut bien admettre que ça bouillonne pas mal dans les neurones côté libido.
Alors pourquoi diable qualifie-t-on ces instruments de "chasteté" ? C'est un peu le contraire qui se produit, non ?

En tout cas il faut admettre que c'est vraiment amusant à vivre. Ce n'est pas pour rien que l'on surnomme l'éjaculation "la petite mort" : quelques secondes de plaisir pour un bon bout de temps à recharger les batteries !

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Excellent sujet ! Vous avez raison, le plaisir de l'éjaculation ne dure quelques secondes, alors que le plaisir de la frustration dure des heures. Dans le cadre d'une relation de couple, le retrait de la cage génère des regrets. J'ai du retirer la mienne quelques temps pour un souci de santé, elle me manquait. je trouvais la vie plus fade, enfin, façon de parler. Mes examens terminés, la remettre fut un plaisir. Bon, le retirer pour câliner, c'est bien aussi.

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Je confirme, ça donne des idées très cochonnes ! Chaste de devant, pas de derrière....

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Oh que oui !

Il n’y a pas mieux pour apprendre a jouir par la porte de derrière. On devrait ouvrir un centre éducatif à ce sujet d’ailleurs. Ce serait d’intérêt anti-macho public ;)

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Je confirme aussi, ça rend dingue, la recherche de plaisir détourné prend une dimension exponentielle au départ. Après 3 semaines de cage, cela diminue un peu

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Pas faux le paradoxe est bien réel, sous cage on pense 2 fois plus au sexe !