Ma petite fessée de résistante

Lorsque mon chéri a envie de câlins, comme tous les hommes il le fait sentir par son approche tactile. Et là, soit nous fusionnons, soit j’ai envie de jouer. Si je n’ai pas du tout envie, je le lui dit aussi, ce n’est pas un rustre. Revenons à nos jeux.

Quand j’ai envie d’une petite fessée en préliminaire, je m’amuse à l’agacer. Sous la couette, je repousse sa main en lui disant des trucs comme « encore », ou des trucs par jeu volontairement vexatoires comme « tu vas encore faire le lapin ». En fonction de mes réponses, il sait que j’ai plus ou moins envie de jouer. Énormément « vexé », il me fait un toujours un gros bisou tout doux pour commencer, avant de devenir un vrai sadique. Il m’attrape fermement, m’arrache du lit pour m’attirer sur ses genoux. Mon pantalon de pyjama ne reste pas longtemps en place... Je crie, je supplie (par principe) tout en sachant que cela ne sert à rien et que je vais avoir la fessée que j’ai envie d’avoir.
En fonction de son humeur, cela peut être quelques claques mais si ma provocation a été un peu exagérée, (je peux être très pinçante avec des mots) il y a quand même des fois où je morfle.

Après, pour la suite des hostilités, tout est variable en fonction de nos envies. Si je lui résiste encore, il s’impose sur moi en me disant que j’y passerai que je le veuille ou non. Je résiste avec mes petits bras mais sans serrer les cuisses, faut pas déconner non plus ! Au plus je résiste, au plus il est sauvage, j’adore ! Tenue par les poignets je me fais dévorer le cou. Quand son côté animal ressort en plantant les dents dans mon épaule, je me calme le temps qu’il glisse sa zigounette là où vous savez. Après, il rattrape mon poignet pour la partie de crac crac. Et quand je commence à venir, gémir, il lâche mes poignets pour me serrer très fort dans ses bras pour continuer vous savez quoi. (La fusion) Ce n’est jamais pareil bien qu’un peu similaire sur le fond. Il me surprend parfois en mettant sa main sur mon cou comme pour m’étrangler et me rendre plus docile ou en me retournant comme une crêpe. Précision, il fait 1m90 de muscle, je fais 1m60 pour 52 kilos.

Récemment, nous avons commencé à câliner gentiment. L’envie m’est venue d’aller lui faire quelques taquineries sur le deuxième cerveau des hommes. (petite provocation en passant) Glissée sous la couette, (c’est mieux la couette que les draps, ça va plus vite pour faire le lit) je jouais donc à bisou et sucette quand l’envie de mordiller m’a titillée. J’ai essayé pour voir. Arrachée de dessous la couette par les cheveux, je me suis retrouvée, en dix secondes max, couchée au bord du lit les genoux par terre. Au départ je n’ai pas compris pourquoi il attrapait son pantalon. Allez essayez de deviner..... Ca vient pas ? Bon alors je vais continuer de vous raconter.

Il y a un truc qui sert à aider les pantalon à ne pas descendre et qui s’enfile dans les passants. Sorti justement des passants très rapidement, le truc a été plié en deux puis, avec élan, est arrivé sur mon délicat fessier. Oh que ça fait mal ce truc. En plus, quand ça arrive sur le haut des cuisses c’est horrible. Comme cela faisait très mal, j’ai essayé de résister. Il a pris ça pour un de nos jeux habituels et ne m’a pas écoutée. En plus, je lui avais fait mal sans le vouloir, ma fessée n’a pas été un simple jeu. Il m’a littéralement explosée les fesses et le haut des cuisses. Pour lui, nous étions à fond dans le jeu alors que moi je ne l’étais plus du tout. Ce fut ma première vraie fessée. Psychologiquement, cela fait drôle.
il y a 2 ans

Un joli témoignage. Une vraie fessée cela perturbe, surtout au début....
il y a 2 ans

Quel beau témoignage d' une belle complicité rougissante à souhait
il y a 2 ans

Un témoignage qu'on a plaisir à lire. Une découverte de manière originale, la fessée est avant tout une question de psychologie plutôt que de physique
il y a 2 ans

Publicité en cours de chargement