Elle me fessait devant les clients de l’institut

Suivant les conseils de ma cousine, Nicole, qui connaissait ma passion pour le métier d’esthéticienne, mon père m’avait inscrite comme pensionnaire au cours Colette, l’école de Mme Mondolini.

Il ignorait, et moi aussi, ce qui se cachait derrière la façade austère de cet établissement privé situé au bord de la Loire, non loin de Tours, et ce qui se dissimulait derrière l’allure revêche de la respectable directrice. Je n’ai pas tardé à comprendre, après quelques semaines de séjour et plusieurs séances de b i z u t a g e organisées par les anciennes de l’école.

Toutes se livraient au pires perversités et il était difficile de croire que Mmme Mondolini n’était pas au courant.

J’avais dix-neuf ans. Je partageais ma chambre avec Rébecca, une nouvelle comme moi, aux yeux verts et aux longs cheveux noirs. J’avais vite compris que cette fille aimait être dominée. J’en ai profité pour lui imposer au début toutes sortes de basses besognes, comme faire mon lit, plier mon linge et balayer notre chambre. Elle se montrait si passive que cela m’a encouragée à en faire esclave.

Un soir je l’ai obligée à se mettre toute nue pour laver le carrelage à quatre pattes, les fesses en l’air, pendant que je faisais semblant de réviser mes cours. Ses gros seins bougeaient sous elle au moindre mouvement. Les lèvres de son sexe s’ouvraient et se refermaient au même rythme, entre ses cuisses, avec leurs poils noirs réunis en petites mèches de part et d’autre de sa fente. J’ai compris en voyant couler des gouttes de mouille qu’elle éprouvait une veule satisfaction à se faire humilier.

Elle s’est cambrée quand j’ai enfoncé mes doigts dans son sexe. Son petit clitoris glissait. J’ai du le pincer avec les ongles pour le branler. Rébecca a gémi en remuant ses fesses. Je lui ai donné une tape.

- Pourquoi tu t’arrêtes ? Continue à frotter. Je veux que ce carrelage brille comme un miroir !

Rébecca s’est remise au travail. Elle avait l’air déçu mais moi, ça m’excitait de la masturber sans la faire jouir. Je l’ai utilisée plus d’une fois comme bonniche. Dans ces situations, je ne reculai devant rien pour la « punir ».

Je lui meurtrissait cruellement les mamelons avec des pinces à dessin ; je lui tirais les poils du sexe ou bien je lui piquais le derrière avec la pointe d’un compas. Mon imagination ne connaissait pas de bornes. Quand je voulais me montrer vraiment méchante, je la f o r ç a i s à danser nue en lui fouettant les fesses avec tout ce qui me tombait sous la main.

Mais le jeu qui nous excitait le plus, elle et moi, c’était la fessée. Rébecca gardait un côté gamine, bien qu’elle eut le même âge que moi. Elle aimait que je la couche en travers de mes genoux, le cul à l’air, la culotte aux genoux comme une vilaine petite fille. Elle crispait ses fesses dont la peau se couvrait de chair de poule. Je prenais mon temps, la laissant mijoter entre l’émoi qui la faisait mouiller et la peur de la douleur. Elle sursautait chaque fois que je lui effleurais le derrière du bout des doigts.

Je savais exactement ce qu’elle ressentait. Avant de venir au cours de Mme Mondolini, je me trouvais dans une institution religieuse où pour la moindre broutille, les bonnes sœurs nous obligeaient à relever nos jupes et à baisser notre culotte. J’avais joui pour la première fois allongée en travers des genoux d’une religieuse, le ventre plaqué contre sa robe de bure. Cela m’avait tant plu que j’ai recommencé souvent avec Nicole, ma cousine plus âgée que moi.

On jouait à la fessée dans sa chambre. Elle me faisait juste relever ma jupe. Me saisissant par ma culotte, elle tirait vers le haut si fort que l’empiècement s’incrustait dans la raie de mes fesses et surtout dans mon sexe dont les lèvres sortaient de chaque côté. Dès que Nicole se mettait à claquer mon cul, je me trémoussait pour frotter mon clitoris sur le tissu rêche de ma culotte. Je jouissais tout de suite.

Nicole ne s’arrêtait que lorsque j’avais les fesses toutes rouges. J’étais alors si excitée que j’acceptais toutes ses brimades. Elle me laissait mijoter dans le jus qui collait ma culotte à ma vulve en m’interdisant de me toucher. Elle prétendait que la fessée m’avait mis « le feu au cul », que j’étais donc une petite salope qu’il suffisait de toucher pour qu’elle ait envie de se faire enfiler.

Pour me punir, elle me faisait mettre à quatre pattes. Je devais lui embrasser les pieds en signe de soumission. Elle écartai les cuisses, m’ordonnait de renifler sa culotte comme une chienne, puis de lécher la tâche de mouille et de pisse qui imbibait le sous-vêtement. Elle avait parfois des idées bizarres.

Il fallait que je lui masse le clitoris, à travers la culotte, avec le nez. Quand elle m’avait suffisamment rabaissée, elle daignait m’offrir ma récompense en me masturbant du bout de ses doigts délicats. Elle poussait des soupirs agacés en même temps qu’elle me traitait de sale truie.

Ces fessées perverses, je les ai retrouvées plus tard avec Rébecca, quand je suis entrée au cours de Mme Mondolini. Comme nous partagions la même chambre nous pouvions nous divertir facilement ensemble, mais je menais le jeu, contrairement à ce qui se passait avec Nicole. Rébecca se montrait très soumise. J’allais de nouveau en faire mon souffre-douleur puisqu’elle était admise en deuxième année, comme moi.

Cet extrait est tiré d'un des chefs d'oeuvre de CATHY GRIMALDI. Il a été publié et commercialisé par MEDIA 1000 dans la série : " CONFESSIONS EROTIQUES".
il y a 2 ans

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