Souvenirs de la fessée d’un garçon

Les fessées d’une autre époque aujourd’hui interdites en France

Fille d’institutrice, je voudrais évoquer ici quelques anecdotes sur l’éducation que pratiquait ma maman à l’école et la fessée que reçut un garçon auquel ma mère donnait des cours particuliers. Comme beaucoup de ses collègues, elle punissait facilement les élèves, filles ou garçons avec des fessées culottes baissées.

Elle était crainte et sa réputation de sévérité la suivait de classe en classe. Heureusement pour moi, il avait été décidé que les e n f a n t s de maîtres ou maîtresses n’étaient pas affectés dans la classe de leur parent. Aussi je n’ai pas eu à supporter la main de ma mère sur mes fesses mises à nu devant mes camarades pour les faire rougir. Si je devais être fessée, cela se passait à la maison.

Dans l’ensemble, j’étais une élève assez sage et me tenais tranquille. Il m’avait suffi une fois d’entendre ma maîtresse me menacer à voix haute pour me faire honte :

« Continue comme cela et je t’emmène dans la classe de garçons de ta mère ! Tu sais ce qui t’attend, n’est-ce pas Catherine ?… (pause suspense)… une bonne fessée déculottée devant ses élèves ! »

Fessée dans sa classe de garçons ! Quelle horreur ! La menace m’atteignit en plein cœur ! Je me mis à rougir comme un coquelicot et baissai les yeux sous les regards de toutes les filles de la classe qui s’étaient retournées vers moi. Elles devaient toutes m’imaginer en larmes, juchée sur les genoux de ma maman, jupe troussée, mon popotin tout nu rougissant sous les claques maternelles. J’en aurais fait pipi dans ma culotte !

Je n’en revenais pas car notre maîtresse était gentille et nous l’aimions bien. Même s’il lui était arrivé de donner la fessée, c’était rare. Évidemment être fessée entre filles ce n’était pas pareil que si cela avait été devant des garçons. Nous regardions toutes la punie gigoter lamentablement sur les genoux de la maîtresse, pour certaines, avec des sourires amusés, et nous faisions chorus avec des gloussements et des ricanements stupides et la crainte de se retrouver un jour dans la même fâcheuse posture.

Le jeudi, jour de congé, Maman recevait parfois des élèves en cours particuliers. En accord avec les parents, elle utilisait les mêmes méthodes que dans ses classes. J’étais parfois témoin bien involontaire de quelques-unes de ces fessées, mais j’avais tendance à en plaindre les pauvres bénéficiaires, ne connaissant que trop les effets de ses corrections. Cependant, l’une d’entre elles me laissa dans un certain émoi : la fessée que reçut Philippe, un joli garçon d’une bonne dizaine d’années qui préparait son passage au collège.

Lorsque Maman donnait une leçon particulière, je devais faire mes devoirs ou lire à la cuisine tandis qu’elle s’installait avec son élève dans la salle à manger. La porte était toujours poussée afin que chacun soit tranquille dans ses occupations. J’étais plongée dans une lecture d’aventure quand j’entendis la voix de Maman s’élever.

« Mais enfin Philippe, fais attention quand même, cela fait trois fois que tu fais la même erreur ! »

Je connaissais assez l’autorité de ma mère pour savoir à quel moment un élève avait dépassé les limites de sa patience. Cette fois, au ton de sa voix, elle était passablement agacée, ce qui ne présageait rien de bon.

Intriguée, je posai mon livre et écoutai. Quelques minutes plus tard, les reproches reprirent et, selon ma très ancienne expérience, le ton s’était haussé jusqu’à un point de non-retour !

« Et voilà que tu recommences, Philippe ! Mais on dirait que tu le fais exprès ! Ce n’est pas Dieu possible ! Tu veux vraiment passer en 6e ? Tu sais que ta maman m’a autorisée à te fesser s’il le fallait, alors ne m’oblige pas à le faire ! »

« Fesser » : le mot agit sur moi comme un déclic, excitant ma curiosité. N’y tenant plus je sortis de la cuisine et m’approchai à pas de loup de la salle à manger. La porte étant entrouverte, je réussis à l’ouvrir discrètement assez pour apercevoir ma mère de dos et surtout le visage de Philippe. Il était rouge et dénotait son inquiétude. La menace d’une fessée avait donc agi sur lui.

Je pressentais son état d’esprit, plus préoccupé par les remontrances de ma mère et le risque encouru que par la nécessité de se concentrer sur le problème d’arithmétique à résoudre. Ce n’était pas cela qui allait arranger les choses et j’étais persuadée que j’allais assister à sa fessée.

Je ne m’étais pas trompée. Au bout de quelques minutes…

« Ça suffit maintenant ! » D’une claque impressionnante sur la table, ma mère exhala son exaspération. « Tu l’auras voulu, Philippe ! Tant pis pour toi ! Ce sera la fessée déculottée pour te réveiller ! »

Elle se leva et, faisant le tour de la table, empoigna le garçon et le souleva de sa chaise. Philippe, le visage écarlate cette fois, bafouilla qu’il allait s’appliquer, qu’il ne voulait pas la fessée.

Trop tard ! De ses mains adroites, ma mère retroussa le petit pull, fit sauter les bretelles de la culotte courte par devant et par derrière, puis s’attaqua au gros bouton de la taille avant de terminer par ceux de la braguette. Des larmes commençaient à embuer les yeux de Philippe qui, debout et immobile, devait se dire qu’il allait y passer.

Moi qui n’avais jamais vu que des fessées administrées à des filles, comme mes camarades de classe ou mes deux cousines, j’allais assister à la fessée d’un garçon. Mon cœur battait d’une folle curiosité ! Moi qui avais exposé mes fesses nues et rouges, mon visage brillant de larmes, je bouillais à présent d’impatience de voir si la fessée faisait la même chose sur un garçon.

D’où je me trouvais, j’avais pleine vue sur Philippe tandis que ma mère était en train de le déculotter.

Ses bretelles défaites pendant de chaque côté de ses hanches et sa braguette déboutonnée en entier, il suffit à ma mère d’en écarter les pans pour abaisser la culotte courte de drap jusqu’aux genoux. Philippe apparut, vêtu d’un petit slip de coton blanc « Petit bateau », la célèbre marque que nous affectionnons tous à l’époque. Aussitôt, les larmes de ses yeux commencèrent à perler sur ses joues.

Je connaissais la suite, mais c’était comme si je découvrais des étapes inconnues. Sans s’occuper des couinements ni des jérémiades de son élève, elle saisit la ceinture du slip et le fit glisser rapidement à mi-cuisses. À la fois étonnée et ravie, j’eus du mal à ne pas pouffer de rire en apercevant le drôle de petit bout de chair allongé et rose qui pointait sur le ventre blanc. Un zizi de garçon !

Philippe se mit à chouiner avant même que la première claque maternelle ne lui chauffât ses petites fesses. Ma mère s’assit et le bascula sans ménagement en travers de ses genoux. Cette fois, je découvris une paire de fesses masculines dont, à première vue, la nudité ne me parut pas si différente de celle d’une fille. Le bras de ma mère s’éleva et très rapidement les claques se mirent à tomber sur ses fesses.

Les pleurs se firent entendre rapidement tandis que la peau blanche virait au rose. La fessée était sévèrement appliquée et je ne perdais pas une miette des gesticulations du puni. Il avait beau gigoter, ma mère le tenait solidement, son bras gauche enroulé autour des hanches, sa main droite claquant sèchement la petite croupe dont les écarts intempestifs procuraient à mes yeux candides une belle leçon anticipée d’anatomie masculine !

Jugeant la fessée suffisante, ma mère remit sur ses pieds le garçon qui s a n g lotait, le sermonna de nouveau, mais au lieu de le reculotter, elle le fit s’asseoir, fesses toutes rouges et encore nues sur la chaise.

« Comme cela tu seras tout prêt si je dois à nouveau te fesser. J’espère que je n’aurais pas à le faire. On est d’accord, Philippe ? »

« Oui Madame ». Un oui bien faible sortit péniblement de la bouche tremblante du garçon qui se tortillait, son derrière nu posé sur l’assise en paille tressée de la chaise.

Je ne cache pas mon impatience à la voir allonger de nouveau son élève, fesses nues et zizi en bataille, en travers de ses genoux pour une nouvelle fessée. Déception car ce que j’entendis alors signifiait pour moi que le savoureux spectacle de cette fessée était terminé. La leçon avait porté et la cervelle de Philippe s‘était remise à fonctionner.

« Tu vois quand tu veux, ce n’était pas compliqué. C’est quand même malheureux d’être obligé de te fesser pour secouer tes esprits ! J’espère que la prochaine fois je n’aurai pas à le faire à nouveau. Allez lève-toi que je te reculotte. »

À défaut de fesses à rougir, j’allais voir à nouveau le devant de Philippe. Toute émue, j’eus un nouvel aperçu sur cette sorte de saucisse oblongue de chair rose, le temps que ma mère l’enferme dans le slip blanc. Le reculotter en rajustant les bretelles et reboutonner la braguette fut plus laborieux et bizarrement, Philippe se laissait faire comme un garçonnet. La fessée l’avait-elle ramené à sa petite e n f a n c e ?

Je rejoignis à regret la cuisine, la tête farcie d’images troublantes, me promettant de raconter ce que j’avais vu à mes copines dont une était justement amoureuse de Philippe. Quelque temps après, on sonnait à la porte. Ma mère ouvrit en tenant le garçon par la main.

La maman de Philippe s’informa du déroulement du cours, et ma mère lui répondit qu’elle avait été obligée de lui donner une fessée déculottée pour le dégourdir de sa paresse, ce qui lui avait réussi puisque les progrès étaient de nouveau effectifs.

« Mais vous avez très bien fait, et surtout n’hésitez pas à le fesser la prochaine fois s’il fait sa mauvaise tête ! »

« Rassurez-vous, je ferai avec Philippe comme avec mes propres élèves ! »

Cela avait été dit d’un ton léger et naturel, scellant les affinités entre les deux mères.

Quand je fus seule, j’eus hâte d’être au lendemain, certaine de briller face à mes copines en leur décrivant les fesses rouges et le zizi de garçon. Mais j’étais trop naïve pour croire qu’elles n’avaient ni frères ni cousins pour en savoir davantage !

Catherine
il y a 2 ans

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