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Bloquées par l’idée de donner la fessée ?

Lors des discussions et échanges autour de la fessée, il apparaît très clairement que beaucoup de femmes sont bloquées à l’idée de donner une fessée érotique à leur mari.

Ce sujet n’aborde pas la domination féminine ou le BDSM, merci d’essayer de rester dans la logique de la fessée comme plaisirs mutuels et partagés.

CONSTAT

Des milliers voir des millions de personnes aiment la fessée érotique.
Des milliers voir des millions de personnes s’accordent à dire que la fessée érotique donne du plaisir.

QUESTION :

Pourquoi les hommes n’auraient-ils pas le droit d’avoir ce plaisir ?

Cette question en génère d’autres bien plus insidieuses ou gênantes parce qu’elles affectent notre éducation judéo-chrétienne et la place de l’homme. L’homme dans notre éducation judéo-chrétienne se doit d’être fort, d’être le chef de famille, d’être la protection du foyer et celui qui apporte l’argent et la nourriture à la maison.

OUI MAIS !

Oui mais, la conjoncture fait qu’aujourd’hui, les femmes travaillent et contribuent économiquement à la vie du foyer.

Oui mais, aujourd’hui certaines femmes travaillent pour « exister » socialement parlant car le ménage, la bouffe et l’éducation des enfants comme seul vernis social n’est pas toujours suffisant pour leur épanouissement.

Oui mais, aujourd’hui certaines femmes sont chefs d’entreprise, politiciennes ou cadres supérieur voir même militaires ou dans les forces de l’ordre.

La question que l’on peut se poser est donc pourquoi malgré ces révolutions sociétales sur la place et le rôle des femmes dans la société, fesser leur mari reste un blocage pour un grand nombre de femmes ?

Est-ce parce qu’elles sont égoïstes en refusant de donner ce plaisir à leur mari ? (Question provocatrice je l’admets)

Est-ce parce que dans notre éducation judéo-chrétienne, la femme touche là ses limites en désirant conserver l’homme sa place de « dominant protecteur » ?

Si la réponse est « oui » à la dernière question, (lol là gente féminine va bondir) est-ce parce qu’elles sentent soumises à l’homme « dominant protecteur » ?

STOP aux mauvaises langues ! Je ne prêche pas pour ma paroisse, traduire mes fesses LOL !
Si j’ouvre ce post c’est parce que de nombreux membres masculins aimeraient partager les plaisirs de la fessée avec leurs épouses et se heurtent à des réfutations ou à leur propre gêne. Mes questions volontairement percutantes et provocatrices n’ont pour objectifs que de faire réagir et se poser des questions.

Et vous, vous en pensez quoi ?

RAPPEL : ce sujet n’aborde pas la domination féminine ou le BDSM, merci d’essayer de rester dans la logique de la fessée comme plaisirs mutuels et partagés.

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[color=#000080:2h0uhz2p]Merci, Monsieur, je note qu'en général mes compagnes sont gênées, du moins la première fois, de me fesser, cela ne dure pas longtemps quand elles constate le résultat, la fessée remplace largement le viagra! Elles sont gênées de l'aspect comique d'une Femme de taille moyenne 1,60/70m-50/60kgs, prenant sur ses genoux un "gamin" de 1,80m-95kg, dans mon cas sachant que le gamin ne se laisse pas marcher dessus en circonstances "normales". Mesdames n'hésitez pas vous serez largement récompensées.[/color:2h0uhz2p]

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N'étant pas bloquée à l'idée de donner la fessée parce que je la considère comme un jeu amoureux parmi les autres, je la propose...
J'ai un compagnon qui sait qu'elle est ma petite "malice", ma douceur (oui, oui, je suis une fesseuse douce!) "en plus".
Il est beaucoup moins "fasciné" que moi par cet acte mais je constate qu'au fil des mois, cela lui devient à lui aussi comme un "préliminaire" indispensable.
Alors, Mesdames, osez!!!
Vous serez sans doute surprise de faire curieusement des heureux au détour d'un fantasme que vous pensiez n'être qu'à vous et pour lequel, comme moi au début, vous culpabilisiez peut-être un peu.


PS: Et, au passage, je précise que je ne suis pour rien Domina.

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Une femme bloquée par l'idée de fesser un homme peut elle être raisonnablement considérée comme une égoïste ? Mais alors, quand ça se passe dans l'autre sens , c'est comment ? Il m'est souvent arrivé de me heurter à des refus mais jamais je n'en ai fait le reproche à mon "partenaire". Je l'ai quitté parce que cette dimension me manquait, parce que son refus créait une frustration, parce que je ne parvenais pas à m'épanouir dans cette relation. Chacun a ses fantasmes et ses envies propres et il en est qu'on ne peut pas partager. Ce n'est pas pour autant qu'on doit porter un jugement sur les manques de l'autre personne. On peut en parler gentiment, essayer de trouver des solutions, mais en aucun cas culpabiliser celui ou celle qui "bloque". Et il n'y a pas que les femmes ...

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[i:3ekx3f4l][color=#0000BF:3ekx3f4l]L'image
J'avais fait part a une amie de longue date de mon besoin d'être fessé, elle qui me m'avait décrit ses fantasmes, me prenait pour confident et me posait des questions auxquelles je n'avais que des réponses logiques, elle qui n'avait aucun secret, savait ou se réconforter, impudique, (innocente) me laissant parfois le remord de ne lui avoir pas prouvé que ses provocations n'étaient pas sans effet, elle devait se faire l'illusion de s'adresser a une copine ou que j'étais homo et qu'elle ne risquait rien, elle qui me dit un soir, ou nous avions un peut forcés sur la bouteille, qu'elle adorerait que je la filme faisant l'amour avec un inconnu dans les bois, se rétractant penaude d'avoir osé s'avouer, je fit l'erreur de lui parler de mon "secret" pour la mettre a l'aise, je me souvient de ce brusque changement, de ce regard ébahis, dégouté, elle s'est levé habillée et enfuis...je me haîssai d'avoir cassé cette complicité. Alors je me refermais bloqué par l'idée d'avouer aimer recevoir une fessée, rien n'étant éternel, je me suis rattrapè depuis...tout cela pour dire que ce n'est pas évident, de porter l'image de l'homme fort et tout les clichés qui vont avec...[/color:3ekx3f4l][/i:3ekx3f4l]

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[quote="sansculotte34"]revendiquer? non, la fessée est "naturelle", je ne me vois pas m'exposer publiquement ( même s'il y a beaucoup de témoins sur ce site entre autres) c'est très provocateur que de s'offrir cul nu pour une "parait il correction" à se demander qui est sadique, la victime ou le bourreau?

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Personnellement en discussion avec beaucoup de femmes à qui j'avoue mon désir d'être fessé par elles,beaucoup sont bloquées ou pour le moins gênées par cette suggestion
Bien sur les raisons invoquées par les autres intervenants sont très juste.
Le mari de Malizia a lui une chance fabuleuse.
Il m'est arrivé cependant à force de dialogue à faire évoluer plus favorablement l'opinion de ces dames et leur donner l'envie d'essayer.

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Bonjour.
Il faut peut être voir la personnalité de base des gens à qui l'ont peut demander ça. A savoir que si la personne est autoritaire, encline au coté éducatif, elle sera sans doute plus à même de comprendre cette envie. Si on cible quelqu'un avec un style soumis(e) il est certain que l'on se retrouvera le bec dans l'eau, il faut cerner un temps soit peu les gens sinon effectivement c'est peine perdue.
Sinon on peut aussi subodorer un verrou psychologique simple.
Donner une fessée -> éducation -> Image maternelle.
Hors lors d'une relation homme/femme, l'image de la maternité casse celle de la femme sexualisée.
La première étant la conséquence subséquente de la deuxième.
Attention aucun jugement dans ce message, juste une tentative de comprendre les mécaniques qui peuvent expliquer un refus.