L’éducation anglaise, mon équilibre

L’éducation anglaise, mon équilibre

[b:3s8sf919]NOTE DU WEBMASTER [/b:3s8sf919]

Si ce texte d'Ecrivaillon a été redirigé ici, c'est parce que de par sa conception, il apporte un volume de réponses à des questionnements tout en y apportant des éléments de réflexion sur le pourquoi la fessée et la discipline domestique. Tout cela est discutable, c'est pour cette raison que je l'ai déplacé dans le forum discussions.

L’éducation anglaise, mon équilibre

Auteur : Ecrivaillon

L’éducation anglaise est mon équilibre, ne me traitez pas de folle mais lisez plutôt ce récit car je vais partager avec vous mon bonheur, mes douleurs, mes peines mais également mes plaisirs les plus intimes. Je prie pour que mon mari ne lise pas ce récit, quoi que….

La fessée m’a toujours fascinée, ce ne sont pas les rares que j’ai prises dans ma petite enfance qui en sont la cause, non, ce sont plutôt les livres et internet, surtout Fessestivites, où j’ai puisé tellement de chose que c’est la faute et grâce à ce site diabolique si aujourd’hui je suis heureuse.

Pour commencer à introduire la discipline domestique dans mon couple, j’ai souvent provoqué mon mari en lui disant que « je mériterai une bonne fessée ». Lui ayant déjà parlé de la fessée pour nos jeux érotiques, chose qui ne l’attirait pas du tout, comme il ne me la donnait jamais j’ai souvent poussé le bouchon très loin, au point de le mettre en colère. La première fois qu’il m’a fessée, je l’avais franchement énervé, et pour le pousser encore plus loin (je suis folle) je l’ai relancé sur la fessée en lui disant que cela calmerait sûrement sa petite femme. Comme il était vraiment furieux après moi, il m’a répondu en m’attirant sur ses genoux « s’il n’y a que ça pour te calmer » pour me donner quelques claques sur les fesses quand même très appuyées par-dessus ma culotte.

Après cette fessée, il était très gêné d’avoir cédé à ce qu’il appelait début 2012 de la violence conjugale. Je l’ai remercié et embrassé avant de m’agenouiller à ses pieds pour poser ma tête sur ses genoux. Après cette première fessée j’ai été adorable, chatte coquine, câline et comme cela l’a excité, je lui ai fait une gâterie d’Amour. Une gâterie d’amour car j’étais heureuse d’avoir pris la fessée imaginée lors de mes « activités solitaires »……

C’EST LE PREMIER PAS QUI COUTE

Lorsque tout penaud il m’en a reparlé le lendemain, je lui ai rappelé que je la méritais en lui expliquant que comme beaucoup de femmes, je ne prenais pas cela comme de la violence mais comme un geste d’amour. Je lui ai conseillé d’aller lire quelques articles et récit sur internet mais il était encore réticent, et là, en grande folle, j’ai vidé mon café sur son pantalon en lui adressant des bisous avant de m’enfuir dans le salon. Comprenant que je le provoquais, il m’a crié en courrant après moi « ah tu veux une fessée tu vas être servie ». Si la fessée de la veille était impulsive, celle là était posée. Il a commencé par relever ma jupe avant de baisser ma culotte jusqu’à mes genoux ce qui déjà m’émoustillait de par cette position tant de fois fantasmée. Il n’y est pas allé de main morte, j’ai pris une fessée assez sérieuse mais je n’ai rien dit en serrant les dents pour ne pas crier. Après cette fessée, je l’ai quasiment violé, son sexe dur et très tendu m’a faite décoller comme jamais auparavant.

Y prenant goût, monsieur s’est décidé à surfer sur l’éducation anglaise et la fessée. Cette période a finalement été pour lui une étape préparatoire et indispensable à la discipline domestique qu’il a fini par instaurer. On ne se fait pas d’un jour à l’autre à une conception de vie qui recourt aux châtiments corporels, il y a eu d’autres étapes et des négociations préalables, il fallait bien apprendre puis roder les mécanismes tant pour lui que pour moi car entre fantasme et réalité il y a un grand pas.

Mon souci, si je puis dire ainsi, est qu’il y a pris goût ! Si pour moi les fautes étaient comme des éléments de jeu, pour lui c’est rapidement devenu un mode de vie qui va beaucoup plus loin que la simple satisfaction de mes sens coquins. Il a décidé un jour d’entreprendre mon éducation en listant des choses qu’il ne voulait plus à la maison et en sanctionnant systématiquement mes fautes par des punitions.

Aujourd’hui les choses ont changé en moi, quand je commets une faute j’ai tout de suite mauvaise conscience, un peu comme si je trahissais les conventions du couple mais mon besoin de punition pour faute est devenue une forme d’automatisme au point que je les lui avoue quand il arrive le soir à la maison.

Il a eu de « bonnes mauvaises » lectures ou de « mauvais bons » conseils très spécialisés qu’il a su adapter à ses envies et à mon comportement de rebelle.

Il y a environ trois mois, quand il est entrée à la maison avec un long paquet sous le bras, il a commencé par me demander si je n’avais rien à lui dire. Au départ, je n’ai pas compris où il voulait en venir mais quand il m’a demandé mon paquet de cigarette, j’ai compris. En le lui tendant, je ressemblais à une ado prise en faute. Je tordais mes mains moites dans mon dos en gardant la tête baissée en sachant pertinemment que j’avais trop fumé. Mon mari tournait autour de moi dans la cuisine en me demandant si j’étais fière de moi et si finalement, ce n’était pas de la provocation. Pour une fois, cela n’en était pas une mais je savais qu’il avait raison, je fumais trop.

Il m’a dit à peu près ça, je m’en souvient comme si c’était hier : « Le contenu de ce colis, je l’ai acheté pour toi dans la boutique partenaire du site que tu m’as conseillé, tu sais, festivités machin, à oui, fessestivites, alors ce soir, tu vas être punie comme il se doit. Va dans le salon, baisse ta culotte et penche-toi en avant par-dessus le fauteuil. Médite avant que je vienne de donner la punition que tu mérites ».

Je n’ai pas demandé mon reste en faisant comme il me le demandait et pour la première fois j’avais peur. Ne sachant pas le contenu du paquet, la peur de l’inconnu me minait. Les minutes passées fesses à l’air penchée en avant sur le fauteuil m’ont paru des heures. Pour la première fois j’ai eu honte, non pas qu’il voit mes fesses, mais parce que là je devenais réellement la femme soumise de mes fantasmes. La gorge serrée, j’attendais avec la peur au ventre et quand j’ai entendu ses pas j’ai voulu regarder mais il m’a rappelée à l’ordre immédiatement en tenant des choses dans son dos que je n’ai pas pu voir.

Il a fait le tour du fauteuil puis a posé deux bracelets sur mes poignets avant de les attacher avec une corde aux pieds du fauteuil. Etre attachée m’a excitée tout autant qu’inquiétée car quand mon mari décide quelque chose, il va toujours jusqu’au bout. Des sifflements dans l’air m’ont glacé le sang, j’ai tourné la tête et j’ai vu. J’ai vu une canne anglaise comme sur le net et dans mes rêves coquins. Dix secondes plus tard, un trait de feu embrassait mes fesses. J’ai serré les poignets et les dents pour ne pas crier, le second m’a surprise autant que le premier avec la sensation d’une décharge électrique traversant mon corps des fesses à mon dos. Il m’a indiqué que je devais compter les coups à haute voix et que mes manquements pour la cigarette seraient sanctionnés par dix coups de canne, nombre qui serait multiplié par deux à chaque fois.

J’ai reçu ce soir là mes dix premiers coups de canne anglaise très appuyés plus les deux non comptés. A la fin, mes yeux coulaient mais il ne l’a pas vu car une fois terminé, il m’a laissée plantée là pour que je médite. « Ouf, tu en voulais, tu es servie » ai-je pensée en me maudissant. Un quart d’heure plus tard, il est venu soigner mes fesses avec de l’arnica, sa main sur mon fessier m’a consolée, comblée en me faisant oublier la douleur ressentie. Lorsqu’il m’a libérée, je me suis blottie dans ses bras et j’ai pleurée tout en l’embrassant.

Je l’ai sentie à la fois désolé et fier, fier d’y être arrivé, d’être arrivé à me punir réellement et désolé d’avoir eu à le faire.

Depuis ce jour là, si je suis particulièrement « chiante » ou suivant ma faute, je dois me mettre toute nue au garde à vous devant monsieur. Il m’impose même de lui apporter la canne anglaise, le martinet ou autre instrument selon un rituel bien rodé avant de m’installer sur le fauteuil.

Mes larmes ne l’émeuvent plus, il s’y est habitué mais à chaque fois qu’il juge bon de me punir, je considère mes punitions comme une preuve d’amour et d’attention.

Pourquoi est-ce que j’accepte tout ça. Parce que j’y trouve mon compte, je l’ai voulu et je l’ai même si cela semble difficilement compréhensible. Cette discipline domestique me rassure en quelque sorte de par les cadres qu’il m’impose, ce plaisir bizarre que j’éprouve dans la honte et dans la douleur quand elle n’est pas trop forte. Cela peut sembler difficilement compréhensible mais cette éducation anglaise est mon équilibre.

La meilleure des sensations pour moi est quand je suis étendue sur ses genoux et que mon homme baisse ma culotte. Pourquoi ? Tout y est en même temps, le geste, la chaleur de son corps, l’humiliation de la vilaine fille que je suis, la douleur et souvent les caresses qui suivent……..

Ecrivaillon
il y a 10 ans

Un très joli récit plein de bon sens car dans un couple, il y en a toujours un qui fait découvrir quelque chose à l'autre.
Pour nous ça a été l'inverse au début elle ne voulait pas et avait honte maintenant elle a juste mal :-) mais a finit par aimer la fessée moins le cadre mais bon ....
il y a 10 ans

Bonsoir nous sais la même chose. Jai fais comprendre au début de notre relation à Magalie que j'avais besoin de la discipline conjugale aussi pour mon équilibre.
il y a 10 ans

Un beau témoignage effectivement pour donner du sens à nos pratiques souvent incomprises. Chez nous, ce qui m'intéresse le plus c'est la notion de cadre, de discipline mon métier n'y est pas étranger. Mon épouse y est venue doucement et aujourd'hui cela lui semble normal de prendre une fessée quand elle a fauté sur une de ses attributions dans la maison. La seule fois ou il y a eut des tensions dans notre couple, c'est pendant une période pendant laquelle je me suis un peux relaché en devenant plus cool. Comme quoi mon épouse ne prend pas cela comme de la violence conjugale mais bien comme un cadre lui permettant de s'épanouir. N'avons-nous pas tous besoin de cadre, d'un supérieur qui nous guide, de règles pour fonctionner dans la vie civile comme les feux tricolores puis nos droits et devoirs ? Si nous n'avions ni droits ni devoir, a quoi se résumerait notre vie, à la loi du plus fort ? En fait à un état d'insécurité et de tension permanente.
il y a 10 ans

Quand j'étais jeune (ça fait une paille ...), je rêvais de rencontrer un Monsieur assez vieux, autoritaire, sévère et cohérent dans sa démarche. Je l'imaginais d'une trentaine d'années plus âgé que moi et investi d'une mission (me rééduquer avec fermeté mais aussi avec tendresse !) qu'il prenait très à coeur et dont il s'acquittait avec conviction. Cet homme là, j'ai eu la chance de le rencontrer alors que j'avais 22 ans mais il n'a fait que passer dans ma vie. Aujourd'hui, fidèle à mon attente d'autrefois, après avoir élevé seule deux enfants et une ribambelle d'animaux domestiques, je suis toujours célibataire (mais pas coincée hein?!) et bien décidée à trouver mon Graal. Plutôt finir seule que vivre avec un vanille (même Bourbon) et compter avec lui les mouches au plafond ... :-)
il y a 10 ans


[b:3ke5ckzw]
Messieurs les fesseurs, le message est donc clair, si l'un de vous du côté de Strasbourg est séduit par l'idée de fesser une adorable femme que j'ai eu le plaisir de certifier, il ne vous reste plus qu'à prendre contact. [/b:3ke5ckzw]:mrgreen:

Chère roseanne, si vous n'avez pas trouvé le fesseur de vos rêves d'ici l'été prochain, lors du prochain week-end fessée de Fessestivites n'hésitez pas à vous joindre à nous, je me """"dévouerai"""" pour la bonne cause :mrgreen: et pour que les "bases d'une bonne éducation" soient respectées au moins le temps d'un week-end.

Au plaisir de vous rencontrer

Webmaster (Fesseur assermenté diplômé de l'accadémie Fessetoriale)
il y a 10 ans

Compte anonymisé
Chère Madame. Votre annonce m'a touché. J'habite près de Lyon mais j'ai toujours été un grand voyageur. Je suis à la recherche d'une amitié/complicité qui ne peuvent que déboucher sur beaucoup plus. Les mots et l'écriture sont pour moi le premier plaisir et j'en aurais beaucoup à partager avec vous. Vous pouvez compter sur ma plus totale sincérité et courtoisie. Dans l'espoir de votre réponse.
il y a 10 ans

[color=#4000BF:35vvwz8t]Désolée Messieurs ... bien que venant régulièrement dans ce petit coin de Paradis, je n'avais pas lu vos sympathiques messages ! J'ignorais même que vous les aviez écrits et en plus à mon intention !
Mille mercis ... je prends note ![/color:35vvwz8t]
il y a 9 ans

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