Une journée pas comme les autres (premier texte)

Avant toute chose, ça fait très très longtemps que je n'ai pas écrit , un peu d'indulgence surtout que le thème n'est pas habituelle pour moi =p

Quelque temps avant cette histoire...
Pendant l'une de nos séances, nous découvrions un monde que l'on n'avait pas imaginé. Madame c’était plongée plus profondément dans sa soumission, s'étant totalement abandonnée à moi..
Intrigué et un peu effrayé, avouons le , je décidai de venir vous voir. Récolter de plus amples informations. Après une préparation soigneuse, ma curiosité me faisant aller ici et là sur les forums, je me sentais fin prêt. Madame étant naturellement joueuse, l'occasion de lui proposer une journée soumission c’était présentée rapidement.
 
Nous sommes le soir.
En partant nous coucher,  j'informais ma soumise que le lendemain , elle devra se lever tôt, se faire belle, mettre la petite tenue que j'ai posé dans la salle de bain et attendre mon accord pour déjeuner.
Je lui apportais également l'une de nos boites à jouets , lui expliquant qu'elle pouvait retirer un objet de son choix et que je ne pourrai pas l'utiliser pendant notre petite aventure.
J’avais soigneusement sélectionné son contenu, une idée bien précise en tête. Elle prit une babiole dont je n'avais pas prévu de me servir, mais elle en appréciait peu l'utilisation.
Parfait, l’opportunité que je souhaitais, venait de se créer.
 
Le lendemain, au réveil, alors qu'elle se préparait, je l'interrompis momentanément. Je devais partir une vingtaines de minutes.
"Tu devras m'attendre, à genoux dans le salon, et m'envoyer un message pour me dire que tu es prête".
Je partis, la laissant finir.
Sur la route, ma poche vibra, elle était en position.
J'envoyais une demande de photo quelques minutes plus tard,  via le réseau de surveillance. Elle avait le téléphone dans les mains.
Réaction immédiate, je me mis à tapoter sur l'écran.
"Poses ton téléphone et attends moi"
J'avais oublié de préciser ce petit détail. Maintenant elle savait que je la surveillais, elle ne me désobéirait pas.

À mon retour, je montais à l’étage sans faire attention à ma soumise. Je pris une cravache, descendis et tout en lui tournant autour, la caressai de l'outil, afin de l'admirer, là, à mes pieds. Ainsi vêtu l'on voyait presque tout du terrain de jeu qui allait être le mien, seules quelques ficelles étaient parsemées ici et là.
La jaugeant, voyant qu'elle ne bougeait pas, je me mis à préparer un café. Un mouvement de ses jambes me ramena à elle , l'inconfort la gagnait.
Je lui dit de tendre la main.
Je commençais à énumérer les règles de la journée.
Première règle, un code : "Si je te dis soumise, tu dois t’agenouiller, me demander ce que je souhaite et obéir au moindre de mes ordres, si je dis libérée, tu pourras retourner vaquer à tes occupations."
Deuxième règle: "Tu dois, une fois toutes les heures, venir te mettre à genoux prêt de moi , et me demander si tu peux faire quelque chose pour moi."
Elle me confirma avoir compris. Bien, le socle de la journée était posé.
"Tu devras garder ta tenue, toute la journée, sauf si je te dit de faire autrement."
Petite protestation, elle risquait d'avoir froid.
Un petit claquement dans le creux de la main se fit entendre.
"Je vais mettre les choses au clair immédiatement", voix ferme de rigueur.
"J'ordonne, tu exécutes, si tu veux savoir pourquoi , parce-que je te le demande. Si tu a besoin de motivation, dis toi que je te l'ai demandé."

Quelques petites précisions plus tard,  je lui dit... "Soumise" , et m'installais sur le canapé.
"Mets-toi a genoux, ici, et occupe-toi de moi."
Café en main , regardant la télé, je lui ordonnais de me sucer , l'observant distraitement s'affairer.
Elle prit un soin tout particulier à lustrer mon gland, ce qui ne fut pas pour me déplaire. Je finis par tirer légèrement sur sa chevelure, lui faisant comprendre d'aller plus profond. Une fois mon sexe bien lubrifié et mon esprit s'engourdissant sous l'effet des endorphines, je lui accordai une pause en lui intimant d'utiliser sa poitrine généreuse. La caresse de ses seins doux et généreux était un bonheur.
Puis, je la relevai légèrement , positionnant sa tête au dessus de mon bassin. Position plus confortable pour moi, afin que je puisse lui baiser la gorge.
Elle ouvrit la bouche, prête à me recevoir, après plusieurs entrées, je sentais ses muscles se resserrer sur moi. Le plaisir me gagnait alors que sa salive commençait à dégouliner sur mon bas ventre, ce qui me fit augmenter l'intensité de la gorge profonde. Je finis par lui dire de se remettre face à moi , jouant avec mes mains sur ma queue.
"Quand je te le dirais, avales ma bite, que je me vide dans ta gorge." Ce qu'elle fit goulûment. Son corps combattait l'intrusion que je lui imposais, quel délice!
Je la maintenais plaqué sur mon ventre, le temps de faire couler ma semence et de reprendre mon  souffle. Enfin je la libérai et lui dit qu'elle pouvait se sustenter.
Je m’éclipsais rapidement. Encore au sol, elle inspirait profondément, avant de préparer son déjeuner.
Je revins derrière elle.
"Soumise"
Je la fit avancer pour que je puisse me glisser dans son dos, une plume à la main. Je me mis à effleurer son dos, tantôt avec les lèvres tantôt avec la plume, le temps qu'elle finisse de manger, madame frissonnait de plaisir. Torture d'effleurement , tant elle était chatouilleuse.
"Libérée"
Elle se releva, un peu frustrée que je ne m'occupe pas d'elle plus intimement. On reprit notre petit quotidien. De bonne humeur, je mis une playlist , en augmentant le son, je me mis à chantonner.

Un petit oubli de vouvoiement lui valu une volée de fessées, la mettant à plat ventre sur mes jambes, après quelque coups, le rose de sa chute de rein changea de couleur, je la laissais repartir.
9h15 arriva , elle me fit sa première demande.
"Puis-je faire quelque chose pour vous, maître?"
La voir ainsi... Je n'avais qu'une envie.
"Penches-toi sur la table", elle s'exécuta, lui écartant les jambes avec mon pied, une rapide vérification me confirma qu'elle était déjà très excitée.
"Demande moi de te baiser"
"Baisez moi maître!". Et je ne me fit pas prier.
M'enfonçant dans son être sans-demis mesures. Je la prenais violemment sur le bois noir, mes à-coups furent profonds et s’accélérèrent. Finissant notre corps à corps, haletant, je me penchais, en embrassant son cou et la libérai de ses obligations.

suite de la journée a venir ^^
il y a 1 an

Bonjour Alastaur,
Puisque c'est un atelier écriture, la critique CONSTRUCTIVE est donc possible.

1°) Une relecture de plus aurait été bien, car il y a quelques fautes d'accord et d'orthographe. Exemple :
- Et je ne me fiT pas prier. --> Et je ne me fis pas prier.
- Je la fiT avancer --> Je la fis avancer.
- je miT une playlist --> je mis une playlist
Mon astuce : quand j'ai des doutes sur une conjugaison, je vérifie sur google avec la conjugaison du verbe faire.

2°) Les chapitres pourraient être plus fragmentés car la lecture sur écran donne parfois l'impression d'avoir un pavé.
La solution pour trouver le compromis idéal pour les écrans consiste à faire des chapitres (sans retour à la ligne) d'environs 4 ou 6 lignes pleines. Hors dialogues évidement.

Votre texte coule assez bien sous les yeux, plante bien le décors même si quelques descriptions supplémentaires comploteraient bien l'ambiance que vous souhaitez donner à votre récit.
Exemple : Je la fiT (s) avancer pour que je puisse me glisser dans son dos, une plume à la main. Je me mit à effleurer son dos, tantôt avec les lèvres tantôt avec la plume,
Après cette phrase, vous pourriez ajouter qu'elle frémit ou autre pour parler de ses réactions entre vos lèvres et la plume qui chatouille.

Rappel : mes remarques sont constructives comme tout atelier d'écriture qui se respecte. Bravo d'avoir le courage de soumettre un texte car les remarques font en principe toujours progresser. Mes félicitations pour cette démarche.
il y a 1 an

Merci pour ton commentaire, j'essaierai de mettre un peut plus de détails sur la suite. L'objectif étant de me perfectionner je suis preneur de toutes remarques ^^

J'avais déjà fait un premier texte , beaucoup moins détaillé , je l'ai retravaillé un peut (pas mal en faite), concordance des temps ( c'est loin le passé simple :p), ajouté du "ressenti"(pas suffisamment on dirait T_T). À l'esprit, l'immersion dans mon petit univers.
Pour le côté pavé, problématique... je pensais être pas trop mal, en faisant des chapitres par "scène".
Je retravailler un peut avant de poster la suite ^^
il y a 1 an

Je ne sais pas si on peut remettre le texte corrigé, je n'ai pas trouvé d'option modifier x)
il y a 1 an

Bonjour Alastaur,
Le forum n'est pas prévu pour retoucher un texte déjà posté. Vous avez deux solutions possibles :
1°) Le reposter
2°) Poster la suite ET, quand l'histoire sera terminée, la poster intégralement dans la rubrique Récit du site.
C'est vous qui choisissez !
il y a 1 an

Ok , je ferai sûrement un report pour la première partie seulement
il y a 1 an

Voici le début retravaillée



Quelque temps avant cette histoire...



Pendant l'une de nos séances, nous découvrions un monde que nous n'avions pas imaginé. Madame s'était plongée plus profondément dans sa soumission, s'abandonnant totalement à moi...
Intrigué et un peu effrayé, avouons-le. Je décidai de venir vous voir. Récolter de plus amples informations. Après une préparation soigneuse, ma curiosité me faisant aller ici et là sur les forums, je me sentais fin prêt.
Ma petite chienne étant naturellement joueuse, l'occasion de lui proposer une journée soumission se présenta rapidement.


Le soir précédent, en allant nous coucher. Je l'nformais que le lendemain, elle devra se lever tôt, se faire belle, mettre la petite tenue que j'ai posée dans la salle de bain et attendre mon accord pour déjeuner. Une pointe d'excitation fit luire ses yeux.

Je lui apportais également l'une de nos boîtes à jouets, lui expliquant qu'elle pouvait retirer un objet de son choix et que je ne pourrai pas l'utiliser pendant notre petite aventure.
J’avais soigneusement sélectionné son contenu, une idée bien précise en tête. Elle prit une babiole dont je n'avais pas prévu de me servir, mais elle en appréciait peut l'utilisation.
Parfait, l’opportunité que je souhaitais, venait de se créer. Regrettera-t-elle son choix?


Le lendemain, au réveil, alors qu'elle se préparait, je l'interrompis momentanément. Je devais partir une vingtaine de minutes.
"Tu devras m'attendre, à genoux dans le salon, et m'envoyer un message pour me dire que tu es prête".
Je partis, la laissant finir.


Sur la route, ma poche vibra, elle était en position.
J'envoyais une demande de photo quelques minutes plus tard, via le réseau de surveillance. Elle avait le téléphone dans les mains... Réaction immédiate, je me mis à tapoter sur l'écran.
"Poses ton téléphone et attends-moi"
J'avais oublié de préciser ce petit détail. Maintenant elle savait que je la surveillais, elle ne me désobéirait pas.

À mon retour, je montais à l’étage sans faire attention à ma soumise. Je pris une cravache, descendis et tout en lui tournant autour, la caressai de l'outil, afin de l'admirer, là, à mes pieds. Ainsi vêtu l'on voyait presque tout du terrain de jeu qui allait être le mien, seules quelques ficelles étaient parsemées ici et là.

La jaugeant, voyant qu'elle ne bougeait pas, je me mis à préparer un café. Un mouvement de ses jambes me ramena à elle, l'inconfort la gagnait.


Je lui dis de tendre la main et commençais à énumérer les règles de la journée.
Première règle, un code : "Si je te dis soumise, tu dois t’agenouiller, me demander ce que je souhaite et obéir au moindre de mes ordres, si je dis libérée, tu pourras retourner vaquer à tes occupations."
Deuxième règle: "Tu dois, une foi toutes les heures, venir te mettre à genoux près de moi , et me demander si tu peux faire quelque chose pour moi."
Elle me confirma avoir compris. Bien, le socle de la journée était posé.

"Tu devras garder ta tenue, toute la journée, sauf si je te dis de faire autrement."
Petite protestation, elle risquait d'avoir froid.Un petit claquement dans le creux de sa main se fit entendre.
"Je vais mettre les choses au clair immédiatement", voix ferme de rigueur.
"J'ordonne, tu exécutes, si tu veux savoir pourquoi, parce-que je te le demande. Si tu as besoin de motivation, dis-toi que je te l'ai demandé."
Quelques petites précisions plus tard, je profitai de mon statut...


"Soumise" , et m'installais sur le canapé.

"Mets-toi à genoux, ici, et occupes-toi de moi."

Café en main, regardant la télé, je lui ordonnais de me sucer, l'observant distraitement s'affairer.

Elle prit un soin tout particulier à lustrer mon gland, ce qui ne fut pas pour me déplaire. Sa langue appuyait aux endroits qu'elle savait sensibles, me tirant quelques soupires d'allégresses. Je finis par tirer légèrement sur sa chevelure, lui faisant comprendre d'aller plus profond. Mon plaisir en fut décuplé.

Une fois mon sexe bien lubrifié et mon esprit s'engourdissant sous l'effet des endorphines, je lui accordai une pause en lui intimant d'utiliser sa poitrine généreuse. La caresse de ses seins doux était un bonheur.
Puis, je la relevai légèrement,positionnant sa tête au-dessus de mon bassin. Beaucoup plus confortablement pour moi, afin que je puisse lui baiser la gorge.

Elle ouvrit la bouche, prête à me recevoir, après plusieurs entrées, je sentais ses muscles se resserrer sur moi. La jouissance me gagnait alors que sa salive commençait à dégouliner sur mon bas-ventre, ce qui me fit augmenter l'intensité de la gorge profonde. Je finis par lui dire de se remettre face à moi, jouant avec mes mains sur ma queue.

"Quand je te le dirais, avales ma bite, que je me vide dans ta gorge." Ce qu'elle fit goulûment. Son corps combattait l'intrusion que le lui imposais, quel délice!
Je la maintenais plaqué sur mon ventre, le temps de faire couler ma semence et de reprendre mon souffle. Enfin je la libérai et lui dis qu'elle pouvait se sustenter.


Je m'éclipsais rapidement. Encore au sol, elle inspirait profondément, avant de préparer son déjeuner.
Je revins derrière elle.
"Soumise"

Je la fis avancer pour que je puisse me glisser dans son dos, une plume à la main. Je me mis à effleurer son dos, tantôt avec les lèvres tantôt avec la plume, Elle ne s'attendait pas à ce contact léger et soyeux, et eut un frison de plaisir. Torture d'effleurement, tant elle était chatouilleuse. La chair de poule envahit sa peau.
"Liberée"


Elle se releva, ayant fini son maigre repas. Un peut frustrée que je ne m'occupe pas d'elle plus intimement. On reprit notre petit quotidien. De bonne humeur, je choisis une playlist, en augmentant le son, je me mis à chantonner.
Un petit oubli de vouvoiement lui valut une volée de fessées, la mettant à plat ventre sur mes jambes, après quelques coups, le rose de sa chute de rein changea de couleur, je la laissais repartir.


9h15 arriva,elle me fit sa première demande.
"Puis-je faire quelque chose pour vous, maître?"
La voir ainsi... Je n'avais qu'une envie.

"Penche-toi sur la table", elle s'exécuta, lui écartant les jambes avec mon pied,une rapide vérification me confirma qu'elle était déjà très excitée.
"Demande moi de te baiser"
"Baisez-moi maître!". Et je ne me fis pas prier.

M'enfonçant dans son être sans demi-mesures. Je la prenais violemment sur le bois noir, mes à-coups furent profonds et s'accélérèrent. Elle gémit plusieurs fois, le visage plaqué sur la table, ne lui laissant pas le temps de se redresser. Finissant notre corps-à-corps, haletant, je me penchais, en embrassant son coup et la libérais de ses obligations.
il y a 1 an

Un très joli récit rempli d'émotions. Merci beaucoup
il y a 1 an

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