Un peu de poésie

Ô Maîtresse,

D'être Votre soumis,
Tous les jours je bénis,
Nuit et jour , de vous servir
Plus grand devient mon plaisir.

Ne vivant que pour Vous
Ma vie Vous est dédiée
Et de Vos désirs les plus fous
Tous les jours dois m'acquitter.

Nu à Vos Pieds prosterné,
Vos voeux, ordres et désirs,
JAMAIS ne dois contester,
Et TOUJOURS dois les accomplir.

Seule de Votre Bouche sort La Vérité
Et JAMAIS ne dois Vous contrarier
A Votre égard La vérité dois vous dire
Et JAMAIS ne dois la travestir.

Si de Vos Mains punitions Donnez
De vous remercier JAMAIS ne dois oublier
Quand de Vos Pieds le sol Foulez
Avec ferveur me dois de Les baiser.

Maîtresse, de Vous servir
Devient l'unique But de ma vie
Et d'être Votre soumis,
Tous les jours le Ciel je remercie.
il y a 1 an

Bravo pour les rimes !
il y a 1 an

Merci
il y a 1 an

bonsoir Sly. une très belle poésie pleine de promesse qu'il te faudra tenir. merci pour cette superbe poésie
il y a 1 an

Bonsoir yannparis.
Je ne demande que ça, prouver pa devotion
il y a 1 an

Bonjour, un très joli poème qui montre beaucoup de choses. Félicitations!
il y a 1 an

Bonjour Virees merci.
il y a 1 an

bonjour Sly je n'en doute pas et t'en félicite
il y a 1 an

Gloire à toi, divin cul, origine du monde,
Tout autant que la chatte, avec toi bien souvent
Cachée, et c’est dommage, sous un ardent buisson
Que je ne veux plus voir, ni chez homme ni chez femme.

Lorsqu’enfin tous les poils, par devant, par derrière,
Par cire et par rasoir vous auront exposés,
La chatte et toi le cul, à nos violents désirs,
Tu seras, divin cul, vénéré comme un Dieu.

D’entre deux chastes globes, largement écartés,
Tu t’offres à nos regards dès l’abord envoûtés.
Abîme existentiel qu’aussitôt nous allons
Bien vite dilater sans cesser d’admirer.

Rose cul de pucelle, sombre cul de l’aïeule,
Large cul en volcan, cul serré en relief,
Culs très provoquants ou bien culs consentants,
Vous appelez nos langues, et bien sûr nos bites.

Josette, quand j’eus sept ans, me l’offrit à lécher
Et plus tard Valérie y orienta ma bite
Car elle voulait bien jouir, me recevoir en elle,
Mais rester chaste vierge, ne jamais être mère.

Si pendant des années, pendant des décennies,
Grâce à dame pilule, j’ai pu sans retenue
Fréquenter moult chates, des poilues et des nues,
Les belles au cul offert j’ai toujours préféré.

Le cul comme une fleur s’ouvre pour des plaisirs
Trop souvent méconnus et souvent prohibés.
Il s’ouvre pour des bites, des langues et des godes,
Il s’ouvre aussi aux mains qui savent le dilater.

Cul d’homme ou cul de femme, le choix est cornélien.
Si le mien va d’abord à celui d’une femme,
J’aime aussi des culs d’hommes et bientôt nous irons
Devant le divin cul, ensemble nous prosterner.
il y a 7 mois

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