Examen en service andrologie

Examen en service andrologie
Par woolmark

Cette histoire vraie aborde les thèmes de la gene et de la n udité d'un homme femme à une femme habillée en milieu médical.
J'avais environ 21 ans, j'avais depuis peu une nouvelle partenaire et cela se passait plus bien entre nous. Sauf un petit hic sur le plan sexuel; en effet elle remarqua très rapidement que je ne pouvais pas décalotter mon sexe entièrement en phase d'érection, le gland ne sortant que d'un tiers environ. Cela ne me gênait pas particulièrement, mais mon amie, infirmière de profession, estima que cette situation n'était pas normale et précisa que je devais souffrir soit d'un phymosis, soit plus probablement de simples adhérences prénuptiales. D'un caractère plutôt autoritaire, elle me prit un rdv pour une consultation en service d'andrologie au CHR de notre ville. J'hésitais à m'y rendre, m'imaginant par avance devoir raconter mon petit problème intime à un ou une inconnue...

Devant l'insistance de ma compagne, je finis par me résoudre à honorer ce rdv un peu particulier. Je me retrouvai au service "andrologie/urologie" de l'hôpital et fut tout d'abord reçu par un médecin, un urologue de la cinquantaine, qui me laissa raconter mon histoire. Cet homme, avec son air paternaliste et jovial me mit en confiance puis finit par m'annoncer qu'il ne s'occupait pas personnellement de ce genre de "petits problèmes physiologiques" mais qu'on allait me prendre en charge sans tarder. Il appela depuis l'interphone de son bureau en annonçant:"j'ai quelqu'un pour vous...".

Il me dit alors: «mon assistante médicale va s'occuper de vous,elle est très compétente ,vous serez bien traité".
Un sentiment de gène revint au galop. La confiance que j'avais retrouvée s'évanouissait d'un coup, j'allais donc être examiné par une doctoresse ou infirmière...
Quelques instants plus tard, ne femme brune portant un chignon et une blouse blanche entra dans la pièce, saisi le dossier que lui tendit l'urologue et me dit d'un ton neutre: "Bonjour, vous voulez bien me suivre..."

Elle me conduisit dans son propre bureau, me fit assoir en face d'elle et ouvrit le dossier, qui en fait était bien mince pour le moment, indiquant simplement mon identité et la mention :"problème de décalottage en phase d'érection".

L'assistante, sans etre particulièrement froide ou distante, m'intimidait un peu. Elle commença par m'interroger sur mon état de santé en général, mes éventuelles maladies, si je suivais traitement ou avais subi une opération. Rien que de très logique dans tout cela. Toutes mes réponses étaient cependant saisies au fur et à mesure sur l'ordinateur de l'assistante. Puis les questions se focalisèrent sur la sphère génitale ,elle voulut s'enquérir de mon parcours sexuel, me faisant préciser l'époque de mes premières masturbations et l'âge de mon premier rapport. Le rouge me montait aux joues, ma gorge s'asséchait au fil des questions et des réponses. Lorsqu'elle en eut termine avec ses questions intimes, elle me conduisit dans une petite chambre qui tenait lieu de salle d'examen. l n'y avait qu'une fenêtre aux carreaux brouillés et une table d'examen traditionnelle ainsi qu'un tabouret. Elle me lança d'un ton assez ferme: "je vous laisse vous préparer pendant que je finis de saisir votre dossier. Vous retirez pantalon chaussures slip et chaussettes et vous vous allongez".

ça y était, le grand moment de honte était arrivé, j'allais devoir montrer mes parties intimes à cette femme brune quasi inconnue,moi qui suis d'un naturel pudique...
Une dizaine de minutes passées, elle revient dans la chambre et me dit d'une voix calme et assurée: "vous allez vous détendre, je vais vous examiner entièrement. Je vais vous demander de placer vos pieds à plat sur le lit en fléchissant vos jambes et en vous avançant vers le bord".
De cette façon, bien entendu, toute mon entrecuisse devenait exposée à son regard et à portée de mains. Elle commença à ma grande surprise par une palpation délicate et minutieuse de mes testicules, observant en alternance mes réactions, me demandant si je ressentais une quelconque douleur. Puis ses doigts descendirent brièvement sur mon périnée qu'elle palpa de façon bien plus vigoureuse, toujours guettant mes réactions. Ses gestes étaient très professionnels ce qui avait un coté rassurant malgré mon grand inconfort.

"Bon,je vais maintenant examiner cette verge" annonça-t-elle.

Elle commença par palper mon sexe, le pressant entre son pouce et ses autres doigts, comme si elle voulait en évaluer la consistance. Par malchance pour moi, sans doute à cause de mon anxiété et aussi de la fraicheur de la pièce qui semble-t-il n'était pas chauffée, mon pénis était tout recroquevillé, je présentais quasiment à cette assistante une bite de garconnet, quelle honte pour moi.

Elle ajusta la hauteur de son tabouret tournant et me précisa:" Détendez-vous, je ne vais pas vous faire mal, je vais simplement entreprendre de vous décalotter très progressivement et vous me direz si vous sentez un tiraillement au niveau de votre gland".
Ses doigts étaient experts, elle commença par tirer le prépuce en arrière avec d'infinies précautions, le sommet du gland apparut, elle en profita pour observer le méat urétral qu'elle jugea "plus large que la moyenne ".Ce genre de commentaire intime n'était pas de nature à me détendre, au contraire je frémissais un peu, aussi à cause de l'atmosphère froide de cette pièce. Elle s'en rendit compte et s'en excusa même: "Nous avons un problème de chauffage à cet étage, j'en suis navrée, vous ne devez pas avoir bien chaud, je vais aller vous chercher une couverture, surtout vous ne bougez pas!"

Et voila mon assistante médicale qui sort me chercher une couverture, en omettant de tirer la porte derrière elle! Que dois-je faire? Me lever, presque nu, pour aller refermer cette porte?Elle m'a pourtant sommer de ne pas bouger. Je vois le couloir qui dessert l'étage du service à travers l'embrasure de la porte depuis ma place, ce qui signifie que quelqu'un passant devant la chambre pourrait tout aussi bien me voir depuis le couloir, moi qui suis le sexe à l'air les cuisses ouvertes. Mon cœur bat plus fort à cette pensée. Je croise les doigts pour que personne ne vienne à passer devant ma chambre mais en vain. Un vieillard s'aidant d'une canne passe lentement devant ma porte, mais il est trop occupé à sa marche laborieuse pour détourner son regard vers moi. Puis j'entends des talons claquer d'un pas rapide. J'imagine qu'il s'agit de mon assistante qui revient mais non, une infirmière passe poussant un chariot, elle ne me remarque pas. Les minutes s'écoulent, interminables, ma gène ne fait que grandir et l'assistante qui ne revient toujours pas. Puis j'entends des voix qui se rapprochent, j'aperçois un jeune couple qui passe ,la fille détourne fugitivement la tète vers ma chambre. Pourvu qu'elle ne m'ait pas vu. J'entends alors un bruit de porte et de nouveau les deux voix, le couple semble s'etre installé dans la chambre voisine, les cloisons minces me permettent d'intercepter quelques mots de leur conversation. Des ricanements, puis j'entends la fille dire à son ami:"Y a un mec à poil a coté, t'as pas vu?,"."Comment tu sais ça toi?"
"Bien la porte est ouverte en grand, j'ai meme aperçu sa bite!".De nouveaux ricanements. Pour moi la honte est à son comble, j'ai donc été aperçu nu par l'ouverture de la porte.
Je me résous à cacher mon entrecuisse en posant mon pantalon sur mes hanches ,c'est alors que l'assistante arrive, un peu essoufflée:" excusez-moi, j'ai été retenue par une infirmière qui souhaitait me parler. Mais je n'ai pas oublié votre couverture ".Elle dispose l'épaisse couverture de laine sur mon buste et autour de mes hanches. Je m'assure discrètement que la porte est bien refermée cette fois-ci, c'est bien le cas. L'assistante reprend alors son examen, en me décalottant le gland avec beaucoup de minutie, me demandant si je ressens des tiraillements. Elle est très douée, je n'éprouve aucune espèce de douleur, pourtant mon gland est à présent pleinement dégagé, mais je me sens encore plus nu à cet instant ,le gland sorti à quelques centimètres des yeux de cette femme."Je vais tenter de dégager la couronne du gland, détendez-vous bien ".Je sens ses doigts habiles s'affairer sur mon sexe, je constate qu'elle opère un décalottage en règle, la couronne boursoufflée de mon gland apparait sous ses doigts de femme, elle insiste sur le prépuce qui s'étire en arrière jusqu'à provoquer une petite douleur. En grande professionnelle, elle s'en aperçoit et cesse son mouvement.

Elle me demande de me détendre de nouveau, j'y parviens peu à peu, la chaleur de la grosse couverture posée sur mon corps m'y aide grandement. Je sens aussi peu à peu mon sexe se détendre, ou plutôt reprendre une taille normale, sous la chaleur de ses doigts. Elle reprend son action de décalottage, tres concentrée sur sa mission. Elle parvient enfin à dégager la couronne en totalité, j'en suis moi-même surpris, jamais auparavant je n'avais vu mon sexe décalotté à un tel stade. Elle estime alors que je souffre d'adhérences au niveau de l'attache du prépuce, que c'est assez bénin, cela me rassure à moitié. Mais une autre anxiété m'envahit alors, je sens distinctement mon sexe prendre peu à peu de l'envergure entre ses doigts, un début d'érection se met en place, sans que je puisse contrôler grand chose. Au bout d'une quinzaine de minutes d'examen, mon érection devient manifeste, je deviens rouge au visage, je n'ose plus affronter le regard de l'assistante. Elle prend un ton rassurant pour me dire: "Ne soyez pas gêné, c'est tout à fait normal, cela prouve que ça fonctionne bien de ce coté-la. C'est même ce que j'espérais afin de constater votre douleur au décalottage en érection".

Elle ressaisit ma verge qui à présent présente un angle et un volume explicite, et tente de me la décalotter à fond. Je me sens de moins en moins anxieux et en même temps de plus en plus obscène, le sexe à l'air en érection et décalotté sous les yeux de cette femme. Elle n'insistera pas plus, m'expliquant ce qu'elle envisage comme traitement. J'échapperais à la chirurgie, je suis soulagé. Elle me laisse seul, après avoir rabattu la couverture de laine sur mon sexe dressé, et me dit de la rejoindre dans son bureau dans quelques instants. Elle n'oublie pas cette fois de refermer la porte. Ouf!
Je sens à présent mon sexe palpiter tres fort sous la couverture, je sens les poils de laine délicieusement picoter mon gland nu, mon excitation atteint son comble, je revisualise les doigts de l'assistante manipulant mon prépuce, j'en aurais presque envie de me masturber là, dans cette chambre d'hôpital mais je dois me calmer, sachant que l'assistante m'attend dans son bureau. Je laisse s'écouler quelques minutes, histoire de reprendre mes esprits et laisser se calmer mon sexe, me rhabille et retrouve l'assistante dans son bureau.

Avec un large sourire, elle me lance:"alors ça y est, vous vous êtes soulagé?"Je pense avoir mal entendu, je lui réponds fébrilement ,"Oui bien sur je suis soulagé de pouvoir éviter une opération ".Elle se met à rire doucement."Non, ce n'est pas à cela que je faisais allusion,j e demandais si vous aviez pu soulager votre...érection?".Je bafouille timidement que non, bien sur..."Vous auriez pu, ce matin j'ai eu en consultation un ado qui lui ne s'est pas gené pour se soulager dans la couverture!".
Elle m'explique alors mon traitement, à base de Bétadine et que je devrais revenir consulter quelques semaines plus tard.
Je sortis de son bureau les jambes vascillantes, troublé comme rarement j'ai pu l'être dans ma vie.
Cette expérience bien entendu contribua très largement à mon fétichisme pour le contexte médical.

Suite du récit "Examen en service andrologie".
Le soir même de mon examen au CHR, je recevais un appel téléphonique de ma compagne, nous n'étions pas toujours ensemble à cette époque. Elle voulut bien sur s'enquérir des résultats de mon examen, d'autant plus que c'était elle qui avait insisté pour que je passe cet examen. Je lui explique tout d'abord qu'il n'y a aucune inquiétude à avoir à mon sujet, ce qui la rassure tout d'abord. Je lui annonce ensuite que son diagnostic de "simple petite infirmière" était le bon, je souffrais bel et bien d'adhérences préputiales, ce qui flatte quelque peu son orgueil.

Au fil de notre conversation, son coté autoritaire et inquisiteur repris le dessus, elle voulut savoir dans le détail le déroulement de mon examen, ce qui me mit bien sur mal à l'aise. Elle insista pour connaitre les manipulations opérées par l'assistante médicale, tous ses gestes exercés sur mon sexe.J'essayais de me dérober en prétextant que ce n'était pas des "choses" que l'on raconte au téléphone, mais elle insista lourdement. Elle finit par me demander si j'avais eu une érection à un moment de l'examen. J'étais très embarrasser de devoir répondre à pareille question, mais ne voulant pas lui mentir, je lui avouais que ce fut bien le cas.
Cela sembla bien l'amuser et même l'exciter; elle me confia à la fin de notre entretien téléphonique qu'elle était en train de se caresser en m'écoutant.
Sans être franchement offusqué, j'avais du mal à y croire: ma copine se masturbait au téléphone en m'écoutant relater mon examen médical! Etait-elle fétichiste des ambiances médicales? Après tout,s'agissant d'une infirmière, il n'y avait rien de si étrange à cela.
Avant de racrocher,elle me demanda:"Ah, au fait, quelle est la date de ton prochain rdv avec l'assistante?".Je lui communiquais naïvement la date."Très bien, je m'efforcerai de me libérer pour pouvoir t'accompagner".

Pour mon deuxième rdv en service andrologie/urologie du CHR
je me retrouvais accompagné de mon amie, partenaire dans le privé et infirmière de profession. En ce cas précis, je me serais bien passé de sa présence mais je n'avais pas vraiment le choix; son coté autoritaire revenant au galop, argumentant qu'elle et moi étions un couple,q ue nous devions affronter les problèmes conjointement et que c'était une question de confiance entre elle et moi. Dont acte, nous nous retrouvons le jour prévu,à l'heure convenue dans le bureau de l'assistante médicale. Me voyant arriver accompagné, l'assistante prend un air interrogatif quant à la présence d'une personne à mes cotés. Je fais donc les présentations, mon amie s'empressant d'ajouter qu'elle est infirmière diplomée. Face à une presque collègue, l'assistante se sent probablement obligée de présenter mon cas en termes médicaux à ma compagne, ainsi que la nature du traitement entrepris.Au fil de la conversation, je sens les deux femmes bien s'entendre.
De mon coté,entendre parler de moi, intimement et en termes médicaux commence à me mettre mal à l'aise. Puis soudainement, mon amie demande à pouvoir parler à notre interlocutrice en privé, si cela est possible.
L'assistante accepte et lui demande de la suivre dans la pièce à coté. Je reste donc seul sur mon siège, sachant que les deux femmes parlent probablement de moi dans la pièce voisine. J'essaie d'intercepter des bribes de conversation, la porte étant restée entrebâillée. Je parviens à capter quelques paroles de l'assistante, telles que:"Est-ce que vous trouvez le gland irrité?", puis "Le prépuce est-il toujours douloureux?".
Ensuite quelques échanges inintelligibles depuis ma place,puis à nouveau je distingue la voix autoritaire de mon amie disant:"Il faut absolument parvenir à le décalotter à fond en érection!"
Je me sens franchement gêné, mal à l'aise, presque humilié, je me sens comme réduit à l'état de chose, au statut de simple sexe, on ne prononce plus mon nom ni mon prénom, on ne parle plus de moi qu'en termes de gland et de prépuce!
Les deux femmes réapparaissent dans le bureau, un début de connivence transparait dans les regards qu'elles échangent
L'assistante me propose courtoisement de passer en salle d'examen. Elle demande pernicieusement à mon amie :"Vous désirez nous accompagner?"."Mais bien entendu!".
Nous arrivons en salle d'examen, une petite pièce semblable à celle ou j'avais été examiné la première fois. Et comme à la séance précédente, l'assistante me demande de retirer slip chaussettes pantalon et chaussures avant de m'allonger sur la table .Je sens sur le visage de mon amie une lueur de fébrilité, où plus exactement d'excitation. Elle se place d'un coté de la table d'examen, l'assistante de l'autre, je me retrouve ainsi sous les regards simultanés des deux femmes.
En adressant un regard entendu à mon amie, l'assistante saisit de sa main gantée de latex mon sexe encore flaccide en annonçant d'un ton solennel: «Nous allons donc vérifier le décalottage".
Elle commence à faire coulisser minutieusement la peau de mon prépuce le long de mon gland, je vois mon amie tout autant concentrée que l'assistante, le regard rivé sur mon membre. L'assistante lance alors: "Vous aviez raison, il n'y a en effet aucune irritation ni rougeur au gland.Je poursuis le décalottage".Contrairement à la précédente visite, cette fois-ci l'assistante ne semble plus se soucier d'une éventuelle douleur que je pourrais ressentir. Puis un commentaire de l'assistante:" Le prépuce est bien plus mobile que la dernière fois, le traitement a été utile et efficace".
Ma compagne y va aussi de son petit commentaire, comme si je n'existais pas, c'est très humiliant pour moi. Mais en même temps, bien malgré moi, je ressens dans ce contexte médical si particulier et gênant quelque chose d'excitant.
Ce sentiment ne tarde pas à se traduire physiquement par une amorce d'érection. J'essaie de gérer la situation, je tente de penser à tout autre chose mais impossible, mon sexe enfle sous les doigts de l'assistante et le regard impitoyable des deux femmes.
Ma compagne: «Oh, mais tu bandes mon chéri!".

La réponse complice de l'assistante:"Oui, c'est assez normal ce genre de réaction..."
Toujours est-il que mon sexe prend des proportions de plus en plus importantes, je sens précisément les pulsations sanguines dans mon pénis sous la pression des doigts de l'assistante. Elle me recalotte partiellement puis tente un nouveau décalottage complet. Je ne sens à présent franchement excité, mon gland devient pourpre et ma couronne violacée, bien visible et totalement dégagée sous l'action des doigts experts de la praticienne.
"Le décalottage total est à présent possible en érection, vous devriez etre satisfaite mademoiselle",lance-t-elle à mon amie."Et à moi, on ne me demande pas mon avis, je compte pour rien!" me dis-je en silence.
"Approchez mademoiselle, vous voyez le gland est totalement dégagé, le prépuce bien roulé en arrière, la couronne bien visible, il est décalotté à fond."Ma compagne acquiesce, constatant de visu et de très près l'état dans lequel je suis. Elle me lance un bref coup d'oeil sans mot dire. Je me demande ce qu'elle doit penser de moi...
L'assistante, satisfaite de sa prestation, déclare alors: "Bon,je pense que nous pouvons en rester là". Mon amie s'empresse alors de demander: "Ah bon,mais...vous ne poursuivez pas plus l'examen?"."Que voulez-vous dire mademoiselle?"."Eh bien, je ne sais pas, euh...vous ne contrôlez pas...les testicules par exemple?"L'assistante lui répond d'un sourire amusé:"J'ai déjà procédé à une palpation testiculaire la dernière fois, tout était correct."."Et, euh...la prostate, vous ne la contrôlez pas non plus?"."Non désolée, il n'y a pas lieu de contrôler la prostate chez un homme aussi jeune!"

Ma compagne lance un sourire charmeur et complice à l'assistante. Celle-ci: "Bon, si vous y tenez, pour vous rassurer, nous pouvons procéder à un contrôle du méat urétral"."Nous, comment cela?"."Mais vous allez m'y aider mademoiselle!".

L'assistante sort d'une armoire un petit ustensile, emballé sous un film plastique qui ressemble vaguement à un tout petit cylindre. En s'adressant enfin à moi, la praticienne m'annonce qu'elle va m'introduire l'écarteur dans le méat et que cela risque d'être légèrement douloureux. Je sers les dents mon corps se raidit par réflexe, mais mon sexe garde sa totale raideur. L'assistante demande à mon amie sa collaboration technique, à savoir que celle-ci doit placer son pouce et son index au sommet de mon gland boursouflé afin d'ouvrir le méat urétral. J'en frémis, mon sexe dressé palpite, en voyant et sentant ces deux femmes s'affairer sur mon intimité qui ne m'appartient plus. L'assistante introduit délicatement le petit cylindre lubrifié dans l'orifice, c'est un peu douloureux. Puis elle écarte progressivement les deux parties du cylindre qui joue le rôle d'écarteur. Elle va ensuite à l'armoire se procurer une lampe et une loupe, tandis que mon amie relâche mon sexe. Mon méat urinaire à présent exagérément ouvert se retrouve exposé en pleine lumière sous la lampe de l'assistante qui observe à la loupe l'intérieur de mon orifice. Un long silence se fait dans la pièce,cette ultime auscultation me parait durer une éternité. Et quelle gène, me voila à présent examiné jusqu'à l'intérieur de mes orifices!

Puis le verdict: "Tout est parfait, juste quelques traces de sécrétions, ce qui est normal sous l'effet de l'excitation. Vous voulez voir par vous-même?" demande-t-elle en tendant la loupe à mon amie."Oh oui oui!".Le contraire m'eut étonné. Me voila donc soumis encore un peu plus au regard inquisiteur de ma partenaire, manifestement comblée et excitée par la situation.
Mais l'assistante finit par mettre un terme à mon supplice et par là-même au régal de mon amie. Elle dégage avec précaution l'écarteur de mon méat, me palpe le gland ainsi que la couronne, récupère ses instruments et nous laisse, ma compagne et moi, avant que nous ne la rejoignons dans son bureau.
il y a 11 ans

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