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Mon nouveau petit roman de perversité et de sadisme délicat vient d'être publié.

Le synopsis :
Expert dans les trucages pour le cinéma, Master X maîtrise l’art de la mise en scène de situations horribles type inquisition. Les femmes soumises ne s’en plaignaient pas vraiment.... Toutefois, en mettant son savoir au service d’un émir, il ne peut se douter que cela ne sera plus des mises en scène mais du réel. Ce petit roman vous emmène donc chez un richissime émir régnant d'une main de fer. Adepte du BDSM pas toujours conventionnel, puis de tout ce qui touche l'inquisition, après les transformations proposées par l'expert dans les trucages pour le cinéma, il s'en donne à cœur joie. Autant le dire clairement, ce roman croustillant ne peut pas être mis entre toutes les mains puisqu'il décrit des scènes érotiques et BDSM particulièrement hard avec des fins parfois tragiques.
Quelques images presque « pieuses » agrémentent le texte pour favoriser la compréhension et surtout, l’imagination des lecteurs.

Il est en vente sur ces deux sites pour deux euros sous la forme d'un PDF téléchargeable à vie autant de fois que désiré)
https://abcplaisir.com/fr/histoires-erotiques-zone-rouge/1773-machiavelique.html
https://plaisirs-interdits.com/

J'avoue m'être fait plaisir à l'écrire en libérant mon imagination de (gentil) psychopathe tout en donnant de réelles informations sur l'origine des instruments utilisés. C'est donc un récit érotique sur l'inquisition moderne revisitée en BDSM hard.

Et Fessestivites dans tout ça ? J'avoue hésiter à le publier ici même en réservé aux membres abonnés car c'est un roman particulièrement "chaud".

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Oh, il est classé dans la zone rouge. Pour avoir lu certaines de vos histoires de la zone rouge de votre site d'histoires, on peut s'attendre à du plus que chaud.

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Zone rouge !?
Non de Zeus, sur mon Speed elle commence tard la mienne...😅
Je termine mon petit dej et je vais voir ça !
Ça donne envie !

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Comment décrire cette histoire ?

Une écriture affûtée, précise et sans concession.
Les mots sont parfois crus, les scènes aussi.
L'insensibilité du personnage principal, son manque cruel d'humanité et ses moyens illimités donnent à cette histoire une résonance d'une potentielle réalité autant excitante que flippante.

Comme toujours TSM nous entraîne dans un univers dont la perversité, la violence et le consentement ne sont que des détails, avec une facilité déconcertante.
Attention il ne faut pas perdre de vue qu'il ne s'agit que d'une histoire, et que rien n'est réel, comme Seven au cinéma.
Le problème est que c'est tellement bien écrit, qu'il n'est pas impossible que ce soit une réalité quelque part dans le monde.

En tout cas ce n'est pas une histoire à lire si déjà un film comme Seven vous faisait flipper.

Maintenant si vous voulez lire quelque chose qui pour moi sort véritablement de l'ordinaire... n'hésitez pas un instant !
Si on pouvait noter 🌟🌟🌟🌟🌟

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Merci Judeline de ce commentaire fort élogieux qui me fait grand plaisir.
Effectivement, pour certaines de mes histoires de la zone rouge, j'aime jouer sur une potentielle réalité, le côté "possible" créant plus de suspens. Ce texte étant vraiment chaud, (très chaud) je ne pense pas le publier sur Fessestivites, c'est un truc à vraiment faire flipper les lecteurs.

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Cette histoire a sa place au milieu des Mary HIGGINS CLARK ou Stefen KING ou autres histoires ou les auteurs aiment jouer avec les angoisses et les peurs de leurs lecteurs en les mettant mal à l'aise tout en leur faisant prendre plaisir à lire quelque chose qu'ils ne feraient pas.

Cette histoire en bouquin, en librairie je l'achète direct, mais je veux un autographe !

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Vous m'avez donné envie 2 fois. 1 fois celui d'acheter cette histoire, l'autre je ne vous la direz pas na na na.
Le résumé n'est pas bon, ce n'est pas un petit roman de perversité et de sadisme délicat, non, c'est un petit roman de grande perversité et de sadisme total ! Malgré tout, commencer l'histoire c'est prendre le risque de la lire jusqu'au bout . C'est à la fois flippant et excitant. Si en d'autres temps j'aurai bien aimé rencontrer Master X, l'émir quant à lui aurait mérité la corde.
On se demande où TSM va chercher toutes ces idées qui sont effectivement machiavéliques.

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Je suis d'accord Vesta, c'est à la fois excitant et flippant.
Quant aux inspirations de TSM j'avoue ne pas avoir envie de chercher d'où elles viennent... LOL !

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@ Judeline,
Mes inspirations sont aussi multiples que diverses. Cela peut être un fait divers que j'ai envie d'adapter à l'érotisme ou plus, d'une photo, d'une vidéo, d'une histoire que j'aurai écrite autrement. Je rebondis parfois sur les fantasmes de certains profils ou indiqués dans des discussions privées. Il est vrai que j'ai beaucoup aimé l'époque de l'inquisition, et de l'antiquité. Ce que je n'aime pas lire, par exemple, c'est ce qui n'est pas logique comme : " il a caressé mon clito 2 secondes et j'ai joui 10 fois", au deuxième coup de fouet j'ai joui...... Oui oui, c'est ça, on va te croire..... En clair, je n'aime pas ce qui n'est pas du tout réaliste.

En BDSM dans le monde du REEL, j'aime beaucoup (quand je suis avec des personnes comme Yann par exemple) les scénarios hard plausibles. Le cambrioleur qui se fait piéger chez un dominateur / une dominatrice. Avec un pistolet sous le nez, il se laisse attacher. Elle lui explique en mode BDSM hard, que cambrioler ce n'est pas bien... La chasse à l'esclave dans la nature (déjà fait) avec un fusil sans culasse ni balle. DONC pas plus dangereux qu'un simple morceau de bois.

Fut un temps, j'ai organisé ce que j'appelai pompeusement des """"stages"""" avec des soumis ou soumises désirant vivre des choses fortes COMME ---> si --> c'était vrai. Les limites étaient définies à l'avance ET évidement respectées ! ! ! Par contre, une fois le ""stage"" commencé hormis un souci de santé, cela ne pouvait pas être arrêté. Quelques exemples : enlevé(e) par un sadique / esclavage / animalisation totale, (le repas était de l'avoine le dodo de la paille....) / autres délires comme le tribunal et la sentence avec de la fessée hard type "no limit". Les gens voulaient revenir, ce n'était donc pas très méchant LOL, juste grisant.

A Vauvert, j'ai parfois loué mon jardin pour des gang bangs. C'est là que j'ai eu des demandes de couples / femmes pour des gang bangs BDSM pour faire ---> comme ---> SI elles ne voulaient pas. Le principe de l'après-midi consistait à mettre en scène le """dressage""" (ou autre) d'une fille (donc du BDSM) puis de l'attacher pour la jeter en pâture à une bande de mecs assoiffés de sexe. INFO : tout était contrôlé: hygiène, préservatifs, respect des limites de la fille.

J'ai aussi été acteur rémunéré pour ce type de scénario alors que je ne suis PAS libertin. Le dernier film a été tourné dans une caserne abandonnée. Avant de commencer, nous avons eu une heure de nettoyage avec la fille, le cameraman, les ""sadiques""" pour que elle ---> ne se fasse pas mal**** à cause des vitres cassés. RIRE : ne se fasse pas mal alors que je l'ai fouettée ensuite avant de ..... Le lieu était grisant, faisait un peu peur, c'était le but recherché.

Une anecdote à propos de ces """pauvres filles""" malmenées. J'ai """martyrisé"""" une femme (prof de karaté) avant de l'attacher pour la faire sauter par X mecs sous les yeux de son mari (prof de boxe) qui faisait les photos. Si j'avais voulu jouer la contrainte réelle et si je n'avais pas respecté les limites, ils m'auraient mis en pièces détachées ! ! ! Idem avec une fille qui était championne dans un sport de combat. Elle m'avait prévenu en me disant : '''attachez-moi bien car ce que j'aime c'est résister, comme mes coups risquent d'être réels dans mon délire, ne plaisantez pas sur le bondage"

Je fais un parallèle amusant avant de poser une question : quand nous étions petits, nous jouions aux gendarmes et aux voleurs, aux indiens. Pourquoi s'arrêter de jouer quand on est grand ?

En écriture on peut aller encore plus loin pour JOUER (encore le mot jouer) avec la peur, le côté flippant et qui peut devenir grisant, excitant pour les adeptes de ce type d'histoire. Si sur mon site d'histoires érotiques il y a une catégorie appelée ""zone rouge"" c'est pour que les lecteurs soient prévenus et n'achètent pas une histoire qui les choquerait.

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Je comprends tes sources d'inspiration, j'ai un peu le même mode de fonctionnement et moi aussi j'aime le réalisme dans mes histoires.
Mais contrairement à toi, je pense avoir été trop sage dans mes mots.
Il va falloir que je change de ton.
(Oui je sais, je te dois une histoire...😅 je n'ai pas oublié )

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Un récit très très chaud qui mérite vraiment sa place en zone rouge. Excitant et effrayant à souhait. Personne sensible s'abstenir ^^