Un bref résumé de ma vie sexuelle au fil du temps

𝘊𝘰𝘯𝘵𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 à 𝘭'"𝘏𝘪𝘴𝘵𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘷é𝘤𝘶𝘦" 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘦 𝘭'𝘢 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 é𝘵é, 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘶𝘪𝘵 𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘶𝘵𝘩𝘦𝘯𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘦𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘦𝘳𝘢 𝘮𝘢 𝘱𝘳é𝘴𝘦𝘯𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘯 𝘤𝘦𝘴 𝘭𝘪𝘦𝘶𝘹.

Mon premier fantasme de soumission/domination fut pré-pubère.

Nous étions chez des amis de mes parents, dans une maison de montagne, et je jouais avec leur fille aux jeux des enfants des années 60 - en l'occurrence au "chevalier et la princesse", style Thierry La Fronde ou Thibaut des Croisades. Lors de nos mouvements mimés, la demoiselle plongea sa main dans mon short et étreignit brièvement mes parties génitales. Eberlué, je ne réagis pas, et quelques secondes après elle me demanda "Tu as vu où j'ai mis ma main ?"

Je ne saurai vous raconter comment le reste s'enclencha, car c'était il y a maintenant plus d'un demi-siècle, mais au cours des amusements suivants je me débrouillai :
- pour qu'elle s'assoie sur mon estomac et pose ses pieds nus sur ma figure
- plus tard, pour qu'elle rentre ses mêmes pieds dans mon short jusqu'à ce que ses orteils entrent en contact avec mon minuscule pénis érigé.

Tout cela fut fort furtif car un adulte pouvait surgir à tout instant, mais le plaisir fut mutuel même si la compréhension en fut peut-être différente.

Il n'y eut jamais de suite et le temps passa. A la puberté ce fantasme revint occuper mon esprit plus intensément, mais je ne la réalisai pas avant les années 80, soit après que j'aie un quart de siècle révolu : le catalyseur en fut, dans le film "L'Amérique Interdite" que je vis dans un cinéma parisien, la partie dévolue au mixed wrestling.

La tranquillité étant pour moi la plus grande richesse, je ne m'étais jamais ouvert de ce fantasme à quiconque de mon entourage. J'étais résolu de ne m'adresser qu'à des professionnelles, avec qui j'aurai l'assurance de la discrétion sans l'obligation de satisfaire les désirs d'une partenaire. Dès que j'eus réuni la somme et trouvé le courage, je m'adressai à une dominatrice et lui expliquai mon fantasme. Elle fut étonnée : dans ces années-là, le concept de lutte mixte en tant que fantaisie sexuelle n'était apparemment pas connu en France, même parmi les plus concernées ! Les "maîtresses" ne pratiquaient que la domination classique à coup de martinet et sans jouissance sexuelle pour le client. Sympathiquement, mon interlocutrice me dit qu'il était inutile que je débourse autant pour un si bénin fantasme, et me conseilla de m'adresser à une prostituée en appartement, qui au pire m'enverrait sur les roses, et au mieux me demanderait un billet de 100F supplémentaire : quoiqu'il en soit je resterai nettement en-deçà des honoraires d'une véritable domina.

En ces temps pré-internet, on trouvait ces dames dans les journaux de petites annonces, car il était évidemment exclus que je m'adresse aux filles dans la rue. Je téléphonai donc et, après en avoir effarouché quelques-unes, en trouvai une qui accepta après que je lui ai assuré que l'aspect "lutte" serait tout à fait symbolique. Ce que je voulais, c'était simplement qu'elle me maîtrise physiquement, s'assoit sur moi, m'oblige à lui lécher la chatte, me mette un doigt dans le fondement malgré mes protestations, etc etc... tout cela dans la joie et la bonne humeur. Elle devait tenir le rôle de la petite femme qui triomphe d'un jeune homme et en fait son jouet sexuel, répondant à ses protestations par des éclats de rire; pour ma part je ne cessai de clamer ma honte d'être ainsi vaincu et utilisé par une fille souvent plus âgée que moi. Etaient exclus la douleur, la brutalité, la grossièreté, les insultes et les mauvaises odeurs.

Les décennies se succédèrent et j'expérimentai quelques variantes, mais sans jamais beaucoup dévier du canevas initial, ni dériver de cruelles extrémités. Je devins ami avec certaines de ces dames, et en fréquente encore quelques-unes qui ont pris leur retraite ou changé d'activité, pour se promener ou bavarder simplement.
il y a 9 mois

Et bien !
Quel parcours.
Ne te reste qu'à aller un peu plus loin dans la contrainte en ce cas. :D
il y a 9 mois

Oh non, les ans ont apaisé mes appétits sexuels et fétichistes, j'ai réalisé (et même parfois filmé !) tout ce à quoi je pouvais rêver.
il y a 9 mois

Alors en ce cas... :)
il y a 9 mois

Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que, si beaucoup refusaient quand je leur expliquai mon fantasme par téléphone, c'est simplement parce qu'elles craignaient de ne pas savoir le réaliser convenablement.

Je cessai donc de les prévenir et y allai, la première fois, pour une séance de sexe normal. Lorsque le courant passait bien - soit dans 90% des cas - je leur exposai alors mon désir secret, que nous réalisions la fois suivante. La plupart n'augmentaient même pas leurs tarifs habituels.
Ces femmes mûres, qui n'avaient absolument pas l'apparence des prostituées de rues racoleuses et aguichantes, s'amusaient de l'exercice. Avec leur quarantaine ou leur cinquantaine, leur poitrine un peu tombante, leur début d'embonpoint du ventre de cellulite aux fesses, elles se divertissaient de maîtriser l'éphèbe de 25 ou 30 ans que j'étais, de le pousser sur leur lit et de s'asseoir sur son torse, m'immobilisant de leur poids, ce poids qui d'un symptôme de disgrâce devenait une arme de charme.

Mes bras coincés sous leurs genoux, je me débattais en vain et elles se gaussaient de mon impuissance, n'hésitant pas à me révéler leur âge pour augmenter mon humiliation d'avoir été vaincu malgré mon 1,80m passé ! Puis, dans l'ordre qui leur plaisait, elles se masturbaient sur mon visage, me faisait lécher leurs aisselles après m'avoir étouffé entre leurs seins, me retournaient à plat-ventre pour s'installer sur mes reins et me mettre leurs pieds sous le visage pour m'ordonner de les baiser tandis qu'elles introduisaient un doigt dans mon anus en un lascif va-et-vient... ma jouissance sexuelle était atteinte de la façon qui leur convenait, soit en me violant vaginalement, soit en me masturbant - dans ce cas je devais souvent sucer leurs orteils pendant la caresse phallique.

Pour rester dans l'ambiance, les honoraires étaient déguisés en pari : "officiellement" on s'affrontait à la lutte pour une somme convenue à l'avance. Bien entendu je perdais toujours, et revenais chaque fois sous prétexte de "prendre ma revanche"...
il y a 9 mois

Quand on dit que les jeux d'argents sont addictifs, là, ça prend tout son sens ! MDR !!!
il y a 9 mois

J'aime ton sens de la répartie, Judeline; dommage que tu ne sois pas un peu dominante, on aurait pu s'amuser scripturalement ici !
il y a 9 mois

Si c'est une joute verbale que vous cherchez, vous allez me trouver !😛🤣🤣🤣
il y a 9 mois

Tu crois peut-être que tu vas pouvoir me mettre à tes pieds par la seule force de ton verbe, petite impudente ?
il y a 9 mois

(je voulais terminer par un smiley clignant de l'oeil mais... comment fais-tu ?)
il y a 9 mois

Le smiley je l'ai sur mon téléphone, pas sur l'ordi.😝😎
il y a 9 mois

Non je ne pensais pas vous mettre à mes pieds de quelconque façon, juste jouer avec les mots.
Mais je n'avais pas compris que c'était dans ce sens.😅
il y a 9 mois

L'un peut passer par l'autre, ludiquement et amicalement !
il y a 9 mois

Ce n'est pas quelque chose que je vais faire spontanément et si je tentais, il vous faudrait apprendre à courir vite, Monsieur 💣💥🏹🔫🗡 et vous...⚰ 😅
il y a 9 mois

Malheur à moi, dans ce cas !
il y a 9 mois

Oui Tanguy Laverdure, malheur à toi ! 💥💥💥💥😤😝
il y a 9 mois

Un jour qu'il faisait si chaud que ni l'une, ni l'autre, n'avait envie d'étreintes musclées, je transformai la rencontre en une partie de cartes.

Nous optâmes pour le jeu le plus simple et le plus rapide : la bataille, en le combinant avec le strip-poker.

Le jeu fut coupé, chacun en reçut une moitié retournée, et celle ou celui qui avait la plus petite carte devait retirer un vêtement.

En quelques minutes je me retrouvai nu, et elle en petite culotte.

"𝙅'𝙖𝙞 𝙜𝙖𝙜𝙣é !" triompha t-elle à juste titre. Mais je réclamai encore un tirage dans l'espoir d'obtenir, au moins, un match nul.

Or, à nouveau je tirai une carte inférieure à la sienne. Comment faire ?

"𝙊𝙣 𝙫𝙖 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙣𝙪𝙚𝙧 𝙖𝙞𝙣𝙨𝙞" décida t-elle "𝙚𝙩 𝙘𝙝𝙖𝙦𝙪𝙚 𝙛𝙤𝙞𝙨 𝙡𝙚 𝙜𝙖𝙜𝙣𝙖𝙣𝙩 𝙞𝙣𝙛𝙡𝙞𝙜𝙚𝙧𝙖 𝙪𝙣𝙚 𝙥𝙚𝙩𝙞𝙩𝙚 𝙝𝙪𝙢𝙞𝙡𝙞𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 à 𝙡'𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚; 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙘𝙚 𝙘𝙤𝙪𝙥-𝙘𝙞, à 𝙦𝙪𝙖𝙩𝙧𝙚 𝙥𝙖𝙩𝙩𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙡è𝙘𝙝𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙞𝙚𝙙𝙨 !"

Je m'exécutai dans un état de grande excitation; vous l'aurez deviné, j'avais truqué le jeu de façon à ce qu'elle ait davantage de bonnes cartes que moi, et dans le quart d'heure qui suivit je dus lécher ses aisselles, sa chatte et son cul, sucer ses orteils, et me faire doigter devant le miroir du salon.

La dernière carte vit toutefois ma victoire, et je conclus la séance en la prenant en levrette tout en malaxant voluptueusement son accorte poitrine.
il y a 9 mois

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