Ecrivez la suite de cette histoire qui devrait commencer par une fessée
Ecrivez la suite de cette histoire qui commence par une fessée mais peut aller dans le sens que vous désirerez lui donner.
SUIVRE LA LOGIQUE de ce qui sera écrit par les membres.
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Dès mon arrivée, j'ai été convoqué par Mme Walker. J'avais très peur d'être licencié.
Quand je suis entrée dans son bureau, elle m'a laissée rester debout pendant qu'elle écrivait sur ses papiers. Cela a pris beaucoup de temps, mes mains étaient moites et je serrais mes doigts comme un gamin effrayé devant le directeur. Elle a pris son temps pour jouer avec mon anxiété.
- J'en ai assez de tes retards, explique-moi pourquoi tu es en retard aujourd'hui !
Je lui ai expliqué mon problème de réveil, mais elle ne m'a pas cru.
- Tu te comportes comme un gamin et j'ai deux choix : te virer ou te donner la fessée que tu mérites !
Elle laissa le silence s'installer. Dans ses yeux, je pouvais sentir le vice et la malveillance. Le silence était horrible.
- Lequel de ces deux choix vais-je choisir ? Te virer ou te donner la fessée que tu mérites ? Lequel préfères-tu ?
Oh mon Dieu, pensais-je. Si elle me vire, je ne pourrai plus payer mon loyer, je me retrouverai à la rue. Recevoir une fessée à mon âge ne me semblait pas possible. Mais c'est ce que j'ai choisi, car dormir sous les ponts en plein hiver ne me semblait pas concevable.
- Alors tu vas dire à voix haute que tu mérites une fessée comme un gamin et que tu veux que je te la donne, dit Mme Walker en sortant un petit magnétophone qu'elle a posé sur son bureau. Je vais t'enregistrer au cas où tu envisagerais de porter plainte. C'est ça ou tu seras viré dans 5 minutes. En me regardant dans les yeux elle a appuyé sur les boutons pour enregistrer.
Dire que je méritais d'être fessée comme un gamin était difficile, les mots ne semblaient pas vouloir sortir de ma bouche. Mme Walker m'a demandé de les dire plus fort pour que l'enregistrement soit bon. J'avais honte, des crampes d'estomac, la gorge noue mais je l'ai fait.
Elle s'est alors levée, m'a penché sur son bureau puis a baissé mon pantalon et ma culotte avant d'ouvrir un placard d'où elle a sorti une canne anglaise.
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A vous d'écrire la suite qui peut prendre la direction que vous souhaiterez lui donner après sa fessée.
il y a 1 mois
Me laissant angoisser encore plus.
Penché comme je l'étais, je ne pouvais que deviner son regard noir s'obscurcir et devenir encore plus intense, se délectant de mâter un homme de mon âge comme un gamin.
Je sentis la canne passer sur mes fesses, comme une caresse... le calme avant la tempête...
Le bruit de la cane qui cingle l'air avant de cingler mes fesses ne dura qu'un millième de seconde, mais la douleur qui me saisit fut telle que je ne pus retenir un cri !
- Tais toi ! Sinon ce sera pire ! - lâcha-t-elle froidement.
- Mais...
Mauvaise réponse.
Le deuxième coup fut particulièrement violent !
Je me mordis la main pour ne pas crier et encore moins répliquer.
J'étais chez une folle !
C'est pas possible mais punaise qu'est ce qui m'avait prit de vouloir prendre ce taf !
Si le poste était si souvent à pourvoir c'est forcément qu'il y avait une raison.
le problème est que j'étais au pied du mur et que je n'avais pas d'alternative.
Et là j'étais cul nu allongé sur un bureau au bois foncé qui sentait la cire d'abeille, fouetté par une femme.
Elle faisait des pauses.
Laissant quelques secondes, voire quelques minutes parfois entre deux coups. Alternant la douceur et la force.
Ne sachant jamais à l'avance quel rythme elle allait adopter parce qu'elle changeait à chaque fois.
Sournoise, calculatrice, dominatrice. Une femme sûre d'elle, bien plus que beaucoup d'hommes.
Le temps s'écoulait lentement. Les secondes s'étirant comme des minutes, les minutes se changeant en heures, les heures... je préférais ne pas y penser.
Une claque d'une violence inouïe me fit sursauter et cambrer les reins. Je me mordis au sang pour ne pas crier.
Les larmes s'invitèrent dans cette triste histoire, coulant sur mes joues à mon insu, me rendant encore plus ridicule que je n'étais déjà.
Je sentis la cane passer sur mon cou, me relevant le menton pour confirmer ce qu'elle savait déjà...
Je baissais les yeux, incapable de fixer autre chose que son stylo plume posé devant son sous main en cuir vert foncé.
Puis elle se mit à frapper, encore et encore, enchainant le rythme et la puissance que je n'imaginais pas possible d'une femme de cette carrure.
Elle n'était pas très grande, pas très forte non plus.
Je devais faire une tête de plus qu'elle, 30 kilos de plus et elle me mâtait comme on mâtait les fauves autrefois dans les cirques.
Il me fallut quelques secondes pour réaliser qu'elle avait arrêter.
Malgré tout, je n'osais pas me relever, ni relever la tête, craignant de lui offrir une excuse pour en remettre une série.
J'avais le cul en feu.
Je me serais assis sur une plaque de cuisson je n'aurais probablement pas plus mal.
C'est elle finalement qui me fit redresser en passant sa canne sous mon torse.
- Cesse de chialer ! J'ai horreur des larves.
Elle fit le tour de son bureau et ouvrit un tiroir à l'aide d'une clef qu'elle gardait sur elle.
Elle en sortit un objet curieux dont je ne compris pas l'usage.
- Mets tes mains dans le dos !
Devant mon hésitation, elle me cingla la cuisse de sa canne !
J'avais le cul en feu, je risquais déjà de marcher bizarrement, aucune envie de boiter en plus...
Je mis les mains dans le dos. Son regard couleur encre me fit comprendre que je n'avais aucun intérêt à bouger.
Elle s'approcha de mon sexe, tout ratatiné de honte...
Je faisais vraiment pitié à voir.
- Même un môme de cinq ans en a une plus grosse ! - se moqua-t-elle. - En attendant, voici un petit cadeau.
Elle me posa une espèce de cage, qu'elle verrouilla d'un cadenas !?
Non mais qu'est ce que c'est que ce truc !??
- La clef est ici ! - dit elle en me la montrant accrochée sur une chaine qu'elle passa à son cou. - Si tu es à l'heure les quinze prochains jours je te libère. Sinon...
- Sinon ?... - osais je demander sans pour autant être sûr de vouloir connaitre la réponse.
- Sinon, ta peine se prolongera d'une journée par minute de retard...
J'avais mal compris !?
Quinze jours avec ça sur le... non, elle ne pouvait pas faire ça !?
- Rhabille toi et va bosser. Tu m'ad fait perdre assez de temps comme ça !
Je quittais son bureau les yeux aussi rouges que mes joues envahies par la honte.
Ma démarche était maladroite et ce truc me gênait. Il était déjà midi !?
Sérieux ???
Je rejoignis les autres à la cantine.
A leurs regards j'avais l'impression que tous étaient au courant. J'aurais voulu me liquéfier, disparaitre dans un trou de souris...
Ils me semblaient fiers, viriles, forts. Tout ce que j'aurais aimé être.
Eux n'étaient pas en retard. Eux ne se seraient jamais laissé fouetter le cul par la directrice.
Eux ne seraient jamais laissé enfermer le zob dans cette prison métallique.
Je baissais le regard et posais mon plateau repas sur une table dans un coin, le plus éloigné possible.
Ils allaient être ces quinze prochains jours...
Très longs...
il y a 1 mois
il y a 4 semaines
Elle est entrée, a refermé la porte derrière elle et m’a gratifié d’un petit sourire carnassier.
- Alors ?
J’ai feint la surprise.
- Alors quoi ?
- Apparemment que tu t’es ramassé une sacrée fessée.
Je me suis débattu comme j’ai pu.
- Hein ? Ah, mais non ! Non ! Pas du tout ! Qu’est-ce-que c’est que cette histoire ?
Elle a éclaté de rire.
- Tu parles ! Je suis dans le bureau juste à côté de celui de madame Walker. J’ai tout entendu. Comment t’as piaulé ! Et comment tu devais gigoter du croupion là-dedans ! J’aurais trop aimé voir ça ! Oh, mais peut-être que ça viendra ! Je lui demanderai à madame Walker que la prochaine fois… Ça m’étonnerait qu’il y en ait pas. Et ça m’étonnerait encore plus qu’elle dise non.
Elle est restée un long moment à me regarder danser d’un pied sur l’autre, tête basse.
Et puis, brusquement…
- Tu me fais voir ?
Que je lui fasse voir ?
- Ben, oui ! Ton cul ! Comment il est rouge…
J’ai fixé mes pieds, tétanisé, incapable de faire quoi que ce soit. De dire quoi que ce soit. Je devais avoir l’air particulièrement stupide.
- Ben, alors ?
Je n’ai pas bougé.
- Bon, très bien ! Tu l’auras voulu. Je descends à la machine à café. Et, dans cinq minutes, tout le monde est au courant. Toute l’entreprise.
J’ai hurlé.
- Non ! Attends !
Je lui ai tourné le dos. Et comment je l’ai baissé, le bénard. Et le boxer avec.
Elle a encore éclaté de rire.
- Ah, ben, tu vois quand tu veux !
Et poussé un petit sifflement de stupéfaction.
- Ah, oui, dis donc ! Oui ! Elle t’a pas loupé. Tu vas pas pouvoir t’asseoir d’un moment !
Elle s’est absorbée dans sa contemplation.
- J’aime trop ça quand ils s’en prennent une, les mecs. Ça leur rabat leur petit caquet, eux qui se croient toujours supérieurs à nous, les filles.
J’ai fait mine de vouloir me reculotter.
- Non ! Attends ! J’ai pas fini.
Elle m’a posé la main sur les fesses.
- C’est tout chaud… Brûlant, même.
Y a lancé une petite claque qui m’a fait sursauter. Une autre, plus vigoureuse, qui m’a arraché un gémissement.
- Vivement qu’elle t’en donne une autre, madame Walker. Que je rigole bien !
Et elle s’est dirigée vers la porte d’un pas décidé, s’est brusquement retournée au moment de la franchir.
- Hein ? Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
J’ai précipitamment ramené mes mains en coquille devant moi.
- Fais voir ! Mais fais voir, j’te dis !
Elle me les a écartées, mes mains, ramenées de force sur les côtés.
Encore un fou rire.
- Ah, ben d’accord ! D’accord ! Elle te l’a emprisonné, ton asticot, madame Walker. C’est vraiment trop, ça ! Et trop marrant.
Elle a soupesé, fait ballotter. De bas en haut. De gauche à droite. S’est penchée.
- Il y a rien du tout en fait. C’est juste un petit clito. Faut qu’il voie ça, mon copain. Faut vraiment qu’il voie ça ! Ça va trop le faire rire. Je vais t’envoyer l’adresse. Par texto. Tu passeras ce soir… On t’attendra. Tu passeras. Sinon, demain c’est la machine à café.
il y a 4 semaines
Un matin, Emma me héla dans le couloir : "Mme Walker veut te voir tout de suite". L'air un peu inquiet, je me suis dans le bureau de la directrice. "Assieds-toi" me dit-elle. "Je viens t'annoncer que je t'embauche en CDI. Ta période d'essai a été concluante et enfin tu n'arrives plus en retard. Je vais maintenant te libérer de ta cage. Montres moi ça !"
Penaud j'enlevais mes vêtements du bas et la honte me prit lorsque son regard se porta sur mon sexe tout flétri. Sans ménagement elle enleva la cage et entreprit de masser le sexe. L'émotion m'empêchait de bander. "Qu'as-tu à me dire ?" me demanda t'elle soudain. Pris au dépourvu je la remerciais en balbutiant, trouvant que je m'en tirais à mon compte avec ce CDI. "Ok retourne travailler. Reviens me voir demain dans l'après-midi car je n'en ai pas fini avec toi....
il y a 4 semaines
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