Soumise sexuelle offerte et BDSM dans une caserne

Soumise sexuelle offerte et BDSM dans une caserne

Auteur : Ecrivaillon

Maître Charles le sait, il risque gros car il est interdit de faire entrer des étrangers dans la caserne, mais la tentation et le goût du risque l’ont toujours fait vibrer. Il drague et charme les filles soumises avec élégance et classe sur fessestivites.com en rentrant dans leurs fantasmes les plus fous. Respectueux il l’est mais en même temps, dans son gant de velours se cache une main de fer.

Sophie, ou du moins le pseudo Sophie, est celui d’une femme soumise, âgée de 35 ans. Belle comme un cœur, cette brune fantasme sur un enlèvement, du BDSM par des sadiques du rapport musclé, certes, mais en toutes sécurité, le genre de contrainte sexuelle qui ressemble à un gang bang.

22 HEURES

Lorsqu’ils entre dans la caserne, Sophie est cachée dans le coffre de la BMW de Maître Charles. Elle porte sur elle une vieille robe de soirée noire qui, elle le sait, va finir sa vie ici, puis une cagoule pour masquer son visage. Un sac près d’elle contient des vêtements de rechange et ses effets personnels. Dans la pénombre de la caserne personne ne peut imaginer que cette BMW conduit une femme en enfer.

A peine sortie du coffre de la voiture, Sophie se met à trembler, le passage à l’acte lui semble bien plus dur que dans ses fantasmes savamment entretenus par Maître Charles lui décrivant sa soirée. Lorsqu’ils entrent dans le hangar numéro 7 dédiés à l’entretien des chars, six hommes sont en rand et au garde à vous. Les voir dans leur uniforme l’a fait frissonner. Cette situation l’excite tout autant quelle lui fait peur. Maître Charles lui a clairement indiqué qu’elle doit elle-même marcher jusqu’au crochet du palan servant à soulever des moteurs. Elle doit elle-même passer dans le crochet la chaîne des larges bracelets qu’il a posé à ses poignés. Par ce geste, elle démontrera aux hommes venus la tourmenter qu’elle est consentante. A partir de là, ses cris et suppliques ne seront plus entendus.

Sophie regarde le crochet mais n’ose y passer la chaîne de ses bracelets. Maître Charles s’approche d’elle, murmure à son oreille qu’elle ne risque rien hormis vivre ses fantasmes. La gorge serrée, elle lève les bras, présente la chaîne devant le crochet, hésite et ne parvient pas à s’accrocher.

- Allez, c’est l’heure de t’envoler au paradis, ces hommes attendent ! Lui murmure Maître Charles.

Comme si elle ne pouvait plus reculer et animée par l’énergie du désespoir, Sophie passe la chaîne dans le crochet qui aussitôt se met en mouvement pour la piéger. Ses poignets montent doucement au-dessus de sa tête.

- A l’attaque ! Crie Maître Charles

Deux secondes plus tard, les militaires se jettent sur elle et lui arrachent ses vêtements. Affolée, Sophie se met à crier mais il est trop tard pour reculer, Maître Charles lui avait indiqué qu’une fois la soirée lancée, il n’arrêterait pas ses hommes. Un poignard de commando tranche son soutien-gorge pendant qu’un autre coupe son string, en un rien de temps elle se retrouve nue, totalement offerte. Maître Charles apparaît soudain dans son champ de vision avec un fouet signal whip d’enfer fait à ses couleurs par <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.ABCplaisir.com">http://www.ABCplaisir.com</a><!-- m -->
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Un claquement se fait entendre, les militaires se reculent aussitôt, le Maître va la faire parler, ou du moins chanter et danser sous son fouet signal whip acheté sur ABCplaisir.com. Les premiers coups modérés qu’il lui donne s’enroulent autour de son corps comme un serpent. L’un d’eux a touché son sein qui pointe aussitôt, avant de finir sa course dans son dos. Pendant plus de quinze minutes, Maître Charles la fouette sans relâche mais sans réellement appuyer les coups, sans quoi, elle serait en sang.

Le masochisme de Sophie l’aide à transcender la douleur. Elle a mal mais en même temps c’est si bon qu’elle en perd la tête. Elle donne aussi bien des coups de pieds qui n’atteignent personne, qu’elle se cambre de plaisir. Lorsqu’il la sent dans la dernière ligne droite de la jouissance, Maître Charles appuie un peu plus ses coups de fouet. Sophie se cambre et s’offre à la lanière avant de pousser un cri de bête que l’on égorge. Les militaires peu habitués à une telle séance s’inquiètent, Maître Charles les rassure et leur désigne le sol entre les jambes de la suppliciée qui vient de jouir. Sur le sol, une large tache encore alimentée de quelques gouttes s’est formée, Sophie est une femme fontaine, elle vient de s’abandonner à l’exquise jouissance.

Maître Charles donne alors l’ordre de « consommer » la suppliciée en donnant carte blanche à ses hommes. En un rien de temps, Sophie n’est plus qu’un pantin de chair animée de convulsions orgasmiques sous les coups de butoir du militaire qui lui a soulevé une jambe et la baise comme un taureau. Suspendue par le palan, elle est rapidement entreprise par un autre militaire attiré par ses fesses striées. Les pieds de Sophie ne touchent plus le sol, portée par les hommes qui se la passent pour la prendre, elle n’est plus qu’un double réceptacle de leur plaisir. Elle pleure parfois, elle crie, ses « oui » s’opposent à ses « non pitié » pendant plus d’une heure sans discontinuer.

D’un signe Maître Charles arrête ses hommes, avant d’étendre une couverture sur le sol froid du hangar. Le palan la redescend sur le plancher des vaches et de la réalité mais Sophie n’est plus là, elle est encore dans la stratosphère des jouissances multiples. Allongée sur le sol, elle continue de trembler et de convulser encore un moment sous les yeux étonnés des militaires.

Lorsque Sophie se calme, Maître Charles fait venir ses hommes autour d’elle et lui ordonne de les remercier en baisant leurs pieds. A l’opposé de la décence, elle baise les pieds et rangers des ses personnes sans aucune honte, Sophie est comblée, elle vient de vivre grâce à Maître Charles et à eux un fabuleux moment qu’elle n’oubliera jamais.

Congédiés, les militaires sortent en silence et les laissent seuls, pour ce que Maître Charles appelle le retour sur terre. Une demi-heure plus tard, assise sur le siège avant de la BMW la ramènant chez elle, Sophie dort comme une soumise comblée et rassasiée, bien au-delà de ce qu’elle aurait pu imaginer dans ses fantasmes les plus fous.

Ecrivaillon
il y a 10 ans

Ecrivaillon vos histoires sont troublantes et titillent les émois
il y a 10 ans

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