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[b:rtm8mz0n]21/11/2013
11h20 devant le pc[/b:rtm8mz0n]

Je suis devant mon pc et je tombe sur la musique « masked ball » je l’écoute et comme d’habitude cela me déclenche un souvenir plutôt bizarre celui-ci. Je ne veux pas y repenser tellement c’était étrange, mais étrange dans le bon sens du terme. Je dirais même que ce souvenir ma guidée vers d’autres horizon ou le dépassement de soi est de mise et ou le tant attendu « lâchez prise » est a porté de main.

[b:rtm8mz0n]Fin de ma première leçon d’éducation[/b:rtm8mz0n]

J’attendais donc le bon vouloir de ma Maitresse, à genoux, les fesses bien en évidence et sans regarder ce qui pouvait ce tramer dans mon dos. Mon cœur battait la chamade, mon pénis se gonflait de plaisir interdit. Je pouvais entendre Tania qui revenait vers moi. Elle empoigna ma laisse m’ordonna de me lever. Je me levais, elle me plaça face à elle et me demanda de garder mes mains derrière la tête. Maitresse baissa les yeux sur mon pénis et me dit sèchement qu’elle allait arranger ma petite érection non autorisé de soumis. Elle reparti un court instant et revint vers moi avec un bol remplis de glaçon. Elle en saisit un et le passa doucement sur mes testicules, j’eu malheureusement un mouvement de recul qu’elle corrigea tout de suite d’un bon coup de cravache que je n’avais pas vu dans sa main. Maitresse m’attrapa par les hanches me serra contre elle et continua à me passer ce foutu glaçon sur mes couilles. L’effet fut quasi immédiat, mon pénis se ramollissait a vu d’œil. Tania satisfaite, sourit, et me regarda. Elle attrape un objet étrange pour moi, et me dis que c’est un étui pénien. Elle le plaça sur ma verge et le referma avec un cadenas. Bon il y’a un trou au bout pour uriner c’est déjà ça. Maitresse m’expliqua que ce doux objet allait dompter mes érections intempestives. Tania me demanda de me rhabiller et m’ordonna de garder dans la poche de tous mes pantalons, le boxer déchirer, Ensuite elle me dit que vendredi soir je devrais être chez elle pour vingt heures et sans une minute de retard. Maitresse me confia que ce serais une soirée dont je me souviendrais longtemps. Croyez-moi elle avait raison, je m’en souviens encore aujourd’hui. Elle retira la laisse de mon collier et me dit qu’elle pourrait peut être passé me voir à l’improviste. Elle me renvoya chez moi après lui avoir embrassé les pieds et de l’avoir remercier comme il se doit pour ma correction. Sur le chemin du retour je n’arrêtais pas de penser à ce qui allait pourvoir m’arriver Vendredi.

[b:rtm8mz0n]Le jeudi soir[/b:rtm8mz0n]

Je suis paisiblement en train de regarder un bon feuilleton à ma télé quand mon interphone résonne. Dans ma tête une seul question « qui ça peut être à cette heure-ci ? » je réponds a l’interphone et c’est ma maitresse qui me demande de lui ouvrir, j’exécute immédiatement cet ordre et je laisse la porte ouverte et l’attends sagement a genoux dans le salon afin de lui baiser les pieds des qu’elle m’en donnera l’ordre. Maîtresse monta jusqu'à mon appartement situé au premier étage, moi j’attendais à genoux au milieu de mon salon je trouvais cela vraiment ridicule mais en même tant excitant d’attendre le bon vouloir d’une personne, d’être sous son emprise. Mais qui décide en fait ? Ma maitresse qui me donne des ordres, ou moi parce que je décide en mon âme et conscience de les exécuter. Finalement qui a le pouvoir sûrement plus moi qui exécute, car c’est bien moi qui le décide, en fait maitresse n’est qu’une image du pouvoir que je lui donne, bref trêve de questions et de tourments, maitresse franchit le seuil de ma porte. Je baissais les yeux attendant sagement les ordres de Tania. Maitresse portait une jupe rouge s’arrêtant à mi mollet, et fendue sur le côté droit laissant entrevoir un bout de sa cuisse. Tania avança son pieds et m ordonna de l’embrassé, j exécutais immédiatement en effleurant du bout des lèvres le dessus du pied de maitresse. Elle m ordonna ensuite de me lever et de me mettre complètement nu, elle retira mon étuis pénien et me demanda de m allonger sur le dos et sur le sol. Maitresse alla dans ma cuisine remplir un bol d’eau, elle le posa sur ma table basse, puis elle ouvris une trousse et en sortit de la mousse à raser et un rasoir. Maitresse m ordonna d’écarter mes jambes et me dit également qu’elle allait me préparer pour la soirée de vendredi. Elle appliqua de la mousse à raser sur mon pénis, autour de celui-ci, et sur mes testicules, elle trempa le rasoirs dans l’eau et commença. Par rasé le contour de mon sexe, elle était accroupis à côté de moi, je pouvais sentir son parfum, pendant qu’une petite brise chaude passait sur ma peau sans poil. Maitresse s’attaqua ensuite a mon penis et se pencha un peux plus sur moi, je pouvais deviner sa poitrine dans son chemisier blanc. Je n’osais bougé pendant que Tania me rasait le sexe, elle était si concentré que je pouvais sentir sa respiration. Ni elle, ni moi, ne parlions. La douce brise envahit egalement mon pénis, tendis que le rasoir passait maintenant sur mes testicules. Le seul bruit qu’il y avait dans mon appartement était le son que faisait le rasoir lorsque Maitresse le rinçait. Elle m’essuya délicatement et me susurra a l’oreille qu’elle allait faire quelques finition. Je m’imprégnais de son doux parfum et elle pouvait faire toute les finitions qu’elle souhaitait. Elle alla vider le bol dans l’évier, et mis quelque chose à chauffer dans mon micro-onde, moi je restais allongé sur le dos les jambes écartées. Maitresse posa des bandelettes blanche sur ma table basse, plus un petit récipient blanc en plastique et une spatule en bois, j’ai compris ce qu’allais faire Tania et je savais très bien que ça allais être très douloureux, mais pour ne pas la décevoir j’essaierais de ne rien dire et de ne pas bouger. Maitresse attrapa dans la poche de mon pantalon les lambeaux de mon boxer et me le plaça dans la bouche en me disant que nous allions passer aux choses sérieuses. Elle trempa sa spatule dans la cire chaude et me l’appliqua au-dessus de mon sexe. Quelle douce chaleur. Tania y colla ensuite une bande de tissus, compta jusqu’à trois, et tira d’un coup sec. Je pu retenir un cri pour cette première bande, mais Maitresse pour faire ses finitions m’en appliqua 5 autres dont deux sur les testicules, elle laissa mon sexe tranquille, je n’en pouvais pu. Maitresse me lava le surplus de cire, et me passa une crème apaisante en me disant qu’il fallait que je sois présentable pour vendredi. Une fois toutes ces opérations terminé, maitresse me remis mon étuis pénien, moi qui pensais en avoir terminé avec celui-ci. Elle me demanda maintenant de me mettre à 4 pattes. Une fois en position m’écarta les jambes avec ses pieds et me demanda de m’appuyer sur les coudes, j’exécutais. Mon cul lui était ainsi présenté, bien tendu vers le plafond, elle écarta mes fesses, appliqua de la cire autour de mon anus, y colla une bande et tira d’un coup sec, un cri étouffé sortis de ma bouche, des larmes commençaient à perlé sur mes joues. Elle recommença cette opération 6 fois, j’avais le contour de l’anus en feux mais maitresse y passa également sa crème apaisante. Maitresse me fis embrasser ses pieds, me demanda de me rhabiller et me souhaita une bonne fin de soirée. Elle partit en me disant de ne pas être en retard demain soir.

[b:rtm8mz0n]Vendredi 18h30[/b:rtm8mz0n]

Il est dix-huit heures trente et je pars de chez moi, je suis sûr d’arriver à l’heure chez maitresse. J'ai tant de question dans la tête, que va-t-il se passer ce soir? Je me vide la tête en écoutant du IAM. Bizarrement j'ai le temps et le trajet me paraît si court. 19h30, j’arrive devant l’immeuble de maitresse. Je sonne. Pas de réponse mais la porte s’ouvre, je la pousse, je prends l’ascenseur et je me retrouve sur le seuil de la porte et je frappe légèrement. Maitresse m ouvre, elle est tout habillée de cuir, même sa guêpière est en cuir. Elle me fait entrer, m’invite à m’asseoir sur le canapé mais instinctivement je m’agenouille, elle me relève et me fait m’asseoir sur le canapé et me sert un verre de whisky en me disant que ça me détendra pour la suite. Ses paroles m’ont stressé plus que détendre. Quelle suite? Bref je dégustais mon verre de whisky, ma maîtresse était partis je ne sais dans quel pièces, quand elle revint avec dans la main des espèces de lanières de cuir. Elle me prit le verre, le déposa sur sa table basse et m ordonna de me mettre complètement nu. J obéissais, je me retrouvais nu, face à elle, elle me retira mon étuis pénien et m ordonna d’aller enfilé la ténue qu’elle tenait dans ses mains. Les lanières étaient en fait un harnais, avant de mettre le harnais, j enfilais le string en latex noir, puis ce foutu harnais que maitresse termina de régler.20h, Tania me fit m allonger sur le dos sur la table de sa salle à manger, elle me posa un bandeau sur les yeux, me fit serrer les jambes et plaça mes mains le long de mon corps. Maitresse se retira que quelques secondes, et installa diverses choses sur mon corps et m ordonna de ne pas bouger, mon cœur battait si fort, je n’avais pas peur mais toujours et encore cette question "qu’est-ce que je fou la?" la sonnette retentit, Tania va ouvrir, je peux entendre la voix de maitresse, celui d’une autre femme et celle d'un homme qui salue Tania très respectueusement, sûrement un autre soumis. A ce moment-là j’espérais que maitresse ce souvenait que je ne suis pas bi. Les invités et Tania ce rapprochait de moi. J'ai pu entendre l’autre femme féliciter maitresse pour sa table et ordonner également à l’homme d’aller se mettre à 4 pattes devant le canapé de maitresse. Tania et son amie repartirent surement en direction du canapé. J’ai su plus tard au elles avaient bu un verre en se servant de l’autre soumis comme de repose pied. Je pouvais juste les entendre discuter et rire avant de venir s installé autour de moi. Je comprenais que je servais de plat géant. Des mains m effleuraient, l’une d’elle caressa même mon sexe et dire que je ne devais avoir aucune réaction. J’étais en colère intérieurement, comment pouvait-on réduire un être humain à l’état d’objet? Je suis soumis certes, mais je suis un homme pas un plat géant. J’étais très atteint dans ma dignité mais je ne voulais pas que maitresse est honte donc j’ai choisis de subir cette disgrâce. Le repas me parut interminable, maitresse enleva les plats de mon corps et me fit descendre de la table. J’ai dû m’agenouillé, dans ma tête, j insultais, criais sur Tania de m’avoir fait subir cela sans m en parler. Maitresse me retira mon bandeau, j’ai juste pu apercevoir une femme brune de taille moyenne que déjà Tania me força à regarder le sol. La femme avança son pied sous mon visage, maitresse me permis de l’embrassé ce que je fis immédiatement. La femme et le soumis remercièrent Tania pour le repas et ils partirent. Maitresse me releva et m ordonna d’aller me rhabiller. J enfilais mes vêtements à toute vitesse tellement, j’étais blessé. Tania vint me voir et m embrassa sur le front et me demanda de baisser mon pantalon afin au elle me remette mon étuis pénien. Je lui arrachais des mains et le jeta a terre et sans rien lui dire je partais de chez elle en claquant la porte. A peine étais-je dans l’ascenseur que mon téléphone sonna. C’était Tania qui ne comprenait pas ma réaction je lui ai juste répondu de réfléchir et de voir si elle était capable de se remettre en question et j ajoutais de ne plus me déranger

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pas mal! mais encore beaucoup a apprendre le Soumis :)
y aura-t-il une suite??

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Ginou,

Comment veut tu qu'il y ai une suite, un soumis, vexé, qui fait un tel affront à une Maîtresse, en lui demandant de réfléchir et de se remettre en question, ne mérite pas une deuxième chance.

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si il y'aura une suite,car une maitresse ou un maitre doit aussi savoir ce remettre en question :) je pense que le fond de mon texte n'est pas compris (un maitre ou maitresse sans soumis que deviens t'il, un chasseur ou une chasseuse en quete d'une autre personne ? ou cherche t'il (si ils ont un miminimum de reflexion) a savoir ce qui a déplu et a en parler ? car dans le bdsm il faut savoir énormement communiquer, tout est question de confiance, de complicité, de respect, et de communiquation, s'il n'y pas cela ça ne marchera pas du moins dans le cadre d'une relation d/s