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Voila un beau sujet lancé par O sur le tchat .. à vos meninges :

" Le statut d'esclave est-il utopique dans une relation d/s et bdsm ?"

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[b:645q0b73][i:645q0b73][size=150:645q0b73][color=#404000:645q0b73]Règles générales

L'esclave accepte d'obéir à son Maître sous tous ses aspects, sa pensée, son cour lui appartienne désormais. L'esclave accepte la responsabilité d'utiliser son véto lorsque nécessaire, et fait implicitement confiance à son Maître de respecter l'usage de son véto. Si des événements se produisaient dans lesquels l'esclave devait utiliser son véto, son Maître étudiera la situation, et déterminera les gestes appropriés à poser.

L'esclave devra s'assurer de la disponibilité de son corps pour son Maître en tout temps. De plus, l'esclave accepte que son Maître possède le droit de déterminer si d'autres personnes peuvent utiliser son corps et quel usage ils peuvent en faire. Le Maître discutera à l'avance de toutes circonstances du genre avec l'esclave, pour s'assurer qu'un tel jeu avec d'autres personnes ne violera pas de limites établies. L'esclave devra démontrer l'acceptation de son rôle de servitude et de disponibilité en tout temps à la maison et en d'autres moments et lieux spécifiés par le Maître. L'esclave reconnaît que son Maître peut utiliser son corps et sa pensée de la façon dont il le désire à l'intérieur des paramètres de sécurité. Il peut discipliner l'esclave sans raison, simplement s'il le désire. L'esclave jouit du droit de pleurer, crier ou supplier, mais accepte le fait que ses expressions du cœur ne changeront pas son traitement. De plus, l'esclave accepte que son Maître se lasse de ses bruits, et ainsi qu'il le baillone ou prenne quelconque action pour le faire taire.

L'esclave répondra à toutes questions posées honnêtement et directement, et inclue ra toute information que son Maître devrait savoir sur sa condition physique ou émotionnelle. Pendant que le Maître exige de son esclave qu'il s'exprime honnêtement et spontanément sur tout ce qui le tracasse, l'esclave ne doit pas utiliser cette permission pour se plaindre ou critiquer. L'esclave formulera ses déclarations poliment et respectueusement, et ensuite acceptera gracieusement le jugement de son Maître sur les points soulevés sans plainte subséquente.

L'esclave parlera toujours de son Maître en terme d'amour et de respect. L'esclave s'adressera toujours à lui en tant que "Maître" ou "Monsieur".

Le Maître peut donner à l'esclave des "périodes de congé" en sa présence pendant lesquelles l'esclave pourra s'exprimer librement et ouvertement. Il n'y aura aucune punition applicable pendant ces périodes. Il est cependant compris que l'esclave continuera à adresser son Maître avec respect et amour en tout temps, et qu'une infraction à cette règle pourra entraîner une punition par la suite.

L'esclave accepte qu'une punition sévère puisse être administrée pour toute infraction à la lettre ou l'esprit du présent contrat, et acceptera cette correction gracieusement. La forme et l'intensité de la punition seront laissées à la discrétion du Maître, et le Maître devra faire clairement savoir à l'esclave qu'il est puni quand punition il y aura. Le Maître s'engage à ne causer aucune blessure corporelle à l'esclave qui nécessiterait l'intervention d'un tiers à l'extérieur de la relation. Maître et esclave acceptent que, dans une situation extrême, tous deux peuvent déclencher une "période de congé" en utilisant le véto. La "période de congé" continuera tant que les deux parties ne se seront pas entendues sur la résolution du problème concerné.

Il est permis à l'esclave de s'engager dans toutes activités non expressément interdites par le contrat ou par une déclaration ultérieure du Maître. Tous droits ou privilèges non énumérés dans ce contrat appartiennent au Maître, et il pourra les exercer selon sa volonté.
Règles de conduite en privé

Pendant les journées où son Maître est au travail, l'esclave l'accueillera vêtu de son collier, menottes au poignets, et un chandail appartenant à son Maître. Il ne portera aucun sous-vêtements en sa présence sauf s'il a reçu une permission contraire. Pendant les journées où le Maître est à la maison, l'esclave s'habillera de la façon édicté par le Maître. Quand les deux se retrouvent dans la même pièce, l'esclave demandera toujours la permission avant de quitter la pièce, expliquant où il va et pourquoi. Au moment des repas, l'esclave servira son Maître, et prendra place à ses pieds pendant qu'il mangera. La nourriture de l'esclave lui sera servi par le Maître à sa discrétion. Lorsque s'adressant à son Maître ou étant adressé par celui-ci, l'esclave assumera toujours un état d'attention alerte and rencontrera les yeux de son Maître directement, à moins de directive contraire.


Règles de conduite en public

L'esclave se conduira toujours de façon à ne pas attirer l'attention envers son Maître ou lui-même. L'esclave adressera son Maître par son nom seulement si l'utilisation de "Maître" est inapproprié. L'esclave s'en remettera à son Maître en public. L'esclave pourra s'habiller lui-même, mais devra obtenir l'assentiment de tout vêtement devant être porté en public. À moins d'indication contraire, l'esclave ne doit porter de "petite culotte".


Règles de conduite au travail

Aucune partie du contrat n'est prévu pour nuire à la carrière de l'esclave. Le Maître souhaite que son esclave travaille fort et honnêtement, et généralement se conduise d'une manière calculée de façon à jeter honneur et respect sur les deux. Pendant les heures de travail, l'esclave a la permission de prendre des rendez-vous, de s'habiller d'une manière approprié au travail, et de quitter le domicile lorsque nécessaire. Pendant les périodes de travail, l'esclave peut répondre au téléphone et discuter d'affaires sans la permission expresse de son Maître. Avec ma signature ci-bas, je conviens à accepter et obéir à toutes les règles précédentes de même qu'à toutes règles que le Maître puisse choisir d'imposer subséquemment. Je consigne gracieusement mon corps et mon esprit à mon Maître pour son plaisir et usage pour la période contractuelle noté ci-haut.
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[b:645q0b73][i:645q0b73][color=#408000:645q0b73]ce texte trouvé après bien s qui me parait plus conforme a ce que je vis.

ne vivant dans ce monde que depuis un an avec Maitre Luc , il me semble hors du temps de vivre selon les principes très rudes de certains contrats d esclaves!

celui ou celle qui accompagne en réel ne peu avoir droite de vie ou de mort, sur son esclave pas plus que de lui prendre ses biens
la loi nous en protège grâce au ciel!

quoique il faut avouer que certaines personnes ont vécues ou vivent dans cet esclavage moderne dans le monde vanille mais pour des fins horribles et lourdes de conséquences

mais en BDSM a moins d être complétement fous, il y a je pense toujours une part d ouverture pour vivre cet état consenti a deux
a moins et je me répète que j ai ce bonheur d avoir rencontrer un Maitre dune humanité , dune loyauté, tout en restant sévère mais juste! quitte a faire sourire quelques une me pensant pt trop naïve. QU IMPORTE!!

maintenant,il est certain , que si l esclave désire ne plus avoir aucun droit sur sa vie, son cœur, et pt même son âme à aucun moment, je lui souhaite le plus de bonheur possible! mais c est a mes yeux DANGER
destruction de son MOI PROFOND
comment rester esclave si l on change de personnalité quitte a être juste l ombre de l esclave du début?
être une esclave n est pas un jeu..mais UN DON profond offert avec avec le cœur
il faut de sincères sentiments partagés,et une confiance absolue pour arriver a le faire, autant de la part du maitre (sses) qe du soumis(ses)
j espère avoir répondu dans la simplicité de mes mots et mon cœur surtout a ce sujet qui peu être beaucoup discuter.

il est parfois, assez difficile de parler de ce qui nous touche au fond de soi, seuls les vrais ressentis sont ceux qui peuvent exprimer notre etat..
voila Deborah..si tu me notes, pense que j aime le chocolat au gingembre.. :P




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Merci Sultane pourvues recherches et ton texte. Je vais y travailler aussi.

Ps 1 : te noter ??? Moi !!! Ah ça surement pas .. Nous sommes ici dans un espace d'écriture et de réflexion .. Donner un avis , oui ! Noter ? Nannnn

Ps 2 : j'ai bien enregistré le chocolat au gingembre ;)

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Je persiste et signe , Madame Miraë , mais il n'est pas question de juger ou de ne pas apprendre de ce type de couple .. La question est de savoir si un tel engagement à un sens , une réalité ? Jusqu'à quel point peut on parler "d'esclave" ?

Pour simplifier et bien que le contrat de Sultane soit intéressant .. Partons d'un axiome simple et qui tient la route historiquement : "un Maitre (ou maitresse) a droit de vie et de mort sur son esclave"

J'admets que l'axiome est un peu direct mais il a le mérite de ne pas tourner autour du pot par quelques enluminures de contrats du style "si je suis crevée et ben on fait pouce et on arrête quelques heures .."

Une fois donc cette hypothèse posée ... La réponse a l'utopisme (?) de la relation d'esclave est elle aussi catégorique ? Si ce n'est pas le cas , pourquoi ne pas commencer a définir clairement cette notion ?

"qu'est ce qu'un esclave ?"

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Bonsoir
Difficile de répondre à cette question. être esclave amène beaucoup de changement dans une vie.
Tout d'abord il faut connaitre et aimer la dominatrice et avoir beaucoup de confiance mutuelle.
Mais peut on tout abandonner pour l'amour d'une dominatrice. Dans la durée d'une relation je dis pourquoi pas mais cela doit se faire petit à petit de jours en jours, d'année en année. mais à mon avis le soumis et la dominatrice doivent avoir une vie sociale,
je pense qu'on ne peut pas se couper de tout même pour l'amour d'une dominatrice. Que se passe t il si tout s'arrête, pas facile de revenir dans la vie réelle quand on a tout abandonner.
En conclusion je pense qu'on peut vivre esclave sur un wk, une semaine ou plus après faut beaucoup de conditions Personnellement je préfère le jeux bdsm. après rien n'interdit de vivre une relation soumis maitresse même sur une longue durée en ayant pas mal de liberté pour les 2. Boulot, famille

ROXY 81

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Déborah
Déjà merci de m'instruire par ce mot que j'ignorais, AXIOME et qu'il m'a fallu chercher.
Je pense que tu as peut être raison car je ne vois pas le coté, droit de vie ou de mort dans ce type d'esclave.
Ce que j'ai voulu exprimer est que ce statut existe, il n'est pas imaginaire, ni irréel.
Je n'ai peut être pas saisi le sens de la question alors si c'est le cas, l'idée de vous présenter mes excuses m'a caresser l'esprit.
Miraë

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Vous excusez Madame ??? Nannnnn !! D'ailleurs je vais mettre en application ce mot "Axiome"
"Quand Madame fais chercher, 10 coups tu offriras" :)

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Bonjour à toutes et tous...

Etre esclave répond à des exigences et des codes différents de ceux de la soumission classique telle que nous la connaissons. Même si Dame Miraë mentionne qu'il s'agit et s'agira de jeux, ils ne le sont en fait que par l'acceptation du dominé car il s'agit bel et bien de don de soi. Mais si l'on considère les implications en matière de service, et de sévices, qu'entraîne l'acceptation du statut (pour du 365,7/7,24/24) ou du rôle (pour les jeux ponctuels), il faut bien avouer, comme le mentionnent ici d'autres membres, que l'esclave DOIT TOUT ACCEPTER.

Le mélange dans les posts, les annonces, les textes des termes "soumis" et "esclave" nuit à la perception de la vérité. Une certaine catégorie de joueurs, regroupés dans des cercles bien plus fermés et hermétiques que ceux que nous connaissons, pratiquent dans un contexte SM l'esclavage. Tout, vraiment tout, peut être demandé au dominé.

Pour moi, cet engagement peut devenir une réalité si on le désire fortement et a un sens dans la mesure où le dominé fait un don de soi, psychologique et physique, plus fort que le commun des soumis.

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Un contrat de soumission détermine les droits et obligations d’un Maître et de sa soumise...Ce n’est ni une acceptation de la bêtise ou du machisme mais l’abandon de soi pour mieux être guidée et vivre ses désirs.
Ces règles ne sont pas arbitraires mais l’objet d’un consentement, et ]elles doivent servir un but commun. Ce contrat régissant une relation d’assujettissement dans la confiance n’a pas de valeur légale...
l’esclave considère d’exister seulement pour le plaisir et le bien-être du dominant, et aura le sentiment d’être considéré comme la plus grande possession de son dominant.
... La question est de savoir si un tel engagement à un sens , une réalité ?..
J'aime à croire que tout est possible....

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Oui Madame , moi aussi , comme dans plusieurs autres sujets ou sur le tchat , cette notion d'absolue nous entraine vers d'enivrantes et obscures pensées , une soumission abyssale où tout serai régi par cette relation exacerbée. Mais il est néanmoins étonnant de voir beaucoup de personnes , soumises et soumis , prétendre désirer un tel "contrat" et s'offusquer quand , toujours dans l'absolue, j'avoue trouver "intéressante" l'idée de la chair promptement et profondément ouverte par un seul coup ou l'image d'une aiguille rentrant dans le blanc de l'oeil. Pour moi les deux notions sont évidement a inscrire dans l'absolue et la beauté.

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oups un erreur "masochisme" pas machisme...

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sans aller jusqu'aux aiguilles dans le blanc de l'oeil ..Il suffit de parler du port de la cage de chasteté ....J'ai beaucoup moins de candidats d'un coup :D ...

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Wouahhh !! Je suis sidérée !!! Tous les soumis et quelques soumises rêvent de ça ou en tout cas en parlent et ils vous refusent ça !!!! Les fous

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[color=#FF0040:5uo1fox9]esclave? utopie? je pense que non !

soumis? pas plus !

la différence ? un soumis n'est pas moins mais un esclave non plus alors....

reste à savoir si on est esclave de ses désirs ? hélas !

et si ce désir s'en allait ? resterait la manipulation ? l'addiction? le mariage? (non je plaisante)

porter une cage de chasteté ? ce que Maitresse voudrait ... je serais alors un esclave consentant .... mince alors, "ya quelqu' chose qui tourne pas rond, j'y retourne immédiatement" ...[/color:5uo1fox9]

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personnellement je ne crois pas que le reel esclavage existe encore de nos jours. un esclave on peut tout lui faire sans que celui dise non et se rebiffe. on peut le laisser mourir de faim, le vendre sans son consentement, l enferme etc. alors si on regarde la realité actuel: qui acceptera de ne pouvoir rien faire sans demande au maitre-tresse. quel seront les consequences si le-la maitre-tresse disparait du jour au lendemain? il faut aussi penser a l avenir de l esclave qui a ce moment ne saura plus se debrouille seule car il aura passer trop de temps sans avoir a gerer un minimum sa vie. le cadre de l esclave actuel ressemble beaucoup plus a la soumission en general, les limites, besoins et desirs de l esclave etant respecter si on veut que la relation dure :)