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Centre de redressement pour jeunes filles 2

Auteur : Ecrivaillon

L'épisode précédent est ici

Machine à baiser

Ce casque a été modifié, à l’intérieur pendant le temps du repas et de la sieste du directeur, il va diffuser en boucle une musique douce avec des paroles indiquant : « je suis la soumise sexuelle du directeur, je l’aime, je suis la chienne du directeur, je l’aime , le directeur est mon Maître, je l’aime». Littéralement épuisée à peine recouverte d’une couverture, Laurie s’endort avec un lavage de cerveau en guise de rêve de vie.

Au retour du directeur, Laurie a repris ses esprits, elle s’est acharnée pour retirer le casque ne diffusant plus de message mais en vain. Il attrape un petit chevalet bas, permettant d’installer les filles à quatre pattes et de les bloquer dans cette position. Si retirer les fers qu’elle porte aux pieds se fait sans résistance, lorsqu’il commence à l’installer dans le chevalet Laurie résiste et lui donne des coups de pieds. D’un calme olympien, il retourne à ses armoires maudites pour en sortir un fouet, c’est un single tail particulièrement mordant qui ne laisse pas les filles « indifférentes ». Le clac significatif du craker affole Laurie, une seconde plus tard, elle se roule de douleur sur le sol, un second clac la fait hurler, deux traits rouges presque parallèles sont dessinés sur ses jolies fesses délicieusement galbées.

Pour ne plus souffrir, lorsqu’il attrape ses chevilles pour les bloquer dans le carcan, elle n’offre plus de résistance. Rapidement bloquée à quatre pattes, avec une barre d’acier devant ses cuisses fuselées et les poignets emprisonnés dans des cercles de métal, elle sanglote dans le casque qu’il lui retire enfin. Ces magnifiques cheveux châtains-blonds libérés encadrent le visage larmoyant presque juvénile. Il pose devant elle une gamelle qu’il remplit d’eau en lui ordonnant de boire comme une petite chienne. Laurie lui fait « non » de la tête, une très mauvaise idée qui lui vaut d’avoir le visage écrasé dans la gamelle. La tête maintenue dans l’eau, elle se débat pour éviter la noyade, au plus elle se débat au plus il écrase son visage dans le fond de la gamelle.

- Ou tu bois, ou je te noie petite chienne ! Lui indique le directeur avec une voix dès plus sadique ne laissant aucun doute sur sa capacité à le faire.

Face à la mort, on peut faire beaucoup de chose, même celles qui vous semblent les plus ignobles. Laurie se met à boire comme il le souhaite, ayant soif, elle y retourne volontiers malgré la dégradante position. Du pied il pousse la gamelle pour en poser une autre, attache ses cheveux d’une grossière élastique administrative puis lui ordonne de manger les saucisses aux lentilles en boite, le superbe menu des détenues. Laurie n’a pas faim, rien que de voir le plat lui donne la nausée, un claquement de fouet lui ouvre aussitôt « l’appétit ». La saucisse sans couteau l’oblige à bouger la tête comme le ferait un chien essayant de déchiqueter un morceau de viande. La gamelle en partie consommer, elle le supplie d’arrêter, il cède à cette demande avant de lui pousser la gamelle d’eau. Elle n’attend pas l’ordre et lape immédiatement, cela aide à « pousser » son repas de « reine ».

Le directeur ajoute une barre métallique à son chevalet, elle passe juste au dessus de ses seins, l’empêchant maintenant de plier les coudes. Il libère ses cheveux en en cassant quelques uns au passage puis la flagelle les fesses au martinet. A chaque coups, ces magnifiques cheveux châtains-blonds, s’envolent à chaque mouvement de tête, vue de derrière entre les délicieuses fesses et leurs mouvements, l’image de cette petite merveille de la mère nature est particulièrement excitante pour le directeur. Pour parachever son œuvre sadique, il lui remet le casque de moto modifié, ajoute un peu de popers dans le trou prévu à cet effet l’obligeant à inhaler ce vasodilatateur qu’il a fait chimiquement modifier pour attaquer les neurones de la résistance psychique avant de lui introduire avec peine dans l’anus un plug rouge agrémenté d’une queue de cheval. Des lanières lui permettent de le fixer à la taille afin qu’elle ne puisse le rejeter ou qu’il s’échappe. Il relance pour une quinzaine de minute sa musique douce avec des paroles indiquant : « je suis la soumise sexuelle du directeur, je l’aime, je suis la chienne du directeur, je l’aime, le directeur est mon Maître, je l’aime». Avant de quitter les lieux pour aller s’occuper de Laura, une petite vicieuse qu’il prépare pour un client, il ajoute un peu de sa mixture au gingembre sur les lèvres intimes et dans le sexe de Laurie qui ne tardera pas à regretter que rien ne s’agite en elle…..

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La détenue Laura en captivité totale au sous-sol subit un traitement spécial devant la rendre ultra salope, bouffeuse de sperme et gourmande du cul. Pour la rendre salope, son ami chimiste lui procure des médicaments particuliers et si forts, que lorsqu’elle a les mains libres, elle ne peut se retenir de se branler qu’elle soit seule ou non quand elle n’a pas de sexe à chevaucher. Aujourd’hui, pour lui apprendre à aimer la sodomie et le sperme, Laura est entravée sur le ventre sur un vieux lit métallique d’une place. Avec sous son ventre, un gros rouleau en tôle épaisse, ses fesses ne peuvent pas être plus exposées, sa rosette est un véritable appel à la « consommation ». Sur sa tête est fixée une cagoule uro, équipée d’un entonnoir. Les gardiens, aussi vicieux les uns que les autres, auront aujourd’hui le cul de Laura en guise de prime de fin de semaine. La demande qui leur est faite est claire, vous l’enculer tant que vous voulez et vous éjaculez dans l’entonnoir. Avant l’arrivée des premiers de l’équipe de jour, le directeur vient injecter dans le colon de Laura une bonne dose de sa mixture au gingembre avec une seringue de vétérinaire. Cela lui donnera des « envies » de bite et échauffera par la même celles des gardiens.

Lorsqu’il quitte les lieux après avoir croisé un des gardiens, Laura agite ses fesses comme une malade à la recherche de fraîcheur pour apaiser la chaleur de son anus. Voir un beau petit cul s’agiter ainsi donne de sérieuses envies sodomites ! Il ne tarde pas à sortir son sexe puis à monter sur le lit. Même si elle a le feu au cul, Laura cherche à fuir le sexe fouillant entre ses fesses pour appuyer sur sa petite porte. Entravée comme elle l’est bras et jambes en croix avec les fesses maintenues en l’air, Laura ne peut rien faire d’autre que de pousser un cri de bête que l’on égorge lorsqu’il la pénètre de force sans plus de précaution. Bien malgré elle, pour cause de drogues et de mixture au gingembre, elle finit par éprouver d’agréables sensations. Au plus il s’acharne en elle, au plus elle tire maintenant sur ses cuisses pour mieux s’offrir en gémissant sous les coups de butoir. Le gardien se retire précipitamment pour venir éjaculer dans l’entonnoir en laissant Laura sur sa faim.

Dans la salle annexe, équipée de cafetière et de revue pornographiques, deux autres gardiens patientes en discutant sur la beauté d’un cul. L’un des deux se lève aussitôt pour aller se soulager à son tour dans les reins de Laura. Déjà bien « ouverte » par le premier gardien, l’effet drogue et gingembre faisant leurs effets maléfiques, à peine pénétrée elle s’extasie de plaisir enivrants. Son corps en perpétuel manque et ses neurones gravement atteints, elle est ravagée par des orgasmes à répétition lorsque le sperme du précédent gardien arrive à sa bouche. Dans l’état où elle est et sous la pénétration sauvage de l’homme qui commence à avoir le gland « chaud » elle boit les premières gouttes de semence sans même être gênée. Son deuxième violeur suit rapidement le chemin du premier pour déverser son plaisir dans l’entonnoir.

Douze gardien passeront par cette salle maudite, avec une petit interruption du directeur, venu lui mettre un gros suppositoire à la glycérine et sa mixture au gingembre pour aider à la lubrification.

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Entravée et équipée d’un bâillon pénitentiaire anti morsure sur une chaise roulante, lorsque le directeur conduit Laurie chez le médecin, ce ne sont pas les gardiens qui s’offusquent. De la chaise au lit où elle est rapidement entravée avec du matériel médical, vidée de toute force elle ne résiste plus. Pour éviter qu’on pourrisse ses chambres, le médecin mets de grosses couches aux patientes, mais dans l’état où elle se trouve, toute forme de résistance l’ont quittée.

L’opération est courte. Après avoir désinfecté ses tétons et son nez, le médecin lui pose trois piercings en forme d’anneau, un à chaque sein, un au nez. Laurie trouve dans la douleur la force de ce débattre, ce qui ne change pas grand-chose au résultat. Le casque intégral servant au lavage de cerveau posé sur sa tête, Laurie est abandonnée à son désespoir.

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A peine à t’il terminé, que le directeur lui emmène sa deuxième patiente, elle aussi entravée et équipée du bâillon pénitentiaire sur une chaise roulante. Elle est rapidement entravée sur un lit médical d’un autre temps et mise en couche. Le médecin lui pose une perfusion pour la réhydrater, la nourrir et lui injecter la deuxième dose journalière de la drogue qui la transforme petit à petit en gloutonne de sexe.

La suite au prochain épisode.

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Que de perversité!!! et si les filles se redressaient contre les gardiens!! je donnerai pas cher de leur peau! :twisted: