souvenirs : premières règles et punitions
Le 20/11/2013 11h43
Juste avant d’aller préparer à manger
Il est bientôt midi je dois préparer le repas, avant de m’y mettre je vais me mettre une petite Play List sur le pc. Je sélectionne au hasard quelques titres sur mon pc et je m’y mets. Je rejoins ma cuisine que déjà résonne le titre « la fessée – de Luce », je souris, cela me rappelle de très bons et cuisants souvenirs dont celui-ci.
3 jours après reçu le collier
Chez moi
Je suis devant la télé m’ayant préparé un petit plateau repas, seul, avec mon collier qui ne me quitte plus. Je le porte uniquement chez moi ou quand je me rends chez ma Maitresse Tania. Mon téléphone sonne, c’est un texto de Maitresse Tania, je ne m’y attendais pas. Avant de partir Tania m’a demandé d’attendre ses instructions et en aucun cas l’appeler. Je lis le texto et voici ce qu’il disait :
« Mon très cher soumis, voici ta première règles de vie, à partir d’aujourd’hui tu ne porteras plus de sous-vêtements sauf pendant les repas de famille et au boulot. Attention cependant je peux passer chez toi à tout moment vérifier que tu respectes cela. Tu passeras chez moi pour 17h30 et ne soit pas en retard, si tu ne respectes pas cette règle tu te doutes bien qu’une punition en conséquence te sera infligé ».
Bon, il est juste 15h, il me reste deux heures trente pour me préparer et me rendre chez ma Maitresse. Si tout se passe bien j’en ai pour trente minutes pour traverser la ville en métro, si tout vas mal une heure. Je dois partir de chez moi au plus tard à 16h30. Par contre je prends la décision de porter un boxer noir, sa punition je m’en fou, pour qui ce prend-elle. Je ne savais pas encore que ce geste anodin de rébellion allez avoir pas mal de conséquences pour moi. Bon un petit tour dans la salle de bain, petite séance de coiffage a coup de gel, rasage de la barbe de trois jours, un petit coup de déodorant, un petit coup de parfum (le male de jean Paul Gaultier). J’ai encore un peu de temps pour me faire quelques courses, je file vite fais au supermarché du coin, je remplis mon caddy de chips, gâteau apéros, plat cuisiner, petite bouteille de whisky, et direction la caisse, je ramène tout cela chez moi, je range mes courses, 16h30 je file pour prendre le métro direction chez Maitresse Tania. J’arrive à attraper le métro en courant, je pense que je vais arriver en avance, tant mieux. J’écoute de la musique, c’est l’album d’IAM « ombre est lumière » qui régale mes oreilles, comme d’hab les gens autour de moi tire la tronche. Je descends pour changer de ligne, la correspondance n’est pas là, je vois le panneau lumineux annonçant un incident technique sur la voie et je me dis que je vais me prendre quinze minute de retard, tout avait trop bien commencé. Vingt-cinq minutes plus tard la correspondance arrive, je monte tout en râlant. Je regarde ma montre, et merde il est dix-sept heures vingt-deux, et je vais être à la bourre, pas grave elle comprendra tout de même. J’arrive enfin au pied de l’immeuble de Tania, je regarde l’heure dix-sept heures trente-quatre. Je sonne sans tarder à l’interphone. J’entends la voix de Tania résonnée dans l’interphone me disant d’un ton sec de monter rapidement. Je pousse la porte, je prends l’ascenseur et sa fameuse musique pour atteindre le seuil de la porte. Je n'ai pas eu le temps de poser mon doigt sur la sonnette que Tania ouvrait la porte. Elle m ordonna sèchement d’entrer et me demanda également si je n’ai rien oublié. Elle passa sa main sur cou, j’en fis de même et la pas de collier, elle sourit constatant mon embarra. Je tentais cependant de lui faire la bise afin de la saluer, elle eut un mouvement de recul et dit
"Me prendrais-tu pour ta petite amie? Si c’est le cas, je préfère te le dire, je suis ta maitresse, et une maitresse n’est pas une petite amie, cette tu auras de l’écoute, du respect, nous aurons de la complicité, et il y aura beaucoup de confiance, mais je te l'ai dit tu embrasses mes pieds en signe de soumission et pour me saluer, un baiser se mérite. Autres chose tu as déjà commis trois erreurs depuis que tu es là. Tu ne mets pas ton collier, tu veux m’embrasser, tu arrives en retard, j’espère que tu n’as pas de sous-vêtements. Déshabille toi"
Et là je me dis que j’ai tout faux mais je retire vite mes vêtements en essayant de baisser mon pantalon en même tant que mon boxer noir mais c’était prendre maitresse pour une idiote et je vais vite m’apercevoir que ma tentative de dissimulation lui a très fortement déplu, je vais vite comprendre le dicton faute avouer a moitié pardonnée. Avant de me punir, elle me fit mettre à genoux devant elle et me fit me baisser afin que je puisse déposer un baiser sur chacun de ses escarpins vernis noir. Elle me remonta légèrement la tête et me demanda pour moi ce que signifiait le mot maitresse. Sur le moment j’aurais bien fais du second degré en répondant que c’est une personne qui apprend aux enfants à lire, écrire et compter, mais je ne pense pas que ma réponse l’aurais fait rire. Je me suis comptenter de répondre avec mon point de vue de débutant nias qu’une maîtresse est une personne dominante voulant mettre un peu de piquant dans sa vie sexuelle. La cravache tomba sur chacune de mes fesses et c’est là que j'ai su que j'avais dit une énorme connerie. Tania me regarda d’un regard noir et m’apprend que le bdsm n’est pas jeux pour adulte qui s ennuis dans leur vie sexuelle mais une philosophie de vie. Le soumis, doit se sentir vraiment soumis au fond de lui. Ce n’est pas un costume que l’on enfile le temps d’une séance et ensuite le train-train quotidiens revient au grand galop. Pour une maitresse c est pareille, elle a ça en elle. Elle doit apprendre à connaitre son soumis, à entrer dans sa tête afin de mieux le guider sur le chemin de l’abandon de soi et du lâchez prise. Ma maitresse après cette petite leçon me demanda de me relever et elle me plaça devant une chaise, elle me fut pencher en avant et me demanda de m’appuyer sur mes coudes sans plier les jambes. Mes mains dépassaient du dossier de la chaise, Tania en profita pour les attacher avec une corde. Je me laissais faire, je ne voulais pas en rajouter à ce qui allait déjà s’abattre sur moi. Elle fit une boule de mon boxer et dit
"Ouvre la bouche, tu mordras la dedans sa t’aidera à supporter ta punition, et je te mets ton boxer dans la bouche car c’est objet qui ta value ta correction et comme ça je suis sûr que tu ne recommenceras pas"
J ouvris la bouche et maitresse y enfourna le boxer, objet de ma désobéissance. Elle s’éloigna de moi. Je pouvais entendre ses talons claqué sur le paquet. J’appréhendais son retour, mais une douce excitation commençait à m envahir et je ne pouvais l’expliquer. J’entendais à nouveaux les talons des escarpins de Maitresse résonné. J’ai pu juste entrevoir une mallette noir de taille moyenne qu’elle posa sur une table juste derrière moi, j’entendis juste le cliquetis d’ouverture de la mallette, et Tania qui commença juste à me caresser les fesses du bout des ongles, des frissons parcourir tout mon corps. Elle posa l’une de ses mains sur ma fesse droite pendant que l’autre main se retirais pour s’abattre sèchement sur ma fesse gauche, je pu m’empêcher de laisser échapper un petit cri étouffé par le boxer, et toujours la même question dans tête « qu’est-ce que je fou la ? » La main de Maitresse s’abattit une douzaine de fois sur ma fesse, je sentais ma fesse chauffée, mais la main de maitresse vint calmer cette chaleur par une douce caresse. Une autre chaleur, mais plus agréable celle-ci, envahissait tout mon être et ne je pouvais pas encore me l’expliquer. La caresse fut de très courte durée. La main de Tania s’abattit encore une douzaine de fois mais cette fois ci sur ma fesse droite, mon cul irradiait d’une chaleur. Tania me détacha et me fit me relever en m’ordonnât de regarder le sol, ce que je fis immédiatement. Elle prit place sur la chaise et m’empoigna et me fit m’allonger en travers de ses jambes les fesses vers elle. Je me sentis honteux comme un petit garçon pris en faute qui allait recevoir une bonne fessée cul nue. Je pouvais aussi sentir la peau des jambes de Tania sur mon sexe ce qui eut un effet très excitant sur ma personne. Maitresse leva sa main et commença une bonne fessée, alternant sur chaque fesses des coups secs, je remuais le bassin et battait des jambes pour éviter des coups. Maitresse passa l’une de ses jambes au-dessus de miennes pour les bloquer et repris sa fessée plus sèchement encore. Pour bien me punir, maitresse me mit une quarantaine de coups sur chaque fesse. L’excitation montait en moi, ainsi qu’une érection. Maitresse me mis ma laisse qu’elle avait a porté de main me releva et me tira jusqu’à un coin de la pièce, elle m’ordonna de mettre à genoux main derrière la tête et interdits de m’asseoir sur mes talons. J’obéissais docilement à ma grande surprise. Tant de questions se bousculaient dans ma tête notamment celle-ci :
« Pourquoi suis-je ci excité ? Ce ne peux pas être les coups, peut-être est-ce le fais de régresser et de revenir à l’enfance en prenant une fessée comme punition, ou peut-être l’excitation du au contact de la main de ma maitresse sur ma peau, mais c’est des coups tout de même. »
J’étais vraiment chamboulé par cette nouvelle expérience. Maitresse vu mon érection et souri, puis repartis en direction de sa mallette surement. Tania dans une voie autoritaire m’annonça qu’elle n’en avait pas fini avec moi pour aujourd’hui et que cette punition maintenant terminé me serve de leçon.
il y a 11 ans
il y a 11 ans
Compte anonymisé
il y a 11 ans
Pour certains la soumission est un jeu, pas pour moi.
Il me tarde de lire la suite.
il y a 11 ans
vous qui lisez j'ai besoin de connaitre votre avis : j'aimerais faire de ce que j'écris deux livres ce décomposant comme suit :
1 : carnet 1: souvenirs d'un soumis
2 : carnet 2: un dominant en devenir
qu'en pensez vous ?
il y a 11 ans
il y a 11 ans
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