pris au piege

Compte anonymisé
Cela fait de nombreuses années que ma femme et moi vivons une relations heureuse mais ... monotone, devenue ennuyeuse avec le temps. Depuis 2 ans environ j'essaie de lui suggérer que nos ébats se dirigent vers des pratiques qui évolueraient quelque peu. Malheureusement je me heurtais à des fins de non recevoir.
Un peu désabusé, je me suis mis à découvrir une vie sexuelle de mon côté. J'ai partagé du temps avec une Domina. J'ai vu devant moi un visage aux traits fins, un corps habillé de magnifiques vêtements de cuir et de latex.
Son charisme, sa forte personnalité donnent envie de baisser les yeux comme si le fait d'aperçevoir son visage fut un cadeau dont il ne fallait pas abuser. Ce sentiment m'habitait à chacune de nos rencontre. Je ne vivais cela qu'à travers elle.
Un soir, en rentrant chez moi, je me rendis rapidement compte que l'ambiance était particulière. Je fus rapidement mis devant le fait. Ma femme était parvenu à apprendre ma relation cachée. Excessivement fâchée et remontée je la vis prendre ses affaires et quitter notre maison.
Le lendemain j'essayais de la contacter, en vain ... je me faisais beaucoup de soucis. Le soir, anéantis, je rentrais comme d'habitude en me demandant que faire de ma soirée qui s'annonçait morose.
Je parque ma voiture sous le couvert puis entre chez moi.C'est en allumant la lumière que je ne sus si je devais me réjouir ou définitivement craindre pour ma petite personne ...
Ma femme était devant moi, au milieu d'une pièce qui fut mon salon. Les meubles étaient dispersés aux quatres coins, les volets fermés ... seules des cordes étaient attachées au poutres et une table était au milieu de tout cet espace vide.
Je n'en croyais pas mes yeux! Ma femme portait une petite jupe en cuir serrant son cul comme jamais je ne l'avais vu. Un petit haut blanc remontait ses seins, et de superbes Louboutins allongeaient ses jambes. Je suis resté sans voix. Mais je n'eu besoin de parler! Derrière son dos, elle dissimulait une cravache. Lorsque je la vis, elle m'intima l'ordre de déposer mes affaires là où j'étais et de me déshabiller.
Je fut tellement surpris que je refusa dans une premier temps! Elle me lança : "C'est ça que tu veux! Non?! Alors déshabilles-toi et obéis-moi!" Elle pris sa cravache et la heurta sur mes parties intimes. La douleur me fit comprendre qu'elle ne plaisantait pas. J'étais envahis de peur mais j'étais très exité par tout cela.
J'enlève ma veste, puis ma chemise. Mon pantalon descend le long de mes jambes, je le retire en même temps que mes chaussures et chaussettes. Je suis nu, enfin presque ... elle s'approche de moi et me serre l'entrejambe à pleine main en me disant que même ma bite et mes couilles seraient mieux à l'air libre.
Elle passe sa cravache sur ma peau, je ne comprend pas comment elle a pu se procurer ce matériel en si peu de temps, comment fait-elle pour être si habile? La cravache claque sur mes fesses, je dois m'agenouiller ... Ma femme est en face de moi, en me dit: "Tu m'as humilliée, mais je suis allé à bonne école et crois-moi tu vas me le rendre au centuple!"
Je vois une telle colère dans ces yeux, une rage qui lui donne l'envie de me corriger ... Elle avance vers moi, et me demande de rester à genoux et d'écarter mes jambes. Le cuir de ses Louboutins sur ma peau et mon pénis a vite raison de la douleur. Elle enfonce son talon sur mes cuisses, puis me demande de lécher ses pieds. Elle glisse son talon dans ma bouche pour que je le suce comme si ce fut une verge. Je n'avais plus conscience du temps, tout mes repères s'évanouissaient autour de moi ...
Face à moi, elle me demanda de lever sa jupe. Je découvris son sexe rasé. Elle descendit sa main vers ses lèvres intimes pour les écarter ... elle prit ma tête par les cheveux et colla ma bouche sur son sexe et m'intimant de le lécher. Je sortis ma langue et la glissa vers l'entrée de son vagin, entre ses lèvres et la suça. En passant sur son clitoris, je vis qu'elle n'était pas insensible à tout cela. Mais comment pouvait-elle être aussi pervère?!
Elle me demanda d'aller me doucher. Arrivé dans la salle de bain, c'est elle qui me donna un savon et me dit de me laver partout. Comme si je ne le faisais pas d'habitude ... Mais lorsqu'elle me montra une poire de lavement je compris ce que partout voulait dire. Alors que je me savonnais, elle me dit de me pencher en avant. Elle dirigea l'embout de la poire entre mes fesses puis le positionna sur mon anus. Elle appuya et me pénètra doucement. Elle commenca à aller et venir dans mon cul puis fit claquer sa main sur mes fesses et me dit: "Tu n'as pas été fessé depuis longtemps, tu vas te souvenir de celle-ci!!" Effectivement ... mon cul était rouge et me piquait, mais me faire sodomiser en même temps me fit bander intensément.
Ma femme me lança un linge à la figure et me dit de me sécher puis elle sortit. Il n'y avait que peu de lumière dans le salon. Après la lumionsité de la salle de bain je ne voyais pas grand chose. Quelqu'un me pris par le cou puis m'attacha les mains aux cordes fixées à la poutre, les bras écartés. C'est la que je compris que deux personnes étaient autour de moi!
En essayant de me calmer, une odeure familière arriva à mon nez. C'était le parfum de ma Maîtresse! Tout prit un sens ... je réalisa de quelle "école" ma femme parlait! Je sentis des menottes s'attacher à mes chevilles, puis mes jambes s'écarter. Ma Maîtresse guidait ma femme, c'était le nirvana!
Ces ordres étaient concis et se répercutaient instantanément sur moi. Je sentis un doigt entrer dans mon cul, m'obligeant à cambrer mes reins. Mon anus se détendait et je me fis insérer un plug ... je l'avalai littéralement, mon anus serrant la partie la plus fine pour le tenir en moi. Alors que ma femme alluma une bougie, ma Maîtresse se mit derrière moi et fit claquer des lanières de cuir sur mon dos. Puis je sentis de la cire chaude couler. La brûlure ravivait mon errection. Je sentis de la cire couler sur ma bite durcie puis sur mes couilles, elle mit despinces au bout de mes taitons le plaisir qu'avait ma femme à me voir souffrir l'excitait!
Ma Maîtresse, toujours derrière moi, dit à ma femme: " Je crois qu'il en a assez eu ne pensez-vous pas?" Ma femme acquiessa et mit un gant de velours noir. Elle prit ma verge puis, me serrant fortement, me fit éjaculer. Je sentis mon sperme arriver ... trois grands jets de sperme recouvrirent son gant. Il était un peu liquide et glissait sur le gant.
Ma Maîtresse se retourna puis en s'en allant me lança: "Maintenant tu seras notre jouet ..." Elle ouvrit la porte et partit avec ma femme. J'étais détaché, assis sur le sol, vidé ... Je partit me doucher pour reprendre mes esprit ne me demandant si tout cela était bien réel et quand elles reviendraient.
il y a 12 ans

Compte anonymisé
Gégé,
Surprise de lire un écrit si excitant.Ta plume coule aussi vite que tes fantasmes. Je t'ai lu facilement, si étonnée de ce récit que je te voyais presque. J'imagine aisément que le passage de ta plume a éveillé un fantasme des plus réels.
Bravo et fais nous encore rêver avec toi.
Miraë
il y a 12 ans

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