Première fessée (concour)

" J'avais roulé presque 30minutes. Je descendais vers Douai la tête ailleurs. Il faisait beau, c'était le matin. J'avais écouté des chansons, Je sortis de L’autoroute et je me dirigeais vers Aubry. J’étais vêtue d’une jupe à carreaux, chemisier blanc, je ressemblais à une étudiante Arrivée, après quelques recherches, je finis par trouver la rue Emile Zola. En roulant lentement, j'aperçus une maison et une piscine. J'en déduis que je n'étais pas loin. je découvris enfin une boite aux lettres dont le nom me fis frémir... Thierry, j'étais arrivée. Je respirai un grand coup, je pris une grande brassée d'air. Mon ventre était noué, mais en feu.
J'ouvris la portière de la clio Je posai un pied au-dehors, puis un autre. Je récupérai mon sac sur le siège passager, puis en refermant ma portière, je me dis que je commettais une folie. Qu'importe. J'ouvris le coffre de la voiture, je pris mon autre sac. Je repris ma respiration, je remis ma jupe bien en place (et me dirigeai vers la maison. J'ouvris le portail, je traversai un bout de jardin, et j'étais devant la porte, les jambes tremblantes. Tant pis. Je sonnai une fois.
La porte s'entrouvrit au bout de quelques instants qui me parurent interminables. Thierry. Devant moi. Il était tel que je l'imaginais, sensiblement plus grand que moi, le visage à la fois énigmatique et émerveillé,
Il m'invita à entrer. J'ai déposé mes affaires dans un coin, ôté mon manteau. Mon émotion était si immense que je ne savais parler que par des soupirs et des sourires. Sa première caresse fut pour mes cheveux, son premier murmure fut jolie tenue Thierry m’ordonna de me mettre au coin les mains sur la tête. Pendant ce temps, il se rendit dans la pièce à coté. M’invita à le rejoindre et sur la table, les instruments de fessées étaient etalés.il me présenta le martinet m’en donna u coup qui me fit tressaillir, ensuite, la cravache, je pince les lèvres, je reçu un coup, je crie aïe c’est pour les fautes les plus graves me répondit il.
Il prit une chaise, l’installa au milieu de la pièce, s’assoit. Je suis là, debout, les mains derrière le dos face à lui. Mon cœur bat à vive allure. Je ne dis mot. Il me dévisage, je n’aime pas ça.
« Tu es venue pour te faire fessée »
- Oui répondis je
- Oui qui ?
- Oui Monsieur
- Allez sur mes genoux »
J’obéis ; il commence à me fesser sur la jupe, les claques sont régulières, mais elles sont supportables, il y va doucement, une claque sur la fesse droite, une claque sur la fesse gauche. Puis les coups deviennent de plus en plus forts, cela fait mal je ne bronche pas. Lorsque les claques cessèrent, je poussais un crie de soulagement. Mais que me fait-il ? Il soulève ma jupe, et me fesse sur la culotte et il reprend avec la même cadence. Mes fessent n’en peuvent plus, je gesticule dans tous les sens. Je tente de mettre la main sur les fesses afin de les soulager, mais il la retient. Il s’arrête,
« J’en suis en combien » me demanda t-il.
-Je ne sais pas, je n’ai pas compté
- Donc on reprend à zéro. Tu compte jusque 20.
- Un, deux, aie, trois quatre,………….11 aie aiiiiiiiiiiiiiiie, mes fesses n’en peuvent plus, 12,13,………..17, j’essaie de me relever, mais il me tient fermement….19,20 Ouf.
- Ce n’est pas fini
D’une main, il m’enlève la culotte, je suis gênée, mes fesses nues, face à un homme que je connais à peine. Le rouge me monte aux joues.
Il reprit, mais je n’en peux plus, je bouge, au plus que je bouge, au plus il frappe fort et vite je n’ai plus le temps de compter les claques. J’ai envie de pleurer, mais je retiens mes larmes. Parfois, il s’arrête caresses mes fesses et reprends de plus belles. Je cris « aie aie » Il continue
Cela dura un temps qui me parut long, très long. Puis il s’arrêta, Je n’osais pas bouger.
« Tu peux te relever, tes fesses ont bien rougis »
Alors que je remontais ma culotte, j’entendis « non, tu va au coin, les mains sur la tête tu relèves ta jupe, je veux voir des fesses bien rouges.
Je lui obéis

Ce fut ma première fessée d’adulte.

Sourillante :)
il y a 12 ans

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