La fessée pour ou contre, impact de l'enfance

[b:11id8i9z]Je me suis amusé à poster la réponse ci-dessous à un débat sur l'impact psychologique de la fessée au niveau des enfants sur leur sexualité future. [/b:11id8i9z]

Et si nous élargissions le débat ?

Zut alors, il n'y a pas que le cul dans la vie ! :lol: :lol: :lol:

Après la fessée il y a la gifle !

Cette gifle humiliante, douloureuse tant pour le corps que l'âme qui peut être à la fois "pédagogique" et une forme de violence physique et psychique.

[u:11id8i9z]Même si je suis très branché SM, rassurez-vous je ne prône pas la violence que ce soit pour les enfants ou les adultes.[/u:11id8i9z]

Par contre, pendant mes années de pratique SM, je me suis toujours interdit de donner des gifles car pour moi, la gifle était une forme de violence et de manque de respect.

J'ai commencé à changer d'avis avec ma soumise dans le cadre de sa """ formation"""" (désolé pour le mot) avec comme objectif de lui """"apprendre"""" l’acceptation de sa soumission.
[u:11id8i9z]NE CRIEZ PAS SVP, ces gifles étaient plus des caresses que des baffes et elles ont été données avec beaucoup de respect et de TENDRESSE.
[/u:11id8i9z]
CERTES à froid comme ça, donner une grande baffe à quelqu'un est pour moi de la violence et quelque chose d’inadmissible. Au demeurant lors des évènements que j'organise chez moi, si quelqu'un est violent donc irrespectueux il se fait sortir et exclure.

[u:11id8i9z]Tout cela pour en venir où ?[/u:11id8i9z]

Le cerveau étant la plus grande zone érogène et la plus puissante, dans le cadre d'une relation DS poussée, elles peuvent générer des émotions au dit "cerveau"[b:11id8i9z][u:11id8i9z] lorsqu'il est en "ébullition" érotique.[/u:11id8i9z][/b:11id8i9z]

En tant qu'adulte, on peut donc faire la différence entre violence et SM dans des actes comme la fessée, la gifle, les coups de fouet ou autre.... Accepter que son Maître ou sa Maîtresse puisse vous donner un gifle est aussi une preuve de sa soumission tout comme quand on accepte de se faire fesser.

[u:11id8i9z]Dans le cadre des réflexions et des discussions de ce post sur l'origine et les éventuels traumatismes liés à la fessée:[/u:11id8i9z]

J'ai pu constater x et x fois que des coups de martinet ou autre donnés sur la poitrine (pour h ou f) peuvent générer de grands plaisirs. Une soumise m'a même demandé pas plus tard qu'au mois de décembre 2010 de lui faire mon duo de cravache sur les seins.

[b:11id8i9z][u:11id8i9z]Je n'ai pas en mémoire que les parents ou les instituteurs de notre enfance aient fouetté nos poitrines et vous ?[/u:11id8i9z][/b:11id8i9z]

Il faudrait donc que l'on pose la question aux personnes autorisées à penser et à rédiger de brillants articles. Qu'en pensez-vous ?

Maître TSM (Ou l'emmerdeur de sévices, pardon service)
il y a 12 ans

Compte anonymisé
Si on part du principe de la psychologie de l'enfance. Un enfant battu ou violenté choisira entre deux options reproduire ce qu'il a connu ou fuir a tout prix ce qu'il a connu. Un enfant qui aura grandit normalement saura faire la différence entre le sm et son enfance. Il y aura toujours certaine pratique qui allumeront une sonnette d'alarme dans le cerveau d'un adulte ayant été traumatisé mais ces dites sonnettes peuvent être modifié si on s'y prend de la bonne facon. Le sm étant un plaisir dans lequel on ne s'aventure point par hasard. Chaqu'un à ses raisons d'aimer et de détester la fessée. Le tout est d'avoir l'art de faire vivre des bons moments à son partenaire. Je ne crois pas que le passé doive bloqué le présent. Le passé est là pour nous faire avancé dans la vie. L'enfance étant une période dans laquelle on apprends énormément sur soi et sur nos désirs. Qui d'entre nous n'a point eu ses premières idées un peu perverse avant d'avoir même une conscience réel de ce qu'elle réprésente.
il y a 11 ans

Compte anonymisé
[u:3vox3kz5][b:3vox3kz5]Petite réflexion partielle concernant ce sujet :[/b:3vox3kz5][/u:3vox3kz5]
Les gifles ou fessées reçues dans l'enfance marquent, d'une façon ou d'une autre. Celles qui ont été observées également. Elles peuvent être synonymes selon les cas de traumatismes, de cadrage, positives ou négatives sur le psychisme.

Comment naissent les fantasmes? Pour l'avoir vécu, un enfant qui en voit un autre se faire fesser va se tordre le cou pour profiter du spectacle. Surprise, curiosité, trouble, il ne va pas définir à cet âge l'impact que l'événement a sur lui, mais celui-ci va s'imprimer dans sa mémoire. Un événement de l'enfance peut alors résonner dans un esprit adulte. Dans son inconscient, il va mûrir, prendre une autre dimension que celle de l'événement primaire.

Je rejoins un peu ce qu'a dit Fifi : un enfant peut choisir de rejeter ce qu'il a connu, ou bien de reproduire une situation, parfois non pas sur les autres, mais sur soi-même pour la comprendre. Un adulte qui a reçu la fessée enfant peut choisir de reproduire cette situation - dans laquelle il est cette fois acteur et ne se contente plus de subir. Il peut ainsi prendre le contrôle de ce qu'il a vécu, en le transformant en plaisir.

Pourquoi un adulte va avoir envie de reproduire une situation de l'enfance? Envie de revivre ce trouble, de l'explorer, d'en tirer le pouvoir érogène. Si les coups ont pu générer ce trouble, alors pourquoi ne pas les associer à une autre zone du corps tout aussi érogène? En tant qu'adulte, dans une recherche de plaisir, et non plus dans la recherche de base de reproduire ce qui a été vécu dans l'enfance. C'est ainsi que si le fantasme s'est ancré dans l'enfance, l'adulte en prend le contrôle et le modèle à ses souhaits et au gré de ses expériences.
il y a 9 ans

Voilà une question que je me suis beaucoup posé et personnellement, je n'ai toujours pas la réponse.

Si vous avez lu ma présentation, j'ai été un enfant assez turbulent et ma mère m'a souvent fouetté les cuisses avec le martinet, mon père lui, c'était plutôt des gifles, des coups de poing ou de pieds.

Pour autant que je suis soumis aux femmes, (cela viens peut être du fait que ma mère menait la barque, puisque mon père partait tôt et rentrait tard), mais j'avoue ne pas être assez maso, pour être fouetté pour le plaisir de souffrir, par contre, si c'est mérité normal et je ne suis pas non plus attiré par une soumission aux hommes et je ne suis pas non plus devenu boxeur thaï.

Par contre, une gifle donné par une Maîtresse si elle est vraiment méritée et donnée sur l'instant, pour moi, n'est pas une preuve de sadisme ou autre, juste une punition mérité sur l'instant.
il y a 9 ans

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