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[size=150:2rrrq4vh][u:2rrrq4vh] [color=#008080:2rrrq4vh]Maître Tenardier et la petite Causette[/color:2rrrq4vh][/u:2rrrq4vh][/size:2rrrq4vh]
[color=#008080:2rrrq4vh][b:2rrrq4vh]
[i:2rrrq4vh][u:2rrrq4vh]Mise en garde :[/u:2rrrq4vh]
certains éléments de ce récit peuvent choquer les âmes sensibles
- toute ressemblance avec un personnage connu est pure coïncidence
- cette histoire est basée sur des faits réels
[u:2rrrq4vh]Remerciements :[/u:2rrrq4vh]
Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont soutenu dans la rédaction de ce récit
A savoir :
Chipie qui rythmait la cadence de rédaction par ses ronflements
Gaya qui m’a accompagné de ses ronronnements et câlins
Minette qui de son regard m’encourageait[/i:2rrrq4vh]


Causette (et non Cosette – notre personnage étant bien plus bavard -) était soumise, et vivait sous le joug de son Maître. C’était à l’époque, une jeune chienne, novice, mais extrêmement motivée. Elle se sentait bien ainsi jusqu’au jour, ou, misérablement, son Maître lui retira son collier et l’abandonna.
Il eu tout de même la décence de lui permettre une rencontre juste avant,avec un couple de dominateurs…ces derniers avaient appréciés notre petite Causette, et décidèrent de l’orienter vers un réseau BDSM sympathique que vous, mes chers lecteurs en ignorez même l’existence…fessestivites.
Mais voyant que notre petite Causette avait tout de même du mal à s’épanouir, ils lui conseillèrent de rencontrer Maître Tenardier, pensant, telle Fantine de Victor Hugo, qu’il allait prendre soin d’elle.
Oh ! bien sûr, lors des deux premières rencontres, ce dernier se montra fort agréable ! Au grand malheur de notre petite Causette !
Car, dès la troisième rencontre, Maître Tavernier dévoila son véritable visage ! La pauvre Causette n’eut plus aucun répit ! Levée à l’aube, les tâches ingrates lui revenaient ! servir le Maître de maison, préparer les repas sans aucune liberté culinaire, exigeant que la nourriture servie soit bonne malgré les ingrédients inadaptés, et par pure cruauté, Maître Tenardier répandait l’huile de friteuse dans toute la cuisine, la pauvrette n’ayant plus qu’à frotter derrière !
Et même quand ce dernier sortait, il ne laissait aucun répit à Causette ! Chez les amis du Maître, elle était également mise au fourneau, et pour amuser la galerie, elle devait se dénuder et était violement battue avec toutes sortes d’ustensiles !
Un jour, Maître Tenardier exigea d’elle qu’elle aie remplir une poche d’eau….frigorifiée et craintive, elle le regarda d’un air suppliant, mais rien n’y fit…elle alla au robinet, et s’exécuta. A peine la poche remplie, qu’elle se retrouva nue, sur un carrelage glacial, en plein hiver, et Maître Tenardier s’amusa à la remplir par l’anus, avant de l’abandonnée sur les toilettes, seule dans le froid et le noir pour qu’elle se vide…..
Puis elle fut installée sur une table et violée manuellement par tous les orifices
Il décida le soir même de l’emmener de force, enchaînée par les lèvres intimes dans un endroit sombre et obscur, malsain pour tous les gens bien-pensants….
Elle fut traitée comme un bourricot, devant tout assumer…
Maître Tenardier exigea même qu’elle emmène son fauteuil préféré, et dans le vent glacial, elle dû charger et décharger le fauteuil au grès des arrêts du Maître, porter d’innombrables sacs emplis de matériel fétichiste, sur de nombreux kilomètres, et presque dénudée…le froid la transperçait, elle avançait le dos courbée par le poids et ne pouvait broncher….
Le comble, Maître Tenardier avait convier deux parentes, qui, telles Éponine et Azelma du Victor Hugo, se moquaient cruellement d’elle, prétendant même qu’elle râlait et soufflait sous la dure labeur qui lui était imposée afin qu’elle se fasse battre et réprimander de plus belle
Arrivés à destination, Causette fut attachée et torturée cruellement, battue sans pitié, brûlée à la bougie, puis, une fois la soirée finie, dû a nouveau tout ramener à la voiture….sans aide aucune…..
Maître Tenardier à ce moment là, décida de mettre Causette au pain sec et à l’eau….la pauvre petite, déjà en si piteux état, fût désormais contrainte à un régime strict….
Cependant, Causette, n’en pouvant plus, décida de fuguer dès le lendemain, espérant de tout son cœur que le Jean Valjean, se cachant derrière le cruel Tenardier, vienne la chercher pour la prendre sous son aile et sous ses coups sensuels….un nouveau collier peut-être, à l’horizon….[/color:2rrrq4vh][/b:2rrrq4vh]

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Ma pauvre Causette, toi qui avait besoin de sensation même ton beaux sourire ne t'as pas sauvée.
Quel beaux récit Cassi, je vois que ton wk a été agitée.
Un jour tu auras le bonheur de croiser un Maitre, tu le mérites.
En attendant amuse toi bien et profite en.
Bisous

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jolie texte effectivement je suis content que t passer bonne soiree

et si j ai bien compris la fin tu as trouver un maitre ( tu parles d un nouveau collier )
c est bien pour toi t reussi a avoir ce que tu cherchais ce qui n etai pas gagner au depart

bravo je t souhaite d etre hereuse cassi
:ugeek:
alexandre dit alexisere

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Super récit Cassi, je retrouve tout :) sauf les deux parentes ?? J'ai seulement vu moi une maîtresse attentionnée et sa soumise pleine de compation pour cette perverse de Caussette ;)

Ahhhhhh oui j'allais oublier ... La dite causette devait parait-il faire des crêpes ou un gâteau pour l'arrivée de la dite maîtresse, Un oubli malheureux ... J'en suis moi persuadée ;)

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pour commencer ma chere deb, les deux parentes que je cite sont belles et bien les deux personnes dont tu parles!
alors, je veux bien admettre qu'il n'y ai pas de lien de parenté entre elles et l'horrible Tenardier,mais je peux t'assurer qu'ils ont un air de famille! surtout dans leur regard sadique à l'encontre de cette pauvre Causette!!!!
quant aux crêpes et au gâteau, dis moi comment Causette aurait-elle pu faire, Maître Tenardier lui crêpant le chignon et lui balançant des tartes sans interruption?????