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Les secrets de la chambre des filles 2

Ma nuit fut très difficile à cause des menottes puis parce que uriner dans une couche n’est pas facile. Je n’ai pas eu le choix ! Dans ma tête, se sont heurtés mes fantasmes et la contradiction de mes fantasmes. Vivre des instants de soumissions avec mes jolies cousines me fait bander, subir la cruauté et les idées perverses de Julie non.

……………
Etre réveillé à 8 heures à coups de martinet ne m’amuse pas du tout. J’ai des envies de meurtre. Je m’attendais à ce que ce soit Julie mais non, c’est Laura. Elle s’excuse et m’indique que ce sont les ordres de Julie avant de me détacher puis de m’indiquer que je dois leur apporter le café au lit. Elle me tend une chemise de nuit puis m’indique que je dois rester en couche pour le moment.

Je vais donc faire le café avec ce gros « paquet » entre les jambes qui me gêne pour marcher. Le café prêt, je leur apporte donc sur un plateau et entre dans leur chambre. Mes deux cousines sont torse nu, adossée à la tête du lit, cette vision enflamme mes sens, Popaul se rebelle dans sa couche….. Julie m’indique qu’avant d’entrer dans une chambre, même si on est attendu, il convient de frapper à la porte. Que répondre à cela ? Rien et baisser les yeux !

Leurs tasses prises, Julie m’ordonne de m’asseoir aux pieds du lit par terre et de prendre mon café puis me demande de commenter ma nuit. La garce ! La garce parce que je n’abordais dans mon compte-rendu que l’inconfort et mes soucis pour uriner dans la couche mais cette salope me titille sur mes attirance pour la soumission et la domination féminine puis mes plaisir à être féminisé. Très psy, Julie sait trouver les failles dans mes réponses et m’oblige indirectement à lui avouer que mes pensées s’opposent. Dans un sens cela m’excite, dans l’autre cela me révolte me dit-elle. Que répondre à cela ? Rien et baisser les yeux !

- Va prendre ta douche et reviens ici en chemise de nuit, tu as 10 minutes. M’ordonne Julie après m’avoir massacré les neurones masculins.

10 minutes c’est court, trop court, même si j’ai fait au plus vite, lorsque j’entre dans leur chambre, le temps imparti est dépassé. Julie qui roulait une pelle à Laura commence à m’incendier parce que je n’ai pas frappé avant d’entrer. Que répondre à cela ? Rien et baisser les yeux !

Elles me tendent la main pour que je les rejoigne dans le lit ou je rêve ? A cet instant précis, devant leurs mains tendues, mes neurones s’enflamment et imaginent des choses fabuleuses ! Quelle erreur ! Je comprends que je me suis planté dans mes pensées quand Julie me demande de m’allonger sur leurs jambes et soulève ma chemise de nuit.

- Nous avons donc en compte, le fait que la vaisselle d’hier soir n’était pas essuyée et rangée et que cela fait deux fois que tu entres dans notre chambre sans frapper. M’indique Julie. Tu vas donc prendre la fessée que tu mérites, quatre mains seront nécessaires à cela, tu as intérêt à ne pas bouger et à assumer !

Leurs mains s’abattent aussitôt sur mes fesses, ouahou, cela fait mal, je bondis sous les premières claques mais Julie me rappelle à l’ordre. Si j’avais su, je ne serai pas venu dans leur chambre en Bretagne pendant les vacances !!!!!!!!!! Elles se partagent mes fesses et s’en donnent à cœur joie. C’est un véritable déluge de claques qui s’abat sur mon fessier, elles ne sont pas très fortes mais quand même ! Mon épiderme fessier s’enflamme sous leurs mains, mes doigts griffent leurs draps et le matelas, mes dents mordent les draps, ne pas crier ni fuir m’est difficile. La double fessée s’arrête comme elle a commencé, leurs mains massent mes fesses comme pour les apaiser alors que j’ai l’impression d’avoir des aiguilles dans le cul !

- J’aime bien le cul des mecs et encore plus les fesser. Allez lève-toi et va faire couler mon bain Larbine ! Dit Julie

La grosse surprise quand je me lève est que mon sexe affiche un début d’érection, elles me traient de maso et de gros dégueulasse, que répondre à cela ? Rien car leur dire que d’être couché sur le jambes m’a fait des choses serait trop risqué…..

La journée s’est déroulée normalement hormis qu’elles ont tenu à ce que je porte une de leurs culottes. Je suis allé à la Fac, le premier jour est d’un chiant au possible mais bon. A mon retour à la maison, j’ai complètement zappé de me fringuer en fille. Mon ordi branché et je me suis mis à surfer sur Fessestivites où j’apprends beaucoup de chose via les forums, les articles et les textes quand elles sont arrivées. Julie m’a immédiatement incendié parce que je n’étais pas en tenue. Elle essaie de me gifler mais j’esquive avant de m’enfuir dans ma chambre pour ne pas lui rendre sa baffe. Avec cette foutue robe et ce soutien-gorge aussi inutile que chiant, je reviens donc au salon où elles se câlinent sur le clic-clac sans être gênée d’aucune sorte par ma présence.

- C’est quoi ce site ?

- C’est un site de rencontre avec des tonnes de trucs, je ne recherche rien de particulier, je m’informe.

- Menteur ! Tu cherches une Maîtresse ! Je savais bien que tu es un soumis Larbine, alors en bon soumis, tu vas nous servir un café et au pas de course, nous avons des comptes à régler.

A mon retour avec leur café, je découvre qu’elles ont mis une chaise face au clic-clac. Julie se lève et m’oblige à m’asseoir sur la chaise puis à mettre mes mains dans mon dos pour les lier avec une corde. Elle relève sa jupe puis retire son string qu’elle s’amuse à passer sur mon visage en m’ordonnant d’ouvrir la bouche pour l’y faire rentrer chose que je refuse en lui disant que c’est dégueulasse.

- Ta bouche est sale, tu mens alors un peu plus un peu moins….

Devant ma résistance, Julie attrape sa cravache et m’en donne deux coups sur les cuisses, je finis donc par abdiquer et ouvrir ma bouche dans laquelle elle enfonce le string qu’elle a porté toute la journée. Avec du scotch d’emballage, elle le maintient dans ma bouche en faisant carrément deux fois le tour de ma tête sous les yeux amusés de Laura qui retire à son tour sa culotte pour la lui donner. Julie l’attrape pour me la mettre sur le visage en faisant deux autres tours de scotch pour la maintenir en place.

- Tu aime les culottes des filles, alors éclate-toi pendant qu’on câline ! me dit Julie en me mettant deux gifles.

A cet instant, j’ai envie de la massacrer mais hormis la détester, je ne peux rien faire tant que je n’aurai pas trouvé un moyen de foutre le camps d’ici. Au bout d’un moment, les entendre câliner sans les voir commence à me faire des choses, tout comme la senteur de la culotte de Laura au parfum poivré.

Julie pousse des gémissements sans équivoque possible en traitant Laura de bonne salope, ou de bonne soumise. Un bon moment plus tard, des ordres et le bruit de claques me laissent à penser qu’elle lui donne une fessée en obligeant Laura à se branler en même temps. Les choses s’apaisent naturellement au bout d’un long moment quand soudain, des mains s’attaquent à mon sexe en pleine forme. Des doigts féminins l’enserrent doucement pour entreprendre de me branler. Je m’attends au pire mais non, cette main cherche vraiment à me donner du plaisir. Les jambes écartées, je me laisse faire pendant que Julie retire le scotch maintenant son string dans ma bouche en m’arrachant des cheveux au passage sans plus de précaution. La main agile s’occupant de mon sexe tendu à rompre s’accélère pour finir par me faire jouir, quel bonheur. Soudain, Julie force ma bouche pour y remettre son string avant d’y remettre deux tours de scotch pour le maintenir en place.

- Ta formation de salope vient de commencer, tu viens de juter dans mon string, alors savoure-le et habitues-toi au sperme gros porc. Me dit Julie d’une voix très autoritaire.

Son mini string déjà bien mouillé par ma salive commence à libérer un goût amer très déplaisant, j’essaie de le recracher mais en vain. Une heure, elles m’ont laissé ainsi une heure avant de me libérer les mains pour que j’aille faire la cuisine avec comme ordre de ne libérer que mes yeux. Le repas terminé, nous avons dîné au salon, les filles assises sur le clic clac et moi par terre pendant que défilait en boucle un diaporama de photos de moi en mauvaise posture. La vaisselle faite, les filles m’ont installé dans ma chambre avec mes affaire pour que je puisse travailler tranquille avec une chaîne et deux cadenas me maintenant au lit par la cheville. Elles m’ont jeté une couche en m’indiquant que je n’aurai qu’à la mettre tout seul si j’avais envie d’aller aux toilettes.

J’ai donc commencé à travailler couché sur le lit avec toujours la même rage au ventre. Deux heures plus tard, une envie pressante m’oblige à mettre leur satanée couche. Deux pipis plus tard, mes yeux se fermant, je retire la couche pour éteindre la lumière et dormir.

Soudain, quelque chose de mouillé et de froid s’écrase sur mon visage. En essayant de me dégager mes mains rencontrent Julie qui m’écrase la couche sur la figure. Le combat est inégal car je suis bien plus fort qu’elle, mais que je lui résiste physiquement la met dans une colère monstre. Elle sort précipitamment de la chambre pour y revenir trente secondes plus tard avec sa cravache. Là j’ai peur car avec ma cheville toujours attachée aux pieds du lit, face à une furie la lutte s’annonce difficile.

- Je te rappelle qu’ici tu es mon esclave, je peux te virer sans problème en envoyant les photos de toi à nos parents en guise d’explications et sur le net histoire de leur faire voir qui tu es. Alors quand je te dis de mettre une couche, tu attends ma permission pour la retirer. Si tu la retires une seconde fois, j’en fais une infusion et je t’oblige à la boire. Suis-je claire ?

- Là tu vas trop loin, cette histoire va mal se terminer Julie.

- Comment ça je vais trop loin. Tu fouilles dans mes affaires, tu jouis dans mes affaires, hier soir encore tu as juté dans mon string j’ai des preuves. Tu cherches sur le net une Maîtresse pour t’éduquer, tu l’as trouvée et crois-moi sur parole, je vais faire ton éducation. Pour m’avoir donné un coup quand tu t’es débattu, tu vas m’offrir tes fesses et dire merci après chaque coup de cravache. Tu as 10 secondes pour me présenter ton cul Larbine.

Piégé par cette salope, je n’ai pas d’autre choix que de lui tendre mes fesses en espérant qu’elle ne soit pas trop méchante. Le premier coup s’abat immédiatement. Comme je n’ai pas dit « merci Maîtresse » elle m’annonce qu’il ne compte pas. Au suivant particulièrement douloureux, je n’oublie pas le « merci Maîtresse » ni aux neuf autres si douloureux que mes yeux commencent à mouiller. Julie me jette la clé du cadenas et m’ordonne de me libérer puis de me préparer pour aller à la Fac. Le cul en feu, je ne tarde pas ! Pour ne pas prendre de coups supplémentaires, j’enfile la chemise de nuit pour aller prendre un café puis faire un brin de toilette. Les filles sortent avant moi de la maison, en me rappelant que je ne dois pas oublier de faire leur lit.

Les garces !

A suivre

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Comment cela va-t-il finir? vite la suite!!

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Cette histoire est arrivée à ranimer le gisant chose rare merci