La Punition

La Punition
Auteur: Mmike

Michel montait l'escalier la gorge nouée par l'angoisse

Il sentait l'appréhension monter au creux de son ventre. La Directrice avait en effet la réputation d'être très sévère. Plusieurs élèves avaient du déjà se rendre dans son bureau après les cours, et les récits avaient de quoi effrayer un élève de 17 ans.

Dans cette institution privée, les châtiments corporels étaient admis, et les parents de Michel avaient signe une décharge autorisant la responsable de l'établissement a les appliquer en cas de besoin.

Jusqu'a présent, cette éventualité n'avait pas préoccupé le jeune homme...

Michel arriva devant la porte du bureau...Il était 13h. Sur la plaque de cuivre polie vissée sur le bois, le mot "DIRECTRICE" était écrit en majuscules.

Michel essuya ses mains moites a son pantalon et frappa timidement.

"Entrez!" répondit une voix autoritaire. Michel poussa la porte et s'immobilisa a un mètre devant le bureau de chêne massif. La Directrice était occupée a signer des papiers et Michel n'osait bouger.

La vaste pièce était meublée a l'ancienne et sentait bon le vieux bois. Outre le bureau et des armoires, il y avait une table basse, une chaise, et tout au fond, un chevalet de bois. C'est ce chevalet qui attira l'attention du garçon. Il était fait de bois solide, recouvert d'un tissu épais. Sur le tissu étaient poses des instruments qui émurent l'adolescent: un martinet a courtes lanières de cuir, un fouet plus long, a longues lanières noires, et une "cane" anglaise de rotin.

Des courroies pendaient également aux pieds du chevalet.

Le regard de Michel fut brusquement ramené devant lui par la voix forte de la Directrice: " Vous voila donc! Voila le responsable de la détérioration du matériel de chimie! "

Michel baissa la tête. Il ne pouvait nier avoir casse des éprouvettes et des flacons en chahutant pendant l'absence du professeur. Il ne savait pas qui l'avait denoncé, mais il sentait que toute tentative de nier ne ferait qu'aggraver la sanction.

La directrice était une belle femme d'une cinquantaine d'années. Les cheveux châtain, l'air décidé, des yeux bleus perçants capables d'intimider n'importe qui, des mains fortes malgré leur élégance.

Elle était vêtue d'un tailleur strict et grâce a sa position un peu en recul, Michel pouvait voir les cuisses gainées de bas noirs. Cette vision, malgré la gravite de la situation, provoqua en lui une certaine excitation.

Il n'eut pas le loisir de fantasmer davantage car la voix reprit:

"Et bien, êtes-vous devenu sourd?"

"nn..non madame" répondit Michel

"vous savez, je pense pourquoi vous êtes ici?"

"euh..oui, je crois..."

"vous croyez.. vous croyez quoi au juste?"

"euh...que je vais être sermonné pour ma conduite"

"Sermonné? Oui, sans doute, mais il ne s'agit pas que de cela. Vous êtes la pour être châtié pour votre conduite inqualifiable. Et châtié sévèrement..."

La Directrice marqua volontairement une pause, se délectant du trouble visible sur le visage du jeune homme.

"Vous n'ignorez pas le code de discipline en vigueur dans mon établissement, n'est-ce pas?"

" euh...non"

"Alors vous savez que pour des actes tels que celui que vous avez commis en salle de chimie hier, la sanction prévue est le châtiment corporel?"

"oui, j'en ai entendu parler..."

"Très bien. Dans votre cas, je me dois d'être sévère. Vous allez être puni comme un gamin, puisque votre conduite s'y apparente. Et savez-vous quel châtiment l'on inflige aux gamins désobéissants?"

Michel ne répondait pas, trouble jusqu'au fond de lui-meme.

"Je vous écoute" reprit la Directrice, autoritaire

"euh...je ne sais pas...des claques..."

"Des claques !" clama la directrice amusée..."oui, des claques... sur les fesses !

Et des claques sur les fesses, cela s'appelle une fessée !Oui, vous allez être fesse pour votre conduite. Mais comme cela serait une punition un peu trop douce pour un grand garçon comme vous, et vue la gravite de la faute, vous serez également fouette !"

Fesse...fouette...ces mots résonnaient dans la tête de Michel, augmentant son humiliation.

"Allez, assez discute !" reprit la Directrice , "venez ici !"

Elle entraîna le jeune homme rougissant vers une chaise de bois, posée au centre de la pièce.

Elle s'assit sur la chaise et attira Michel a sa droite.

"baissez votre pantalon, jeune homme !"

Le ton était sec, et l'ordre non discutable.

Michel commença a défaire la boucle de sa ceinture, puis déboutonna maladroitement son pantalon.

Celui-ci tomba sur ses mollets, exhibant ses cuisses musclées. Son intimité n'était plus protégée que par le frêle rempart d'un petit slip que Michel remonta machinalement sur ses hanches.

"En position ! allez, allongez-vous sur mes genoux, et plus vite que ça !"

Joignant le geste a la parole, la Directrice attira l'adolescent sur ses cuisses découvertes par le tailleur un peu court, et Michel se retrouva, tête en bas, mains posées sur le parquet, et le derrière tendu, offert a la vue et aux sévices de la terrible dame.

Celle-ci semblait apprécier le tableau et flatta les rondeurs offertes de sa paume. La caresse lui permit d'apprécier la fermeté des globes de chair, et un sourire gourmant apparut sur ses lèvres, ainsi qu'un léger trouble dans son regard.

Enfin, la première claque s'abattit. "clac!" Le bruit et la douleur soudaine, bien que modérée, firent sursauter le jeune homme qui contracta ses fesses.

Au moment ou il les relâcha, une deuxième claque frappa l'autre fesse.

Les claques se succédèrent, d'abord modérées, puis de plus en plus fortes, frappant alternativement chaque fesse a sa base.

Le garçon commença à s'agiter et a gémir faiblement, mais il n'osait pas se debattre, sentant confusément que son bourreau risquait de redoubler de severite. Ses joues étaient en feu, et son trouble gagnait en intensité.

Apres une vingtaine de claques, la maîtresse marqua une pause et caressa les fesses du puni. Celles-ci étaient déjà plus chaudes, et la partie non recouverte par le petit slip commençait a rougir.

Michel pensa "ça y est, c'est enfin termine...finalement ce n'est pas si terrible"

Mais soudain, la sensation de la main de la directrice s'insinuant sous l'élastique du slip le détrompa:

Elle était en train de le déculotter ! Michel en fremit ...

La directrice baissa lentement le dernier rempart de tissu, dénudant entièrement les fesses du coupable.

Michel dut même se soulever un peu pour aider le slip a glisser sur son sexe. Lorsqu'il reprit la position, il sentit son sexe se poser sur les cuisses de la directrice, et le contact des bas déclencha un début d'érection que le jeune homme eut bien du mal a contenir. D'autant plus que cote pile, la sensation de l'air frais sur sa peau nue et de la caresse qui avait repris ajoutait a l' érotisme de la situation.

Il n'eut pas le loisir d'apprécier trop longtemps ces douces sensations, car la fessée reprit de plus belle.

Le bruit cette fois n'était plus amorti par le tissu et sonnait clair dans le bureau, peut-être même a l'extérieur ?

La directrice était une fesseuse experte. Elle fessait chaque fesse alternativement, s'attachant a rougir uniformément les deux masses rebondies, a l'exception du haut, trop sensible. Elle semblait aimer provoquer le trouble et jouer avec ce délicat équilibre entre douleur et plaisir, source de voluptueuses sensations.

La fessée continuait, bien rythmée, s'interrompait parfois pour laisser place a quelques caresses, puis reprenait, implacable.

Tout en fessant, la directrice sermonnait le jeune puni :

"La voila, la bonne fessée que tu as mérité ! gamin insupportable! Ah, elles deviennent bien rouges, tes petites fesses rondes ! et ce n'est que le commencement! Tu vas recevoir la plus belle fessée de ta vie!

Tiens! Ne bouge pas, reprends la position...voila ! Tiens, je les frappe tes petites fesses ! avoues que tu l'as méritée, cette fessée..."

Dans la tête du jeune homme, régnait une confusion de sensations et de pensées apparemment contradictoires.

Honte et excitation d'être ainsi livre nu a la vue d'une dame, douleur des fesses rougies et érection de plus en plus ferme, désir de vivre le cote exceptionnel du moment tout en cherchant a le graver dans sa mémoire...

Apres quelques minutes, la fessée s'interrompit pour la deuxième fois. Michel se relâcha, sans résistance, sur les cuisses de sa maîtresse.

La Directrice contempla son oeuvre avec une apparente satisfaction, appréciant de la main et de l'œil les deux fesses nues, rougies uniformément, a la peau douce. Sa main s'égara dans la raie, ce qui déclencha une contraction réflexe de l'adolescent. Une claque sèche lui fit comprendre que toute résistance était inutile. Il s'abandonna a la caresse, a ces doigts qui parfois s'insinuaient entre les globes douloureux, venant effleurer son anus et la naissance de ses bourses. Son érection devint douloureuse, et il se retint de bouger malgré l'envie qui lui taraudait le ventre.

La Directrice semblait ne pas s'apercevoir de ce trouble, mais la couleur de ses joues et la voix rauque avec laquelle elle ordonna "debout !" trahirent son excitation.

Michel exécuta l'ordre sans réfléchir, et se redressa. Il eut beau tenter de mettre les mains sur son pubis, il ne parvenait pas a masquer son sexe dresse par une spectaculaire érection.

Cette fois, la Directrice fit mine de s'en apercevoir. "Qu'est cela? Ma parole, mais vous aimez la fessée ! c'est du propre ! Je vais vous apprendre a vous tenir en présence d'une dame ! je vais vous fouetter !"

Pleine d'un faux courroux, elle entraîna le jeune homme vers le redoutable chevalet. Michel avait du mal a suivre, a cause du pantalon et du slip qui entravaient ses genoux.

Cette scène grotesque ne dura pas longtemps, car arrives a deux mètres du chevalet, la maîtresse s'immobilisa et ordonna :

"déshabillez-vous ! entièrement! Je vous veux nu pour le fouet !"

Michel, abasourdi par la honte, ne résista même pas et commença a enjamber son pantalon, a retirer son slip, sa chemise et son maillot. Il ne garda que ses chaussettes de sport blanches qui contrastaient avec sa peau mate, et resta debout, gêné, nu, devant la dame qui le regardait, partout, avec une évidente satisfaction. Elle augmenta même l'humiliation en faisant le tour de son élève, un martinet a la main

qui battait ses bottines, afin de le détailler complaisamment . elle aimait ce corps qui avait encore la peau douce de l'enfance, et la puissance de l'homme, ses muscles fermes, ses poils sur un poitrail bien développé par l'exercice, ces jambes de male, ces fesses offertes, rougies et légèrement gonflées par la fessée.

Enfin, au bout d'un temps qui sembla durer une éternité au jeune soumis, l'ordre tomba:

"en position!"

Michel avança vers le chevalet et se courba d'instinct dessus, pieds touchant terre, mains agrippées aux tréteaux, et fesses offertes dans toute leur plénitude.

La Directrice contempla un instant le tableau puis attacha les mains et les pieds de la victime aux tréteaux de bois a l'aide de courroies. Ainsi immobilise, le jeune élève ne pouvait se soustraire aux coups de fouet.

Puis elle se plaça sur le cote et commença a effleurer le derrière nu avec les lanières du martinet.

Michel se contracta sous la caresse.

Le martinet siffla et s'abattit au milieu des fesses, les marquant de traînées rouges.

Michel ne put retenir un cri.

Un deuxième coup, porte de l'autre cote, ajouta quelques stries sur la peau qui sursauta.

Puis la danse des lanières s'accéléra, faisant tressauter et hurler le supplicie, marquant les jeunes fesses d'un rouge de plus en plus soutenu.

La flagellation dura quelques minutes, entrecoupées de pauses pendant lesquelles la fouetteuse caressait le dos, les fesses et les cuisses de son élève, en prenant et prodiguant a la fois un plaisir manifeste et partage. Elle s'assurait aussi de l'étendue des marques, puis se remettait a fouetter, en ayant soin d'éviter les cotes et le haut des fesses. Ces endroits marquaient trop facilement et elle voulait faire durer la correction, voire la reproduire au plus tôt...les occasions ne manqueraient sans doute pas.

La correction prit fin après quelques coups plus appuyés, appliques dans la raie des fesses, qui firent crier Michel tout en ravivant son excitation.

"Parfait", dit la Directrice en contemplant son travail. "Nous allons pouvoir passer a l'étape suivante".

Et elle détacha le jeune homme qui se releva, le visage et les fesses rouges, et la tête bourdonnante.

"Vous allez maintenant vous mettre a quatre pattes, sur cette table, jeune homme !"

Michel regarda la table basse posée au milieu du bureau et s'exécuta, soumis.

Il grimpa sur la table, et se positionna comme demande, appuyé sur les genoux et les coudes,

Les fesses impudiquement tendues, les cuisses légèrement écartées laissant apparaitre la naissance de ses bourses.

La directrice se régala de ce corps nu, offert a ses fantasmes, et s'empara d'un fouet a longues lanières.

Sans avertissement, elle commença a cingler le dos, la croupe, et les cuisses offertes.

Michel sursautait, criait, mais a chaque mouvement, la voix forte de sa maîtresse lui commandait de se remettre en position.

Le corps du puni se marqua de traînées rouges, et quelques bleus apparurent même aux endroits déjà frappes.

Au bout d'une douzaine de cinglées, la Directrice arrêta le supplice.

"Bien ! maintenant, tu vas rester dans cette position, je vais signer quelques papiers, et ensuite, nous pourrons passer a la dernière phase de la punition.

Et surtout, ne bouge pas ! sinon..."

Michel ne pouvait qu'obéir. Il resta donc sur la table, nu, les fesses tournées vers le bureau de la directrice. Celle-ci bénéficiait d'une vue très érotique sur l'intimité du supplicie, et semblait beaucoup apprécier ce privilège, car elle resta assise a son bureau a contempler sa victime et a feuilleter quelques papiers pendant de longues minutes.

Michel sentait l'excitation monter a nouveau dans son ventre, la chaleur des coups de fouet et l'humiliation de la situation provoquaient un afflux de sang qui recommença a tendre sa verge.

Comme si elle avait attendu ce moment, la Directrice se leva, et s'approcha de la table.

Michel n'osait bouger et il ferma les yeux lorsque sa maîtresse caressa son corps meurtri, son dos, ses fesses, son ventre...et son sexe qui se tendit au maximum.

La main impudique alla même jusqu'a décalotter la verge, et a effleurer le gland auquel perlait une goutte de semence, signe d'une excitation a son comble.

Puis, brusquement, elle stoppa et alla prendre la "cane anglaise".

Elle éprouva la flexibilité de ce terrible instrument de correction, originaire d'outre-manche, et qui avait cingle des générations de garçons et filles dans les collèges anglais.

Le rotin était souple, long d'un mètre, et muni d'une poignée recourbée a une extrémité.

Arrivée a la table, elle demanda a Michel de se relever, et d'aller s'allonger a plat dos sur le bureau, fesses au bord du plateau, jambes relevées.

Michel se plaça dans cette position particulièrement humiliante et tint ses jambes avec ses mains afin de présenter ses fesses comme demande.

La directrice se plaça de cote, et annonça:

"Vous allez recevoir 6 coups de cane, et vous devrez les compter a haute voix, dans la pure tradition de l'éducation anglaise ! êtes-vous prêt?"

Michel répondit par un signe de tête.

"Je n'ai rien entendu !"

"oui!" articula Michel

La maîtresse toucha les fesses de son élève avec le bout de la cane. Puis elle l'écarta et dans un mouvement ample, et l'abattit sifflante en travers du derrière du jeune homme. Le sifflement et le bruit de l'impact furent impressionnants. Au bout d'une seconde, Michel sentit la brûlure atroce sur ses fesses déjà bien chatiées. Il avait l'impression que sa chair avait été coupée par l'instrument.

Il eut le courage d'articuler "Un!"

"Très bien" , dit sa tortionnaire. "Reprenez la position"

Michel releva bien haut les jambes qui s'étaient affaisses. A nouveau il sentit la cane l'effleurer, puis entendit le sifflement et ressentit une douleur si vive qu'il ne put s'empêcher de hurler et de se relever.

"En position, et tout de suite ! et cessez de toucher vos fesses!...mais au fait, je n'ai pas entendu compter...vous recevrez donc un coup supplémentaire."

"non, pitié!" protesta le jeune homme en se remettant sur la table.

"Pitié? Ce serait un bien mauvais service a vous rendre, jeune dévergondé!" "vous subirez votre correction jusqu'au bout!"

Et la directrice reprit la flagellation.

"swiffft !" "aie!... Deux"

"swifft !" "ouille!... Tr..trois!"

swift ! swift! Swift!...

"six!", exhala Michel, pantelant.

"C'est bien, vous pouvez vous relever a présent. Ou plutôt non: vous mettre a genoux a mes pieds et embrasser la main qui vous a chatié !"

Michel obéit , se mit a genoux, nu devant sa dominatrice, et baisa la main que celle-ci lui tendait.

Cet acte réveilla l'excitation sexuelle du jeune homme, que la douleur intense avait temporairement éteinte .

Sur l'ordre de la directrice, il se releva et se prêta sans problème a une dernière inspection.

Enfin, il reçut l'ordre de se rhabiller, ce qu'il fit sans se faire prier.

La directrice le sermonna une dernière fois: " Et ce que vous venez de subir n'est sans doute pas la dernière correction que vous recevrez dans cet établissement, jeune homme! Vu votre caractère, je crains de n'avoir a vous punir a nouveau dans l'avenir. Mais il n'en tient qu'a vous, et une conduite exemplaire pourrait vous éviter des désagréments dont vous n'avez aperçu qu'une petite partie...

Vous pouvez retourner a vos cours!"

Michel, étourdi par l'émotion et la sourde menace qu'il venait d'entendre, bredouilla:

"M..merci madame, au revoir..." et quitta le bureau en marchant avec difficulté.

Sur le chemin de la classe, il ne put s'empêcher de s'arrêter dans les toilettes. Il se déshabilla, contempla les marques que lui avait inflige sa cruelle maîtresse, et une forte érection lui donna envie de soulager la tension qui l'habitait par une bonne masturbation.

Il dut se masturber trois fois avant que son état émotionnel ne revienne a un niveau plus raisonnable.

Des fantasmes torrides le hantaient, dans lesquelles il était fesse et fouette par la directrice devant les filles de sa classe, dans lesquelles aussi la directrice retirait son tailleur et lui demandait de lui faire l'amour...

Enfin, il reprit le chemin de la classe, et se surprit a envier une nouvelle correction dans le bureau de la Directrice...
il y a 10 ans

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