Une visite médicale très agréable

Une visite médicale très agréable
Par Vanessa



Une heure que j'attendais dans cette pièce... J'avais vraiment l'impression de perdre mon temps mais c'était une étape obligatoire : pour obtenir mon job d'été, il fallait que je passe la visite médicale. C'est pourquoi, je me trouve coincée entre ces quatre murs par cette belle journée du mois de juin plutôt que de me balader en ville ou sur la plage.

Je me présente, Vanessa, 19 ans, étudiante en première année à la fac de Bordeaux. Je mesure 1m70, pèse 50 kilos. Je suis blonde et ma peau satine dès les premiers rayons du soleil. Bref, on me trouve assez bien faite mais pour l'instant je suis à la recherche d'un peu de blé pour pouvoir partir en vacances avec mes copines, au mois d'août... d'où ma présence dans ce cabinet de la médecine du travail dans lequel j'ai été convoquée pour subir des examens de routine mais nécessaires pour travailler en juillet dans une entreprise d'embouteillage de la région.

Ah quand même, ça y est ! La secrétaire médicale appelle mon nom dans la salle et me désigne le couloir de gauche en me précisant de me mettre en petite tenue dans le vestiaire 13 et d'attendre que l'on vienne me chercher. Je m'avance dans le couloir indiqué, scrutant les numéros des portes. J'ai l'impression d'être à la piscine municipale : le sol est carrelé et toutes les portes des vestiaires sont identiques, d'un bleu roi uni, qui jure avec les murs peints en beige. J'ouvre la porte n 13 et me retrouve dans une sorte de petite cabine, avec un banc en sapin, un portemanteau, et une autre porte à l'extrémité. Je verrouille la porte d'entrée et me déshabille. 2 minutes plus tard, j'étais en petite culotte et soutiens-gorge, assise sur mon banc, patientant de nouveau.

Au bout d'un quart d'heure, alors que je commençais à désespérer, un vieux docteur en blouse blanche, l'air très sérieux, vient me délivrer de ma cage et m'emmène dans son cabinet. Il me pose des questions d'ordre général sur mon identité, le poste que je souhaite avoir, et sur mes antécédents de santé.

L'interrogatoire est vite terminé, étant donné que je n'ai pas eu de gros problèmes et que je suis plutôt resplendissante de santé et de vitalité. Il me pèse, me mesure, prend ma tension. Alors que je pensais en avoir bientôt fini, il me demande de m'allonger sur la civière. J'obtempère sagement. Il place son stéthoscope sur ma poitrine pour écouter mon rythme cardiaque. Sa main s'est infiltrée sous le bonnet droit de mon soutien-gorge et je sens le froid métallique de son outil, qui provoque un petit durcissement de mon épiderme. Après quelques secondes, il me fait me retourner sur le ventre afin de lui présenter mon dos. De nouveau, il applique son stéthoscope. Est ce une impression ou son regard se pose t'il sur la partie charnue de mon individu ? Il est vrai que mes petites fesses, coincées sagement dans l'étoffe blanche de ma culotte, sont très appétissantes !

Maintenant, je suis debout devant lui. Il me demande de dégrafer mon soutien gorge pour examiner ma colonne vertébrale. Me voilà en petite culotte, les seins à l'air.

-" Serrez vos jambes, maintenez les bien droites et touchez le bout de vos pieds " .

Cet exercice est assez facile pour moi qui suis très souple. En effet, quand j'étais plus jeune, mes parents m'avaient fait suivre des cours de danse classique de façon assidue, tellement, que j'avais laissé tout tomber lorsque, il y a deux ans, je suis entrée en terminale, prétextant que mon bac était plus important que les loisirs...

Il me contourne, je ne le vois donc plus, mais je le sens derrière moi, contempler la ligne de ma colonne vertébrale divisée mon dos bronzé et musclé en deux. Soudain, je sens son pouce, pressé ma nuque et glissé lentement, mais avec insistance, tout le long de la colonne pour s'arrêter à la lisière de mon slip. Il recommence l'opération plusieurs fois, et la douceur du contact de sa peau contraste avec son âge, quelque peu avancé (Il doit bien avoir 55 ans.)

-" Vous avez un dos parfait, mademoiselle. Vous savez, c'est important pour le travail que vous convoitez. Vous serez peut-être amenée à porter des charges lourdes, ce qui aurait été contre- indiqué en cas de scoliose.

Il me faut maintenant vous poser des questions d'ordre gynécologique. Vous n'êtes pas sans savoir que dans le secteur alimentaire, l'hygiène est une condition indispensable. N'avez vous pas de problèmes particuliers à ce niveau ? " Je lui réponds aussitôt que non, ainsi qu'aux questions suivantes qu'il me pose sur mes premières règles, la régularité de mes cycles, les moyens de contraception etc. Je suis un peu étonnée de cet examen approfondi, mais le cadre médical et les explications que le docteur m'a données tout à l'heure font que je me sens à l'aise, en toute confiance.

-" Très bien, je vous prie maintenant de retirer votre culotte et de retourner vous allonger sur la civière "

Là, je suis surprise, mais le ton employé ne laissait aucune ambiguïté, et la culotte rejoignit le soutien-gorge. Une fois allongée, il me palpe les seins, toujours avec des gestes méthodiques, précis et appuyés. Il passe d'un sein à l'autre, ce qui a pour effet de les faire redresser, bien malgré moi.

-" Je vois que votre sensibilité est très développée. Cela doit être du à ton jeune âge... Ecarte bien les jambes en levant les genoux"

Le passage au tutoiement me surprend, mais je n'ose rien dire et encore moins désobéir. Lentement, j'écarte les jambes en levant les genoux, ouvrant ainsi mes lèvres intimes de mon sexe blond à son regard médical.

Il porte des gants, qu'il a préalablement enduits d'un liquide. Deux de ses doigts écartent ma chatte, la frottent du clitoris jusqu'en bas des lèvres, puis commencent à s'introduire lentement.

Je sens l'avancée régulière de ses doigts et j'écarte encore davantage mes cuisses pour faciliter son exploration.

-" C'est bien petite, je vois que tu réagis normalement " dit-il en retirant ses doigts. Paradoxalement, cela me rassure et me peine... Mais le revoilà avec un spéculum qu'il introduit assez facilement. Les deux branches écartent mes lèvres au maximum. Il a une vue complète du trou de ma chatte.

-" Je te mets un produit pour éviter la douleur "

D'une fiole coule un liquide brunâtre qui tombe directement au fin fond de mon sexe. Au fur et à mesure que le produit inonde mon vagin, je sens une chaleur qui ne cesse de s'amplifier et qui me rend hyper sensible. Déjà que d'ordinaire, je mouille vite...

Très rapidement, et sans aucun autre contact de la part de mon docteur, je ressens un premier orgasme que j'ai du mal à contenir. Je serre les dents pour ne pas gémir. Le docteur, la tête entre mes jambes m'auscultent consciencieusement. Il se redresse et, sans mot dire, sort de la pièce, me laissant plantée là, allongée en tenue d'Eve, avec un spéculum enfoncé dans le sexe, forçant mes deux lèvres. Une fois encore, je dois prendre mon mal en patience. Pour tuer le temps, je m'amuse à explorer ma chatte écartelée et, très vite, je retrouve mes sensations de plaisirs... Des bruits de pas et de voix annoncent le retour de mon docteur, qui est accompagné par deux jeunes hommes, en blouse blanche également. L'un porte des lunettes et n'a déjà plus beaucoup de cheveux (pourtant il doit avoir 25-27 ans) et l'autre a un look très soigné de jeune premier, comme s'il voulait déjà se croire déjà chef de service ou de clinique. Instinctivement, je me redresse et tente de cacher ma nudité, mais le spéculum me fait mal.

-" N'aies pas de craintes, jeune fille, j'ai juste voulu avoir l'avis médical de mes deux jeunes collègues. Il me semble apercevoir une malformation génitale ... "

C'est la première fois que l'on m'annonce une nouvelle pareille. Jamais mon intégrité physique n'avait été mise en défaut. C'est un choc pour moi. Dès lors consentante, je reprends la position " de la femme accouchant ". Tour à tour, les deux jeunes médecins examinent ma chatte. Le jeune chauve immisce même un doigt pour mieux me sentir. Tel un pantin, je reste passive les pattes écartées me laissant mater et trifouiller la chatte par ces trois individus.

Au bout d'un certain temps, les docteurs s'écartent et se mettent à discuter à voix basses. Je m'impatiente et m'inquiète, d'autant plus que l'examen commence à être un peu longuet.

-" Calme-toi, nous allons te retirer le spéculum, mais tu souffres bien d'une malformation bénigne, que nous pouvons traiter immédiatement grâce à une technique naturelle un peu surprenante. Pour parler simplement, ton vagin n'est pas à sa place habituelle. Pour le repositionner, soit on effectue une opération chirurgicale sous anesthésie générale, soit on manipule celui-ci par la technique du double coït, qui consiste à te laisser prendre par deux hommes à la fois... "

Tout en m'expliquant, le vieux docteur me retire le spéculum, me frotte le sexe lentement avec beaucoup de précaution, en insistant particulièrement sur mon bouton sensible. Une chaleur primaire, bien connue, irradie de nouveau mes sens, et avant même que je donne ma réponse, les deux jeunes collègues commencent à ouvrir leur blouse. Ils se débraguettent et sortent leurs queues, qui, bien qu'étant d'une taille respectable, sont encore bien molles.

Le vieux docteur me fait m'agenouiller et ses deux collègues me tendent leur bite vers ma bouche.

-" Pour que cette technique soit efficace, il faut les faire bander au maximum " me souffle le vieux à l'oreille.

Timidement, j'ouvre ma bouche et la première bite prend possession des lieux. Je ne sais plus ce que je fais, mais par un réflexe naturel, je me suis mise à le pomper avec ardeur, enroulant son gland avec le bout de ma langue, le titillant, le mordant presque... Ce traitement a un résultat très efficace, car sa queue prend un volume de plus en plus important, voir impressionnant. Il laisse la place chaude à son collègue qui, face au spectacle de la première fellation est déjà très excité. J'ai du mal à prendre son gland entièrement tellement il est gros. Pendant que je m'applique alternativement sur les deux queues tendues, le vieux docteur enduit mes lèvres avec de la vaseline. Il n'hésite pas sur la quantité et ma chatte est maintenant parfaitement huilée. D'ailleurs, il teste l'élasticité de mes lèvres en introduisant un doigt, puis deux et enfin un troisième. Les mouvements de va et vient de ses doigts me font mouiller abondamment et provoquent un deuxième orgasme, que je ne réprime pas cette fois-ci. Entre deux coups de langues, je geins telle une chienne en chaleur...

-" Bon je crois qu'elle est prête " prévient le vieux à ses jeunes collègues.

Aussitôt, ils se retirent de ma bouche. Le jeune, bien fait de sa personne, s'allonge sur le dos, tout en se mastiquant la queue. Pendant ce temps, les deux autres, me relèvent, me font écarter les jambes. Je suis maintenant au-dessus du médecin allongé, qui ne me regarde même pas tellement qu'il s'active sur sa masturbation. Doucement, ils font descendre mon bassin en direction de la queue, qui se trouve parfaitement alignée sur ma chatte. Le contact avec son gland m'électrise. La descente continue et mon sexe semble littéralement aspiré la bite du docteur, dans un bruit de succion tellement je suis lubrifiée.

Une fois prise complètement, je commence à onduler mes hanches, lentement, puis plus rapidement. Bientôt, nos premiers soupirs se font entendre dans le cabinet.

Le vieux docteur m'ordonne de me pencher en avant. Ma tête est juste au-dessus de celle de mon possesseur. Je ne peux m'empêcher de l'embrasser avec passion, lui forçant les lèvres avec ma langue qui bientôt valse avec la sienne.

Tandis que nous nous roulons une pelle, mon jeune chauve se place derrière et mate mon arrière train. Penchée comme je suis sur l'autre, il doit avoir une vision parfaite de mon petit trou du cul et de ma chatte défoncée par la queue de son collègue. D'un doigt, il essaie de se créer un chemin dans ma chatte frottant ainsi sur la bite du premier. Puis, dirigeant sa queue de sa main, il réussit à forcer son chemin, pressant à la fois ma paroi vaginale et la queue de son voisin.

Envahie par deux bites à la fois, j'ai l'impression que mon sexe va éclater, que les parois vont craquer. J'ai un peu mal. Mais, le tunnel est bien lubrifié, et très rapidement le plaisir sexuel revient. Cette monté s'amplifie d'autant plus que mes deux étalons commencent à se synchroniser dans un mouvement commun, unique, comme si leurs deux queues ne faisaient plus qu'une, des bites siamoises en quelque sorte. Les halètements se multiplient et s'intensifient sous la houlette du bon vieux docteur qui semble surveiller le bon déroulement des opérations sans émotions particulières.

Mais pour nous, c'est le paradis, le septième ciel qui s'ouvre et au bout d'une douzaine de minutes, je sens les deux queues se raidir, se tendre, s'arcquebouter, annonçant le bouquet final, une double éjaculation commune... Et, c'est le cas, de longs jets de spermes jaillissent en même temps des deux bites qui me labourent et me remplissent de leur semence blanchâtre. Et c'est en poussant des cris d'hystérique que se termine notre chevauchée fantastique. Jamais, je n'avais connu pareille aventure sexuelle.

-" Bon je crois que cela devrait aller. " dit le vieux docteur pendant que ses deux collègues se retirent dans un bruit de mouillé et de succion. Leurs verges semblent bien flapies ! ! !

Le vieux docteur m'examine une fois encore et presse sur mon sexe, ce qui provoque un jaillissement important du surplus de sperme, comme si j'éjaculais à mon tour. A chaque pression, un jet de sperme s'écrase sur la civière... Une fois la "source tarie ", il se redresse, remercie ses deux collègues, qui quittent son cabinet sans dire un mot, il se dirige vers son bureau en me désignant ma petite culotte et mon soutien-gorge.

-" Rhabillez-vous, je vous prépare votre certificat médical à l'instant. Tout va pour le mieux maintenant..."

Une demi-heure plus tard, je suis ressortie, un peu abasourdie par cet examen clinique où le corps médical avait fait preuve d'un dévouement et d'un zèle...quelque peu lubrique ! ! !
il y a 11 ans

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