Domination en couches

[b:5c8sic5s]Domination en couches[/b:5c8sic5s]

Parmi les différents moyens de contrôler et dominer votre esclave favoris, l’utilisation de couches offre une potentialité unique. A l’instar des équipements traditionnels de domination qui ne peuvent pas être portés en public, les couches sont généralement cachées et quand bien même elles seraient vues (intentionnellement ou accidentellement) ,elles pourraient alors supposer être portées par nécessité médicale. Donc par conséquent imposer le port de couches comme moyen de domination apporte beaucoup plus de flexibilité sans trop attirer l’attention.

La domination traditionnelle a pour objectif de réduire la mobilité de l’esclave. La domination en couches est unique car le corps de l’esclave n’est pas normalement pénétré (mais peut être aisément réalisé), il ne se sent ainsi pas agressé. L’apprentissage de la propreté est un point psychologique moteur.
Beaucoup de personnes ont écrit à propos des conséquences de cet apprentissage.
Le sujet finit par identifier ainsi le maître ou la maitresse à l’image du père ou de la mère. Ce qui sert les intérêts du maître bien avidement. L’image des parents dans notre inconscient est synonyme de bien-être, de nourriture ainsi que de discipline. La majorité des enfants apprennent rapidement que la révolte contre l’autorité parentale est alors futile. Imposer à votre esclave un statut d’enfant peut être très amusant pour le maître. Un des objectifs d’une éducation forcée aux couches est de provoquer l’inconfort et la gêne pour pousser progressivement le sujet à un point ou il demandera lui même à son maître l’utilisation de couches. Un sujet dominé en couches n’est pas moins dépendant du maître qu’un autre type de domination. Dès que les couches sont posées ainsi qu’une culotte plastique, le sujet réalise qu’il a été privé de la décision la plus élémentaire de sa vie d’adulte : le droit de se soulager quand et comme il le souhaite. l’esclave ne pourra pas échapper aux désirs du maître qui souhaite le voir contraint à souffrir d’une incontinence forcée et ses tentatives seront vaines. La victime dépourvue sentira qu’elle ne peut se mouvoir normalement du fait de l’épaisseur des couches entre ses jambes. Celles- ci l’empêcheront de marcher normalement, et la chaleur dégagée par la culotte plastique lui provoquera d’étranges sensations. Le second point concerne l’apparence en elle même. Nous vivons une société basée sur l’image. Le culte de l’image et de la vanité sont solidement ancrés dans notre société. Aussi, forcer un adulte langé de façon indéniable à se mêler au public entraîne la victime à réévaluer sa propre image ainsi que son statut, provoquant par voie de conséquence stress et anxiété. Le maître devra s’assurer que toute les personnes qui croiseront son esclave s’aperçoivent de l’épaisseur apparente sous ses vêtements. Ceux-ci ne penseront pas à mal mais simplement que ce dernier est incontinent ou bien qu’une raison médicale quelconque l’oblige à porter des couches. Cependant la victime se sentira humilié et diminué par chaque regard étrange, chaque chuchotement, qui soupçonneront ses couches et ne sera alors plus considéré tel un adulte mais plutôt comme un enfant., car seul les enfants sont censés porter des couches. Le seul obstacle de l’utilisation des couches est que les parties génitales de l’esclave sont emmaillotées et que ces dernières ne sont pas accessibles au maître. Effectivement, bien que ce soit vrai, c’est un obstacle uniquement pour les domination restant dans un cadre privé en intérieur. Cependant en dehors du cadre privé c’est un moyen de contrôle permanent sur l’esclave et de son intimité. Le maintien en couches forcée offre la perspective d’un conditionnement psychologique intense entre les exercices de domination plus classiques.


L’homme et la femme réagissent différemment au fait d’être maintenu en couches.
L’homme réagit en fonction de la possibilité de voir ses organes génitaux et confirmer ainsi son statut. La femme quand à elle possède des organes sexuels internes et doit se référer à ses sensations intimes pour juger de sa condition.
Toutefois l’acte de cacher les organes génitaux pour la femme n’est pas une nouvelle expérience même si la discrétion est le mot clef chez les femmes qui gardent le secret de leurs menstruations, donc contraindre une femme a porter des couches offre peu de nouveautés.
Elle est habitué à faire attention aux fuites accidentelles incontrôlables et a souvent du mal a cacher son état aux autres. Ce qui explique pourquoi les femmes fétichistes des couches sont si rares. Les males manquent d’entraînement en terme d’incontinence ainsi qu’en terme de camouflage. Il n’ont pas non plus la chance de pouvoir porter de longues tenues comme des robes pour cacher l’épaisseur des couches. Même la plus mince des couches va provoquer de sérieux changement de comportement chez le sujet male, et il a été démontré que l’image de sa propre perception va être la clef de la domination pour le maître. Le maître qui souhaite obtenir le nécessaire de base à une domination en couches n’a pas a aller chercher bien loin. Il existe une très large gamme de produits en couches jetables disponible dans la plupart des supermarchés. Cependant afin d’ajouter à l’efficacité des couches qui fuient parfois, une culotte plastique est recommandée pour son coté pratique et surtout psychologique. Ces dernières peuvent être acheté en pharmacie sans problèmes. Quelque soit l’équipement utilisé l’objectif prioritaire du maître est de contraindre son esclave au port de couches inconfortables, visibles, efficaces et sécurisantes. La gène sert à rappeler à l’esclave qu’il porte des couches et qu’il devra un moment ou un autre se soulager dedans.

Toutes les couches sont inconfortables pour une personne non habituée à en porter, mais cette gêne peut être augmentée par le biais d’une multitude de mesures simples. La première gêne est l’épaisseur, en particulier au niveau de l’entrejambe. Ajouter des couches pour bébés ou bien des renforts de couches à l’entrejambe en plus de celle qui est déjà en place formera un gros paquet qui risque fort de perturber la démarche même de l’esclave adoptant naturellement une démarche de canard comme les bébés. La pression à l’entrejambe m’empêchera de marcher normalement. Quand il marchera l’esclave ressentira les frictions du paquet de couches entre ses jambes et quand il s’assiéra il sentira la pression de ses couches contre ses parties génitales. Ces effets sont très utiles sur de longues périodes notamment dans des zones de transit d’aéroport ou l’esclave n’aura pas d’autre choix que de rester assis et d’endurer tout ce que le maître lui a mis dans ses couches. La seconde sensation désagréable est la chaleur provoquée par la culotte en plastique. Ce qui entraînera une transpiration latente. La chaleur pourra être augmentée en fonction de l’épaisseur des couches et aussi si le maître décide de lui mettre plusieurs culottes pvc. La chaleur pourra être augmentée en couvrant la couche avec de la vaseline qui fera obstacle à la transpiration. Le maintient près du corps pourra être assuré par une culotte type gaine par exemple, car la plupart des couches jetables démangent quand elles sont portées sur de longues périodes. Raser les parties génitales est une source de gêne qui provoquera des démangeaisons prévisibles tout en sachant qu’il lui est formellement interdit de toucher à ses couches ainsi qu’à ses culottes plastiques. Les anus pickets et spécialement ceux qui sont équipés d’harnais créeront un climat de tension et d’inconfort.. Un sujet langé de cette manière apparaîtra distrait et ailleurs, ce qui attirera encore plus l’attention du public. Ce genre de matériel est particulièrement utile surtout quand le sujet doit changer ses couches dans un avion. Il se rappellera ainsi qu’il est constamment sous contrôle de son maître.

La seconde considération du maître quand il confine sont esclave en couches est la visibilité. Même si les fabricants de couches ont travaillé considérablement en vue de rendre leurs produits moins voyantes, ces efforts seront vains si l’esclave doit être humilié en public. En été, c’est souvent plus facile en lui faisant porter des shorts trop court pour couvrir toute la culotte plastique. La victime devra être confronté à la réalité que son secret est toujours ouvert aux regard des curieux qui souhaiteront observer plus en profondeur. En hiver, les pantalons devront être serré pour faire ressortir l’épaisseur de couches de façon proéminente, aucun pantalon de sport ne sera autorisé. La visibilité des couches sur un sujet féminin demande une stratégie différente. Les jupes seront assez courtes, pour permettre d’apercevoir la couche sous la fine culotte plastique en été. Les shorts suffisamment ouvert aux cuisses seront très utiles spécialement lors de l’essayage de chaussures pendant les séances de shopping.
Le vendeur aura alors une vue imprenable sur la condition de l’esclave pour peu qu’il s’attarde sur l’entrejambe de cette dernière. En hiver, la fille sera forcée à mettre un porte jarretelle ainsi qu’une paire de bas avec une jupe trop courte pour dissimuler les jarretelles de sa culotte plastique. Si les bas sont agrémentés d’une paire d’escarpins, elle attirera sur son passage les regards et captivera alors l’attention de tous les hommes, sur ses fesses rembourrées.

A la maison ou dans des conditions favorable d’intimité, les soumis ne seront pas autorisé à se couvrir au delà de la taille. Un simple tee-shirt et la couche sont les tenues communes à tous les enfants qui n’ont pas encore acquis la propretés car ils permettent de déceler instantanément l’état des couches, cela s’applique aussi à l’esclave. Le second avantage d’une telle tenue est que la personne est ainsi forcée à voir ses couches tout en sachant qu’il ne dispose pas de la possibilité de les enlever ou les masquer sans l’intervention de son maître. Dans cette tenue l’esclave pourra être forcé à faire le ménage, ce qui signifie qu’il pourra être observé par des étrangers, dans certaines conditions comme étendre le linge dans le jardin ou la cour ou être enfermé sur le balcon pour un certain temps. Dans certaines conditions particulières l’esclave pourra porter quelques vêtements supplémentaires. Notamment s’il doit se rendre dans une laverie automatique ou bien dans la laverie commune de l’immeuble il aura la possibilité de porter un short trop court ainsi qu’un tee shirt pas suffisamment long et qui exposera le haut de la culotte plastique aux regards indiscrets à chaque fois que l’esclave se penchera. Cette humiliation aura pour effet de créer une réaction instinctive chez l’esclave qui tirera sans cesse son tee shirt comme pour cacher sa détresse et bien sur attirera encore plus l’attention des personnes pressentes sur ce qu’elle cherche à dissimuler. La vision ne dépend pas uniquement des yeux. Des couches-culottes ainsi que certaines bonnes culottes pvc peuvent être bruyantes.
Les craquements peuvent être source d’attention pour les passants. Pour compléter le tout les couches-culottes sont bruyantes quand on les enlève et quand on les met, aussi si votre esclave doit changer ses couches dans des toilettes publiques, il ne sera pas possible pour lui ou elle de le faire discrètement. Un autre facteur de visibilité est l’odeur. Les fabricants de couches ne parfument toujours pas leurs couches, cependant ce n’est pas un obstacle pour un maître ambitieux. Les esclaves males sont spécialement susceptibles d’être terrorisé par les odeurs de vaseline ou de talc pour bébé qu’il dégagera sur son passage dans des lieux publiques. Bien sur il pourra être forcé de faire dans ses couches, et être conduit dans des endroits publics.
Après avoir ajouté plusieurs épaisseurs dans la couche ainsi que plusieurs paires de culottes plastiques, le maître compétent est déjà sur de l’efficacité des points essentiels en matière de dressage. Cependant pour de longues durées et ainsi que de longues périodes de punitions quelques innovations doivent alors être apportées. Dans les situations ou le sujet doit être capable de se changer seul, il est possible de garder l’esclave mouillé en permanence en toute sécurité. Langer avec une simple couche coton lavable ou bien une couche jetable..
L’autre alternative est d’utiliser une culotte type panty taille haute pour femme. Choisissez une culotte résistante. La culotte sera portée aussi par les sujets males que femelles. Prenez ensuite une fine chaîne et passer la au travers de l’élastique à la taille et mettez un cadenas. L’esclave n’aura ainsi pas accès à ses couches mais il sentira la pression de ses couches sur ses fesses et ses parties génitales. Les hommes se sentirons humiliés par le fait d’avoir a porter une culotte de femme, surtout si ils sont forcés à se promener dans des lieux publics vêtu d’un short échancré. Une fois l’esclave bien cadenassé dans ses couches et culotte plastique, le maître commencera alors à mettre en place des mesures qui aggraveront la condition de l’esclave :
- Faire boire des quantités excessives de liquides de diurétiques et de laxatifs sont les mesures le plus communément adoptées. L’esclave prendra rapidement conscience que ses couches ne seront pas propres longtemps, surtout si le maître le fait boire abondamment, au bout d’une ou deux heures il devra alors mouiller ses couches. Cette technique pourra être pratiquée au tout début de façon à lui faire prendre conscience de sa nouvelle condition. En effet au début l’esclave cherchera a combattre et rester propre comme on lui a appris. Devant l’évidence il finira par se laisser aller à mouiller ses couches puis s’habituera progressivement à mouiller régulièrement plutôt que d’attendre que sa vessie lui fasse trop mal. La décision de forcer l’esclave à souiller ses couches est livrée au bon vouloir de son maître, qui aura le choix de le langer comme bon lui semble et de le le l’exhiber en public ou non. Le forcer à souiller ses couches peut produire chez certains novices des résultats spectaculaires et de juger au moins une fois sa capacité de soumission. Dès que l’esclave essaiera d’échapper à l’expérience de souillage, quelques mesures pour faciliter cet acte seront alors prises. Une alternative est de lui faire avaler une bonne dose de laxatif 24 heures avant de lui mettre ses couches. Chaque administration du laxatif rappellera à l'esclave de la punition à venir et le fait qu'il va être condamné à se souiller à nouveau. Il en résultera certainement quelques pleurnichements et l’esclave suppliera alors le maître de ne pas lui donner ses laxatifs, car il sait qu’une fois avalés, la sanction sera inexorablement appliquée. Un des aspects les plus payants de forcer l’esclave à souiller ses couches est qu’il subit un désordre psychologique majeur qui lui cause une terrible anxiété.


[size=150:5c8sic5s][b:5c8sic5s]Les avantages [/b:5c8sic5s]:[/size:5c8sic5s]

Un des avantages fondamentaux de domination de votre esclave en couches est que le scénario peut être prolongé sur plusieurs jours sans porter atteinte au maître ou à l’élève. Une fois protégé dans ses couches, l’élève est capable de vivre normalement et la domination peut se poursuivre alors en dehors du rapport privilégié élève/maître et même à distance.

Celui-ci pourra évoluer dans sa vie sociale tout en restant langé. Que ce soit au théâtre, dans des cocktails ou au sport, seule la présence de la couche et de son changement régulier rappellera alors a l’esclave qu’il reste sous contrôle du maître. Chaque situation sera source d’humiliations diverses et l’élève aura en permanence la crainte que l’on remarque alors ses couches. De longues durées de soumissions aux couches nécessiteront a l’élève d’avoir avec lui des couches de rechanges dans un sac qui le mettrons dans des situations embarrassantes.

Finalement la domination en couches est le meilleur moyen de garder l’esclave excité sexuellement. Les stimulations inhabituelles des ses organes génitaux renforceront l’humiliation, cependant le maître devra stimuler son élève par des récompenses. A la fin du dressage l’élève devra accepter de se laisser abuser sexuellement et la couche restera en place mais ouverte aux organes que le maître aura choisit de visiter. Ceci renforcera l’aspect plaisir/douleur de la vraie domination en couches.

Faites l'expérience, et vous verrez très vite que vous repousserez les limites de votre soumis. Jusqu'à présent toutes mes expériences ont amenées mes soumis à devenir dépendants des couches, et pour ce plaisir ils deviennent prêt à beaucoup plus de choses qu'au début de leur éducation.



[size=150:5c8sic5s][b:5c8sic5s]Conclusion[/b:5c8sic5s][/size:5c8sic5s]

Donc oui très certainement des dominatrices utilisent des couches pour humilier et punir leur soumis. Je trouve l’idée excellente, car elle doit avoir un impact sur le mental du soumis, qui doit psychologiquement non seulement se sentir très humilié, mais inconsciemment y associer des situations vécues dans sa petite enfance. Et ce lien là est puissant et le rend dépendant de votre bon vouloir.




[size=150:5c8sic5s][b:5c8sic5s]Equipement[/b:5c8sic5s][/size:5c8sic5s]
Il est extrêmement facile de trouver le matériel nécessaire
Les couches adultes : pharmacies, supermarché, magasin médicaux culotte, body grenouillères etc site internet comme : <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.perlasensua-shop.com">http://www.perlasensua-shop.com</a><!-- m --> <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.nicediaper.com/">http://www.nicediaper.com/</a><!-- m --> , pharmacies, supermarché, magasin médicaux..


Quelques scénarios que je pratique :
- scénario a distance avec prise de photo obligatoire
- Toujours langer avec plusieurs épaisseurs de couches
- Sortir en étant langer sous les vêtements, même avec une couche fine le soumis se sentira inquiet que quelqu’un s’en aperçoive. Mais je peux vous affirmer que jamais personnes ne s’en rend compte.
- Utilisation de laxatifs ou diurétiques
- Emmener bébé acheter des couches en prenant soin de l'humilier devant la vendeuse ou vendeur. (expliquer clairement pour qui sont les couches, demander à faire essayer...)
- Faire essayer des vêtements dans les magasins (si vous trouvez des vêtement type grenouillere, etc, alors il est facile d'engager une conversation avec la vendeuse sur la taille, si c'est prévu pour les couches etc...)
- Sortie en public avec couches sous les vêtement et obligation de se soulager.
- WC interdit
- Bondage avec couches jusqu'à ce que le soumis soit obliger de mouiller sa couche.
- Culottes à cadenas
- Imposer couche 24h sur 24h (utiliser culottes à cadenas)
- Régression forcée
- Exhibition forcée
- Transformation sissy ou bébé fille
- Remplir les couches avec Flocons de purée (ça gonfle au fur et à mesure que bébé mouille ses couches), raisins, tomates, nouilles tièdes et bien beurrées, glaçons, bananes, oeufs, gélatine etc...
il y a 12 ans

J'ai lu avec intérêt votre article sur la domination en couches. C'est Maîtresse Latex qui m'a initiée à cette activité. Je n'aurais jamais pensé mettre une couche et culotte plastique. Elle m'a initiée progressivement. De porter une couche, je me sens dominée, aux ordres de Maîtresse même en étant bien éloignée. Les porter en ville sous mon pantalon a été assez difficile la première fois, à cause de la gène qu'elle produit mais aussi la crainte d'être repérée. En fait, elle m'a accordé de ne pas la mouiller, je devais porter une tanga en pvc la couche plus une seconde culotte plastique pour que j'ai bien chaud, plus ou moins épaisse (de jour ou de nuit)en fonction de mon pantalon, c'était toujours voyant en réalité. La culotte tanga à même la peau me fait transpirer et je suis mouillée en permanence. A présent je n'ai plus de Maîtresse, qui m'impose le port de couche, mais il m'arrive parfois d'avoir plaisir à en porter une. La sensation, le plaisir n'est pas le même que lorsque ça m'était imposé. J'aimerais bien rencontre une Maîtresse qui complète mon éducation.
Marc, je vais passer te faire une surprise Bises en attendant.
il y a 9 ans

Effectivement mettre une couche peut être une solution, je verrais bien aussi l'utilité en chasteté avec un couvre couche cadenassé, cela est difficile d'atteindre son sexe.
il y a 9 ans

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