Poudlard
Poudlard
Par Malicia
Je n’arrivais pas à le croire, non décidément, la journée était vraiment mauvaise. Après ma tentative ratée en cours de potion, cette lettre. Bon d’accord, ce cours de potion était d’un niveau qui demandait des années d’expérience, mais quand même je ne suis pas habituée à échouer.
Quant à cette lettre, qu’elle soit maudite. Mes parents m’annoncent qu'après ma scolarité et ma remise de diplôme, je me devrai de rejoindre une école pour moldus. Car selon eux, il me faut aussi un diplôme, le baccalauréat par exemple. Je pouvais choisir la spécialité que je voulais. Cela me faisait une belle jambe, il n’y avait pas de spécialité sortilèges ou DCFM dans ces écoles.
Non mais vraiment, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir y faire dans cette école ? Tiens voilà mes meilleurs amis (enfin presque), Pierre de la maison Poursouffle, Julie de la maison Gryffondor et Frédéric de la maison Serdaigle. Bon, je dois bien admettre que je m’entends beaucoup moins bien avec ce dernier, mais en même temps, s’il me cherchait un peu moins souvent, ça se passerait beaucoup mieux.
Ah j’oubliais ! Je me présente, je suis Aphélia de la maison Serpentard. Et oui, on ne peut pas tout avoir. Mais je suis bien chez les Serpentards, je ne dis pas que cela n’a pas été dur au départ, mais maintenant, ça coule comme de l’eau de roche. Précision, nous formons à nous quatre, les meilleurs élèves de Poudlard.
Bien sûr, il y a de prestigieuses personnes comme, par exemple, le célèbre Harry Potter. Ou bien ses meilleurs amis, Ron Weasley et Hermione Granger, enfin, Hermione Granger Weasley, vu qu’ils sont mariés. De plus, Harry est marié à Ginny, la sœur de Ron. Nous avons aussi la joie d’avoir retrouvé le professeur Dumbledore et nous avons aussi eu l’honneur de connaître le professeur Severus Rogue, directeur de la maison Serpentard. Malheureusement, celui-ci nous a quitté il y a quelque mois d’une grave maladie. Je suis sous la tutelle d’Harry - chose qui va vous sembler bizarre- ne me réjouit pas. Non pas parce que c’est un « chat », non! Mais parce que, seigneur, qu’est-ce qu’il peut-être casse-pieds parfois. Et surtout en ce moment, il ne me lâche pas.
Pierre (en s’asseyant) : Toujours dans la lune ?
Julie (se mettant à côté de moi) : Vas-y doucement tu vas la réveiller !
Aphélia (levant les yeux au ciel) : Merci tous les deux, mais je suis bien réveillée ! Comment ce sont passés vos cours ?
Frédéric (s’asseyant) : A merveille comme toujours ! Mais j’ai cru comprendre que ce n’était pas ton cas !
P (étonné) : Aphy ?
A (soupirant) : J’ai raté mon coup. J’ai fait exploser la marmite !
J : J’ai cru comprendre que personne n’avait réussi ce test.
A (souriant) : Oui, je sais. Mais quand même, les potions sont ma matière préférée et je ne suis pas habituée aux échecs.
F (mauvais) : C’est pour ça que tes parents t’envoient dans une école de moldus l’année prochaine, tu es trop mauvaise !
A (surprise) : Comment tu sais ça ?
F (l’air de rien) : J’ai entendu des élèves de ta maison en parler, ils sont déjà tristes de savoir que tu repars pour le monde moldu.
J : C’est vrai, tu ne seras pas ici l’année prochaine ?
A : Non, malheureusement, mes parents m’ont inscrite dans le lycée de la ville.
F : Oh ce ne seras pas une grosse perte, bien au contraire !!
A (énervée) : Méfie-toi Serdaigle, je ne suis pas d’humeur !
F (sortant sa baguette) : Oh j’ai peur de la vilaine serpentarde !!!
A (sortant la mienne) : Boucle-là !
F (sarcastique) : A ce que je sache, c’est les potions ta spécialité, pas les sortilèges. Flipendo !!
A (reculant de deux pas) : Protégo ! Experliarmus !
F (essayant d’attraper sa baguette) : Mais ce n’est pas vrai, qu’elle peste !!
A (en colère) : Wingardium Léviosa
A ce moment, il fut soulevé dans les airs, la tête en bas, à portée de baguette.
A (tournant autour de lui) : C’est vrai, que les potions est ma spécialité, mais je suis tout aussi douée dans les autres matières, ce n’est pas pour rien, que je suis une sorcière complète. Contrairement à toi ! Maintenant, la question est qu’est-ce que je vais bien pouvoir te faire ? Te transformer en crapaud ? Non trop banal ! En fouine ? Non plus ! Ah, je sais, je vais faire en sorte te t’abîmer les cordes vocales afin que tu ne puisses plus raconter des inepties à longueur de journée !!!!!
Harry : ça suffit maintenant !! Relâche-le !
A : C’est lui qui m’a cherchée, il n’a que ce qu’il mérite !
H : Je ne me répéterais pas, lâche-le !!
A : NON !!
H (prenant sa baguette) : Chatimentio !
A (serrant les dents) : mais ça fait mal !
H : Je dois y aller plus durement très bien, Chatimentio Maxima !
A (essayant de ne pas trop bouger sous l’effet des claques) : C’est pas juste, c’est lui qui m’attaque en premier, et c’est moi que tu humilies !
H : Et je vais faire bien pire, si tu ne le relâches pas, tout de suite !!
Je baissais ma baguette et il tomba au sol. J’avais beau être une sorcière complète, je n’avais aucune chance contre Harry. Je ramassais mes affaires et partie en courant. Je passais devant Harry comme une flèche, mais il ne m’arrêta pas, il aurait tout le loisir de terminer ma punition cet après-midi, dans son bureau. Je me retrouvais dehors dans le parc.
J : Aphélia, ça va ?
A (pleurant) : Non ça ne va pas, pas du tout !!
J (consolante) : Voyons, Harry sera calmé d’ici tout à l’heure.
A : Je m’en contre-fiche !! Je veux qu’on me laisse tranquille !
J : Mais…
A : NON !! Actio Vif Argent !
Mon balai passa devant moi, et je grimpais dessus. Ma direction, la maison d’Hagrid bien sûr. Elle était devenue mon refuge depuis quelque mois, depuis la mort du professeur Rogue pour être plus précise. Car avant, mon refuge n’était autre que le bureau du directeur de la maison Serpentard et j’y étais arrivée plus d’une fois en pleurant. J’y avais toujours trouvé le réconfort nécessaire, après l’engueulade si il devait y en avoir une. Je me posais devant la maison d’Hagrid et tapais à sa porte.
A (les larmes coulant) : Hagrid !! (M’effondrant sur le sol) S’il te plait, dis-moi que tu es là !
Hagrid (ouvrant la porte) : Aphélia ! (me voyant sur le sol) Mon dieu, ma toute belle, allez viens, entre !
Une fois entrée chez lui, je fondis en larmes et lui expliquais tout ce qui s’était passé.
Il me réconforta, me dis que ce n’était pas bien grave, que ce soit pour le cours de potions ou la lettre de mes parents. Je ne vis plus le temps passer comme à chaque fois que j’étais chez Hagrid. Nous étions déjà au début d’après-midi et puis, j’avais rendez-vous avec Harry. Je partis donc de chez Hagrid en l’embrassant sur la joue. Je me présentais donc devant le bureau d’Harry, avec cinq minutes de retard.
H (m’entendant frapper) : Entre !!
A (baissant les yeux) : Je suis navrée pour le retard !
H (en colère) : On rajoutera ça a ta liste de bêtises ! Assieds-toi !
A (m’exécutant) : Tu voulais me parler ?
H (durement) : Oui, je voulais te parler. J’ai appris pour la lettre de tes parents, je suis navré de leur décision. Malgré tes crises de colères et d’insolence, tu es une sorcière de qualité et d’envergure, qui aurait été un exemple pour la nouvelle génération, surtout celle des Serpentards. Je verrais ce que je peux faire pour modifier leur avis.
A (souriant) : Merci beaucoup.
H (durement) : Ne me remercie pas trop vite, car tu es aussi ici pour être punie. (Je ravalais ma salive) Tu as riposté à une attaque au lieu de te défendre simplement, tu m’as désobéît et tenu tête devant tout le monde et tu es arrivée avec cinq minutes de retard. Qu’est-ce que cela mérite d’après toi ?
A (baissant les yeux) : Une fessée…
H : Oui, effectivement (revenant avec le martinet). Tout d’abord, tu me retires ta cape et ton pull, ensuite tu te mets en position sur mon bureau. Pour avoir riposté, tu recevras 20 claques, que tu compteras, mais pas par moi, par Frédéric, c’est clair ?
A (paniquée) : Non, ce n'est pas juste, je …
H (haussant le ton) : Est-ce que c'est clair ?
A (pleurant) : oui !
Je sentis ce dernier rentrer dans la pièce et se poster derrière-moi. A la première claque, je me relevais.
H (furieux) : remets-toi en position !! Dépêche-toi !!
A (m’exécutant) : c’est pas juste…
H (m’attrapant les poignets) : Celle-ci ne compte pas. Tu repars de « un » !
A (quelques secondes après le coup): un
Je comptais les vingt coups en maudissant intérieurement les deux hommes. Concernant Fred, je me vengerai au club de duel. Je me ferais une joie d'une humiliation publique dans les règles de l'art de la sorcellerie. Pour Harry, cela est un peu plus complexe. D'ailleurs, celui-ci vient de sortir de la pièce. Du coup, j'essaye de me relever, mais une main se pose sur mon dos.
H: Ou comptes-tu aller?
A: Je pensais que la "leçon" était finie.
H : Oh que non! Je vais maintenant régler nos comptes privés!
A (sentant ma jupe se relever) : Non!! S'il te plaît! Je t'en prie!
H (faisant descendre ma culotte): Depuis quand est-ce que tu discutes mes décisions?
A : J'ai compris la leçon, je ne recommencerai pas. S'il te plaît...
H : Pour ma part, j'estime qu'elle ne l'est pas. Et arrête de discuter, ou je double.
Je me taisais donc. Qu'est-ce que je pouvais bien faire d'autre de toute façon ? Rien. La fessée recommença donc, mais à la main. Malheureusement, les 20 coups de martinet ayant déjà chauffé mes fesses, cela est douloureux. Je ne peux m'empêcher de bouger, de gigoter afin d'échapper aux coups tombant de plus en plus dru.
Je finis par mettre une main en protection. Celle-ci est automatiquement coincée dans mon dos et les claques se font plus fortes. J'ai l'impression d'avoir un brasier à la place des fesses. J'ai beau essayer de ne pas bouger les jambes, c'est quasiment impossible.
Au bout de quelques minutes, Harry relâche ma main et m'ordonne de me relever. Puis, de retirer ma jupe et ma culotte, tout en prenant le martinet en main. C'est une leçon magistrale qu'il souhaite me donner. Il me fait poser les mains sur le bord de la cheminée et reculer les jambes de manière à, ce que mon corps face un angle de 90°. Il se balade derrière moi, faisant de temps à autre, siffler le martinet. L'attente me rends folle, il joue avec moi et la peur qui m'envahit. Je sens sa main se lever et le martinet s'abat sur mes fesses avec la même f o r c e qu'un avion de chasse se posant sur un porte-avions. Je hurle sous le coup et me plie de douleur. Le ton est donné. Ce sera des coups à pleine puissance. Je reprends la position, vu la tournure des choses, faire de la résistance serait suicidaire. Il y aura dix coups, à pleine puissance. Me laissant en pleurs et en sueurs.
Malgré cette correction magistrale, la colère d'Harry envers moi, n'est pas totalement calmée. Il me mène au coin pour une demi-heure. Si je ne fais pas de bruit, aucune personne entrant dans son bureau ne saura que je suis là. SI j'en fais, tant pis pour moi.
Je serais donc totalement silencieuse pendant cette demi-heure. Ce ne fut pas le cas, une fois que j'eu rejoins ma chambre dans le dortoir des Serpentards. Frédéric ne me fit aucune réflexion lorsqu'il me recroisa le lendemain dans la grande salle. Et je vis passer dans ses yeux, une lueur de regret et de compassion, lorsqu'il remarqua mes grimaces quand je m'asseyais. Les marques de la leçon au martinet d'Harry restèrent une quinzaine de jours.
Allez savoir pourquoi, je n'ai plus jamais oser lui désobéir en public.
il y a 9 ans
il y a 9 ans
il y a 9 ans
il y a 8 ans
il y a 8 ans
il y a 2 ans
Pour la suite, c'est en cours de réflexion, c'est un peu dur de s'y remettre après un moment.
il y a 2 ans
J'avoue qu'une suite serait bienvenue :)
il y a 2 ans
Merci pour ce récit
il y a 2 ans
Merci beaucoup pour les commentaires et une suite est en cours d'écriture.
il y a 10 mois
C'est drôle de lire une histoire dérivée BDSM d'Harry Potter mais c'est une chouette idée.
il y a 10 mois
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