Les fessées de Laura

Les fessées de Laura

Auteur : Ecrivaillon

35 ans, toutes ses dents, Laura aime la fessée mais avec son mari trop coincé c’est impossible. Elle a bien essayé de lui en parler mais il lui a répondu qu’ils n’étaient plus des gamins pour jouer à pan-pan cul-cul. Pour assouvir ses passions, Laura a trouvé un moyen simple, les sites de rencontres où elle chasse les hommes mariés afin de ne pas être harcelée par la suite.

Elle a rendez-vous à 14h30 chez un commerçant pour y recevoir sa fessée hebdomadaire. Arrivée chez lui à 14h45 avec un quart d’heure de retard volontaire, selon le processus établi à l’avance, il lui montrera sa salle de bain où elle ira mettre sa tenue. Quelques minutes plus tard, elle en ressort vêtue d’une jupe à carreau lui arrivant à mi-cuisse, un petit chemisier blanc, des chaussettes blanches et des baskets roses. Avec cette tenue, les couettes qu’elle s’est faite lui donnent l’allure d’une grande ado qui a fait une bêtise quand elle rentre dans le salon où l’attend son fesseur. L’homme la gronde pour son retard, elle ment outrageusement en disant que c’est faux, que sa montre n’était pas à l’heure, que ce n’est pas de sa faute.

Jack râle, peste avant de lui annoncer que cela mérite une fessée. Laura de plus en plus excitée par l’adrénaline de ces rencontres avec des inconnus qui vont découvrir et flatter ses fesses pleurniche et fait la moue. Lorsqu’il se lève pour lui prendre la main elle essaye d’esquiver par principe mais en vain. L’homme lui tient fermement le bras, à partir de cet instant, elle sait qu’elle ne lui échappera pas, c’est convenu ainsi. Si elle se débat et résiste, l’homme doit lui donner une bonne et réelle fessée.

Avec ses épaules de la taille d’une armoire normande, Jack mesurant près de deux mètres impressionne Laura se demandant si son choix est judicieux mais il est trop tard pour faire marche arrière. Devant sa résistance physique, il la saisit par la taille pour la mettre sous son bras et la porter comme un simple baluchon jusqu’à la chaise posée au milieu du salon. Cette chaise lui donne soudain l’impression d’un échafaud. Son fesseur s’assoie puis la couche sur ses genoux sans aucun effort malgré sa résistance. Plus elle lui résiste, plus elle l’excite. Sa jambe en forme de pilier de pont bloque celles de Laura qui supplie et lui demande de ne pas être trop sévère.

Quand il lui relève la jupe, affolée Laura tente de contrôler sa respiration mais en fesseur sadique, Jack la fait patienter un instant sans rien dire. Penchée en avant sur ses genoux, les fesses de Laura même recouvertes de sa sage culotte sont un véritable appel à la fessée et au rapport musclé. La main s’abat soudain sur son délicat fessier avec une force mesurée, mesurée pour Jack, pas pour Laura qui fait un bon en avant. Avec la régularité d’un métronome, la main claque le joufflu bondissant à chaque coup. D’une fesse à l’autre, l’énorme main claque laissant à chaque fois en sensation de brûlure alors qu’elle porte encore sa culotte.

L’aberrante sympathie pour la honte et la douleur générée par la fessée commence à envahir le cerveau embrumé de Laura. Cette souffrance-là, elle a appris à jouir mais la folie des sens jetant parfois dans les plus frénétiques et excessifs égarements, elle se demande quand même si cette fois, elle n’est pas allée trop loin en confiant son fessier à une véritable armoire normande musclée comme un docker.

Si jusqu’à présent il lui fallait un temps assez long pour que de la douleur sa chair passe peu à peu à l'émoi, la régularité du battoir commence à l’emmener aux bordures du vertige. A chaque fois, quand les fesseurs étaient de bon fesseurs, cette transformation d’un mal physique devient source d’intenses émotions qui la laissent toute pantelante. Les effets de la voluptueuse souffrance la font gémir de plaisir quand soudain, Jack fait une pause pour retirer le fin rempart de tissu.

Telle une gazelle face à un mammouth, elle essaye de résister en serrant les cuisses, mais en vain, la culotte glisse inexorablement sur ses cuisses. Le mammouth, bloque à nouveau les jambes de la gazelle agitée soudain par une sourde inquiétude, dans son plaisir, elle n’avait plus conscience que la fessée devait se terminer déculottée.

Ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses rouges, petites et pommées à souhait pour la main du fesseur expérimenté. La sévère fessée promise peut commencer lui indique Jack. Avant même qu’elle ne réponde ou cherche à supplier, le battoir fait son ouvrage mais avec un appui bien supérieur à la précédente fessée. Laura hurle, se débat, crie que c’est trop fort mais comme convenu, ses cris n’arrêteront pas son fesseur. Elle le sait, c’est prévu mais a soudain l’impression que ses fesses prennent feu, les larmes montent à ses yeux avant de ruisseler sur son visage cramoisi.

Au bout d’un long moment, une chaleur, une brûlure incomparable embrase ses reins, une fièvre indescriptible s’empare du corps de Laura, un courant continu de plaisirs longe sa colonne vertébrale et la fait s’extasier. Elle perd la tête et va même jusqu’à tendre les fesses pour mieux apprécier encore cette voluptueuse souffrance. Par instant elle écarte involontairement ses cuisses, démasquant l'étroite vallée intime, son petit espace où s'allonge sa fente humide bordée par ses grandes lèvres épaisses, dilatées par l’excitation. Elle est soudain prise de convulsions, son corps tout entier se met à trembler, à se contracter, un orgasme fulgurant la fait couler au sens propre du terme, chose qui ne lui était jamais arrivé.

Jack s’est arrêté, tout étonné, il la laisse silencieusement dans sa transe orgasmique. Bien que son pantalon soit mouillé, il est heureux d’avoir pu conduire cette femme au plaisir. Quelques minutes plus tard, il l’aide à se relever puis lui indique le coin où elle doit se rendre. Laura le remercie puis, à petit pas pour cause de culotte sur les chevilles, va prendre place comme une mauvaise élève. Jack lui ordonne de relever sa jupe pour que l’on voit bien qu’elle a été vilaine et punie. Elle s’exécute aussitôt. La tête dans l’angle des murs, elle essaie de reprendre son souffle, ses fesses sont réellement cramoisies et en feu, des bleus commencent même à se former.

Une demi-heure plus tard, quand elle va se changer dans la salle de bain, la couleur de son fessier l’inquiète, si son mari voit ça, les questions ne manqueront pas mais elle s’en accommodera, se cachera ou inventera une histoire.

Alors qu’elle s’était jurée de n’aller qu’une fois chez chaque homme pour éviter les soucis, Jack sera le premier fesseur chez qui elle reviendra allez donc savoir pourquoi ?

Ecrivaillon
il y a 11 ans

Compte anonymisé
hummmm ca donne envie
il y a 11 ans

Comme toujours, l'histoire est prenante.

Merci
il y a 11 ans

Je confirme Psylle ça donne vraiment envie, ça fait rever!
Au plaisir de vous relire ecrivaillon :)
il y a 11 ans

Compte anonymisé
Ah ça donne envie ma Psylle gourmande !!! :) merci Ecrivaillon de ce si joli texte ...
il y a 11 ans

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