Le prisonnier
Compte anonymisé
Un prisonnier nommé Antoine était de corvée de vaisselle après la cantine. Après avoir passé 1 heure à nettoyer, il appelle la gardienne pour qu'elle le reconduise en cellule.
La gardienne inspecte les assiettes et les couverts et juge que le travail est mal exécuté.
"Tu vas aller dans le bureau de la directrice de la prison, et lui expliquer pourquoi les autres détenus devront manger dans des assiettes sales par ta faute."
Antoine, déstabilisé par cette femme autoritaire, se laisse emmener en rougissant.
Dans le bureau, il trouve la directrice en train de surveiller un détenu qui, à genoux sur le sol, astique des paires de menottes.
Elle le fait attendre attaché à un pilier jusqu'à ce que ce travail soit terminé, et lorsque le détenu s'en va, Antoine a déjà bien eu le temps de s'inquiéter de ce qui allait lui arriver.
Elle demande à son adjointe de détacher Antoine et lui remettre les menottes derrière le dos, puis il doit se présenter et expliquer les raisons de sa présence.
Antoine commence à dire son matricule et expliquer son histoire, mais elle le coupe au milieu d'une phrase : "Par respect, tu devrais t'agenouiller pour m'adresser la parole". Il s’exécute, puis essaye en bafouillant de se trouver des circonstances atténuantes. En effet, il a du faire la vaisselle avec un bidon de produit presque vide et une éponge trop vielle.
A la fin de ce petit layus peu convaincant, la directrice fronce les sourcils mais ne dit rien. Antoine comprend qu'elle attend quelque chose mais il ne sait pas quoi et son stress augmente. Après quelques minutes de ce silence pesant, il comprend qu'il doit présenter ses excuses.
La directrice les refuse et lui intime l'ordre de se déshabiller intégralement après que l'adjointe lui ait enlevé ses menottes.
Nu, il tremble de peur et de froid en attendant la sentence. Qui ne tarde pas à arriver.
"Tu n'as pas honte de manquer ainsi de respect à l'administration pénitentiaire en prétendant que notre matériel n'est pas adéquat. Je retiendrai cela comme circonstances aggravantes. Les hommes ont besoin de comprendre que les taches qui leurs sont demandées doivent être exécutées avec soin. Pour t'aider à intégrer cela, tu recevras 100 coups de paddle, puis 3 jours d'isolement. A la suite de ça, tu viendras ici faire une de mes corvées personnelles, et je jugerai alors si tu t'es amélioré ou non. Adjointe, préparez le prisonnier pour l’exécution de ma décision s'il vous plaît."
L'adjointe appuie sa main sur le cou de Antoine pour le pencher en avant et le mettre à 4 pattes, écarte ses cuisses l'une après l'autre, puis, après avoir apporté le paddle à la directrice, s'assoie sur son dos doucement pour le cambrer et tiens ses couilles dans une main afin d'éviter qu'il bouge ou qu'il soit blessé par les coups.
Bien qu'il soit tendu à l'idée de cette sanction, Antoine est soulagé de la connaître et l'action qui se déroule est moins stressante que l'attente. A cela s'ajoute la pression de cette main douce et chaude sur son sexe, et il se met à bander. Heureusement pour lui, la directrice ne s'en rendra sûrement pas compte, car son sexe est caché par la main. Mais l'adjointe, elle, ne peut que s'en rendre compte et il a honte d'imaginer ce que cette femme pensera de lui.
Il connaît les règles de la prison, et dès que tombe le premier coup, il commence à compter, comme un réflexe. "Un Madame, merci Madame". La directrice en est satisfaite et le félicite : "Eh bien, on dirait que tu auras au moins appris quelque chose durant ton séjour ici."
Les coups, sourds et précis, tombent avec régularité et le transportent dans un autre monde. La directrice doit être satisfaite de son attitude, car elle ne frappe pas si fort, juste ce qu'il faut pour échauffer l'ensemble du fessier de Antoine, qui rougit petit à petit. Mais il n'y a pas que son fessier qui rougisse. Son visage prend la même couleur lorsqu'il se rend compte que son sexe est de plus en plus gonflé malgré la douleur et a commencé de se frotter légèrement sans trop bouger contre la main de l'adjointe qui maintient sa pression.
Il connaît bien l'adjointe et sait que c'est une femme gentille, si il a de la chance elle ne le dira peut être pas à la directrice.
Arrivé au centième coup, il est à la fois au bord de la jouissance et au bord des larmes, paniqué par cette érection incontrôlable. Quand soudain, il a de la chance, l'adjointe a décidé de garder cela pour elle et lui presse fortement les couilles pour faire redescendre l'érection. Il réprime le cri de douleur et de soulagement que cela provoque... Ouf, il est sauvé! Si la directrice l'avait vu, cela lui aurait coûté la mise en cage de son sexe pendant la durée de l'isolement et probablement quelques jours d'isolement supplémentaire.
Et l'isolement, en cage ce n'est pas facile. En effet, dans cette prison, chacun sait qu'au cachot on est isolé des autres détenus mais pas des gardiennes, qui viennent se servir selon leur plaisir. Sévices divers, sexes féminins à lécher pendant des heures etc ... C'est bien de pouvoir se masturber entre deux visites, cela permet de soulager un peu la pression.
A la fin de ces trois longues journées, Antoine est conduit à nouveau dans le bureau de la directrice. Pour éviter de se voir encore sanctionné, il s'agenouille immédiatement et baisse la tête en attendant les instructions. C'est sa façon de montrer qu'il accepte de se mettre au pas, et cela ne laisse pas la directrice insensible.
On lui tend une brosse, un seau et une petite panière contenant cirages et chiffons. Il doit nettoyer le sol, puis cirer les chaussures de la directrice.
La directrice sort faire son inspection quotidienne de la prison, et lorsqu'elle revient elle trouve le sol étincelant et Antoine en train de l'attendre assis par terre dans un coin. Elle s'assoit et tend son doigt au sol pour lui faire signe de venir.
Antoine sait ce qu'il a à faire, il s'agenouille près d'elle et frotte les chaussures en faisant bien attention pour ne pas la gêner dans son travail administratif.
Lorsqu'il a terminé, elle lui demande encore de lui masser les pieds, ce qu'il fait avec soin pendant qu'elle continue son travail.
La directrice est contente, elle a finit de remplir ses papiers et elle a remis un détenu dans le droit chemin. Elle décide donc de se montrer clémente tout en s'accordant un petit plaisir : "tu vas me remettre mes chaussures, puis les lécher et remonter lentement jusqu'à mon sexe. Si tu arrives à me faire jouir je t'accorderai une tenue neuve et une place en quartier de réhabilitation."
Il s’exécute avec joie. La peau satinée de la directrice attire sa bouche mais il se contient et commence par les chaussures, puis remonte aussi lentement que possible afin de ne pas la décevoir. Il est entièrement à l'écoute du moindre frémissement et du moindre soupir pour trouver le rythme qui lui conviendra. C'est un exercice difficile mais il commence à être habitué, et il semble bien réussir.
Tout est bien qui finit bien, Antoine est entré au quartier de réhabilitation, ce qui signifie qu'il aura de meilleures conditions de détention et qu'il pourra dans un an demander à être placé en liberté surveillée.
A suivre ...
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il y a 12 ans
il y a 12 ans
Compte anonymisé
On lui fit traverser plusieurs couloirs et plusieurs portes fermées à clés, puis il entra dans une salle nue aux murs blanc, avec un tabouret au milieu, une grande armoire, une table d’auscultation, et une table blanche avec deux fauteuils derrière. La gardienne qui l'accompagnait le détacha, lui dit de se déshabiller, de s’asseoir sur le tabouret et d'attendre qu'on vienne s'occuper de lui pour la visite médicale. Puis elle sorti en refermant la porte à clés derrière elle et en emportant les vieux vêtements oranges du prisonnier.
Après quelque temps d'attente, deux femmes en blouse blanche entrèrent. Elles ne lui adressèrent pas la parole et il n'osa rien dire, mais il pu lire sur leurs badges que l'une était psychiatre et l'autre médecin. La psychiatre ouvrit le placard et en sorti un dossier marqué du numéro de matricule d'Antoine, qu'elle consulta installée dans un des fauteuils. Dans le même temps, la femme médecin le fit lever et lui palpa l'ensemble du corps : d'abord le cou puis les épaules, le dos et les reins, la poitrine, le ventre, les couilles et le pubis, et enfin les jambes. Ses mains étaient douces et chaudes, elle le touchait de façon sûre et professionnelle, elle frôlait chaque parcelle de son corps avant d'appuyer légèrement. C'était bien plus doux que les contacts qu'il avait eu jusqu'à présent avec les gardiennes et les autres médecins du quartier de rétention.
Elle le fit monter sur la balance, mesura sa taille et pris quelques autres mensurations qu'elle nota.
Puis elle enfila des gants de latex blanc, lui écarta les jambes d'une petite claque à l'intérieur de la cuisse, et procéda à un examen plus poussé des testicules. C'était un peu douloureux, mais il fit tous les efforts pour ne pas bouger, afin de ne pas inciter la femme à être moins douce. Elle ne lui avait toujours pas adressé la parole et il se demandait si sa voix était aussi douce que ses mains et s'il aurait la chance de l'entendre.
Après cet examen, elle mit un peu de lubrifiant sur sa main et s'engagea dans l'anus, trouvant immédiatement la prostate. Antoine ne tarda pas à sentir la chaleur lui monter à la tête! Elle connaissait avec perfection son anatomie et ses gestes étaient sûrs. Après seulement une minute, le sperme commençait déjà à s'écouler le long de son pénis. La psychiatre eut un petit rire mais ne dit rien, et la femme médecin l'emmena près de la table d’auscultation et le fit pencher en avant.
Elle prit un instrument en acier chirurgical qui semblait assez compliqué et de forme phallique, qu'elle introduit dans l'anus d'Antoine. Puis elle actionna des manettes qui le faisaient allonger ou grossir. A partir d'une certaine taille, il se mit à gémir de douleur, puis à crier, elle observait et plaçait des points sur un graphique lorsque les réactions d'Antoine changeaient.
A la fin de cet examen physique poussé, la psychiatre prit enfin la parole. Elle lui ordonna de s’asseoir et commença l'examen de sa conscience.
"Bon, qu'as tu fait pour te retrouver en prison?"
"Ma Maîtresse avait décidé de me faire suivre un régime car mon ventre s'arrondissait trop à son goût, et comme j'avais faim, j'ai volé des biscuits dans un magasin."
"Et maintenant, que penses tu de cela?"
"Je regrette mon acte, et j'ai pu en prison retrouver ma ligne et m'habituer à subir plus de contraintes."
"Raconte moi la vie que tu avais chez ta Maîtresse."
"C'était très difficile, j'étais encore habitué à la vie à l'étranger, où les hommes sont libres de vivre comme ils veulent, et ma Maîtresse était très sévère avec moi. Je n'étais pas d'accord, je pensais qu'elle aurait du user de plus de douceur pour me donner envie de la servir."
"Raconte moi ton séjour en prison."
"En prison, les gardiennes sont bien plus sévères que l'était ma Maîtresse. Pendant le premier mois, je me rebellais et j'étais tout le temps puni. Alors on m'a mis à l'isolement pendant un mois entier. Après quelques jours là bas, je me sentais plus bas que terre, mon corps et ma fierté ne m'appartenaient plus. Au bout d'un mois, j'avais perdu toute volonté et toute notion de liberté. Je commençais à ressentir ce qu'est l'état d'esclave total."
"Que comptes-tu faire lorsque tu sortiras d'ici?"
"Je ferai ce qu'on me dira Madame."
"Si aucune Maîtresse ne veut te choisir comme esclave, tu sais que tu devras quitter le pays, car les hommes sans collier n'y sont pas tolérés, que feras tu dans ce cas?"
"J'irai m'inscrire sur le réseau Fessestivités, en espérant trouver une Maîtresse qui voudra de moi. Après le temps passé ici, je ne pourrai pas me contenter d'une vie banale et libre."
"Sur le plan sexuel, comment te décrirais tu?"
Il rougit : "Je ne sais pas trop, je jouis facilement"
"Cela signifie que tu aimes cette vie d'esclave?"
"Oui Madame, je suis un esclave dans le domaine sexuel et tous les autres domaines."
"Tu as dit au début que tu trouvais ta Maîtresse trop sévère, et qu'en prison nous étions plus dures qu'elle, que peux tu en conclure?"
"Au début, je me trompais, j'étais habitué à un mode de vie très différent, le traitement que j'ai reçu ici m'a permis de voir que j'avais besoin d'être corrigé."
"Es tu propre?"
"Pas toujours Madame, il m'arrive encore de faire pipi dans mon pantalon lorsque je suis stressé."
"Dans ce cas, nous allons te mettre une couche. Déjà que tu as souillé le sol avec ton sperme ... D'ailleurs il va falloir nettoyer ça immédiatement."
Antoine comprit ce qu'elle voulait dire, il s'agenouilla par terre et avala tout le sperme qui s'était écoulé plus tôt de son sexe. Elle lui ordonna d'aller s'allonger sur la table et le médecin lui mit une couche et une culotte plastique par dessus. La psychiatre termina son explication :
"Maintenant, tu vas rester ici, en attendant que nous délibérions sur ce qu'il convient de faire de toi, et si une Maîtresse est d'accord pour te prendre avec elle, tu resteras un an ici avant d'aller vivre chez elle. Dans le cas contraire, nous pourrons soit prolonger ton séjour, soit te renvoyer. Cela prendra quelques jours, tu dormiras sur la table et nous t'apporterons de l'eau et du pain une fois par jour. Tu as tout compris?"
"Oui Madame, je vous remercie de vous occuper de moi Madame et je serai sage durant cette attente."
A suivre...
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il y a 11 ans
J'adore cette histoire et je dois bien l'avouer ,a ça lecture j' ai comment dire eu une légère érection qui ma fais mal toute la nuit juste d y penser.J'attend la suite avec impatiente
toto
il y a 11 ans
Compte anonymisé
Cela lui donne l'occasion de méditer sur tout ce qui lui est arrivé. La rencontre avec cette femme, en France, une femme si belle et cruelle qu'il la suivit à Emade, le séjour chez cette Maîtresse, où il collectionnait les caprices et les punitions, le sommeil agité par des questionnements : "Ai-je bien fait? Est-ce que je dois rentrer chez moi ou persévérer ici?", et enfin la bêtise qui l'a amené en prison : le vol à l'étalage. Puis sa vie de détenu, les débuts difficiles au quartier de rétention, et le mois en isolement, avec son lot de sévices , un mois aussi jouissif que dur, la vie quotidienne en prison après ce passage, jusqu'au jour ou la directrice décide de l'envoyer au quartier de réhabilitation. Il repense également à l'entretien qu'il a eu avec la psychiatre et aux mains si douces de la femme médecin. Il n'a toujours pas entendu sa voix, quelle déception! S'il pouvait avoir une Maîtresse comme elle il serait le plus heureux des hommes. Et ces paroles de la psychiatre : on pourrait le renvoyer chez lui en France! Il repense à ses réponses et espére avoir bien réussi, il essaye d'imaginer ce qu'on pourrait dire de lui dans cette commission, et quelle Maîtresse voudrait d'un esclave qui s'était montré si capricieux dans le passé.
Au matin du quatrième jour, c'est la femme médecin qui vient le chercher. Et elle lui parle enfin : "Lève toi, enlève ta couche et jette la dans la poubelle." Cette voix est à la hauteur de ses espérances, mais il rougit de honte en enlevant sa couche, qu'il porte depuis 3 jours et 3 nuits....
Elle lui indique de le suivre, et l'emmène dans une salle de douche. Elle fait couler l'eau chaude, met ses gants en latex, et frotte tout le corps d'Antoine avec un gant savonneux, puis le rinçe. Quel moment délicieux ! Mais il n'ose pas demander si une décision a été prise, et si oui laquelle?
Il entre dans un petit salon, ou 4 femmes habillées en tenue civile sont installées dans des fauteuils et boivent du thé. La médecin ordonne à Antoine de s'agenouiller sur le tapis au centre de la pièce et s'installe dans le cinquième fauteuil. Parmi les 5 femmes, il reconnaît la directrice de la prison et baisse instinctivement la tête en la voyant. Comme pour compenser l'action de la tête, son sexe se dresse, il n'est plus habitué à voir des femmes dans de si jolies robes, ce qui ne manque pas de faire rougir ses joues. La psychiatre aussi est présente, mais il n'a jamais vu les deux autres.
Une des inconnues se présente : « Je suis Madame Ixtienne, responsable de l'intégration des anciens prisonniers dans la société. Tu seras sous mon autorité à partir d'aujourd'hui et pour une durée de 3 ans. Tu devras me rendre compte régulièrement de ta situation et me prouver que tu es digne de rester à Emade. Voilà ce que je sais de toi : A l'état naturel, tu es un vilain garnement, insolent et capricieux, mais ta présence ici montre que tu as la volonté de changer cela ; sur le plan sexuel tu es une véritable traînée et tu t'excites pour un rien, j'en veux pour preuve cette érection que personne ne t'avait demandée ; Tu as le cul bien ouvert, et ça te plaît d'être maltraité ; sur le plan pratique, tu peux être utile mais tu as encore des progrès à faire ; Pour finir, sur le plan de la personnalité, tu es capable d'être gentil et joueur à condition qu'on te corrige lorsque tu dépasses les bornes. Adhères tu à cette analyse? »
Antoine acquiesce et l'autre inconnue prend la parole.
"Je m'appelle Madame Sylia, et j'accepte de te prendre sous ma coupe lorsque tu auras fini ta réhabilitation. Tu auras une place chez moi et tu seras chargé de la cuisine, des courses, et de mon plaisir. Je tiens une auberge et tu devras servir également mes hôtes."
Antoine était ravi : "Merci Madame, puis-je vous baiser les pieds en signe de reconnaissance?"
"Tu auras accès à mes pieds lorsque tu auras gagné ma confiance, mais tu peux lécher mes semelles."
Antoine s'exécuta avec entrain, il lécha jusqu'à ce qu'elle le repousse et retourna à sa place.
La directrice de la prison prend la parole à son tour pour expliquer à Antoine le fonctionnement de sa nouvelle unité. Le quartier de réhabilitation est fermé de l'extérieur, mais il n'y a pas de verrous entre les différentes salles. Il se déplacera donc tout seul, selon son emploi du temps, entre les différentes salles. Les cellules seules sont fermées, de 21h à 5h30. Dans le but de se préparer à la vie réelle qui l'attend dehors, il aura une cellule adaptée et recevra divers cours et entraînements. Sa Maîtresse sera libre de lui rendre visite autant qu'elle le juge nécessaire. La tenue réglementaire est constituée d'un pantalon ouvert sur les fesses et d'une brassière, en tissus noir moulant. La brassière contient une pochette à l'avant, contenant son emploi du temps et sa carte d'identité. Il portera toujours aux poignets ses bracelets, signe de la double autorité qui pèse sur lui. Son prénom sera changé pour sidjé à la demande de sa future Maîtresse.
Madame Ixtienne et Madame Sylia se levèrent, attachent chacune un bracelet avec une chaîne à ses poignets, et le tiennent ainsi comme en laisse. La femme médecin lui remet ses vêtements et la psychiatre lui donne sa carte d'identité et son emploi du temps. Il les range, enfile ses vêtements et s'agenouille de nouveau, tête baissée.
Madame Ixtienne lui demande de remercier ces dames avant de partir, ce qu'il fait en léchant la semelle de chacune d'elle. Puis les deux femmes l'emmènent s'installer dans sa cellule.
A suivre …
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Lisez tous les textes de Madame Agnès sur son [url=http://www.madameagnes.net/News/index.php?style=2&id=23:2gwcgri9]site perso[/url:2gwcgri9]
il y a 11 ans
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