Soumise No limit sans saferword du SM total pour une soumise

Soumise No limit sans saferword du SM total pour une soumise à en perdre la raison Cette histoire est 100% véridique

ou

Notre histoire d'Amour SM

BDSM no limit d'amour SM

Cette histoire est réelle et celle d'une soumise qui s'est offerte en no limit sans saferword à son Maître en qui elle a une confiance absolue. Les photos et la vidéo permettront au lecteur de se convaincre de la véracité de cette histoire que les auteurs vivent dans leur façon de vivre qu'ils appellent un Art de vie.

PREAMBULE :

Maître TSM et soumise Kioki-san se sont rencontrés en septembre 2011 lors d'un pique-nique de rencontre organisé par fessestivites.com De cette simple rencontre entre adeptes du SM est née une envie d'aller plus loin et de construire une véritable relation de vie SM. Quatre mois plus tard, pour Noël il lui offrait un collier de soumise, un cadeau grandement apprécié ayant fait pleuré Soumise Kioki-san qui après des années de recherche d'un Maître sérieux n'en croyait pas ses yeux mouillées de bonheur.

Une confiance mutuelle totale s'étant installée, Maître TSM propose le 9 juin 2012 à soumise Kioki-san de fonctionner sans limite ou restriction et sans saferword. Si les mots « non » et « stop » existent toujours dans le vocabulaire de soumise Kioki-san, Maître TSM est devenu le Maître absolu ayant tout pouvoir sur son corps, son âme et sa vie.

PRECISIONS : Maître TSM est un Maître respectueux et ultra vigilant pour la sécurité de sa soumise tout comme de son bien être, ce n'est donc pas une histoire de fou mais bien d'Amour SM. Kioki-san n'est pas la seule soumise à s'être offerte ainsi à Maître TSM, Soumise xxxxx a fait la même chose le 21 juin 2012.

Cette histoire de vie réelle est écrite par Maître TSM et Soumise Kioki-san. Ils exposent ensembles leurs émotions et leurs sentiments afin de partager ce bonheur avec les lecteurs.

Le mot Soumise écrit avec un S majuscule est un choix de Maître TSM car il estime que ses Soumises le méritent de par leur investissement total dans cette relation et pour la confiance qu'elles lui ont accordé.

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Les sentiments de Maître TSM

Détenir tous les pouvoirs et disposer à sa guise du corps, de l'âme et de la vie d'une personne est grisant. Si cela est extrêmement jouissif de pouvoir jouer avec son corps, le fouetter et en abuser sexuellement engage également un degré de responsabilité morale titanesque. Dans ce type de relation, il n'y a pas que le plaisir égoïste du Maître mais un réel engagement de vie. Certes je décide de TOUT et je fais ce que je veux d'elle quand je le veux mais je veille à son bonheur, à son épanouissement et à bien d'autres choses dans la vie conventionnelle comme un père avec son enfant, comme un mari avec sa femme, comme un Maître avec sa soumise. Voilà pourquoi j'affirme que cette relation est grisante mais qu'elle engage également un degré de responsabilité morale titanesque.

Sentir vibrer son corps, sa peur, la voir ruer sous les coups sans qu'elle ne puisse s'en soustraire est grisant tout comme l'attraper par les pieds quand elle dort pour la prendre sans ménagement si une envie me prend. J'aime la voir se débattre dans ses liens et la pousser dans son masochisme pour la conduire au plaisir SM et parfois jusqu'à la jouissance, jouissance qu'elle a parfois au pluriel. Lorsqu'elle revient sur le « plancher des vaches » parfois en pleurant après ses jouissances extrêmes en me serrant dans ses bras, c'est un pur moment de bonheur.

LA PREMIERE FOIS EN NO LIMIT

Même si est de tradition qu'une soumise serve son Maître, j'ai tenu à servir l'apéritif pendant que nous discutions pour qu'elle se sente dégagée de mon emprise psychologique. J'avais déposé les fouets et cannes anglaises sur la table pour qu'elle les voit avant de me répondre « Oui Maître, je me donne à vous en no limit et sans saferword ». Elle m'avait déjà répondu « oui » lorsque nous en avions parlé mais l'excitation lors d'une discussion est une chose mais lorsque l'on est aux pieds du mur...... Soumise Kioki-sans n'a pas hésité une seconde quand elle a été aux pieds du mur ! J'étais si troublé par ce don et sa confiance que mes yeux mouillaient de bonheur je l'avoue sans aucune honte.

La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes font prendre conscience de la réalité de la possession. Histoire de l'emmener progressivement dans ses retranchements tout en lui faisant comprendre que je prenais bel et bien son corps et son âme en main, j'ai commencé par lui imposer un lavement sérieux afin de fonctionner dans de bonnes conditions d'hygiène pour les surprises que je lui avais préparées. Lorsqu'elle s'est présentée nue et propre à moi, je l'ai aveuglée avec un grand bandage médical me permettant d'affecter également sensiblement son ouïe. Avec deux sens affectés, ses sensations se sont démultipliées. Entravée sur le banc à fessée, elle m'offrait son fessier et c'est là que la première surprise est arrivée. En guise de fessée, Soumise Kioki-san s'est vue administrer un lavement d'un litre et demi d'eau avec des promesses de représailles sévères si elle avait des fuites. Pendant qu'elle se « remplissait » en geignant, histoire de la déstabiliser la cire chaude de cinq chauffes plats s'écoulait sur son dos et ses fesses. La cire touchant la peau la faisait sursauter mais elle serrait rapidement les fesses pour ne pas avoir de fuite. Dandinements forts agréables pour mes yeux gourmands.......

Après avoir joué avec de la bougie, comme chacun sait il faut retirer la cire mais il y a plusieurs façons de procéder. Soit avec un couteau, soit avec des instruments du type cravache martinet, canne anglaise..... mon choix s'est orienté vers ces instruments que j'affectionne particulièrement. La musique bien rythmée d'un CD me donnant le tempo, son corps toujours branché au bocal à lavement devint pour moi une batterie dont j'explorais les sonorités de bon cœur. Je ne vous cacherai pas que j'ai éprouvé grand plaisir à la faire sursauter en taquinant les endroits les plus sensibles ou en appuyant quelques coups sur d'autres zones plus « habituées ». Une bonne heure plus tard, c'est avec quelques marques sur le corps que Soumise Kioki-san fut conduite fesses serrées aux toilettes pour une vidange très gênante aussi sonore que laborieuse.

Ayant prévu à l'avance les « épreuves » de sa première journée de no limit, une fois propre et « vidangée » Soumise Kioki-san fut transportée à dos d'homme jusqu'à mon donjon où un matelas, des chaînes et accessoires l'attendaient. Installée à quatre pattes, pieds et mains liés avec une corde enroulée sous son ventre la maintenant dans la position d'un caniche, la Soumise Kioki-san ne pouvait plus qu'offrir ses charmantes rondeurs charnelles à ma gourmandise. Sans nul doute, elle aurait aimé être prise mais non, oh que non ! D'autres surprises l'attendaient. Abandonnée seule avec un gros plug de chasteté ouvert dans sa petite rondelle étoilées peureusement contractée, Soumise Kioki-san dut méditer un long moment à sa condition car avant de la laisser seule, je lui avais annoncé que j'allais la faire fouetter et prendre par des clients pour de rentabiliser mon « investissement ».

CITATION Annick Foucault en évoquant le masochisme a dit "La mort, chez nous, est comédie, comme la peur est factice, fabriquée pour jouir"

DES CLIENTS

Des clients il n'y en eut point hormis moi (une soumise n'est pas une pute) mais arrivé par surprise et sans parler pour qu'elle n'en sache rien, je l'ai surprise dans ses méditations. Le chant des martinets accompagnèrent à merveille ses gémissements durant un bon moment générant une mélodie fort excitante qui déclencha en moi des envies de « « « « consommer » » » » ma Soumise. Si de par nature je n'aime pas la vulgarité, en regardant la vidéo je me surprends encore du vocabulaire que j'ai utilisé en la prenant à la hussarde pour la conduire dans un état d'abandon total.

Dernière épreuve, dernière ligne droite avant le feu d'artifesses, pardon des jouissances.

Pour continuer d'affecter ses sens, en plus du bandage médical l'aveuglant et étouffant les bruits, un masque à gaz lui a été posé. La respiration en ce type de masque est tout à fait possible mais elle est toutefois surprenante lorsqu'on ne le connaît pas. Ainsi équipée, Soumise Kioki-san fut transportée à dos d'homme comme un sac de « patates » jusqu'à un grand noyer où l'attendait une chaîne accrochée à une branche haute. Entravée nue debout avec une barre d'écartement aux jambes, la belle était une belle cible pour mes fouets en frémissant d'avance.... Avec son plug de chasteté toujours en bonne place, les tétons pincés et lestés pour lui donner des regrets si elle se débattait, Soumise Kioki-san tentait le diable sommeillant en moi. Lentement et avec douceur, (oui vous avez bien lu) mes deux fouets tournoyants ont commencé à caresser son corps frémissant à leur passage.

Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, au fur et à mesure, que l'intensité des coups montait, son cerveau générait des endomorphine lui permettant de savourer la douleur. Cette transformation d'un mal physique devenait source d'intenses émotions ce qui n'allait pas tarder à la laisser toute pantelante sous mes coups de plus en plus appuyés. Mon objectif était de provoquer le subspace en infligeant de la douleur pour la conduire à de voluptueuses souffrances érotico-SM. La connaissant bien maintenant, lorsqu'elle ruait de douleur je savais aussi que c'était de plaisir en voyant ses jambes trembler, un signe distinctif chez Soumise Kioki-san. Quelques choses de pervers anima de nouveau mon bas ventre et mes neurones, comme la pousser encore plus loin dans ses retranchements. Pour cela, j'ai utilisé un de nos accessoires vibrants, insidieusement posé sur l'ergot féminin sensible épargné jusqu'à ce moment là. Juste au moment où elle s'approchait de l'extase, j'arrêtais pour faire valser mes fouets et ainsi de suite pour la « rendre folle » dans ses sensations. Au bout d'un moment ce jeu diabolique son cerveau était en déroute, elle haletait et était aux bordures du vertige, prête à recevoir les coups de grâce et les marques dont elle est si fière les lendemains de nos séances. Les coups de mes deux fouets en « enroulé » (faisant le tour de son corps) montèrent en puissance. Elle bondissait de douleur sous certains et s'offrait au plaisir pour d'autres. Lorsque je l'ai sentie jouir j'ai à peine levé le pied pour l'accompagner dans son plaisir puis j'ai porté les derniers coups, les coups de grâce le plus vite possible. Elle m'a offert son buste et ses seins que je n'ai pas épargnés même si j'ai modéré la puissance de mes coups. (Avec deux fouets tournants c'est très chaud, très piquants) Traversée de spasmes de plus en plus intenses Soumise Kioki-san se mit à jouir en hurlant d'une voix rauque à peine étouffée par le masque à gaz. Cambrée, la tête rejetée en arrière, ses longs cheveux tombant dans le vide alors que j'avais repris mes enroulés, elle se mit à trembler sans discontinuer sans que je ne fasse rien hormis la regarder. Un pur bonheur pour moi de l'avoir emmenée si loin dans sa jouissance masochiste.

Lentement libérée de toutes ses contraintes et accessoires, j'ai étendu Soumise Kioki-san dans le gazon. Ses bras et ses lèvres m'ont happé, cet instant de bonheur est magique et difficilement descriptible. Connaissant sa gourmande..... je lui ai donné notre jouet vibrant magique pour qu'elle entretienne encore ces si sublimes sensations que sont les orgasmes à répétitions. Telle une furie, une folle, une hystérique elle s'acharnait sur son enre-jambe à la recherche d'encore plus, encore plus et encore plus sous mes yeux émus. Et là, il m'est venu une envie pressante et l'idée d'asseoir encore mon emprise sur elle. Alors que je lui urinais dessus, Soumise Kioki-san continuait de s'envoyer en l'air en nageant dans le bonheur. Pour qu'elle ne s'épuise pas au sens propre du terme, je lui ai retiré notre jouet vibrant magique pour la couvrir de baisers..... (malgré mon urine qui l'avait inondée et que j'ai oublié à cet instant de communion)

CONCLUSION DE TSM

Il doit être difficile à de nombreux lecteurs de comprendre pourquoi nous allons si loin dans notre relation SM qui je le précise n'a AUCUN rapport avec une vie de couple. (Ce sont deux mondes différents) Le SM est une autre façon de vivre, un Art de vivre et d'aimer, un Art de se donner corps et âme généré par une pulsion puissance plus forte que la volonté qui nous submerge avec un engagement mutuel total qui, j'insiste, n'a aucun rapport avec une vie de couple « vanille » ou conventionnelle.

POUR INFO

Notre mariage BDSM est prévu le 27 juillet 2013.

TSM

LES QUELQUES PHOTOS DE CETTE VIE SM RELLE SONT ICI

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UN EXTRAIT DE LA VIDEO DE CETTE VIE SM RELLE EST ICI. Tout ne sera pas diffusé, l'intimité est aussi quelque chose d'important qu'il faut préserver.

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il y a 11 ans

Compte anonymisé
Merci ma belle salope de Maud
je te remercie tu as tout compris !!!!
Bisous à vous deux
Kio
il y a 11 ans

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