EXPIATION DEUX
Compte anonymisé
Il vient de la convaincre de le rencontrer.
M. a quarante ans, il se dit ingénieur, en recherche depuis fort longtemps de la compagne qui va partager sa vie.
Gisèle est la 53ème.
B. est satisfait de son "tableau de chasse." 53 FEMMES EN SEPT MOIS, c'est un beau résultat ne peut-il s'empêcher de penser, je n'en espérais pas tant.
Pour réussir à pièger autant de femmes, parfois pleines de charmes, intelligentes, B. possède un indéniable don de persuasion et de patience.
De longues heures d'échanges via MSN, le temps de se construire la personnalité souhaitée par son interlocutrice.
Quelques échanges de photos aussi, B. sait user de son charme naturel.
Charme, don de persuasion, deux qualités qui font son succès.
Gisèle, elle aussi, pourtant si méfiante, y a succombé.
Elle a été la plus difficile à convaincre, il se promet de grands moments de volupté avec elle.
B. est un sadique sexuel, il aime contraindre, forcer, c'est le moteur de sa jouissance.
Le train de 15h39 entre en gare.
B. reconnaît Gisèle immédiatement, elle est vêtue selon sa demande.
Ce point, essentiel pour lui, lui permet en un instant de juger de la docilité de la personne.
- Bonjour Gisèle, je suis heureux de te rencontrer après ces trois semaines sur MSN. Tu le sais, le virtuel n'est pas mon fort et je suis très impatient de faire ta connaissance.
-Bonjour B. oui moi aussi je suis impatiente de mieux nous connaître, j'ai crains de te rencontrer. Je suis rassurée tu es comme je l'imaginais.
- Allons chez moi Gisèle, j'ai préparé un bon dîner qui nous permettra de faire plus ample connaissance.
Le dîner se résume à une simple boisson, et le personnage de B. reprend vite le dessus. Il demande à Gisèle de se déshabiller "afin de juger de sa beauté".
Surprise, Gisèle refuse, mais là encore la persuasion de B. fait tomber les dernières réticences.
Gisèle commençe un effeuillage, son envie de tendresse, de faire l'amour est très fort.
B. quant à lui est loin des souhaits de tendresse de Gisèle.
fi des attentes de cette dernière: corps pétri avec violence, morsures, pénétrations multiples par devant puis par derrière, gifles, fellations forcée, c'est le traitement dégradant que subit Gisèle.
Ses larmes, ses cris, ses supplications ne font qu'exciter davantage son bourreau, qui maintenant armé d'une ceinture en cuir souple, la frappe sur les fesses à toute volée avant de la sodomiser pour la seconde fois.
Pantelante, assommée par l'incompréhension de ce qui vient de se passer, Gisèle n'a aucune réaction.
B. lui jette ses vêtements.
-Tu ne fais pas l'affaire, tu n'es qu'une dinde pleurnicheuse, jamais je ne pourrais vivre avec toi.
-Fout le camp, je ne veux plus te revoir.
-Tu peux toujours essayer de porter plainte, j'ai gardé nos échanges, tu es venue volontairement chez moi, tu t'es déshabillée pour m'exciter, alors ta plainte si tu oses le faire ira directement à la corbeille.
-Allez décampe pauvre conne!!!! B. éclate de rire devant l'ahurissement de Gisèle, qui se rhabille le plus vite possible.
-Je vais appeler un taxi il t'emmenera à la gare, je n'ai pas l'intention de dépenser mon essence pour toi!!!!
Gisèle,humiliée, l'estomac tordu par la honte prend le taxi qu'il avait "dans sa grande bonté" daigné appeler.
L'humilation devient bientôt colère, la colère fait place à la rage, et le désir de se venger de cet homme, de laver l'outrage subi naît dans son esprit.
Gisèle sait déjà ce qu'elleva faire elle va prendre sont temps, mais elle se promet de lui faire payer très cher ce qu'elle a subi.
Deux semaines se sont écoulées et B. a oublié Gisèle dès les premières heures de leur rencontre.
Comme chaque soir, il reprend "sa traque" sur la toile.
Depuis quelques jours il est sur un "coup hors du commun".
M. lui fait depuis trois jours, une proposition qui est loin de lui déplaire.
Elle se déclare bisexuelle, vivant avec une amie, et lui demande une rencontre :
"Nous voulons vivre une expérience sexuelle à trois, tu nous plais particulièrement, alors pourquoi pas toi?"
Selon son habitude, il les invite à le rencontrer, se demandant déjà ce qu'il éprouvera à contraindre deux femmes à ses exigences les plus perverses.
Elles ont promis de faire l'amour devant lui jusqu'à se faire jouir mutuellement.
-Tu pourras aussi nous posséder par tous nos orifices, ils seront à ta disposition, mais surtout soit à la hauteur! Pour nous, il s'agit d'une première et nous voulons en garder un souvenir mémorable.
-Nous aimerions aussi une nouvelle expérience : être fessées comme des gamines, voire même être fouettées.
-Acceptes-tu de le faire? Tu seras le premier car nous avons totalement confiance en toi.
Nous ne pourrons pas nous rendre chez toi, mon amie ne peut se déplacer, son travail, ses enfants, rendent la chose impossible.
-Toi qui es disponible, peux-tu nous rejoindre?
B. hésite cela change ses habitudes. Mais peut-il laisser passer une telle aubaine?
Sa décision est prise : il va se rendre à ce rendez- vous.
M. lui a communiqué son numéro de téléphone, son adresse. Il a vérifié : tout correspond.
M. sait ce qu'elle veut, son amie F. (appelons là F) lui semble toute dévouée.
"Oui décidemment mon charme fait des ravages" se dit B. devant son miroir, souriant, satisfait des voluptés qu'il se promet "torrides".
M. viendra le chercher à la sortie de la gare pour le conduire chez elles en voiture.
La voiture est là, M et F sont a bord, qui l'attendent à la sortie de la gare. Sans hésiter M s'installe à l'arrière du véhicule, qui part à travers la ville.
Un stop. Deux hommes semblant surgir de nulle part en profitent et montent dans le véhicule de part et d'autre de B.
Ce dernier, surpris, n'a pas encore réagi que déjà la voiture file à nouveau sur la route droite.
La crainte se lit sur le visage de B.
M. s'emploie à le rassurer.
-Ce sont nos accompagnateurs, nous ne te connaissons pas aussi devons nous prendre quelques précautions. Ils sont là pour nous protéger, mais n'aies aucune inquiétude.
-Ils nous obéissent aveuglément et n'interviendront pas dans nos ébats.
B. approuve cette sage précaution et se rassure immédiatement.
On arrive.
Une maison, presque un manoir, on y accède par un chemin recouvert de gravier, cerné de part et d'autre d'une rangée d'ormes et de cyprès.
Tous descendent du véhicule.
-Nous allons te faire visiter l'antre de nos turpitudes.
Quelques marches, une porte de chêne, un long couloir au parquet ciré, recouvert d'un tapis épais. Une porte encore, au fond du couloir.
M. invite B. à pénétrer dans ce qui semble être une vaste salle et referme la porte derrière lui, d'un tour de clef, empêchant toute sortie par cet accès.
B. est seul.
Cette pièce ressemble plus à une scène de théâtre qu'à une chambre à coucher!
Oui, il n'a plus de doute, il est bien sur une scène de théâtre.
La lumière vive tombant du plafond l'empêche de voir l'ensemble, mais il peut déjà distinguer en contrebas, quelques sièges, qui semblent tous occupés.
Seul sur la scène, son désarroi est à son comble.
Maintenant il en est sûr, il est tombé dans un traquenard. B. voudrait fuir, mais comment faire? Il cesse de se poser la question, M. et F. apparaissent par une coulisse latérale, un sourire engageant aux lèvres.
- Rassure toi, tu sortiras d'ici quand nous l'aurons décidées.
-Nous t'avons pris à ton propre piège. Comme promis, tu es ici pour découvrir nos jeux, et je t'affirme que jamais tu ne les oublieras.
La lumière éclairant la scène s'éteint aussitôt.
Dans la salle située en contrebas, un éclairage tamisé permet à B. d'apercevoir plusieurs dizaines de spectatrices, les "deux accompagnateurs, tous tranquillement assis dans de confortables fauteuils.
Son étonnement, ses craintes deviennent stupéfaction lorsque ses yeux se portent sur le premier rang.
Sa femme!! Elle est là, au premier rang, entourée de l'institutrice du village où il réside, de la postière et de la pharmacienne, sans oublier quelques unes de ses amies.
Gisèle aussi et les autres!!! Certaines de ses victimes sont également présentes!
M. et F. savourent l'ahurissement de B.!
- Oui nous savons tout de toi, tes agissements, ton comportement, qui tu es, comment tu vis, et cela grâce à ton épouse que nous remercions vivement.
Nous avons retrouvé une partie de tes victimes, et toutes vont maintenant assister à ton châtiment car nous allons te punir sévèrement et ce, afin que tu ne recommences jamais.
Les applaudissements nourris qui suivent ne laissent aucun doute: M. est totalement approuvée.
- Deshabille toi, nous voulons te voir complètement nu!
Un sentiment de révolte s'empare de B.
Ce qui se passe à cet instant, il ne peut l'accepter et encore moins le concevoir.
- Tu déconnes non! Ces salopes que j'ai baisées, elles étaient d'accord, je ne les ai pas.... La gifle magistrale que lui applique M. à toute volée met fin à sa diatribe.
- Connasse tu m'as fait mal!!!! Une seconde gifle toute aussi puissante embrasa sa joue gauche.
- Tu n'insultes personne, surtout pas M. tu ne tutoies pas et tu fais ce que l'on te demande.
F. vient de gifler B. à son tour, les yeux brillants de colère rentrée.
Un lourd silence s'installe dans la salle pendant que B. contraint et résigné commence son lent déshabillage.
- ça aussi!
"çà" c'est la dernière pièce que porte B. son slip qu'il fait glisser à regret.
Complètement nu, son slip à la main, il apparait dans toute sa dérision.
- Le slip sur ta tête! lui ordonne sa femme, bien décidée à ne rien lui pardonner pour le moment.
-Te voici maintenant dans la tenue qui convient à un menteur, un tricheur et un violeur qui va être sévèrement puni par notre assemblée.
Toutefois ces poils autour de ta queue me semblent superflus, nous allons remédier à cet inconvénient.
M. fait un signe et aussitôt l'un des hommes qui avait accompagné B. se jette aux genoux de M.
-Rase- moi tout çà, je le veux totalement imberbe.
-Bien Maîtresse.
-Le cul aussi!
Humiliation totale pour B. qui doit tourner le dos face au public, se courber en ouvrant largement ses fesses, les jambes écartées offrant ainsi son intimité à tous les regards.
- Bien! Tu es prêt! tu vas maintenant savoir ce qui t'attend.
Un signe encore et celui qui vient de le rendre imberbe dévoile un meuble recouvert d'un drap noir. Un carcan dans lequel B. est rapidement et solidement immobilisé.
- Afin de te faire regretter tes fautes, nous allons nous servir d'un martinet, d'un fouet, de verges et d'un paddle.
Tu as bafoué, pris de force 53 femmes, en conséquence tu vas recevoir 53 coups de chacun de ces instruments.
F. et Moi les affectionnons tout particulèrement. Nous allons nous en servir au mieux, fais nous confiance! mais il ne s'agit que d'un début cela va de soi.
M. se saisit des verges trempées depuis le matin dans l'eau froide afin de les rendres souples et incassables.
- Parfait je vais pouvoir faire du bon travail!
- C'est toi qui va compter les 53 coups qui vont s'abattre sur ton cul si bien offert, et surtout ne fait pas d'erreur, ne m'oblige pas à tout reprendre depuis le début.
- Es-tu prêt?
Terrorisé, B. qui n'a jamais été fouetté, garde le silence.
Un sifflement, le bruit mat des verges qui cingle le cul sans défense, suivi d'un cri, les nombres hurlés dans le désordre, la punition est commencée.
Au bout de 20 coups, B. pleurniche et supplie que l'on cesse, mais M. n'en a cure, elle poursuit méthodiquement sa tâche tournant autour de sa victime, prenant son temps.
Après trente coups les zébrures deviennent visibles jusqu'au fond de la salle.
Quarante, puis Cinquante! B. pousse les hauts cris, s'agite vainement, supplie qu'on l'épargne, jurant que jamais il ne recommancera. Trois coups encore, appliqués avec la plus grande fermeté.
M. d'un geste négligeant se débarrasse du faisceau de verges maintenant en piteux état et devenu inutile.
F prend immédiatement le relais, se saisis du martinet au neuf lanières de cuir rugueux.
C'est une fouetteuse remarquable, elle agit avec dextérité y mettant de l'énergie. Elle vise essentiellement le haut des cuisses car "il faut épargner quelque peu ce cul qui va encore servir".
Les cris du puni la laisse indifférente. F. prend visiblement plaisir à sa tâche.
53 coups! pas un de moins, pas un de plus!
Revient le tour de M. qui s'empare du fouet, afin de zébrer cette fois ci les épaules de B. qui oublie de compter, mais peu importe les spectatrices le font à sa place.
Les 53 coups prévus sont donnés sans complaisance, quelques perles de sang font leur apparition.
Rien de grave, des écorchures superficielles!
B. pleure à gros sanglots, demandant pitié, indécent dans son manque de dignité, presque abject dans ses serments de rédemption.
- Il reste le paddle! Je propose à la femme de B. d'infliger 53 coups
Sans hésitation son épouse arrive sur la scène, s'empare du paddle, et applique les coups sur le cul de son mari, tenant le manche à deux mains pour plus d'efficacité.
Les cris de B. deviennent suraigus, ses contorsions si fortes que l'on craint un moment que le carcan ne se renverse. M. tempère les ardeurs de la flagellante, il faut lui ôter le paddle des mains tant sa détermination est grande de poursuivre.
- La première partie de la punition est terminée mes amies, nous allons maintenant passer à autre chose de moins douloureux physiquement mais qui, je l'espère, va s'ancrer à jamais dans l'esprit de B.
- Libère-le du carcan et montre nous le résultat de cette punition!
Le cul de B. est boursouflé, rouge et violet, le dos est zébré tout comme le haut des cuisses.
- Dans 15 jours au maximum il n'y paraîtra plus; ce ne sera pour lui qu'un souvenir. Aussi, allons nous lui en laisser quelques autres.
- M. et F. s'adressent alors à B. :
- Tu affirmes que nous autres, femmes, aimons la fellation et la sodomie surtout si l'on nous y force?
tu rendais donc service à tes victimes, tu leur apportais une grande satisfaction?
- Qu'en penses tu F.?
- Il est judicieux de faire connaître à ce monsieur les plaisirs forcés qu'il offre avant tant de plaisir. Nous avons là deux messieurs qui sont prêts à le satisfaire.
Une salve d'applaudissement nourrie salue la proposition de F.
- Messieurs c'est à vous de nous distraire!
Les deux hommes contraignent B. à s'agenouiller. Celui-ci n'offre maintenant aucune résistance, face à ces deux colosses. Tous deux sont encore habillés.
Le premier se place face à lui, ouvre sa braguette et lui présente un membre de belle dimension, que B. se refuse à regarder.
- Prends-le dans ta bouche lui ordonne M. sinon nous allons te faire regretter cet entêtement.
Il s'y refuse pourtant.
M. s'approche, le gifle brutalement, et lui pince les deux narines, lui coupant la respiration. Il finit par ouvrir la bouche et aussitôt le membre viril se glisse profondément dans sa gorge.
- Ne le mords pas, car je te jure qu'il se fâchera et je ne réponds de rien dans ce cas.
La menace suffit, B. s'exécute.
Au même instant, le deuxième homme se glisse derrière lui, écarte lesfesses, crache dans ce cul ouvert, et place son membre devant l'entrée, qui jamais encore, n'a été pénétrée par un membre viril.
B. sert les fesses aussi fort que possible, mais il est trop tard. Hâletant de crainte, il ne peut empêcher le membre de l'envahir lentement.
Toutes retiennent leur souffle, la scène est forte, l'excitation se lit dans le regard de certaines!
Un cri rauque! B. est vaincu! il est maintenant enculé!
Avec un synchronisme parfait, les deux hommes entament leur va-et-vient, l'un prenant la bouche, l'autre violant son intimité la plus secrète.
- Messieurs vous nous offrez un beau spectacle, alors nous vous demandons d'aller au bout, nous voulons vous voir jouir dans ce cul et dans cette bouche.
- Connaisant vos talents d'étalons, il vous faudra inverser la situation, ce qui devrait satisfaire ce monsieur.
Les deux hommes ont pris ensemble leur premier plaisir dans les deux orifices offerts. Comme dans un ballet bien réglé, ils inversent alors la situation.
Pantelant, possédé par deux hommes devant toutes ces femmes et surtout la sienne, B n'a plus de réaction, il subit ce deuxième assaut avec fatalisme, comme détaché du monde
Mais derrière ce détachement apparent son humiliatin est à son comble, M ne l'ignore pas.
Le deuxième assaut, plus rude que le précédent, arrache des gémissements à B., qui ne sont pas de plaisir, toutes en sont convaincues.
Satisfaits pour la seconde fois, ils se retirent enfin de B. qui reste prostré, agenouillé, obscène, gémissant de honte.
- Pensez vousque cela suffise? Si oui, nous arrêtons là, si, au contraire, la punition vous parait insuffisante, F vous propose de l'achever à sa façon.
- Non, continuez nous voulons tout voir! La réponse fuse d'une salle unanime.
- Dans ce cas, votre participation est nécessaire. Nous sommes là depuis longtemps, et comme vous, sans doute, j'ai très envie d'uriner. Il n'y a pas de toilettes dans cette pièce, mais nous avons à notre disposition "ce réceptacle provisoire"!
- Nous approuvons la proposition et la trouvons tout simplement "géniale".
- Chose infâme, allonge- toi sur le dos, beaucoup parmi nous ont un besoin urgent, tu vas nous servir de toilettes.
Que peut faire B. sinon se plier à cette nouvelle et très humiliante exigence?
La première à venir sur la scène est sa femme. Elle s'accroupit sur le visage de B. et se soulage sans hésitation.
Ce dernier tente de se dérober, mais il n'y réussit guère. D'autres spectatrices urinent debout sur son corps. Certaines imitant sa femme, obligeant B. à boire leur nectar.
Ce dernier, maintenant complètement brisé, n'a pas la moindre réaction, totalement résigné.
- Arrêtons nous là pour aujourd'hui, je suis convaincue que ce monsieur va réfléchir longuement avant que de recommencer sa traque sur internet.
- Qu'il retourne chez lui, vous ne le verrez plus comme un macho, mais seulement comme un homme qui s'est fait fouetter, enculer, qui a sucé des verges, avalé le sperme, fait jouir des hommes dans sa bouche, tout ceci sous votre contrainte.
Il vous amusera quand vous le croiserez, et lui n'osera même pas vous adresser le moindre regard.
- C'est cela la finalité de cette punition, il va porter longtemps sur ses épaules ses infamies.
- Qu'il se rhabille et disparaisse, nous ne voulons plus le voir! Tu vas être raccompagné à la gare, je pense que tu auras de la place dans le train, si l'on tient compte du parfum dont nous t'avons aspergé.
- Mais nous voulons savoir ce que pense ton épouse de ta punition, ce qu'elle envisage pour ton avenir.
Aussi avant de partir, nous aimerions que tu l'écoutes.
- J'ai réfléchi;
Je vous remercie de lui avoir faire payer si cher ce qu'il a fait à toutes ces femmes. Seule je n'en aurai pas eu la possibilité. Son machisme n'existe plus, nous savons toutes ce qu'il a subi, ce que nous avons exigé de lui.
Je vais le garder comme mari, en y mettant toutefois des conditions.
Il est maintenant à mes ordres, il est mon esclave, il doit me servir comme je l'exige, sinon je m'engage à vous le ramener et je fais confiance à votre imagination pour le punir plus encore qu'il ne l'a été aujourd'hui.
Un an s'écoula après cet après midi mémorable.....Mais ceci est une autre histoire.
il y a 11 ans
Une très belle histoire qui se dévore.
Merci
TSM
il y a 11 ans
Ca se lit sans effort, et avec délectation :twisted:
il y a 11 ans
Compte anonymisé
J'ai lu, ou plutôt dévoré, avec énormément de plaisir cette histoire.
Bravo à Vous,
Très respectueusement Votre
il y a 11 ans
Compte anonymisé
Très belle plume, merci !
il y a 11 ans
Compte anonymisé
j'ai englouti cet écrit avec délectation, et ceux qui vont te lire vont être très prudents afin qu'il ne leur arrive pas la même chose, surtout s'ils ont quelque chose à se reprocher :P
Bravo à toi, et on espère tous la suite un jour....
Oasis
il y a 11 ans
Une bien belle vengeance à l'encontre d'un salaud intégral
Il a amplement mérité ce qui lui arrive et je doute fort qu'à l'avenir il reprenne ses jeux
:lol: :lol:
il y a 11 ans
j adore!
bravo Me saadienne
il y a 11 ans
Compte anonymisé
il y a 11 ans
il y a 11 ans
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