sado, maso au bureau
Elle menait le service d’une main de fer et bien peu osaient seulement soutenir son regard.
Toute la journée ses talons claquaient à un rythme rapide à travers les couloirs et les salles, allant d’un poste de travail à l’autre, distribuant les ordres sèchement et les remontrances sans retenue. Célibataire, on ne lui connaissait pas de liaison, même dans ces lieux mixtes où circulaient tant de rumeurs vraies ou fausses sur les coucheries du bureau.
Pour ses supérieurs, elle était un cadre qui s’investissait entièrement dans sa vie professionnelle. Pour ses employés, elle était une mal baisée qui se défoulait dans son travail. « Elle n’est pas mal baisée, elle n’est pas baisée du tout » disaient les plus cruels. « Ce ne serait pas étonnant qu’elle soit encore vierge »
Octavie était la victime idéale pour Melle Duval. Agée de vingt-trois ans, elle était la plus jeune employé, n’avait aucune qualification et était particulièrement inhibée. Gentille avec tout le monde, elle ne se liait pratiquement pas, parlait au minimum. Elle était jolie, mais sans soin pour elle-même. De petite taille, ses épais cheveux châtains donnaient l’impression de n’être jamais coiffés, elle ne s’habillait que de jean et de grands pulls sans grâce. On la plaignait surtout d’être la tête de turc de Loren.
- C’est honteux de s’en prendre comme ça à Octavie qui est déjà fragile, se disait-on quand la chef était loin, bien sur.
- Tu ne veux pas te sacrifier pour sauter Duval ? demandaient les femmes à leurs collègues hommes. Elle irait mieux après…Mais Loren restait la terreur incontestée de tous et plus particulièrement d’Octavie.
Ce jour là, justement, les conversations s’éteignirent et tout le monde baissa la tête en entendant les talons approcher avec leur rythme habituel : clac clac clac…Mais sans jeter un coup d’œil aux autres, Loren se dirigea directement sur Octavie, tenant à la main plusieurs lettres à destination de clients.
- Mademoiselle ! Qu’est ce que c’est ce travail ? On ne vous demande rien de difficile, heureusement d’ailleurs, vu vos capacités ! Il y a au moins quatre erreurs dans le tri du courrier ! Non mais ce n’’est pas possible, je me demande pourquoi on vous paye, non mais retournez dans votre province ma pauvre fille, vous êtes vraiment nulle ! Vous allez me refaire tout ça, c’est vraiment pas croyable d’être nunuche à ce point la ! Etc. etc.
Puis elle partit, toujours aussi pressée. Octavie pleurait sans bruit et tout le monde murmurait, scandalisé.
La journée se déroula comme d’habitude, avec ses terreurs et ses coups de gueules. A dix-sept heures, le personnel quitta la boite. Comme d’habitude, Loren resta pour travailler sur des dossiers. Deux heures après elle sortit, alla manger un croque-monsieur au café d’en face, puis repris sa voiture. Elle quitta Paris et se dirigea vers son pavillon de banlieue.
En rentrant la voiture au garage, elle se sentit parcourue par l’habituel trouble qui accompagnait ses retours à la maison. Un frisson parcourant ses reins qui n’avait rien à voir avec l’excitation du travail.
Sortant par la porte de derrière, elle déboucha bientôt dans le salon. Octavie était là, assise sur le canapé. Bien coiffée, maquillée, elle sirotait un whisky, vêtue d’une jupe en cuir noire et d’un débardeur, les pointes de ses seins érigés à travers l’étoffe.
- Il était temps, dit-elle en se levant. Ses chaînes de chevilles tintèrent à ses pieds nus. Tu ne vas pas passer ta journée au boulot, non ?
- Excuse-moi, Octavie, j’avais des dossiers à traiter.
- Viens là, on a des comptes à régler toutes les deux !
Octavie arrivait à peine à la hauteur de la poitrine de loren. Mais quand cette dernière s’approcha, elle reçut une retentissante paire de claques qui envoyèrent ses lunettes sur le tapis.
- Alors comme ça je suis nulle ?
- Excuse moi Octavie, fit la grande en baissant les yeux. Les doigts de la petite s’étaient imprimés sur ses joues.
- C’est facile, hein ! Mets-toi à genoux, voilà. Reste à quatre pattes. Je vais te montrer moi, si je suis nunuche à ce point là !
Elle contourna la blonde qui attendait la suite, appuyée sur ses coudes et ses genoux, la tête baissée, le postérieur dressé dans son tailleur gris, son chignon parfaitement fait, ses chaussures à talons encore aux pieds.
- Alors mademoiselle Duval, on fait moins la fière, maintenant ! dit-elle en lui dégrafant sa jupe qui vola plus loin.
Lentement, elle lui baissa sa culotte jusqu’à mi-cuisse.
- Alors réponds ? On joue moins à la terreur ? Comment tu te sens ?
- Je me sens humiliée, je te suis soumise Octavie…
La main de la jeune fille s’abattit violemment sur les fesses de la femme mûre qui poussa un petit cri…
- Tiens ! Ça c’est pour mon bled de province ! Et pour mes capacités que tu n’as pas l’air de considérer ! Attends ! Tu vas les connaître, mes capacités !
Les claques se succédaient à un rythme effréné. Loren gémissait à chaque fois que la main de son bourreau tombait, elle se cabrait, ses jambes s’écartaient comme elles pouvaient, entravées qu’elles étaient par la culotte tendue au maximum. Elle exposait sa fente déjà luisante, bordée de poils blonds. La correction continua avec une cravache. Cette fois Loren criait et pleurait mais chaque fois elle présentait docilement ses rondeurs. La cyprine coulait sur ses cuisses.
Octavie s’interrompit admirant la beauté de sa victime, ses fesses si rondes et fermes qui étaient maintenant écarlates, ses jambes galbées cachées toute la journée par des vêtements austères. Passant ses mains par-devant Loren qui restait dans sa posture de soumission elle lui ouvrit son chemisier, défit le soutien-gorge et ses seins, son 95 d, jaillirent voluptueusement de la veste de tailleur. La jeune femme les empoigna, les pressa, en pinça les pointes érigées, puis se reporta sur la croupe de son esclave, la flattant de la main, des lèvres…sa langue en parcouru le sillon, se glissant en profondeur jusqu’au petit trou, à son goût fort. Le doigt entier d’Octavie pénétra l’orifice froncé et sa bouche descendit entre les grandes lèvres, passant sur le clitoris sans trop s’y attarder. Elle huma le parfum de désir qui émanait du sexe humide, lapa avec délice la liqueur qui s’en écoulait.
- Tu t’imagines, comme ça, le cul à l’air, au bureau ? Ça t’exciterait ?
- Ho oui ! Je suis trempée rien que d’y penser !
- Qu’est ce que tu voudrais qu’il se passe ?
- Que chaque employé me baise. Les hommes avec leurs queues, les femmes avec leurs langues…
- Tu es vraiment une chienne…ne bouge pas !
Octavie s’éloignait. La blonde restait ainsi prosternée, ses reins lui cuisaient, son ventre était parcouru de langues de feu plus cuisantes encore…Elle n’en pouvait plus de désir. Elle approcha doucement sa main de son entrejambe, mais un coup composé de petites piqûres l’arrêta.
- Non ! Il n’est pas question que tu te branles toute seule, il n’y a que moi qui ai le droit de te faire jouir, si je veux et quand je veux !
La petite était revenue et brandissait la brosse à poils durs avec laquelle elle avait arrêté la caresse de Loren
Une nouvelle série de coup commença, avec la brosse. Délicieuse et terrible pluie de milles pointes piquantes, marquant la peau d’autant de petits points rouges. De temps en temps la dominatrice s’interrompait, elle enleva sa jupe qui vola un peu plus loin et sous laquelle elle ne portait rien, et se caressait violemment, puis recommençait le châtiment avec plus d’ardeur.
Les cris de la victime consentante devinrent des hurlements quand sa maîtresse- à tous les sens du terme- lui introduisit sans ménagement deux doigts dans le vagin, puis trois, se lançant dans un rapide mouvement de haut en bas, tout en continuant à la frapper avec l’autre main.
- Qu’est ce que tu mouilles, ma salope !
Un quatrième doigt rentra. Loren se tordit et hurla de plus belle quand le pouce y passa à son tour, puis toute la main.
- J’espère que ça t’aura ramolli l’oignon, lança, prise de furie, Octavie.
Retournant la brosse, elle pénétra avec le manche le plus petit orifice, qui n’était plus vierge depuis longtemps et lui imprima un autre rythme, d’avant en arrière. Les deux pénétrations conjointes firent leur effet, la chef de bureau fut rapidement foudroyée par un orgasme formidable. Octavie retira sa main gluante mais laissa la brosse. Loren se laissa tomber à plat ventre, le front sur ses mains jointes. C’est alors qu’Octavie lui attacha un collier de chien autour du cou.
- Ce n’est pas le moment de mollir, comme tu dirais à tes employés !
La tirant par le collier, d’où partait une laisse, elle la fit rejoindre la chambre à quatre pattes et s’allongea sur le lit, les jambes ouvertes…
- Allez ! Bouffe-moi la chatte ! Et applique-toi !
L’esclave lui caressa les jambes, embrassa l’intérieur des cuisses, jusqu’à ce que son nez rencontre le sexe parfaitement glabre d’Octavie. Collant sa bouche du haut aux lèvres du bas de son amante, elle sortit une langue gourmande qui fit d’abord de grands mouvements, puis le cercle se resserra sur le fruit gonflé et odorant qui surgissait de son écrin.
Octavie poussa de grands soupirs qui devinrent des gémissements. Devant elle, elle voyait le chignon blond en train de bouger entre ses jambes, et plus haut, après la veste de tailleur, les fesses rouges entre lesquelles était encore plantée la brosse, comme la queue d’un chien entrain de manger dans sa gamelle.
- Tu es bonne en langue, ma vieille pute ! Mais montre-moi aussi ce que tu sais faire de tes dix doigts !…voilà comme ça…ho oui !!! Mets-m’en un aussi dans le cul…oui c’est bon ! Vas-y plus fort !…mais ne t’arrête pas de lécher, connasse ! Ho oui comme ça, je te sens de partout…je sens que…
Elle jouit violemment, emprisonnant la tête de la blonde entre ses jambes, puis se détendit complètement…Loren s’endormit entre les cuisses d’Octavie. Un peu plus tard, réveillées par le froid, elles se glissèrent sous la couette et se rendormirent dans les bras l’une de l’autre.
Le lendemain matin elles buvaient leur café dans la cuisine. Selon leur pacte c’était le seul moment de la journée où elles étaient d’égale à égale.
- C’était super hier soir, dit Loren avec un regard énamouré. Je ne vais pas pouvoir m’asseoir de la journée mais qu’est ce que j’ai jouis !
Perdues dans leurs pensées, elles se remémoraient le soir où, très surprises, elles s’étaient rencontrées dans un bar de femmes, toutes deux vêtues de cuir, alors qu’Octavie venait d’arriver dans le service. Elles avaient longuement parlé et Loren lui avait confié son fantasme de se soumettre à une femme bien plus jeune, une subordonnée de surcroît !
Elles s’étaient ensuite rendues chez Octavie, qui après avoir attaché la blonde sur une table l’avait fouettée et prise avec un gode de taille respectable. Leur relation avait démarré ainsi très fort.
Elles passèrent sous la douche, où chacune savonna l’autre, la rinça, leurs corps et leurs bouches se rejoignirent, tandis que leurs mains fouillaient leurs mottes respectives. Ce fut un orgasme simultané et très doux. Loren embrassa alors une dernière fois son amante, s’habilla en vitesse et quitta la maison dans sa voiture.
Octavie passa sa main dans ses cheveux emmêlés, sans les coiffer, enfila son jean et ses basquets et se dépêcha pour avoir son train de banlieue.
Elle avait dix minutes de retard en arrivant au bureau. Mlle Loren Duval l’attendait, devant son poste de travail.
- Je vous signale, lui dit-elle, glaciale, que vous prenez votre service a neuf heures et non pas neuf heures dix ! Ca commence mal, d’autant plus que je viens de jeter un coup d’œil au tri du courrier !
Sa voix monta soudain.
- Vous allez me refaire ça en vitesse, sinon vous allez entendre parler du pays ! cria-t-elle en balayant de la main la pile d’enveloppes sur la table d’Octavie.
Sans piper mot, cette dernière se mit à les ramasser sous le regard compatissant de ses collègues. Le bruit des talons s’éloignait.
- Tu vas voir ce soir ! grommela-t-elle entre ses dents.
Sur les lèvres pincées de Loren, qui regagnait son bureau, un sourire s’esquissa une demi-seconde.
- Qu’est ce que je vais prendre ! se dit-elle avec délice….
— Mademoiselle Octavie ! Venez dans mon bureau !
Le glapissement de Loren Duval ne tolérait aucun délai. Sous le regard apitoyé de tous les employés, qui se réjouissaient en secret de ne pas être à sa place, Octavie fila derrière sa chef de bureau comme un chien apeuré.
Son angoisse était bien réelle, mais elle participait à son plaisir. Pendant la journée de travail, c’était elle la soumise et la convocation dans le bureau de Loren laissait entrevoir quelque chose de plus intense et pervers que l’habituelle humiliation en public. Un feu s’alluma dans son ventre et son sexe se mit à bouillonner de crainte et de désir.
Elle referma la porte, sachant que personne n’oserait les déranger. Loren s’installa sur son fauteuil pivotant qu’elle éloigna du bureau, ses jambes ouvertes dévoilant sa culotte noire sous le tailleur gris. Octavie connaissait bien son regard cruel et lascif, ainsi que la moue qui tordait sa bouche.
- Alors petite salope ? Où en étions-nous ?
Octavie tremblait devant la terrible Mlle Duval qui empoigna une sacoche de cuir et l’ouvrit
- Octavie, tu es une sale gosse et une employée lamentable ! Je vais te montrer comment je corrige les sales gosses et comment je dresse les mauvais employés !
Déshabille toi ordonna Loren ! A ton avis, quelle punition mérite ton incompétence ?
Octavie déglutit péniblement, comprenant que c’était elle qui allait devoir fixer le niveau de son châtiment. C’est—à—dire le degré de souffrance ou d’humiliation que lui valait sa faute. Un moment elle hésita. Elle savait que la punition ne pouvait en aucun cas être trop faible. Loren ne le lui pardonnerait pas. Mais en même temps, elle rechigna à fixer quoi que ce soit. Son corps était encore endolori par le traitement qu’il du enduré ses derniers jours. Elle ressentit encore sur les fesses les coups douloureux, souvenir des fessées répétées qu’elles ont subi. Quant à ses seins, elle a l’impression que ses mamelons avaient doublé de volume d’avoir du subir pendant de si longues heures la morsure de pinces. Mais, elle sentit Loren qui s’impatienta.
Octavie se remémorait rapidement ce qui lui valait ce châtiment. Le courrier mal trié, ses retards à répétitions. . Et, elle était là devant Loren, agenouillée tête baissée, bras croisés derrière son dos, complètement nue. En fait, elle était agenouillée sur le carrelage dur dans cette position inconfortable depuis trente minutes et Octavie commença à ressentir dans ses genoux et ses reins une douleur diffuse qui se propagea jusqu’à ses épaules. Pendant tout ce temps, son angoisse montant d’un cran à chaque minute qui passait, Octavie entendait Loren vaquer à ses occupations habituelles l’ignorant. Comme si elle n’était pas là. Est cette indifférence qui était le pire des châtiments pour elle. Quand elle avait l’impression de ne plus exister à ses yeux.
Loren était debout devant Octavie. Masse imposante vêtue gris qui la domine.
— Alors, lança d’elle impatiemment, j’attends.
Craintivement Octavie leva ses yeux vers elle et murmura d’une voix hésitante.
— ..... 20 coups de cravache Melle Duval.... bien appliqués
— Oui.... cela me semble correct.
- Je te préviens, si jamais tu cries, d’abord c’est fini entre nous, ensuite tu es virée de la boite !
- Je ne crierai pas bafouilla misérablement Octavie
Loren sortit une cravache de la sacoche et s’en frappa la paume ouverte.
Le claquement fit frémir Octavie autant de peur que de délice, car ces cinglements étaient terriblement cuisants et marquaient son corps de longues traînées rouge qui, elle le savait, mirent plusieurs jours à disparaître.
Elle était ridicule, humiliée, nue les fesses à l’air dans ce bureau, sous l’œil concupiscent de la femme en tailleur qui la détaillait. Avec son chignon et ses lunettes, elle lui évoquait sa mère, qui lui avait donné tant de fessées dans son enfance…plus tard, quand elle se masturbait, l’image s’imposait à chaque fois d’une femme mure qui claquait son fessier.
- Mets-toi en position.
Octavie se dirigea vers le bureau où sont empilés divers dossiers, s’accouda, jambes écartées, reins offerts à Loren.
- Nous allons commencer. Tu dois bien te douter que la punition va être TRES sévère et à la mesure de ta négligence au travail. Je ne peux tolérer de ta part une telle attitude. J’exige de toi, martèle—t’elle avec violence, UN TRAVAIL PARFAIT, petite sotte, nunuche
Les mots que lui assènent Loren la fouettèrent aussi violemment que la cravache dans un moment. Octavie était t honteuse et malheureuse de lui avoir déplu. Elle comprenait qu’elle devait espérer aucune pitié et qu’elle allait avoir mal, très mal. Mais elle n’en voulait pas à Loren
Aussitôt la cravache s’abattit sur les fesses avec un claquement sec et une brûlure déchirante. Octavie serra les dents, ne laissant passer qu’une plainte étouffée. . Deux autres coups lui sont portés avec une égale violence toujours sur le bas du dos engendrant une brûlure intolérable. . Le quatrième et cinquième coup de cravache tombèrent eux sur le haut de ses cuisses. Ils ne sont pas moins violents. Des larmes jaillissent incontrôlables de ses yeux alors qu’elle se mordit désespérément les lèvres pour ne pas hurler. Mais au sixième coup qui atterrit à la jointure de ses jambes, zone particulièrement sensible, elle laissa échapper un cri étouffé.
— Dommage, dit Loren d’une voix narquoise, ce corps si délicieux va devoir subir un autre coup supplémentaire. Nous en sommes donc à 21.
Sans que Octavie sache comment elle arrivait à retenir ses gémissements alors que Loren, insensible à la souffrance qu’elle lui infligea continuait, imperturbable à la cravacher sans adoucir le moins du monde la rudesse de ses coups. Passé le dixième coup, d’un mouvement Loren retourna Octavie et l’ordonna de joindre les mains derrière son dos afin de bien dégager sa poitrine puis elle abattit sèchement la cravache sur ses seins faisant en sorte que le bout plat cingla ses tétons. La douleur était si violente qu’elle se propagea en un éclair de feu dans tout son corps. Instinctivement, elle ferma les yeux mais Loren lui ordonna d’une voix autoritaire de les rouvrir. Elle exigea qu’Octavie regarde la cravache s’élever avant de retomber dans un sifflement sur elle.
— C’est beaucoup plus excitant ainsi, tu ne trouves pas ?
Tout aussi violemment elle visa son clitoris sur lequel elle fit siffler la cravache deux fois d’affilée. Octavie n’en pouvait plus. La douleur était insupportable. Une nouvelle plainte s’échappa d’elle. Elle savait que cela va ferait durer davantage son supplice mais il lui était impossible de retenir ce faible geignement de bête. . Elle sanglotait de plus belle, le visage dévasté par la douleur alors qu’elle voyait la cravache s’élever et descendre dans un mouvement d’une immuable puissance Loren avait raison, la vision de cette cravache qui monta et retomba était terrible. Avant même qu’elle ne me toucha, elle anticipa la force du coup et la douleur qu’il engendra sur sa chair martyrisée striée de zébrures rouge. A chaque nouveau coup son corps frémit d’avance avant de trembler de souffrance. Un désir irrépressible de se recroqueviller l’étreignait mais elle arrivait à rester debout, stoïque malgré la douleur qui la ravagea. Chaque coup était comme une décharge électrique qui la faisait tressauter. Des éclairs étincelèrent devant ses yeux hallucinés. Une lave bouillonnante semblait circuler dans ses veines. Par intermittence, un faible gémissement s’échappait de ses lèvres qui fut aussitôt comptabilisé par Loren. Lorsque les 20 coups furent donnés, Melle Duval s’arrêta essoufflée, le visage luisant de sueur. Ses yeux brillèrent d’une étrange lueur faite à la fois d’affliction et d’excitation. Irrésistiblement, Octavie sentit soudain son vagin pulser et mouiller de désir.
Puis elle s’avança vers elle et lui demanda sur quelle partie du corps elle préférait recevoir les 10 coups supplémentaires que lui valaient ses plaintes.
Incrédule et hagarde Octavie la regardait. Elle se sentit défaillir. Comment pouvait-elle lui demander une chose pareille alors que tout en elle demandait que cesse ces sévices. Mais elle ne plaisantait pas. D’une voix faible et chevrotante, elle lui indiqua qu’elle préfère le dos qui lui semblait plus apte à supporter de nouveaux coups. Puis, sans qu’elle lui eût besoin de le lui ordonner, elle reprit sa position accoudée face à la table et lui tendit, toute résistance rompue, ses fesses. Un moment, Melle Loren Duval restait immobile comme indécis devant la complète abdication d’Octavie puis, sans plus attendre et d’un mouvement rapide, sans interruption, lui infligea les derniers coups de cravache qui lacèrent ses cuisses et son dos. Alors que la cravache s’abattit sur Octavie, elle sentit venir de l’intérieur de son corps une boule incandescente qui grossissait, s’épanouissait, et qui soudain éclata en une gerbe étincelante et flamboyante. Elle ne retenait plus le hurlement qui soudain jaillit et la délivre de sa souffrance. Jouissance farouche, d’une sauvagerie brutale. Diamant pur qui la déchirait et l’emportait. Un moment, elle resta figée, tremblant de tous ses membres. Au bord de l’évanouissement, ses larmes coulaient sans qu’elle puisse les retenir. Elle se sentit si faible alors qu’en elle bouillonnait les derniers relents de la jouissance qu’elle venait d’éprouver. Elle éprouvait une étrange exaltation d’être parvenue au bout de cette épreuve et d’avoir prouvé à Melle Loren Duval ce qu’elle était capable d’endurer. Elle avait mal, très mal et pourtant elle se sentit bien. Légère. Libérée. Mais déjà M’elle Loren Duval s’approchait d’Octavie. Tendrement, respectueusement, elle la faisait se redresser et essuyait avec une lingette son visage. Peu à peu, elle reprenait ses esprits alors que ses mains effleurent son corps meurtris.
Loren flatta un moment les globes fermes, et bien marqués d’Octavie
- Une sale gamine avec un beau cul
…alors Loren cessa la punition.
- Retournez à votre poste, mademoiselle ! ordonna-t-elle de son ton cassant.
Octavie se rhabilla et sortit, la mine défaite et les yeux rouges, retournant vers ses collègues compatissants.
Quand elle rentra chez elle, ce soir là, Loren trouva Octavie qui l’attendait, vêtue de sa jupe en cuir et d’un bustier noir sous lequel pointaient ses seins libres. Elle était chaussée de ses cuissardes.
- Déshabille-toi, lui demanda-t-elle froidement.
Délicieusement inquiète Loren s’exécuta. Sa maîtresse lui demanda de ne garder que ses bas et ses chaussures à talons et d’étendre son buste sur une table. Elle lui lia les mains derrière le dos et les chevilles aux pieds de la table puis cala un coussin sous son ventre, surélevant son bassin.
Elle était exposée ainsi, le cul relevé, les jambes écartées. Octavie passa derrière elle, explorant de ses doigts ses fesses et sa chatte ouverte, s’y enfonçant un peu.
- Je t’ai préparé une surprise ce soir, un traitement de faveur…
Elle ouvrit la porte de la chambre et fit pénétrer deux hommes, deux jeunes noirs athlétiques qui regardèrent la victime avec convoitise.
- Voilà votre salope, dit la plus jeune.
Loren se débattit.
- Octavie, qu’est ce que c’est ? Qu’est ce que tu veux faire ?
- Tais-toi, chienne !
La maîtresse avait déboutonné les braguettes des deux noirs qui bandaient déjà, brandissant des sexes de tailles impressionnantes. Elle branlait chacun d’une main et ordonna à l’un des deux :
- Toi ! Encule-la !
Elle écarta les fesses de son esclave et lubrifia l’anus avec sa salive. Le noir se posta à l’entrée et poussa. Loren hurlait en sentant le gros pénis s’enfoncer, le bourrelet du gland passer le sphincter et pénétrer entièrement en ouvrant son petit corridor.
- Vas-y ! Cria Octavie, défonce-la ! Eclate-lui le cul à cette truie !
La queue s’enfonça jusqu’à la garde, jusqu’à ce que les couilles de l’homme s’écrasent contre le cul de Loren, puis entama un mouvement de va et vient. Loren criait toujours.
- Dis donc, moi je n’avais pas le droit de gueuler aujourd’hui…alors tu vas te taire toi aussi.
Elle guida le second noir et l’enfonça dans la bouche de la blonde.
- T’as intérêt à bien le sucer !
Elle s’assit et observa sa compagne prise par les deux bouts, une queue s’enfonçant dans son fondement, la bague rose resserrée autour de la colonne noire et l’autre luisante de salive, coulissant entre ses lèvres. Devant ce spectacle elle avait retroussé sa jupe et se caressait fougueusement le bouton, tout en enfonçant deux doigts dans son vagin. Elle jouit rapidement ainsi, mais il lui fallait plus. Elle retira le noir de la bouche de Loren et grimpant devant lui sur la table, s’empala sur la queue d’ébène. Bien que n’appréciant guère les hommes, elle avait besoin de se sentir comblée, remplie. Elle se soulevait afin que l’autre femme eut bien devant elle le sexe du jeune homme qui rentrait en entier dans sa chatte juteuse.
Loren, à chaque coup de boutoir dans son cul, frottait davantage son clitoris sur le coussin qui s’inondait sous elle. Le plaisir la gagnait. Tendant la tête et la langue elle vint lécher le bouton d’Octavie, juste devant elle. Sous la double stimulation du membre qui la barattait et de la langue qui passait sur sa pyramide dressée et durcie, Octavie fut vite secouée par l’orgasme. La blonde explosa aussi, suivie des deux hommes. Les deux bites retirées, la blonde sentait le sperme couler entre ses fesses, comme un ruisseau chaud jusque sur son sexe. Octavie la saisit par les cheveux et lui colla la bouche contre sa fente fortement parfumée.
- Nettoie-moi la chatte. Avale tout !
Loren lécha le foutre et la mouille, goût et odeur masculine et féminine mêlés.
Bien plus tard dans la nuit, elles étaient étroitement enlacées dans leur lit.
- Ca va, tu n’as pas eu trop mal ? demanda Octavie.
- J’ai eu mal…mais ça m’a tellement excitée de me faire enculer devant toi !
- Cochonne…tu m’as bien défoncée aussi avec ton gode ! Mais j’ai adoré !
Elles s’embrassèrent tendrement. Demain serait un autre jour, avec d’autres jeux….
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