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Cuckold au féminin Histoire vécue

Ce témoignage n’est pas une histoire inventée, son auteur est disposé à en parler avec vous sur le chat de fessestivites.

Nous étions amants, nos rencontres étaient assez fréquente pour le plaisir d’être ensembles et le reste….. Lui comme moi avions beaucoup d’envies et de fantasmes. Au départ, c’est lui qui m’a fait découvrir le monde du libertinage. Au début nous allions voir des couples puis il m’a présenté des hommes. C’est lui qui prenait les devants et s’occupait de moi pour toutes ces choses là. Il m’a même présenté une femme mais ce sera peut-être l’objet d’un autre récit.

Il me disait souvent, « fait-moi une surprise, étonne-moi ». Je cherchais donc un moyen de l’exciter, je le surprendre pour qu’il ne me quitte pas car j’avais peur qu’il aille voir ailleurs si à mon tour je ne parvenais pas à lui donner quelque chose, à lui faire plaisir.

Au départ je pensais contacter une femme sur des sites mais je ne savais pas m’y prendre, mes essais étaient infructueux. L’idée m’est venue de lui proposer de trouver lui-même une femme et de me téléphoner pour que j’entende tout lorsqu’il lui ferait l’amour.

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Cuckold au féminin Histoire vécue Il a trouvé l’idée géniale mais cela l’a beaucoup étonné. Il m’a demandé si j’aimerai vraiment cela. Je garderai en mémoire le sourire radieux qu’il avait ce jour là. J’attendais tous les soirs en restant éveillée car j’étais réellement en attente de l’appel téléphonique qui concrétiserait cette aventure.

Un soir ou plutôt une nuit, le téléphone a sonné, rien que de voir que c’était lui, j’en ai mouillé ma culotte. Il devait être une heure du matin, mon cœur battait la chamade car j’attendais vraiment.

Lorsque j’ai décroché le téléphone, j’ai dit « allo » comme de tradition mais il n’y avait aucune réponse. A travers le combiné, j’ai pu percevoir une musique. J’étais aux aguets. La seule parole que j’ai entendue est « approche-toi de moi » puis, scotché au téléphone, j’ai entendu une femme dire : « qu’est-ce que tu vas me faire ».

Allongée sur mon lit, je me suis découverte pour la suite que vous imaginez sans problème….

« Oui, vas-y, doucement », elle gémissait, il lui disait « hum que tu es belle » ses gémissements et sa forte respiration m’ont excitée à un point difficilement descriptible. En écoutant cela, je me caressais comme une folle avec des images plein les yeux. Elle, je ne la connaissais pas, mais lui je l’imaginais faire des choses en essayant de deviner en fonction de ce que j’entendais. Rien que d’y penser en vous le racontant, cela m’excite, c’est dire si cette expérience m’a marquée.

J’ai pris beaucoup de plaisir à les entendre et avec mes doigts comme si j’étais atteinte de la maladie de Parkinson c’était magique. Lorsqu’il a raccroché, j’ai compris qu’ils avaient terminé, j’étais bien, reposée, épuisée par ce que je venais de vivre.

Une heure plus tard, mon téléphone a sonné à nouveau, c’était lui. Il m’a demandé ce que j’avais ressentis et comment j’avais vécu la chose. Je lui ai avoué sans aucune honte que j’avais beaucoup aimé, que cela m’avait rendu folle et que je m’étais caressée jusqu’à la jouissance.

Et là, il m’a demandé de me caresser pour lui et de tout partager avec lui. Il voulait tout entendre, tout savoir, il voulait que je lui donne tout par téléphone. Il m’a répété plusieurs fois qu’il était fier de moi et qu’il ne m’aurait pas cru capable de faire cela et de le surprendre à ce point là. A ce moment là, je n’avais pas envie qu’il vienne, je voulais garder cette image et la réalisation de ce fantasme qui m’a rendu folle. Je garde aujourd’hui un sentiment impérissable de cette soirée.

QUESTION DU JOURNALISE : avez-vous éprouvé un sentiment de jalousie ?

Pas du tout, au contraire, cela m’a énormément excitée. Il m’a toujours clairement dit qu’il n’avait rien à faire des filles avec lesquelles il faisait l’amour, en insistant sur le fait que pour lui elles n’étaient que des jouets. Il était amoureux de moi j’en suis certaine, il y a des signes qui ne trompent pas et comme nous partagions tout, je ne me suis jamais sentie trompée.

Trompée c’est quand on ne le veut pas, quand on ne le sait pas. Là je savais tout, il me disait tout, j’étais heureuse de le voir heureux tout comme il était heureux sans être jaloux quand je vivais de grands moments de bonheurs physiques lors de nos rencontres à l’extérieur. C’est aussi ça l’amour non ?

Témoignage de Ginou membre du réseau Fessestivites

TSM journaliste du réseau Fessestivites

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Merci Ginou pour ce témoignage.
J'ai énormément apprécié ce moment en ta compagnie pendant lequel tu m'as raconté tout cela avec une spontanée exceptionnelle.
Si tu as d'autres histoires à nous raconter, ce sera un plaisir pour moi de t’interviewer à nouveau.
Grosses bises
TSM

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Bonjour Ginou, bonjour à toutes et à tous,

Bien que n'étant pas attiré (malgré le débat qu'il y a eu sur le sujet) par le cuckolding, j'ai lu ton récit avec intérêt et je peux comprendre ce genre de pratiques.
Par contre, en toute amitié, la phrase ci-dessus m'a choqué. J'ai du mal à admettre qu'on puisse considérer la ou le partenaire même momentané comme un jouet. Je respecte trop les Dames pour ne pas être choqué. Avoir une relation, même de courte durée de ce type n'est pas incompatible, ce me semble, avec le respect de la ou du partenaire.

A noter d'ailleurs que pour moi, il en est de même dans le BDSM et je peux affirmer que c'est pareil pour ma Maîtresse; Elle respecte trop ses soumis pour ne les considérer que comme de simples jouets, même pour des rencontres d'un jour.

Mais que ce petit "coup de gueule" ne t'empêche pas d'écrire de nouveaux récits :) ; cette phrase ne reflète d'ailleurs peut-être pas la pensée réelle de cet homme.

Mes amitiés aux soumis(es) et mes salutations respectueuses aux Maîtresses et Maîtres

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Bonjour Ginou, et à Toutes et Tous,


Un joli récit bien écrit ; je ne suis pas adepte du cuckolding, les gens font ce qu'ils veulent, ils sont libres de leurs choix.

Je pense comme Ludic, au sujet du jouet, les personnes sont des humains avec un coeur et une âme.
Alors que cela soit pour un suivi, un après midi voir plus, le respect de la personne doit être présent.
Simplement ma pensée en découvrant à mon tour cet écrit.

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bonjour
Peut-être faut-il prendre cette pensée sur le moment présent, un peu comme si l'on disait "je me joue de toi" (faire monter le plaisir et le retarder au maximum par exemple) ce qui n'implique pas que l'on considère la personne comme un jouet permanent.
Pour moi, cela n'est pas choquant si c'est la bonne interprétation.
Essayons de ne pas prendre tous les écrits "au pied de la lettre", imaginons nous à la place de la personne à ce moment précis. Bien des mots peuvent sortir de sa bouche sans pour autant qu'il en fasse son quotidien.
( qui n'a pas dit, parfois, en faisant l'amour à une femme "tu es une petite chienne" je te baise comme une salope" ou encore "fais toi salope" ) est ce pour autant que la partenaire est une salope ou une chienne? Bien sur que non!!

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Bonjour maridemamaîtresse :lol: , bonjour à toutes et à tous,

C'est vrai que des phrases prononcées au cours de jeux peuvent perdre leur caractère choquant en fonction du contexte... mais là, le début de la phrase ne va pas dans ce sens, je cite " Il m’a toujours clairement dit qu’il n’avait rien à faire des filles avec lesquelles il faisait l’amour"; il s'agit bien pour moi de femmes utilisées en tant qu'objet ...

Mes amitiés aux soumis(es) et mes salutations respectueuses aux Maîtresses et Maîtres

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Pour être très franche Ludic, je trouve que tu coupes les cheveux en quatre pour le plaisir ou alors tu n'as pas compris le sens. Il semblerait que tu ais besoin d'exemples précis pour t'éclairer.

Quand dans une soirée tu es confié par Dame Saadienne à une Maîtresse, penses-tu que pour elle tu sois autre chose qu'un "jouet" ? [b:q7yj9vi2](Jouet dans le sens jeu d'un soir et non pas un objet) [/b:q7yj9vi2]

DANS CET EXEMPLE, tu éprouves bien souvent du plaisir, d'abord parce que tu fais ce que te demande ta Maîtresse et donc lui fait plaisir mais aussi pour toi même dans certain cas ? Oui ou non ?

Dans la relation que j'entretenais avec mon amant régulier, il y avait des sentiments affectifs, sentiments que je n'avais pas avec d'autres hommes quand je faisais du libertinage.

AUTRE EXEMPLE :
Un homme dans une soirée en club libertin peut être utilisé comme un "sex-toy humain" mais nous en conviendrons, ce n'est qu'une image l'homme n'étant pas un objet. Il n'y a aucun sentiment et parfois même on ne sait même pas son prénom.

AUTRE EXEMPLE
Il existe des backroom (pièce noire) dans certains clubs libertins ou gays. Là c'est pire, on ne voit même pas la personne, les appareils sexuel des "mâles" sont donc utilisés comme des sex-toy humain. idem pour les glory hole

Est-ce plus clair pour toi maintenant :?:

Amicalement
GinOu

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Bonjour Ginou, bonjour à toutes et à tous,

Oui, ton explication de textes était utile :)

En fait, il n'y a rien à dire [b:3gtcihh6]si la 3e personne est pleinement consciente du rôle qu'elle joue et l'accepte[/b:3gtcihh6] (ce qui est je crois en principe le cas pour les adeptes du cuckolding).
Le respect doit de toutes façons rester: Oui, j'ai éprouvé du plaisir à être prêté par ma Maîtresse à d'autres Maîtresses (ou Maîtres) lors de soirées, pour Elle et parce qu'Elle était là, mais ces Maîtresses ou Maîtres pour qui j'ai effectivement été un jouet du moment m'ont respecté.

J'ai réagi ainsi parce que la phrase me faisait trop penser au concept de femme-objet qu'ont beaucoup d'hommes. Je n'ai pas vraiment l'esprit libertin et ne suis pas un adepte du cuckolding, donc je n'y ai sans doute pas vu la part de jeu. Sans être Gynarchiste, j'ai trop de respect pour les Femmes pour admettre qu'elles soient considérées comme des objets. Sauf bien sûr, donc, dans le cadre d'un jeu admis comme tel par tous les partenaires.

Avec mes excuses, donc pour mon incompréhension du moment,

Mes amitiés aux soumis(es) et mes salutations respectueuses aux Maîtresses et Maîtres