Une femme furieuse peut devenir Maîtresse

Une femme furieuse peut devenir Maîtresse

Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

- Alors comme ça tu cherches une Maîtresse parce que je suis une coincée du cul ! Crie Anna furieuse lorsque son mari arrive un soir à la maison.

- Tu délires chérie !

- C’est moi qui délire ou c’est toi qui est un menteur ?

- Mais c’est quoi ce délire ?

- Prend-moi pour une conne, le speudo « pauvre soumis délaissé » sur Fessestivites, je l’invente ?

- Mais ce n’est qu’un délire sur le net, que vas-tu penser !

- Oui c’est sûr, et dans tes messages envoyés, cette correspondance avec une certaine Maîtresse Carla à qui tu donnes ton numéro de portable, et à qui en plus tu racontes des tas de trucs sur moi, c’est juste un délire bien sur ! Tout comme la photo de nous deux sur la plage où j’apparais les seins nus sur ton profil, c’est aussi une illusion ?

- Je m’amuse avec mes fantasmes mais c’est tout, ne vas pas penser que je t’ai trompée.

- Je ne pense rien p’tit con, je constate que tu donnes ton portable et m’exposes sur le net à visage découvert et seins nus en me faisant passer pour une Maîtresse qui te délaisse. J’ai aussi lu tes textes et tes déclarations aux Maîtresses qui te plaisent, Maîtresses qui comme par hasard sont dans la région ! Comme c’est juste pour délirer avec tes fantasmes……. tu ne les choisis pas trop loin….. c’est 100 % logique. Si elles étaient au Canada ou de l’autre côté de l’hexagone j’aurais pu te croire…… Crie Anna en toisant son mari. Puisque tu veux une Maîtresse, tu vas en avoir une, et crois-moi sur parole « pauvre soumis délaissé », délaissé tu ne vas plus l’être.

Devant cette avalanche de preuves, Henri perd pieds mais ne s’imagine pas être le soumis de sa femme, pour lui c’est impensable. Une sérieuse dispute éclate, dispute pour laquelle Anna n’y va pas par quatre chemins. Soit il accepte de devenir son soumis, soit elle demande le divorce à tord pour Henri en apportant les preuves qu’elle a imprimées à son avocat.

En tant qu’avocat, Henri est mal, il sait même qu’il est très très mal ! Sa femme a raison sur toute la ligne pour le divorce, il s’imagine même les bruits de couloir au palais de justice si elle demande le divorce. Pour ne pas perdre sa femme, être condamné à une pension alimentaire et détruire sa réputation, il n’a pas trop le choix. Il essaye de négocier, chose dès plus délicate avec une femme furieuse s’estimant trahie, et qui dispose des preuves de cette trahison.

- Tu n’as pas de chance p’tit soumis……. ! Conclue Anna avec une voix dédaigneuse. Si je ne connais rien au BDSM ou à la domination, j’ai eu une enfance dure avec un père particulièrement rude, tu vas apprendre à marcher droit crois-moi ! Va au salon, met-toi nu, j’arrive.

Henri n’arrive pas à admettre ce qui lui arrive, s’il fantasmait sur des séances BDSM très érotique, il se déroule soudain devant lui un avenir bien difficile. Ce n’est pas qu’il soit pudique, mais se dévêtir ainsi sur ordre et attendre sa femme au salon lui semble impossible. Lorsque Anna arrive au salon avec la grosse spatules en bois servant pour ses confitures, il est torse nu, bloqué devant la ceinture de son pantalon qu’il n’arrive pas à défaire. Toujours aussi furieuse, elle ne l’épargne pas et lui impose de se mettre nu en retirant elle-même la ceinture de son pantalon.

- Tu ne vas quand même pas me battre ?

- Te battre ? Non, te fesser et te punir oui ! N’est-ce pas ce que tu demandais à Maîtresse Carla ?

Une fois qu’il est intégralement nu au milieu du salon, Anna tourne autour de lui et tape dans sa propre main avec l’énorme spatule tout en listant les fautes de son mari. Très narcissique, elle ajoute même que la sentence sera assortie de travaux d’intérêt général pendant sa réclusion criminelle à perpétuité. Forcé de se pencher sur la table de la salle à manger, ses fesses sont exposées au courroux de sa femme, semble t’il bien décidée à devenir sa Maîtresse. Au premier coup de spatule qui s’abat sur son fessier, Henri pousse un cri, se redresse et se frotte les fesses en jetant un regard méchant à sa femme.

- Cela ne fait que commencer, tu vas prendre 30 coups, si tu bouges, je recommence à zéro. Quand il nous punissait, mon père nous les faisait compter, tu vas faire de même. Ne me fait pas ton regard de méchant, tu n’y couperas pas, ta vie va changer, c’est ça ou le divorce. Lui indique Anna avec une voix ne laissant aucun doute possible sur ses intentions.

Les coups de spatule s’abattant sur ses fesses lui font un mal de chien, Henri serre les poings et les dents pour ne pas hurler, en se faisant rappeler à l’ordre quand il ne compte pas. Les 30 coups sont vécus par Henri comme un calvaire, au trentième il est à bout de souffle, ses yeux sont gorgés de larmes difficilement contenues. Elle lui ordonne de ne pas bouger et s’en va dans la cuisine un instant, pour en revenir avec un tablier de cuisinière en plastique.

- Mets ça et va faire la vaisselle, je n’ai pas eu le temps aujourd’hui, j’ai passé la journée sur l’ordinateur à lire et imprimer tout ce que j’ai pu. Ne rêve pas, les documents ne sont plus à la maison et j’ai changé ton mot de passe sur Fessestivites ainsi que l’adresse email.

Totalement désarçonné par cette fessée, après la robe noire des avocats portée le matin même, Henri porte maintenant un tablier de cuisinière en plastique rose avec des fleurs. Par la fente un peu coquine de derrière, on peut apercevoir une partie de ses fesses rouges, détail qu’Anna ne loupe pas en venant contrôler, ce qui la fait sourire. Sourire parce que cela lui rappelle quelques souvenirs de jeunesse, de l’époque où ses frères se moquaient d’elle quand elle était fessée ou punie.

L’ambiance du repas n’est pas à la fête, Henri bougonne, Anna n’en a que faire et le presse afin qu’il fasse la vaisselle avant qu’elle ne s’occupe de lui, en bonne Maîtresse tyrannique. Ces propos n’amusent pas l’avocat, comme l’on peut s’en douter. Avant même qu’il ait terminée la vaisselle, revêtue d’une magnifique robe noire, Anna entre dans la cuisine avec la ceinture d’un peignoir dans une main et la ceinture de cuir du pantalon d’Henri dans l’autre. Pendant qu’il frotte les assiettes, elle s’amuse à caresser le beau fessier de son mari, soudain troublé, il n’a pas l’habitude qu’on lui touche les fesses. Anna passe la ceinture de cuir autour du cou de son mari, puis lui retire son tablier de cuisinière avant de le forcer à mettre ses poignets dans le dos qu’elle lie avec la ceinture du peignoir. Tiré par le cou comme un esclave, totalement dépité et sans volonté, il suit sa nouvelle Maîtresse qui le fait s’étendre sur la moquette de la chambre.

- Grâce à toi, j’ai découvert une expression que je ne connaissais pas, le « facesitting », je connaissais évidement le 69, mais je ne suis pas d’humeur à te faire une gâterie. Lui indique Anna en enfourchant le visage d’Henri. Lèche bien et fait moi jouir, si tu faiblis de ta langue si habille au tribunal et pour Maîtresse Carla, je t’arrache les tétons.

Le nez logé entre les fesses de sa femme, il se met à lécher ses lèvres généreuses, mais Anna en veut plus et commence à écraser les tétons de son mari tout en se penchant un peu en avant pour qu’il accède à son bouton magique. Au plus elle écrase son visage, au plus elle pince ses tétons, au plus la verge d’Henri se gonfle, au point d’afficher quelques secondes plus tard une magnifique érection.

« Mais il aime vraiment ça », constate Anna en découvrant la personnalité cachée de son mari après dix ans de mariage. Amusée de ces réactions et des bonds qu’il fait quand elle s’acharne sur ses tétons, Anna commence réellement à s’exciter, à en vouloir plus. Ni une ni deux, elle se lève, se tourne puis s’empale sur le sexe de son mari. Les mains attachées dans le dos, ses poignets supportent le poids de son corps et celui de sa femme qui, à la recherche de son plaisir, commence à réellement le chevaucher avec fougue. D’une main elle tire sur la ceinture toujours attachée au cou de son mari, de l’autre elle se caresse en le chevauchant. Henri dépassé par les évènements grogne soudain de plaisir, se contracte et jouit quasiment de suite, ce qui rend Anna folle de rage, elle commençait elle aussi à gravir l’échelle des plaisirs. Le sexe de l’avocat ne tarde pas à mollir et à « s’échapper » de l’intimité de son épouse bien décidée à assouvir sa faim de jouissance.

- Puisque tu as déjà jouis, tu vas finir ton travail avec ta langue ! Indique aussitôt Anna en s’asseyant à nouveau sur son visage pour se refaire faire un facesitting.

Anna est déchaînée, elle se frotte contre le nez d’Henri, lui arrache presque les tétons pour qu’il lui donne le plaisir attendu. Noyé dans les généreuses sécrétions de sa femme et son propre sperme, sous la douleur devenant lancinante engendrée par les pincements de ses tétons, Henri se tord dans tous les sens mais n’a d’autres choix que de lécher le plus vite possible pour qu’elle jouisse et le libère. D’une petite taille sous celle de sa femme plus enrobée, l’avocat ayant les mains liées dans le dos ne peut que subir. S’il avait rêvé de facestting forcé, il n’avait jamais imaginé que son épouse puisse lui imposer de le faire avec sa chatte engluée. Comme si elle était envoûtée par la situation, Anna écrase de plus en plus le visage de son mari, avant d’abandonner un de ses tétons pour se masturber jusqu’à la conclusion tant désirée.

Un premier orgasme fulgurant la terrasse mais elle en veut encore et encore. L’avocat commence à comprendre le sens du mot « violé ». Profitant d’un de ses « rebonds » il tourne la tête à la recherche d’air frais, puis la supplie de le libérer. Anna voit les choses autrement, elle se lève en tirant sur la ceinture toujours autour du cou de son mari pour s’allonger sur le lit en tirant la tête du malheureux pour se faire brouter le minou. Henri œuvre tant qu’il le peut pour la satisfaire pendant qu’elle agite son bouton magique comme si elle avait la maladie de Parkinson.

Epuisée et repue, Anna passe sous les draps et libère les mains de son mari. Il frotte aussitôt ses poignets endoloris et n’ose pas regarder sa femme dans les yeux, elle sait maintenant qu’il est réellement soumis. Quand elle lui ordonne d’aller préparer le café pour le lendemain avant de venir se coucher, cet ordre est presque comme une libération, il a besoin de temps pour digérer tout ce qu’il vient de lui arriver.

EPILOGUE

Anna a modifié le pseudo de son mari sur Fessestivites, c’est aujourd’hui MaîtresseA, elle prend plaisir à surfer et à dialoguer sur le chat et les forums avec ses nouvelles amies, Maîtresse Carla lui donne même des astuces et des conseils de dominatrice. Henri quant à lui, s’enfonce de plus en plus dans la soumission, il n’est pas rare de le voir nu avec un plug entre ses fesses striées en train de laver les sols à quatre pattes entre les talons hauts de sa femme.

La garde robe de MaîtresseA évolue de jour en jour tout comme les accessoires SM qu’elle achète régulièrement dans la boutique [b:1r4m33rr]www.ABCplaisir.com[/b:1r4m33rr]

Ecrivaillon.

P.S. Un autre titre que « Une femme furieuse peut devenir Maîtresse » est possible : « Quand un faux profil devient un vrai profil »…….
il y a 10 ans

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