• 3

Se faire loper c'est l'abandon total, tout est permis ou presque comme le test hiv avant si c'est du sans capote.
Se faire loper c'est abandonner toute fierté, être le jouet, le souffre douleur, des trous disponibles.
Se faire loper c'est bon ! Tu décides de plus rien, tu prends ce qu'on te donne et des fois tu perds la tête en plein.
Et quand tu perds la tête, c'est l'extase.
Et moi, j'aime ça !

• 3

Oui Lopette, je partage totalement ton ressenti, se faire loper c'est un abandon tellement sublime, abandonner son corps aux désirs de ses partenaires être leur objet de plaisir, quel bonheur!

• 2

Tout a fait ok avec vous, les garçons !!

• 6

Je ne sais pas si ce que j'ai vécu c'est se faire « loper » mais parfois obéir à des situations peut détruire un couple.
J'ai vécu pendant plus de 10 ans auprès d'une Dame qui était ma Maîtresse.

Elle aimait me faire l'amour avec son god ceinture. Ma Maîtresse était phallique. Il est vrai qu'au tout début de notre relation cela m'avait surpris. La première fois cela m'avait fait mal malgré le gel intime et c'était juste 2 ou 3 vas et vient. Et son jouet n'était pas trop gros. Après quelques jours de repos, c'était même moi qui lui avais suggéré de recommencer car j'étais prêt à retenter l'expérience et je voyais bien qu'Elle en avait envie. Au début j'avais eu mal encore mais mes cris de douleur ce sont vite transformé en petits cris de plaisir. À cette époque je ne portais pas encore la cage mais je ne devais pas me caresser pendant qu'Elle me faisait l'amour. Nous ne vivions pas encore ensemble et une fois, je me suis masturbé en rentrant chez moi en repensant à tout cela. Je ne sais pas comment Elle l'a su ou deviné mais j'avais reçu une sacrée correction. Je n'ai plus jamais refait ça pendant toutes les années où nous sommes restés ensemble.

Par la suite, je savais que quand ma Maîtresse m'ordonnait de porter un jock strap, j'allais "passer à la casserole". Je ne savais pas où et quand mais je me préparais pour cela par un lavement.

Ma Maîtresse aimait aussi me garnir d'un plug. Souvent c'est Elle même qui me l'introduisait, mais avant, Elle me le glissait dans ma bouche pour le lubrifier.
De temps en temps Elle aimait me faire porter un plug pour aller au restaurant, sortir balader, faire les courses.... Devoir porter un plug queue de cheval pour faire le ménage. Elle aimait savoir que je portais un plug quand nous allions au restaurant, quand nous allions voir la famille, je n'ai jamais su pourquoi mais c'était ainsi.

Ma Maîtresse était particulièrement excitée quand Elle entendait le "clac clac" du cadenas sur la cage de chasteté pendant que je faisais le ménage et c'est souvent que je passais "à la casserole".  Parfois il arrivait aussi que moi je ne sois pas vraiment disponible à cela et pour cela Elle était juste, Elle comprenait. On n'est pas des robots hihihi.

Être sodomisé par sa Maîtresse c'est quelque chose de merveilleux car la Maîtresse fait ainsi l'amour à son soumis. Je ne vois là que quelque chose de beau et d'extraordinaire. C'est une récompense qu'offre la Maîtresse à son soumis. La Maîtresse offre ainsi à son soumis la chance de pouvoir jouir et le soumis offre son petit trou d'amour à sa Maîtresse. Tout comme, un soumis aura apprécié un tendre bisou pendant l'acte.

J'ai le souvenir d'une fois, nous étions en vacances en bord de mer et ma Maîtresse m'avait fait l'amour sur le balcon, j'avais les mains sur la rambarde et offert aux envies de ma Maîtresse. Nous avions par la suite bien rit de cette situation car les voisins venaient d'arriver et sont allés sur le balcon et on faillit nous surprendre. C'était toutefois très agréable avec la vue sur la mer.

Un soumis est toujours honoré d'avoir en lui un plug ou encore, s’empaler sur un god ventouse au moment de s’asseoir. Je dois bien avouer que c'est une sensation agréable de se sentir ainsi garni et cela peut préparer à un bel acte entre 2 personnes amoureuses. De plus, en portant une cage de chasteté, cela développe d'autres plaisirs intime.

Ma Maîtresse aimait me faire sucer son god ceinture. Et me disait souvent que je le ferais avec des hommes. Je n'y croyais pas trop car je savais qu'Elle était hyper jalouse. Mais un samedi après-midi, nous avions rdv dans un café avec un homme. J'ai vite compris au fil de la discussion qu'Elle avait organisé ce rdv pour me le présenter. Il y avait eu des échanges au préalable entre eux deux. Visiblement ce que ma Maîtresse proposée convenait à cet homme.

Sur le chemin du retour, ma Maîtresse me dit « il n'y a pas de raison que je sois la seule à m'amuser, je t'ai trouvé un amant et je veux être fière de toi ». Le soir même nous avions rdv chez lui. Nous étions devant sa porte d'entrée que ma Maîtresse m'ordonne de me mettre nu, Elle me passe le collier et la laisse. J'avais juste ma cage de chasteté et un rose bud. Nous étions en train de faire l'apéro quand ma Maîtresse a pris la direction des opérations. Elle avait clairement fait comprendre que nous étions là que pour une chose. Donc, me voilà à genoux pour faire une fellation à cet homme. J'étais tenu en laisse par ma Maîtresse qui dirigeait les opérations. J'étais hésitant mais je ne voulais pas fâcher ma Maîtresse donc je me suis exécuté. Il me dictait pour savoir comment bien faire. Il a fini par jouir dans ma bouche et ma Maîtresse voulait que j'avale tout.

De retour à la maison, ce soir-là, ma Maîtresse s'est écroulé dans le canapé, je me suis mis à ses pieds pour la déchausser et masser ses divins pieds. Elle m'avait murmurée qu'Elle était fière de moi et qu'Elle voulait que je goûte autre chose que ma propre semence après mes plaisirs solitaire. Après une bonne douche, ce soir-là j'ai eu l'honneur de partager son lit, Elle m'avait fait l'amour avec son god ceinture, jamais Elle n'avait été comme ça et j'ai su que ma Maîtresse avait été particulièrement excitée par ce qu'Elle avait vu. J'étais même fier de lui avoir procuré ce plaisir.

De ce fait j'ai souvent eu l'occasion de faire des trucs avec cet homme. Bien entendu, ma Maîtresse veillait à ce qu'il porte bien un préservatif quand il me sodomisait. Par la suite il avait fait le test, ce qui était plus facile.

Un jour, nous étions au supermarché et on le croise. Cela avait fait « tilt » dans la tête de ma Maîtresse et j'ai fini par aller le sucer dans sa voiture sur le parking du super marché sous la surveillance de ma Maîtresse. Il fallait faire vite car nous avions des surgelés dans le caddie.
Une autre fois nous étions au restaurant tous les trois. Au cours du repas il se lève pour aller aux toilettes. Ma Maîtresse me caresse doucement ma joue et me dit « va le rejoindre, il veut se faire sucer et fait ça bien sinon je vais te punir ». En effet, je lui ai fait une gâterie dans les toilettes du restaurant.

Ma Maîtresse n'était pas jalouse que je passe du temps avec mon amant. Je n'ai jamais vraiment compris la raison mais cela lui plaisait.

Ma Maîtresse ne se cachait même plus pour l'appeler au téléphone et lui demander de passer à la maison s'il voulait s'amuser. J'avoue que même moi, parfois je demandais à ma Maîtresse quand Roger allait revenir. J'aimais sa jouissance dans ma bouche, je crois que j'étais même devenu accroc à cela. Je pouvais rester un mois sans le voir et cela me rendait triste. Je demandais parfois à ma Maîtresse « Roger vient ce week-end ? » et Elle me répondait « il viendra quand je l'aurais décidé ». J'avais même proposé à ma Maîtresse d’emménager la chambre d'ami de sorte que Roger puisse rester parfois à la maison. Elle avait été d'accord. J'avais refait les peintures de sorte que Roger s'y sente bien. De ce fait, il lui était arrivé de rester à la maison mais je n'ai jamais dormi avec lui, ma Maîtresse ne me l'autorisait pas. Par contre, le matin, lors du petit déjeuner, j'avais la permission de me glisser sous la table et il était particulièrement en forme le matin. J'avoue que j'attendais ce moment avec impatience.

Quand Roger venait, j'aimais lui préparer des bons petits plats et ma Maîtresse voyait bien tout ça. Et Elle me disait, il faut que tu mérites qu'il vienne te voir. Alors bien sur, j'étais le plus docile possible. Mais Elle me faisait bien comprendre que je ne devais pas m'attacher et que je n'étais qu'un jouet pour lui. Mais bon, je suis de nature sensible et j'aime faire plaisir. Quand nous nous retrouvions, je l'embrassé et cela faisait plaisir à ma Maîtresse de voir à quel point j'étais content de le revoir. Mais pour tout le reste, j'attendais les directives de ma Maîtresse.

Un soir on va chez lui et selon le rituel habituel, je me déshabille devant la porte d'entrée, ma Maîtresse me passe le collier, la laisse.... On rentre, il y avait Roger et un gars que je ne connaissais pas. J'étais rouge de honte mais ma Maîtresse me dit tout doucement à l'oreille que ce soir j'allais passer un cap supérieur. Ils avaient organisé une soirée pour que je m'offre à deux hommes. Elle m'embrasse tendrement et me dit : « ce soir c'est ta soirée, amuse-toi ». Je me suis donc offert à deux hommes sous les directives de ma Maîtresse mais ce soir-là ma Maîtresse ne dirigeait pas trop.

À voir le sourire de ma Maîtresse, j'ai su qu'Elle était heureuse et j'avoue que moi je m'étais bien amusé. Sur le chemin du retour, pendant que je conduisais, j'ai dit « merci Maîtresse, je vous aime ». Elle m'ordonne d'arrêter la voiture et de venir de son côté pour lui donner du plaisir avec ma langue. Elle m'ordonne de me déshabiller et me passe le collier, laisse. C'est à genoux que je lui donne du plaisir et ensuite j'ai eu le privilège d'une douche dorée, là, dehors, à côté de la voiture. Ce soir-là j'avais même partagé le lit de ma Maîtresse et j'avais été libéré de la cage pour me livrer à une vidange.

Une autre fois, nous étions à la maison tous les trois. Ma Maîtresse avait pris un verre de trop et Elle avait proposé un jeu. Il fallait sucer Roger et le faire jouir le plus rapidement possible. Comme nous avions tous un peu bu, Roger était resté à la maison et j'espérais que ma Maîtresse me permette de dormir avec lui car j'avoue que ce soir là j'avais envie de lui. Mais non, j'avais dormi aux pieds du lit de ma Maîtresse et Elle l'avait invité dans son lit. Je les ai entendu s'amuser. J'en avais les larmes aux yeux mais son bonheur passait bien avant tout.

À partir de ce jour notre relation s'est dégradée car Elle devenait de plus en plus distante avec moi malgré que je fusse toujours autant amoureux. Roger s'occupait moins de moi mais il s'occupait de ma Maîtresse.

Un week-end, Roger était chez nous. Je venais de débarrasser la table, démarrer le lave-vaisselle. Ma Maîtresse était dans le canapé avec Roger assis à ses côtés et je suis allé prendre place à ses pieds comme j'avais l'habitude de le faire. On commence à regarder le programme de la tv puis ma Maîtresse parle avec Roger d'une aire de repos où il se passe des choses le soir. Ils en avaient parlé déjà auparavant mais ce soir ma Maîtresse était curieuse de voir ce qu'il s'y passe. Sans plus attendre, ma Maîtresse décide qu'on y aille tous pour voir. Je m'habille car il ne faisait pas chaud puis je vais vers la voiture pour prendre le volant et ma Maîtresse me dit « non, toi tu voyages dans le coffre ». Me voici donc dans le coffre de la voiture, ce n'était pas la première fois que je voyageais ainsi et ce n'est pas confortable. On roule jusqu'à l'aire de repos de Vergèze. La voiture s'arrête et après quelques minutes le coffre s'ouvre. Ma Maîtresse confie la laisse à Roger en lui disant « allez-vous amuser » et me disant à moi « montre-moi comme tu es bien docile et que je sois fière de toi ».

Sous la surveillance de ma Maîtresse, j'accompagne Roger qui me tenait en laisse jusqu'à une table en bois d'aire de repos. Il me fait poser les mains sur la table, m'oblige à me cambrer, enlève mon pantalon et il me titille mon petit trou d'amour. Je dois avouer que j'avais envie qu'il me prenne et c'est ce qu'il a fait rapidement. Je sentais son sexe aller et venir en moi et je ne demandais que ça à ce moment-là. Trois ou quatre mecs sont venus pour mater la scène, ils se sont masturbés. Roger à même fait signe à un gars de venir pour qu'il se fasse sucer. Il y en a deux qui sont venus se faire sucer pendant que Roger faisait des vas et vient en moi. Roger à finir par jouir en moi, j'ai senti sa semence chaude couler à l'intérieur de moi.

Les gars ont éjaculé sur mon visage. Je suis retourné à la voiture tenue en laisse par Roger. Je me suis approché de ma Maîtresse et j'ai déposé un tendre bisou à ses pieds en lui disant merci. Elle m'avait dit qu'Elle était fière de moi. Elle m'avait caressé la joue délicatement, il y avait encore du sperme sur mon visage qu'Elle a pris au bout d'un de ses doigts avant de le glisser dans ma bouche. Pour le trajet du retour Roger avait pris le volant et moi j'étais assis à l'arrière. Ma Maîtresse rigolait tout en me tenant en laisse, ils se sont tripotés pendant quasiment tout le trajet. Une fois arrivé à la maison et après une bonne douche, nous sommes tous allés nous coucher. Mon matelas aux pieds du lit de ma Maîtresse m'attendait. Bien entendu, ma Maîtresse et Roger ont passé la nuit ensemble et j'étais heureux de savoir ma Maîtresse ainsi ravie.

Au petit matin ma Maîtresse m'a réveillé par une caresse dans mes cheveux. Elle était là, sur le lit, nue, son visage respirait le bonheur, Elle était radieuse, magnifique et avec un beau sourire Elle m'ordonne d'aller préparer le petit déjeuner. Je reviens dans la chambre avec le plateau du petit déjeuner. Ma Maîtresse dit à Roger « tu sais que soumis a envie de te sucer ce matin ». Bien entendu je m'exécute sous l’œil de ma Maîtresse et c'est tenu en laisse que j'ai fait du bien à Roger. Ma Maîtresse lui dit comme Elle était fière de moi de ce que j'avais fait la veille au soir, Elle lui a même dit que maintenant j'étais prêt à faire plus.
Je sais que ma Maîtresse aurait aimé me voir au centre d'un glory hole. Elle me préparait petit à petit à cela. Ils avaient trouvé un centre sur Montpellier où cela était possible. Par amour pour Elle, je l'aurais fait mais nous ne sommes jamais allés en glory hole car nous nous sommes séparés avant mais je sais qu'Elle aurait aimé m'y voir faire des trucs sous sa directive, tenu en laisse. 

Mais nous avons fini par nous séparer. Par amour pour Elle j'étais prêt à vivre une relation à 3 mais Elle a préféré me rendre ma liberté pour vivre avec lui. En fait, c'est Roger qui n'acceptait plus cette situation et Elle avait préféré se séparer de moi. Je savais qu'Elle m'aimait et tenait à moi mais l'amour qu'Elle avait pour cet autre homme était plus fort.

Voilà pourquoi je dis que parfois il y a des risques dans la vie. Je sais bien que mon statut de soumis ne me permettait pas de dire « non » mais si j'avais fait en sorte de ne pas aimer une situation, sans doute que notre couple aurait duré plus longtemps.

• 2

Joli témoignage dommage pour la fin. Ma maitresse l'a lu également et c'est exactement ce qu'elle voudrais de moi.
Par contre et pour éviter de se perdre , nos barrières sont qu'aux moudre sentiments de sa part ou de ma part pour un ou une autre la relation cesse immédiatement.
Il ne doit y avoir que du sexe, du dressage,de l'humiliation, de la soumission et domination

• 2

@dominaetsoumis
En effet, le risque dans une telle relation c'est d'avoir des sentiments au fil du temps. Moi même je tenais à mon partenaire et quand je ne le voyais pas j'étais triste. Au final c'est mon ex Maîtresse qui a fini par vivre avec. Ma Maîtresse avait décidé que j'aurais un amant dans le but d'avoir des rapports sans protection. Donc, pour cela il faut avoir confiance en l'autre et cela ne peut se faire que petit à petit.
Bref, pas facile comme situation et j'espère que vous ne ferez pas la même erreur que moi.

• 0

Ou sont les "lopeur"

• 1

@Bearboy Où sont les lopeurs ?

Je suis là LOL. Je vais faire une réponse collective ne vous sentez pas visé, ce n'est PAS mon but. Je ne vais DONC pas parler de vous puisque nous ne nous connaissons pas mais de MOI et des lopes.

Je ne suis pas gay, donc pas de sodo avec moi ET chacun son lit. (Quand il a droit à dormir dans un lit) En effet, j'ai toujours apprécié loper des soumis gays ou bi, cela m'amuse.
Je leur fais quoi si il n'y a pas de sodo ?

Du BDSM, de l'esclavage, des bondages hard, du CBT, de l'uro. Me faire lécher les pieds, le cul et pomper la bite pendant que j'urine ne me pose aucun problème. Leur casser le cul au plug, à la main et même au pieds (foot fucking) peut m'amuser si ils ont été méritants. Méritants ? ? Oui c'est là le problème.
Méritants :
Le problème est que bien souvent, les soumis rêvent d'être lopés, sauf qu'en réalité, ils arrivent avec un cahier des charges. Pas de marque, pas de ça, pas de ça, il faudra me faire ça et ça. Et en plus, quand ils souhaitent une relation suivie c'est que quand ils sont disponibles.... (En cachette de madame)

ENSUITE Mentalement, ils sont honnêtes avec leurs envies, leurs fantasmes sauf que c'est mentalement. Quand on les bouscule un peu, ils couinent vite, demandent d'arrêter. Voilà pourquoi cela ne m'amuse plus vraiment. Je me sens trop --> à leur service. Et ça, je n'aime pas. Si on dit lope, c'est lope ! ! !

Avec moi, une lope ne doit pas avoir trop de limite, d'interdit. Il arrive en bonne santé et repartira en bonne santé. Pour le reste c'est moi qui décide et pas l'inverse. Des exemples ?
- Si je veux lui imposer de s’asseoir sur un gros plug avant --> de le clouer sur une petite chaise par la peau des couilles, il l'accepte. (Les clous sont stériles cela va de soit)
- Si je veux me faire retirer mes chaussettes crades avec ses DENTS et lécher les pieds en rentrant du jardin, il le fait.
- Si je veux en faire un chien, il devient un chien et mangera mes restes.
- Si je veux le faire dormir en couche dans ma cage ou entravé sous mon lit, qu'il aime ou pas les couches je m'en tape. Je n'ai envie de me lever pour le libérer afin qu'il aille pisser.
- Si j'ai envie de faire un peu de sport et le fouetter, il n'a qu'un droit, c'est d'aller SEUL se menotter débout sous l'anneau dédié à ça et attendre.
- Si je l'appelle quand je suis assis aux toilettes, il arrive au pas de course, c'est que j'aurai envie de lui donner du champagne.
- Si j'ai envie de le faire sauter comme une truie en chaleur, il n'a qu'un droit, tendre ses fesses. (Je surveillerai pour le présa )
- Si j'ai envie de jouer avec des aiguilles OU de l'attacher par des aiguilles, il n'a qu'un droit, être content que je m'occupe de lui.
- Si j'ai envie de ... ou de ..... j'arrête là la liste des exemples, elle serait trop longue.

RAPPEL : il arrive en bonne santé et repartira en bonne santé surement avec des marques. Il y a un jour d'entrée et un jour de sortie, entre les deux, il est une lope.

Il ne faut pas confondre les XXX petites initiations BDSM que j'ai déjà réalisées dans ma vie pour hommes et femmes et un lopage en règle. Ce sont des choses totalement différentes.
Les initiations que j'ai faites, avaient pour but de faire découvrir, de donner envie d'aller plus loin, ou de décider que telle ou telle pratique ne leur convient pas.
--> initiations et découvertes. C'est SOFT.
--> La soumission a ses règles il y a une notion de plaisir, des interdits, des limites.
--> Lopage c'est tout sauf du soft.

J'adore les initiations, c'est gentil, c'est soft, j'aime voir le visage des gens qui se détendent et sont heureux dans leur découverte. Voir leur crainte fondre comme neige au soleil, c'est trop mignon. Ceux et celles qui sont venu(e)s à mes 35 week-end pique-nique fétichistes, à mes soirées ou au Clair Obscur où j'ai animé des soirées découverte du fouet, pourraient vous confirmer que je sais faire du soft.
Par contre, quand je fais du lopage, nous entrons dans un autre monde. Le mec qui m'a dit être lope a intérêt de l'être réellement. Ou il accepte TOUTES mes règles, ou il est viré.

Je ne cherche PAS de soumis. Ne me contactez pas la réponse est NON.

• 2

Je viens de voir votre message.
Je pense qu’il y a plusieurs façons de voir les choses
Accessoirement, je ne suis pas spécialement maso, mais plus sensible à l’humiliation et la domination que peut apporter le maître.
Je n’ai peut être pas la bonne définition mais cela reste une case.
Peut-être devrais je dire que mon maître peut faire de moi son objet sexuel, son urinoir... et sûrement plein d’autres choses
Je pense que cela n’en fait pas moins de moi une lope même si je n’accepte pas certaines choses (sang, scatto...)

• 1

@ Bearboy
Votre définition est aussi la bonne, en réalité, c'est très variable.
J'ai réellement insisté sur certaines choses pour que tous les soumis ne se disent pas des lopes en pensant séance BDSM.
Cet excès volontaire est lié à mes expériences, dont certaines ont été très décevantes. Exemple, les personnes ne disant "lope" mais en réalité, n'acceptant que très peu de choses. Du coup, ce n'était plus du tout amusant pour moi, je ne me sentais plus Maître mais un peu comme un sextoy ou une domination où le mec se croyait sur La redoute et choisissait ce qu'il mettait dans son panier.

• 1

J’ai lu un peu depuis, de soumis à lope, il peut y avoir plusieurs étapes.
Le plus dur est peu être de lâcher prise ou d’accepter cet état.
Il n’en reste pas moins vrai que certaines choses me dérange si on peut dire cela de cette manière
Après le domi reste le maître du jeu

• 2

@Bearboy
Vous avez raison, c'est le lâcher prise qui permet de s’envoler, d'accepter beaucoup de chose OU qui bloque et de fait, empêche la personne de prendre du plaisir. Pour moi, le principal est la sécurité de la lope. Le dom ne doit rien faire qui puisse le blesser, nuire à sa santé ou nuire à sa réputation sociale.
Ensuite, il y a plusieurs niveaux de "jeu", à chacun le sien. Comme indiqué, certaines des rencontres m'ont parfois déçus, pour ne pas dire ennuyé. J'aurai préféré que la personne soit plus franche, je dise "j'ai envie de découvrir certaines choses" plutôt que de se présenter comme lope expérimentée ou "tout terrain".

J'ai parfois joué avec des gays lope géniaux,ils se sont éclatés et moi aussi. Parfois, c'est moi qui touchait MES limites car ils voulaient aller trop loin, Je refuse par principe tout ce qui n'est pas ""réversible"". En clair, on arrive en bonne santé, on repart en bonne santé. Certes un peu strié parfois.

Pour revenir au lâché prise, j'ai eu X fois le plaisir de pousser mes soumises (précision --> volontaires) à perdre la tête. Elles planaient tellement que plus rien n'était ""dégradant"" pour elles. Lorsque je parvenais à les conduire à cet état, j'étais heureux et non pas fier. Heureux de les sentir dans un autre monde, heureux d'être parvenu à les y conduire. Cela ne fonctionne pas toujours aussi bien ! ! ! Il m'est arrivé X fois d'arrêter car les faire souffrir sans qu'elles prennent du plaisir ne m'amuse pas. J'aime jouer, je suis le type de dom et de personne qui font ce qu'elles disent. Si on le dit on le fait, ou on parle d'un simple fantasme.

Pour imager mes propos, je vais donner 1 seul exemple.

Avant les rencontres de longue durée que j'appelais pompeusement "stage de ...." les personnes devaient me remplir un document (évidement privé), me permettant de connaître leurs limites/ interdits puis tout ce qu'elles désiraient vivre. Dans les questions Et pour l'exemple, il y avait "bondage" associé à une durée. Si le mec m'indiquait 8 heures, il ne fallait pas me demander d'être libéré avant les 8 heures. Me supplier ne servait à rien. Comme j'anticipais les besoins naturel, je leur mettais une couche. Ce prétexte n'était pas recevable, soit ils se retenaient, soit ils se faisaient dessus. Ma réponse était : si on le dit on le fait et pour avoir osé supplier, tu seras puni. Réponse associée évidement à des qualificatifs peu élogieux (évitons ici les vulgarités) voir même à ce qu'ils me servent d'urinoir ou que je rajoute des orties dans leur couche ou autres """sanction""" qui me passaient par la tête. Donc quand un mec se disant lope voulait devenir ma lope un weekend et trichait sur sa fiche, ben.... soit elle acceptait les règles, soit j’arrêtais tout et elle pouvaient quitter les lieux après avoir pris une douche.

• 0

Je suis assez novice et je pense commencer doucement et progresser sur la durée
Être un urinoir est une des choses à accepter
Et effectivement rien qui nuise à la santé

• 1

J'ai aussi se petit côté lope quand je suis poussé dans un autre état mental.
De manière générale en SM je suis hélas pas très amusante pour une Dame ou un maître car je ne connais que très peu mes limites dans la souffrance. Mais je pense être relativement douillette.

Mais être lope Peut-être fait par homme femme trans me semble t'il.

Quand je lis les pratiques de TSM certaines me font froid dans le dos. C'est comm3 pour tout chacun ces limites.

Mais le côté humiliation dans le lopage est terriblement délivrant, possible dit atteindre un lâcher prise si pratiquait avec la le les bonne(s)
Gorgeprofonde avec sexe homme ou god les fesses uro jeux humiliation position régression boniche servir de sextoy bondage lécher divers jeu de dilatation. Etc la porte et grande dans se monde sans parler de SM je pense

• 1

Oups désolée pour le doublon de message erreur de manipulation.... juste pour conclure que plus la personne dominante est imaginative et mieux cela sera. Donc à l'inverse pour remercier et prouver nôtre respect et confiance il est bien effectivement d'être prête à un certain éventails de pratique relativement large.

Bien que pour moi le SM hard n'ayant jamais pratiquée me fait terriblement peur mais ne rend pas incompatible la pratique.

• 3

@SoumiseNinon
Il ne faut pas avoir peur de certaines pratiques sans les avoir essayées ! RIRE mais réels. En effet, si on prend les clous par exemple, il faut savoir que la douleur est TRES rapide et moins forte qu'une injection faite par une infirmière. En fait, l'inconnu accroît les craintes.

Je garde en mémoire une soirée BDSM à la maison pendant laquelle j'ai joué avec les clous sur les seins de ma soumise. (Juste la peau LOL, pas à travers le sein lui même) Une des soumise a voulu essayer pour voir et a confirmé que cela ne faisait pas vraiment mal et que cela valait le coup d'essayer au moins une fois. Les autres soumises ont essayé et confirmé. Elles n'ont pas toute aimé cette pratique, mais elle n'en avaient plus peur. Idem pour la PEAU des testicules. Si la personne sait utiliser les clous et le marteau, cela n'est vraiment pas douloureux. Cela pique un peu certes, mais c'est tout. Idem pour les aiguilles. Après, on n'est pas obligé de jouer dans du SM dit hard non plus.

• 2

J'ai hélas une habitude des aiguilles dans la mâchoire gencives les tendons de ma mâchoire la main la colonne vertébrale les bras etc etc pour des raisons médicales et certaines ne sont franchement pas agréable. Mais j'ai acquis une petite habitude donc résistance si je puis dire.

Mais alors voir le clous posé et le marteau se lever info sur je m'évanoui avant même que cela ce passe.
J'aime être féminine mais je tien encore à mes parties.

Mais je vous crois totalement c'est le regard de La non initiée qui parle et l'image fait froid dans le dos et doit beaucoup jouer comme pour beaucoup d'autres pratiques.
Reste à le faire avec la bonne personne et comme il faut c'est pour tout.

Mais oui possible d'être lope sans douleur ^^

• 1

Quand je lis les idées de TSM, j'ai la trique...

• 1

Je préfère que ce soit le domi qui me lope qui ait la trique et pas qu’une...

• 1

je suis une sissy souvent mise a dispo des males dans le club privé ou nous allont tous les samedi,j'ai ordre de ne rien refuser,fessée et martinet,par certains gros lavements punitif en public avant d'etre enculé sans lubrifiant attaché des heures sur un chevalet,si je n'ai pas une bite dans le cul,c'est un gode ou un gros plug,pendant le repas c'est sous la table pour les sucer jusqu'a éjac,ils me tiennent la tète pour que j'avale tout,après le repas attaché sur le chevalet une grosse canule dans le cul ils pisse dans le bock pour me remplir le cul ,le cul bien plein quelques un me sodomise sans ménagement avant de me mètre a la poutre triangulaire mains attachées derriere un poteau,les pieds ne touchant pas le sol ça fait tres mal,j'y reste souvent plus d'une heure, enculé a sec le sperm du premier servant de lubrifiant souvent double pénétration,deux bites dans mon cul,cela les fait rire et jouir de m'entendre gémir et hurler de douleur y compris les femmes qui souvent donne des idées au hommes,je me dit toutes les fois je reviendrais pas,et bien le samedi suivant j'y retourne et je subit.