Récits
A L’ORÉE DU BOIS
il y a 5 ans

Nous sommes en automne. Le taxi arriva à proximité de l’entrée du bois. Cette entrée était marquée par deux colonnes de pierres de grande hauteur. Sur une de ces colonnes, était fixée une plaque noire, sur laquelle étaient peints en caractères blancs « Propriété Privée – Défense d’entrée ». Le bois se trouvait en campagne éloignée de toute population dense, à la lisière d’une route escarpée d’une circulation intense que provoque une proximité urbaine. Le taxi s’arrêta au niveau de l’entrée du bois. L’ouverture de la portière arrière droite fit apparaitre un homme d’une quarantaine d’année, de taille raisonnable sans être très grand avec une stature distingué mais décontracté à la fois. Décontracté, ce n’est cela que l’on traduire dans les pensées de cet homme. L’on pourrait même dire comme stressée tant l’on pouvait ressentir le creux de ces paumes de mains moites lorsqu’il procède au règlement du trajet auprès du chauffeur de taxi. Une fois la commission et réglée et la porte refermé...
LE CONFINEMENT CHEZ MAMAN
il y a 5 ans

Armelle et moi sommes mariés depuis deux ans et nous habitons dans le XIXème arrondissement de Paris. Lorsque l’annonce du confinement a été faite, nous avons été pris de panique. Nos entreprises respectives nous avaient mis au chômage partiel, sans possibilité de télétravail, et nous vivons dans un tout petit studio de 23 m2. C’est suffisant quand on travaille puisqu’on est toute la journée dehors et le week-end on sort beaucoup mais là, qu’allions nous faire à longueur de journée dans une surface aussi restreinte ? Il fallait à tout prix que nous trouvions un lieu avec davantage d’espace, mais où ? Les parents d’Armelle ont pris leur retraite au Portugal et ils vivent dans un petit appartement de l’Algarve, il n’y avait donc aucune possibilité de ce côté-là. Il nous est vite apparu que la seule solution, c’était d’aller chez mes parents qui ont une maison avec un grand jardin en Sologne. Evidemment, cela ne nous enchantait pas vraiment ni l’un ni l’autre. Il faut dire que nos relati...
La curiosité est un vilain défaut mais
il y a 5 ans

La curiosité est un vilain défaut mais

LA CURIOSITÉ EST-ELLE UN DÉFAUT ? Vendredi soir. Un bruit de moteur qui se tait suivi d’un grincement de portail ! Lâchant son livre, elle se précipite à la fenêtre. Juste le temps d’entrevoir deux silhouettes, casquées et de cuirs vêtues, disparaître dans le garage en poussant une moto. Elle n’est, habituellement, pas curieuse et s’intéresse peu à ce qui se passe autour d’elle. Pourtant le jeune couple qui vient d’emménager dans la propriété mitoyenne l’intrigue beaucoup, avivant ses fantasmes. Leur arrivée a été empreinte d’une discrétion qui n’a pas immédiatement attiré son attention. Simple constat d’un remue-ménage (l’emménagement), de volets ouverts le soir lorsqu’elle rentre, de rares allées et venues. Le fait d’avoir des voisins ne la préoccupait nullement. Elle n’est pas de ces gens qui vont frapper à l’huis des nouveaux arrivants pour leur souhaiter la bienvenue. Elle aime trop son intimité, sa tranquillité. Elle ne fréquente personne dans le village et surtout pas les...
Jour de l’An à Marseille
il y a 5 ans

Les confidences érotique d’une homme découvrant la sodomie par une femme

Les confidences érotique d’une homme découvrant la sodomie par une femme Une amie m’a invité à une fête pour le jour de l’An chez l’une de ses connaissances. Il fallait juste amener une bonne bouteille de vin. Ça tombait bien, il me restait une bouteille de Tariquet. Un petit vin blanc sec de bonne tenue qui passe très bien avec les huîtres. Il y avait une petite douzaine de personnes. Dont les trois quarts de femmes. J’adore les soirées où les femmes sont en nombre. Pas seulement parce que, célibataire que je suis, je peux regarder, évaluer, flirter en toute tranquillité mais surtout parce que la plupart du temps, ce sont des soirées qui sont beaucoup plus détendues et plus sympas. Mon amie me présente au maître des lieux et comme nous sommes les derniers arrivés, nous saluons tout le monde les uns après les autres. — Bonjour, Samuel, enchanté de faire votre connaissance… J’aime la diversité des femmes. Des visages, des sourires, des regards, des corps, des façons de bouger, des...
Un p’tit bout femme sadique
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d'un homme rencontrant une jeune Maîtresse un brin sadique.

#### Je l'ai rencontrée sur le forum BDSM de Fessestivites où elle m'a repéré. Après coup, je ne sais dire lequel des deux chassait l'autre. Mimine13 est un p'tit bout femme d'un mètre soixante environ, avec la corpulence d'une gamine malgré ses vingt-cinq ans annoncés. Ses cheveux bruns mi-longs contrastent à merveille avec ses yeux bleus et sa peau claire, son caractère espiègle m'a séduit tout autant que ses petits seins que je devinais sous un tee-shirt à l'effigie d'ACDC. Dès la première minute de notre rencontre à la Samaritaine, une brasserie connue pour les rendez-vous sur Marseille, elle est entrée dans le vif du sujet sans s'encombrer de palabres inutiles. - Es-tu bien sûr de ne pas crier « maman » en moins de trois minutes avant de détaller comme un lapin ? Lors de nos échanges webiens, j'avais pu constater que piquer la fierté masculine est son truc pour jouer et chercher à déstabiliser, mais ayant un vécu autant S que M, ce n'est pas une jouvencelle de ce gabar...
Une femme médecin sans scrupule ni gêne 2
il y a 5 ans

Une femme médecin sans scrupule ni gêne

Le début de cette histoire érotique est ici http://www.fessestivites.com/f/articles/14093-Une-femme-medecin-sans-scrupule-ni-gene À cause d’une petite gêne au niveau de son pénis, et de crainte que cela cache quelque chose de plus grave, Mathéo, jeune étudiant fraîchement débarqué à Paris, prend rendez-vous chez le docteur Liane. Celle-ci se veut rassurante, et lui prescrit une échographie. Mais elle s’adonne également à une étrange séance de palpations qui laisse Mathéo au bord de l’orgasme. ____________________________________________ Je suis finalement allé passer mon échographie, environ six semaines après mon rendez-vous chez le docteur Liane. Et l’échographe s’est voulu lui aussi plutôt rassurant : oui, j’avais bien quelques petites calcifications dans le corps caverneux, mais rien à voir selon lui avec la maladie de Lapeyronie. Sans doute une mauvaise cicatrisation suite à un choc (même si je ne me souviens pas avoir pris le moindre au coup à l’entrejambe), tout cela devrait...
Une femme médecin sans scrupule ni gêne
il y a 5 ans

Les confidences érotiques d’un étudiant qui va chez un médecin pour un souci sur son sexe

Je m’appelle Mathéo, j’ai 21 ans, je suis étudiant, fraîchement débarqué sur Paris, où je viens par miracle de me trouver un logement pour la rentrée prochaine (c’est-à-dire dans quelques jours), un petit studio à un loyer raisonnable. Je suis encore dans les cartons, mais à vrai dire, j’ai un autre souci qui me perturbe : en effet, depuis mes vacances d’été, je ressens une petite gêne au niveau de mon pénis, lorsqu’il est en érection. C’est délicat à expliquer, c’est comme si la peau de mon sexe était soudain trop petite et que « tout » me tirait et me serrait. Mais ce qui m’inquiète le plus, ce sont les quelques petits boules que je ressens lorsque je le palpe, même au repos : pas grosses (sans doute quelques millimètres), pas douloureuses, mais bien présentes. Et f o r c é ment, je me dis qu’il y a un lien. J’ai attendu quelques semaines, pour voir si cela allait passer, mais non. Et je me dis qu’il faudrait que j’aille consulter un médecin. Surtout que j’ai évidemment fait ce qu’i...
Soumise A m'attend
il y a 5 ans

Une histoire érotique de rencontre BDSM secrète dans un hôtel

13:55 Si tout va bien, A. doit maintenant m’attendre, presque nue, dans la chambre 507. Je viens de rentrer dans l’hôtel Maison Albar Céline, rue du Pont-Neuf à Paris. J’aime cet hôtel. J’ai mis du temps à trouver le bon, l’hôtel idéal pour mes escapades libertines. À Paris, il y a de moins en moins d’hôtels qui réunissent encore les critères un peu particuliers que je recherche : – un hôtel 4 ou 5 étoiles ; – un grand lit, vous allez me dire, c’est relativement simple ; mais j’en veux un avec des montants pour pouvoir attacher mes amantes, et ça, c’est plus rare ; – et une baignoire ainsi qu’une douche à l’italienne : certaines femmes aiment la sensualité douce de deux corps enlacés dans la baignoire, quand d’autres apprécient beaucoup plus être prises violemment sous la douche ; – une piscine, un hammam, un jacuzzi, permettent de s’évader pour un temps de la chambre, de se ressourcer avant de mieux se replonger dans l’exaltation sensuelle du corps-à-corps ; – enfin, une excel...
Une heure que je courais
il y a 5 ans

Histoire érotique ABDL hard

Déjà une heure que je courais, bien que j’adore la sensation de liberté qu’un bon jogging peut apporter à l’esprit, il me fallait rentrer. Juste le temps de prendre une douche et de me changer, j’avais rendez vous pour visiter un appartement à plus de trois millions d’euros. Que de chemin parcouru, la chambre d’étudiant, l’ordinateur rafistolé qui bugge, la start-up et les railleries devant mon enthousiasme. Les premiers succès, les premières embauches, les bureaux de plus en plus grands et après quinze ans, la proposition. Eh oui, trois mois de négociations, j’ai vendu et bien vendu mon bébé. À trente cinq ans je suis à l’abri du besoin. Seule ombre au tableau, quarante des cent vingt administratifs vont être licenciés, je m’étais pourtant juré d’être irréprochable et d’avoir toute ma vie le côté humain comme priorité, mais voilà j’ai choisi le chèque, avec beaucoup de zéro derrière. Dernier pâté de maison, je passe la porte de l’immeuble, je vais vérifier le courrier… Un bru...
Historiette immorale d'automne ardennais
il y a 5 ans

Une histoire érotique d’une autre époque, où l’infidélité est légion

Il y a dans le petit village de Porcheresse, commune de Daverdisse, province du Luxembourg, en Belgique, un château construit en 1704, qui a récemment été transformé en résidence de loisir que l’on peut louer pour un week-end, une semaine ou plus. Vingt personnes peuvent y séjourner dans douze chambres, c’est dire la taille de la demeure, nichée dans un domaine arboré de 4 ha. Ce sont Maxime et Juliette, maintenant âgés tous deux de 30 ans, e n f a n t s du baronnet Jehan-Guy Moquest de Saillies qui en sont les propriétaires. Curieusement, Maxime et Juliette sont à la fois demi-frères et cousins. Jehan, en effet, n’a jamais pu se résoudre à se marier et il a vécu toute sa vie d’homme adulte dans cette magnifique demeure et dans la bigamie – c’était de notoriété publique – avec deux sœurs, Constance et Marianne, elles aussi issues d’une lignée de hobereaux originaire de Bande (Nassogne). À 28 ans, Constance mettait au monde Maxime, et quelques mois plus tard, dans la même année 1986, M...
Ma belle-mère est surprenante
il y a 5 ans

Dans cette histoire érotique, vous découvrirez que la vie peut vous permettre de fesser votre belle-mère.

La vie est pleine de surprises. On croit connaître certaines personnes, et parfois le hasard nous les fait découvrir bien différemment. C’est ce qui m’est arrivé il y a une dizaine d’années. Mon prénom est Frédéric (mais on m’appelle Fred), trente-cinq ans à l’époque, marié à Céline qui nous a donné deux e n f a n t s. Nous habitions en proche banlieue parisienne. Brune aux cheveux longs, plutôt grande et mince, Céline entretenait son corps en pratiquant des activités sportives régulièrement, ceci à côté de son travail de comptable. De mon côté, ingénieur informaticien, brun aux yeux verts de 1,85 m pour 80 kg, j’essayais d’en faire autant, même si je n’avais pas toujours le temps de pratiquer mes sports favoris. Si Céline était toujours belle et sensuelle après douze années de vie commune, j’avoue qu’à cette époque nous avions conscience que nous commencions à entrer dans une certaine routine sexuelle petit à petit. Si cela ne nous posait pas de question de couple à cette époque, no...
La vengeance d'une secrétaire sur son patron
il y a 5 ans

Il me baisait les pieds avec délicatesse.

Je suis secrétaire depuis 15 ans dans une société en conseils financiers composée de 35 salariés. J’ai pendant longtemps apprécié mon métier, mais ces derniers mois l’ambiance est devenue pesante. Nous avons eu un renouvellement des personnes dirigeantes et un jeune cadre arriviste même pas trentenaire a pris les commandes de la société. Ce jeune loup est l’archétype du cadre financier imbu de sa personne, arrogant et n’ayant que peu d’estime pour ses subalternes. Je le soupçonne de prendre régulièrement de la cocaïne car il change d’humeur assez fréquemment et passe par des périodes de grande excitation. Alors que les premières semaines s’étaient bien passées, mes relations professionnelles avec ce jeune homme se sont détériorées ; il fait souvent montre d’agressivité, me reprochant à tort diverses choses et n’hésitant pas à jouer les goujats avec des allusions sexuelles minables à la limite du harcèlement. Les journées sont de plus en plus éprouvantes, et pour la première de m...
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