Récits
Transformée en vache laitière PARTIE 2 / 3
il y a 5 ans

La transformation de la journaliste en vache à lait

Assise sur sa chaise elle dandine son popotin en serrant su mieux qu'elle peut ses deux cuisses. Les picotements se font plus intenses. Les deux femmes autour d'elle remarquent son petit manège. Elles savent que les d r o g u e s commencent à faire leur effet. Stéphanie se passe une main sur sa joue droite et remarque qu'elle est chaude. Elle glisse alors la main sur son cou, et même sensation! Tout son corps en fait est bouillant. Mais ce n'est pas de la fièvre, c'est seulement une chaleur comme lorsqu'elle est en excitation. - J'ai chaud, dit-elle. Avez-vous monté le chauffage de cette pièce? - Non, répond Amandine. Nous devons garder dans ce local, une température moyenne et constante. J'y fais des analyses régulièrement, et il ne faut pas que mes résultats soient faussés. - Tu dois être tout simplement excitée par la visite nos installations, souffle alors Claudine. S'est normal lors d'une première visite. Beaucoup de nos visiteurs souffrent la même chose. Ne t'en fais...
Transformée en vache laitière FIN
il y a 5 ans

La journaliste passe en réelle production et +++

##### Première production Les jours passent à la laiterie Au Bon Sein. et Stéphanie, qui a amorcé sa production, passe maintenant à la phase 2 : augmentation de la production. On a réussi à lui soutirer dernièrement un demi litre de lait, mais l'objectif est d'obtenir 3 litres par jour. Pour cela il faut entraîner les mamelles, augmenter les lobules et les canaux galactophores dans les glandes mammaires. La ferme a donc un programme spécifique pour que ses vachues produisent en quantité et en qualité. Ce programme inclus des séances de traite, agrémentées de périodes d'excitation et de satisfaction sexuelle, jusqu'à l'obtention d'orgasmes prolongés et répétés durant toute la période de traite et d'extraction du précieux liquide nourricier. f o r c é ment, le programme est très apprécié par toutes les vachues logées à l'institution, que sont les jouissances constantes durant toute la session de traite. Mais ce qui les élèvent le plus au septième ciel, ce sont les nuits d'enfer qu'...
Angélique et les Marins
il y a 5 ans

Angélique et les Marins

Comme ses camarades, Angélique attendait devant « La Sirène Bleue » en scrutant l’horizon. On avait annoncé l’arrivée d’un bateau pour le soir même, ou peut-être le lendemain. Alors toutes les filles se tenaient prêtes à accueillir ces marins esseulés qui allaient se précipiter dans leur établissement en quête de plaisir et de réconfort. La Grosse Eva, la patronne, se frottait déjà les mains... Depuis la veille, elle donnait ses ordres aux filles, en leur rappelant qu’il ne fallait pas mener le marin trop vite au coït, qu’il fallait le faire boire, consommer, qu’il passe une soirée mémorable (et chère) avant d’aller s’isoler avec celle qui lui plaisait, dans une chambre à l’étage. Angélique soupirait. Les marins étaient ennuyeux, ils se ressemblaient tous, recherchaient éternellement les mêmes divertissements, ils parlaient fort, riaient, faisaient les fiers, mais une fois au lit, ils ne tenaient guère plus qu’une poignée de secondes avant de jouir dans un râle aux relents d’alcool....
Le Loup
il y a 5 ans

Un magnifique roman érotique de fiction animale et humaine

Un magnifique roman érotique de fiction animale et humaine Un pas. Un autre. Puis un autre. Porté par les ailes de la chanson, soutenu par les voix de ceux qui avaient été mes compagnons. Un pas. Un autre. Puis un autre. Le fouet du vent polaire, aspirant ma chaleur, volant mon souffle. Un pas. Un autre. Puis un autre. Ainsi il en avait été, depuis deux jours, marchant lentement, mais à un rythme soutenu dans la longue nuit polaire, sous la lumière froide des deux lunes. Sans arrêt. Car arrêter revenait à se reposer, se reposer à dormir, et dormir à mourir. Le froid n’était pas aussi intense qu’il l’avait été il y avait maintenant une semaine, mais j’étais au bout de mes f o r c e s, et ce qui passait pour un temps chaud sur les plaines de glace allait bientôt m’achever, malgré mon équipement, ma fourrure épaisse, mon corps adapté pour le froid. De la neige, de la glace sur l’épais foulard qui couvrait mon museau. Il y avait une étrange dualité à mon esprit. D’un coté il...
Le Loup partie 2
il y a 5 ans

Le Loup

Chapitre 7 « Je suis désolée, Arkel, mais ce qui t’a été dit est assez juste. Je connais bien Shavayan. Ce que je sais par expérience ne correspond pas complètement à ce qui est véhiculé par vos médias. Tu devras faire tes recherches. » L’Ambassadrice me dit cela en me regardant dans les yeux. Ça donnait un coup de voir une certitude montrée comme étant illusion. Le gouvernement de Kivat mentait sur certaines choses, et ce sans qu’il existe un réel besoin. Lorsque l’on ment sur une chose, il est plus facile de mentir sur une autre. La renarde pouvait le lire sur mon visage, et elle ajouta, « votre propagande n’est pas domestique, mais extérieure. Elle a une certaine portée domestique, en vous faisant croire que tout est plus rose chez vous, mais tu peux continuer à faire confiance à ton gouvernement. De par mon expérience –elle est très vaste-, votre gouvernement est l’un des plus droits que je connaisse. » Elle devait avoir raison, mais j’allais devoir réévaluer ce que je...
Institution Saint-Sauveur
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Sœur Marie Joseph sortit de la salle en grommelant. Elle f o r ç a i t le pas à grandes enjambées et son vêtement monacal, sa grande robe noire qui descendait bas sur ses chevilles et le tablier blanc traditionnel de son ordre, volait en désordre tout autour d’elle. Sa coiffe à cornette paraissait avoir du mal à suivre le rythme. Sa démarche contrastait avec le caractère solennel des lieux. Ici, à St Marie, institution vénérable s’il en était, on s’attendait plus à entendre des conversations feutrées et des déplacements précautionneux sous ces boiseries multicentenaires du bâtiment administratif de l’école qui, déjà sous le règne de Louis XIV, accueillait la progéniture en voie d’égarement de la noblesse et de la bourgeoisie fortunée. La réunion du Conseil d’administration n’avait pas produit les résultats escomptés. Sœur Marie Joseph était directrice de cette grande maison qui accueille des garçons et filles depuis la sixième jusqu’à des classes post baccalauréat. Elle avait donc...
Institution Saint-Sauveur 2
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Le lendemain était un jour de rendez-vous avec la directrice de mon laboratoire de recherche. Elle resta un moment songeuse après que je lui ai fait part de mes premières observations. Je la sentais réfléchir aux implications de la situation, mais je ne la voyais pas étonnée sur l’emploi de ces méthodes qui, même après une nuit de sommeil, me semblaient toujours aussi décalée avec la norme en vigueur dans la quasi-totalité des établissements. Je me suis alors demandé ce que mon interlocutrice savait des pratiques disciplinaires de St Marie avant que j’y mette les pieds. Je gardais pour moi mes questions sur le bien-fondé des méthodes employées à St Marie. Nous échangeâmes sur les méthodes à mettre en place pour répondre à la commande qui nous avait été passée. La question des craintes des religieuses quant aux perturbations que risquait d’apporter ma présence fut largement débattue. Nous arrivâmes à la conclusion qu’il n’y avait pas de solution pleinement satisfaisante. Il était...
Institution Saint-Sauveur 3
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Lorsque j’arrivais à la porte de la salle dans laquelle se déroule le cours suivant. Celle-ci était déjà close. Le cours avait commencé. J’étais en retard. Comme un flash, il me revint à la mémoire ce que Sœur Dominique avait promis aux deux jeunes filles au cas où elles se mettraient dans une telle situation : « Sœur Françoise serait obligée de vous fesser. » Je sens monter une angoisse que je n’arrive pas à contrôler. « Bon, pensais-je en moi-même, il est sans doute préférable que je fasse l’impasse sur ce cours, il ne va rien s’y passer d’intéressant. » Je me ressaisis, au prix d’un effort de volonté. « Tu te comportes, me sermonnais-je intérieurement, comme si tu risquais de recevoir une fessée. » La remontrance de Sœur Dominique m’avait impressionné plus que je ne voulais bien me l’avouer. Je ne pouvais cependant pas me laisser dicter ma conduite par des craintes irraisonnables. Dans mon plan d’étude, j’avais décidé d’être présent pour ce cours, il n’en serait pas autr...
Cuisante promenade à la Côte Ste Catherine
il y a 5 ans

Une jolie histoire érotique d'homme fessé

Nous venions de quitter précipitamment l’Algérie en tant que rapatriés et mon père avait dû rejoindre son nouveau poste dans une ville du nord de la France. En attendant qu’il trouve un logement décent et suffisamment grand pour ma mère, mes deux sœurs et moi, nous nous étions arrêtés à Bar-le-Duc où nous logions chez mes tantes en centre-ville. A cette époque, je vivais très mal les événements s a n g lants qui avaient traversé l’Algérie ainsi que les scènes de v i o l ence à Alger. De plus, le souvenir des membres de ma famille assassinés m’avait définitivement traumatisé. Moyennant quoi, j’étais devenu malheureusement un e n f a n t perturbé, quasi incontrôlable ! Déjà aventureux et casse-cou comme bien les gosses de mon âge, j’étais totalement infernal et l’absence de mon père qui travaillait à 500 kilomètres de là n’arrangeait pas les choses; en effet, il rentrait en général le vendredi et repartait le dimanche soir. Ces deux jours-là étaient généralement pour moi un fâc...
Institution Saint-Sauveur 4
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

Je me dépêchais, le lendemain matin, de me rendre au bureau de la directrice afin de négocier ma présence dans une classe de terminale. La directrice n’était pas là, mais sa secrétaire, Sœur Marie Madeleine, répondit obligeamment à ma demande. –« Sœur Marie Joseph, la directrice m’a laissé des consignes afin que je vous facilite l’accès aux classes. Vous dites, une terminale … voyons ce que nous pouvons vous trouver … voilà, je crois que cela ira. Je vous propose une terminale scientifique. C’est Sœur Thérèse qui les a pendant les deux premières heures pour les matières littéraires. Elle enseigne non seulement le français, mais également l’anglais, l’histoire et la géographie. Je ne suis pas certaine qu’elle vous accueillera les bras ouverts, mais je pense qu’elle vous laissera accéder à sa classe. En troisième heure, c’est Sœur Gabrielle pour l’éducation physique. Là, je suis sûre que cela ne posera pas de problème. – Où puis-je les trouver ? – A cette heure-ci, ils sont enco...
Institution Saint-Sauveur 5
il y a 5 ans

Première humiliation

Je suivis le groupe d’élève vers le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement. Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique n’est pas mixte, contrairement à tous les autres. C’est Sœur Gabrielle qui vient prendre en charge notre groupe. Tout de suite elle me remarqua. Ma tenue lui facilitait les choses, j’étais le seul qui ne portait pas l’uniforme réglementaire. Je n’avais pas encore eu l’occasion de la rencontrer, mais Sœur Gabrielle était une sorte de légende à St Marie. Quand on voyait sa stature, on voyait tout de suite que c’était une athlète accomplie et aucun des garçons ne pouvait rivaliser avec elle dans la plupart des disciplines sportives. Elle était grande, autant que les...
Institution Saint-Sauveur 6
il y a 5 ans

Les filles y sont déculottées comme les garçons.

La routine s’installa dans mon activité à St Marie. Les rituels bien en place constituaient des repères dans le temps qui rythmaient la vie quotidienne. Il fallait être prêt pour le petit déjeuner à sept heures trente. Je me levais donc à sept heures, mais quand je n’avais pas cours d’éducation physique avec Sœur Gabrielle, il m’arrivait fréquemment de m’accorder un quart d’heure de plus au lit. C’était alors un jour sans douche. Les cours commençaient à huit heures et le déjeuner à douze heures trente venait clore la matinée. La récréation sonnait à dix heures, nos avions alors droit un quart d’heure de pause, dont nous bénéficions également avant le repas de midi. Avant que les cours ne reprennent à quatorze heures, il y avait une longue pause qui suivait le déjeuner. Une récréation à quinze heures coupait l’après-midi qui s’achevait à dix-sept heures quinze, sauf le vendredi où chacun était libre à seize heures quinze. Les externes étant partis, il y avait une étude jusqu’à dix-n...
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